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Confession d'un homosexuel refoulé

Chapitre 7

Jean, le retrait éun peu coquin sur les bords

SM / Fétichisme
Résumé du chapitre précédent :Lors d’un footing dans les bois, je surprend Lydia, la joggeuse que j’ai déjà croisée, elle est avec un homme, je l’espionne discrètement et découvre qu’elle fait des vidéos coquines pour son site payant. Elle finit par me démasquer, tolérante elle m’invite simplement à visiter son site, avec la promesse de faire appel à moi pour l’une des ses prochaines vidéos. Quelques jours après, à l’occasion du rendez-vous piège organisé avec la complicité d’Eric pour confondre ma femme, ou une fois de plus je joue les espions, j’ai la confirmation que Céline est une nymphomane à l’appétit sexuel insatiable. Bien qu’en pratique, il ne s’agit que d’une banale réunion de chantier et alors même qu’elle ne connait pas Eric, Céline n’hésite pas à lui faire des avances sans ambiguïté jusqu’à parvenir à ses fins pour baiser avec lui, je découvre aussi avec stupeur et dégoût, son penchant pour des pratiques sexuelles extrêmes, comme entre autre, se faire uriner dessus, s’en est trop pour moi, plus que jamais, je suis déterminé à me venger…
chapitre 7
Je suis encore retourné par ce que j’ai vu hier, d’humeur maussade, je n’ai pas le cœur à blaguer avec mes collègues de travail et encore moins de surfer sur le tchat. Heureusement, un appel me sort de mon apathie, c’est Régis, le mari de Mélanie, il me propose de jouer au tennis ce soir après le boulot, j’accepte sans enthousiasme en me disant que ça me permettra au moins de me défouler un temps. En raccrochant, je repense immanquablement à cette étrange soirée avec sa femme et la mienne, des flashs de ma queue blotti dans le creux de sa plantureuse poitrine me donne des frissons, il me faudra faire attention de ne pas gaffer avec Régis. Je passe en coup de vent à la maison histoire de me changer et récupérer mes affaires de tennis, Céline n’est pas encore rentrée, je lui laisse un message qui évidemment, restera sans réponse. Je retrouve comme prévu Régis au club de tennis, nous nous mettons sans perdre de temps en action, le court n’étant réservé que pour une heure, on s’échange des balles tout autant que des vannes sur notre piètre niveau, nos matchs sont toujours des franches moments de déconne, cette légèreté est bienvenue tant elle me fait du bien. Mais au bout d’une demi-heure, Régis se met à évoquer sans pudeur la sexualité de son couple, terrain glissant que je voulais à tout prix éviter. J’ai droit à tous ses problèmes comme la supposée baisse de libido de Mélanie ou son présumé manque d’effort pour se rendre sexy, si seulement il savait ! Alors que l’on regagne le banc pour une pause salutaire et se rafraîchir, il profite de cette soudaine proximité pour m’assener un uppercut aussi puissant qu’inattendu :
— Alors, il parait que t’as pris ton pied l’autre soir avec Mélanie ?— Hein ? Comment ça, de quoi tu parles ?— Arrête, elle m’a tout avoué, paraît que t’as bien aimé sa petite branlette espagnole, je te comprend, elle a de sacrés obus la garceJe reste sans voix, ne sachant quoi répondre et affiche une moue décomposée— Hey, détend toi Nico, je te reproche rien, en vrai je ça me dérange même pas— Mais comment t’as su ?— Mélanie ne sait pas mentir, je sentais qu’un truc là travaillée, j’ai pas eu besoin de beaucoup insister pour lui faire cracher le morceau— Je suis désolé Régis, c’est arrivé très vite, on avait trop bu, on a pas réfléchi et c’est un peu parti en sucette— T’excuse pas, si ça peut réveiller sa libido moi ça me va, puis entre nous je me tape bien ta femme, en vrai ça me soulage— Quoi ? Comment ça tu te tapes ma femme ?— Arrête de déconner, me dis pas que t’es pas au courant— Ben non justement, et ça fait longtemps que tu la baises dans mon dos ?— Je sais pas, ça doit faire un an et demi à peu près, je suis désolé, je pensais que tu savais— Mais non ! Pourquoi tu ne m’en a jamais parlé ?— Putain ma femme m’a dit que tu savais mais qu’il valait mieux évité de t’en parler parce que ça te tendait…— Mais bien sûr ! J’en apprend tous les jours avec elle— Ah bon comment ça ?— Laisse tomber, trop long à expliquer, mais te prends pas la tête, moi aussi je m’en fous maintenant, tu peux continuer à la tringler, j’aurai moins de remord à baiser la tienne
— Salopard, moi je dis ça va finir en partouze cette histoire, bon, on y retourne ? J’ai une envie de taper la balle là !— Allez, c’est parti, on va appeler ça le match des cocus !
La dernière demi-heure est un festival de blagues salaces envers nos femmes, un défoulement verbal qui fait du bien même si ma colère envers Céline ne s’estompe pas. En rentrant à la maison je ne cesse de ressasser tout ça, combien d’hommes a t’elle fréquenté ? Eric, Michel et maintenant Régis, la liste s’allonge de jour en jour. Énumérer le nom de ses potentiels amants me donne le tournis mais également une idée aussi perverse que délirante, pourquoi ne pas la prendre à son propre jeu en lui organisant une réunion surprise avec ses amants, après tout ça serait un bon moyen de la confronter à ses déviances. La tâche me paraît compliquée, je préfère prendre le temps d’y réfléchir.
A la maison, les soirées se suivent et se ressemblent dans une ambiance plutôt étrange, mélange de non dits et de faux semblants. Je passe mon temps à squatter le canapé pour tchater sur le net jusqu’au bout de la nuit pendant que madame fait mumuse avec son jouet dans la chambre sans même s’en cacher. J’ai parfois droit à un classique et ennuyeux missionnaire ou à une pipe vite fait bien fait, quand madame ressent le besoin de faire baisser mon niveau de méfiance, ou comment acheter la paix avec le sexe.
La fin de semaine est un soulagement, c’est mon rituel du footing du vendredi soir, je décide de modifier mon parcours pour visiter l’adresse où habite Jean, ce retraité avec qui j’ai vaguement tchaté sur le net et qui recherche un partenaire à sodomiser. Après vingt minutes et quelques erreurs d’orientation, j’arrive enfin à l’adresse qu’il m’a donnée, je découvre une belle maison sur deux étages aux allures de petit château dans un quartier bourgeois très cossu. Si Jean habite bien là, il doit être sacrément fortuné ! Je poursuis mon chemin sur une centaine de mètres puis décide de faire demi-tour pour jeter un deuxième coup d’œil lorsque une rutilante Mercedes cabriolet me dépasse moteur vrombissant et se gare en vrac devant la propriété. Une splendide blonde s’en extirpe, de sa paire de solaire à ses escarpins en passant par son tailleur sur mesure et son sac à main, tout transpire la marque de luxe, elle fait le tour de sa voiture et récupère dans son coffre trois ou quatre sacs estampillés des logos des plus grandes marques de la haute couture. D’une démarche assurée, voire arrogante, elle se dirige vers le portail de la maison, elle est accueillie par une servante qui la débarrasse de ses sacs puis disparaît dans la maison. Wouah, quelle femme, voilà qui pourrait finalement bien me convaincre d’accepter la proposition de Jean. Je m’éloigne et me connecte par instinct sur le tchat, je reçois immédiatement un message de Jean :
— C’est toi ?— Qui ça ?— Le joggeur particulièrement curieux qui regarde ma femme avec gourmandise— Mais, je… oui, comment vous savez ?— Je te vois depuis la fenêtre à l’étageJe lève la tête et aperçoit une silhouette qui me salue— Elle te plait ?— oui— Viens et tu pourras la baiser— Je n’ai pas le temps, je dois rentrer sinon ma femme va se demander ce que je fais— Alors passe demain après-midi, sinon je chercherai quelqu’un d’autre— Heu, d’accordIl coupe brutalement la discussion et disparaît de la fenêtre, la pression est maintenant sur moi. Ma nuit est particulièrement agitée, je suis tiraillé entre mes envies et mes craintes. En me levant ce samedi matin, ma décision d’y aller est prise, après tout je serai toujours libre de refuser si je ne suis pas à l’aise. Ma femme ayant prévu une soit disant sortie canoë entre filles toute la journée, j’ai le champ libre.
Lorsque je me présente chez Jean en milieu d’après-midi, je suis accueilli par la servante, elle me guide jusque dans le hall d’entrée de la maison et me demande de patienter. J’ai le cœur serré, en attendant Jean, j’observe tout autour de moi pour tenter d’évacuer mon stress. Face à moi se tient un majestueux escalier baroque en marbre aux rambardes en bois précieux et dorures, sur ma droite j’aperçois un salon à la déco contemporaine, très épurée et assez froide, un énorme canapé tout aussi minimaliste trône au milieu de la pièce, chose étonnante, de nombreux grands miroirs habillent les murs. C’est alors qu’un bruit de talons me fait sursauter, c’est l’épouse de Jean qui descend les escaliers pour venir à ma rencontre, elle dégage beaucoup de classe et d’élégance, elle porte une robe de soirée moulante fendue jusqu’à la hanche et dont la dentelle noire ultra transparente trahit l’absence de sous-vêtements. Sa démarche féline et son regard incendiaire me mettent rapidement en émoi, une goutte de sueur perle sur mon front, je l’essuie à la va-vite pour tenter de masquer ma soudaine fébrilité.
— Bonjour Nicolas, je suis Anita, bienvenue !— Enchanté AnitaSon fort accent russe reconnaissable entre mille finit de me séduire.
— Nicolas, Jean est ravi que vous soyez venu, mais avant d’aller plus loin vous devrez accepter notre règle d’or— Votre règle d’or ? C’est-à-dire ?— Obéir à Jean et à moi-même— Et si jamais je refuse ?— Vous serez puni, alors, souhaitez-vous toujours rencontrer Jean ?Anita est bien trop séduisante pour que je refuse cette carotte tendue par Jean— Oui, bien sûr !J’ai à peine fini ma phrase qu’une violente gifle vient s’écraser sur ma joue gauche.
— Tu sais à quoi t’en tenir maintenant, toujours partant ?Tandis qu’elle caresse ma joue rougie, je m’efforce de garder mon sang froid, si je me demande dans quel guêpier je me suis mis, je suis bien trop curieux et excité par cet accueil un peu spécial pour renoncer, je lui fais un signe positif de la tête qui lui arrache un semblant de sourire.
— Déshabille-toi !— Là ? Maintenant ?
Une deuxième gifle me dévisse à nouveau la tête.— Ne discute pasJe m’exécute maladroitement tant je suis gêné par le regard sans concession et les allures de maîtresse au combien rigide d’Anita. Je ne porte plus que mon caleçon, les mains sur l’élastique je marque un temps d’arrêt coupable aussitôt réprimandé.
— Enlève tout !
Elle fait mime de lever la main, je fais aussitôt glisser mon caleçon en prenant bien soin de cacher mon sexe avec mes mains ce qui de toute évidence, l’amuse moyennement. Dans la foulée, elle disparaît dans mon dos, je la suit du regard, elle récupère dans un tiroir de la commode qui se trouve derrière moi une cravache, stupéfait, je fais les gros yeux, Anita ne me laisse pas le temps de cogiter, m’entraînant avec elle au milieu du salon, ou elle me demande d’attendre. Même dans mes rêves les plus farfelus je n’aurais jamais imaginé me retrouver nue au milieu d’une pièce sous le regard d’une parfaite inconnue, c’est sans aucun doute, le moment le plus étrange et le plus embarrassant de ma vie. Anita tourne lentement autour de moi en me scrutant de la tête au pieds, est-ce la froideur des gens de l’est ? Toujours est-il qu’elle ne manifeste aucune émotion. Ayant fini son tour, elle s’arrête en face de moi et brandit sa cravache, comme si elle voulait tester ma docilité, elle vient la frotter contre mes lèvres avant de venir titiller mes tétons puis de glisser lentement sur mon torse. Mon corps frissonne, je suis comme envoûté, elle caresse mes mains puis m’adresse une petite tape sur les doigts pour m’inciter à retirer mes mains, j’obtempère sans résister, je n’ai pas envie de goûter au cuir de sa cravache. Plus vulnérable que jamais, me voilà maintenant le sexe tendu à l’air libre, je me sens comme une proie face à sa prédatrice. Testant un peu plus mes limites, le cuir froid de sa cravache s’immisce entre mes cuisses et remonte lentement, venant se promener sur mes couilles et ma verge, craignant qu’une tape ne vienne me punir douloureusement à tout moment, je me crispe. Anita ironise :
— Ne t’inquiète pas, si tu obéis, il ne t’arriveras rien
Poussant un peu plus la perversité histoire de mettre mes nerfs à l’épreuve, elle s’amuse à manipuler mon pénis avec sa cravache en le soulevant ou en le faisant rebondir, allant même jusqu’à tapoter doucement mes couilles. Comme si ça ne suffisait pas, aux brimades, s’ajoute une humiliation à peine voilée :
— Tu n’as pas un très grand sexe, ni très épais et tu n’es même pas rasé, beurk ! J’ai horreur des poils ! Oh et tes couilles m’ont l’air bien pleines, tu dois être en manque, pauvre chou.Je ne sais pas quoi répondre, vexé et toujours pas rassuré, je ne quitte pas des yeux la cravache qui ne cesse de tournoyer autour de mon sexe. C’est alors que Jean fait enfin son apparition :
— Bonjour Nicolas ! J’espère qu’Anita c’est bien occupé de toi— Bonjour Jean, on va dire que oui— La coquine, elle a encore était vilaine, bon je suis content que tu sois venu, je pensais que tu ne viendrais pas— Moi aussi
Il lance un regard à Anita, celle-ci vient immédiatement se blottir contre lui
— N’est elle pas ravissante ? Elle te plais ?— Oui, je dois avouer qu’elle est très belle— Quand, j’ai contacté l’agence pour me trouver une femme, d’emblée je leur ai dit que je voulais une russe, tu sais pourquoi ?— Non ?— Déjà parce qu’elles sont magnifiques et ensuite parce que ce sont des belles salopes très dociles, elles sont prêtes à tout pour trouver un riche occidental et moi je voulais la plus salope d’entre elles
Il attrape son sein et le presse vigoureusement.
— Tu n’as pas idée du nombre de candidates qui se sont manifestées, tous plus belles les unes que les autres, si je l’ai choisi elle déjà c’est parce que je ne voulais pas d’une gamine, trente cinq ans c’était l’âge idéal et puis il faut dire qu’elle a su trouver les arguments pour me convaincre, tu veux savoir comment ?— Oui, dites moi— A notre “speed dating” comme on dit, elle m’a cerné au premier regard, je n’ai pas eu le temps de dire un mot, qu’elle s’est mise à quatre pattes, à ramper sous la table et m’a sucer la bite, elle a tout avaler la cochonne, c’est la plus belle preuve d’amour qu’elle pouvait me donner.— Et bien vous avez une conception bizarre de l’amour— C’est la mienne ! Tu sais ce n’est pas la seule à s’être offerte sexuellement, mais c’est la seule qui y a pris du plaisir, je l’ai vu dans ses yeux, n’est-ce pas Anita— Da, Lyubov’ moya (oui mon amour)
Il lèche baveusement la bouche d’Anita puis la libère et s’assied confortablement dans le canapé.
— Chose promise chose due, elle est à toi maintenant, fais en ce que tu veux
Anita se fige devant moi en me fixant des yeux. Je suis tétanisé, une telle offrande, c’est totalement inédit pour moi.— Et bien vas-y, ne sois pas timide, elle ne va pas te mangerJe repense à la fameuse règle d’or, la peur du châtiment aidant, je force ma nature, je m’approche d’elle, les mains tremblantes, je la saisit délicatement par la taille puis caresse timidement ses fesses tout en l’embrassant dans le cou, Anita reste impassible, j’imagine qu’elle a du baiser avec quantités d’hommes bien plus beau et plus costaud que moi, peu importe, j’insiste en la collant contre mon sexe dur et plonge ma tête dans sa poitrine, gagnant en confiance, ma main se faufile dans la fente de sa robe et s’immisce jusque dans le sillon de ses fesses. Toujours aucunes émotions, la frustration me gagne, je décide de changer d’approche et de la prendre à son propre jeu, je lui arrache la cravache des mains et prend du recul :
— Déshabille-toi !Sans discuter, elle fait glisser sa robe à ses pieds, à travers les nombreux miroirs qui nous entourent, je me délecte de sa plastique sous tous les angles, son cul délicieusement bombé, sa poitrine ferme et galbée, sa chute de rein vertigineuse, quelle beauté ! Bien qu’elle se prête au jeu, elle ne semble guère enthousiaste, pire, elle laisse échapper des petits rires cyniques et échange constamment des regards complice avec Jean, ce mépris m’irrite, je la contourne et frappe son cul avec la cravache, elle se met à rire de plus belle, énième provocation que je sanctionne d’un nouveau coup plus appuyé, suivi d’un troisième et d’un quatrième alternant fesse droite et fesse gauche, elle cille à peine et gémit de manière exagérée. Anita est indomptable, au diable mon amour propre, je viens me coller à elle en frottant mon sexe contre son cul et palpe vigoureusement ses seins, je suce le lobe de son oreille tout en observant Jean, il semble apprécier le spectacle, la braguette ouverte, il se masturbe, impatient de participer à la fête, il se lève pour nous rejoindre. Prise en sandwich et assaillie par nos mains baladeuses, Anita ne se laisse pas impressionner et reprend la main avec autorité, elle se saisit de nos bites pour les branler puis s’agenouille rapidement entre nous deux. Sa bouche gourmande passe d’un sexe à l’autre avec frénésie, Jean ne manque pas d’appuyer lourdement sur sa tête pour l’empaler profondément sur son sexe. Il ne cesse de me lancer des regards et sourires lubriques, cette petite lueur qui brille dans ses yeux vient me rappeler que si il m’a invité c’est avant tout pour assouvir ses envies de sodomie. Tandis qu’Anita lèche ses boules avec beaucoup d’application, il enlève sa chemise et fait glisser son pantalon, malgré ses soixante huit printemps, Jean est plutôt bien entretenu. Gagné par l’excitation, Jean appui sur mon épaule avec beaucoup de poigne, je ne résiste pas et m’agenouille à côté d’Anita qui sans préavis me fourre le sexe de Jean dans la bouche. Je suis surpris par la taille de son pénis et plus encore par la vigueur de son érection, mes préjugés sur son âge m’ont encore joué un mauvais tour. Décidément taquine, Anita s’amuse à bifler mes joues avec la queue de Jean et à frotter son gland contre mes lèvres, puis n’hésite pas à attraper ma tête par les cheveux avec fermeté pour m’imposer de longues séquences de gorge profonde. Hystérique, sa bouche vient se mêler à la mienne, emprisonnant le gland de Jean entre nos lèvres. Jean siffle subitement la fin de la récréation, il me relève avec autorité et me projette sur le canapé, sur lequel il m’ordonne de m’agenouiller, je m’exécute les bras accoudés au dossier. Affamé, il tâte mes fesses comme un morceau de viande puis écarte mes cuisses et caresse mon trou avec son gros pouce. Dans l’un des grands miroirs qui me fait face, je peux voir son visage, il semble possédé, avide de sexe, j’aperçois aussi Anita qui joue les assistantes sexuelles, elle déroule une capote sur son pénis, puis, répand du gel sur mon cul qu’elle étale en glissant ses doigts dans ma raie. Le moment tant redouté est arrivé, je ne peux plus reculer, si j’ai peur j’ai aussi terriblement envie d’être baisé !Je sens son gland titiller prudemment mon anus, sans doute veut-il me ménager en y allant doucement, rare attention dont je doute qu’elle ne dure.
— Mmm, t’as un bon petit cul toi, on voit que tu cours ! J’adore me faire des petits vierges !Tandis qu’il frotte sa verge contre ma raie, Anita qui est agenouillé sur ma droite, caresse mon dos et mes fesses, sûrement pour me détendre.Je sens soudainement les doigts de Jean se cramponner fermement à ma taille, sa queue s’enfonce lentement en moi puis s’immobilise.
— T’as le cul bien serré toi ! Alors tu aimes sentir ma bite dans ton cul ?— Oui, c’est bon— Super, je vais te faire couiner comme une petite salope
Instinctivement je m’agrippe au dossier du canapé, tandis qu’il accélère progressivement ses va et vient. Peu enclin à jouer les spectatrices, Anita se glisse entre nos cuisses avec beaucoup d’agilité, affamée, sa bouche attrape mon sexe qui se balance d’avant en arrière et tire dessus en tétant mon gland. Sa langue humide et frétillante roule ensuite sur mes couilles, puis sur celles de Jean, n’oubliant pas de s’immiscer dans ma raie, pour apaiser le feu et lubrifier le sexe de Jean. La sensation est étrange, à la fois douloureuse et terriblement délicieuse, je m’oublie et me met à crier, il n’en faut pas plus pour stimuler un peu plus l’ardeur de Jean. Emporté par sa fougue, il me culbute sans ménagement, son bassin venant s’écraser toujours plus violemment contre mon cul, je suis littéralement désarticulé, la tête écrasée contre le coussin du canapé. Après cinq longues minutes d’un pilonnage aussi intense que jouissif, Jean se retire subitement, aussitôt, Anita s’empare de sa queue, elle retire le préservatif et termine le travail avec une branlette énergique jusqu’à le faire gicler sur mon cul. Tandis que Jean s’effondre essoufflé sur le canapé, Anita s’accroupit derrière moi, je sens sa langue glisser sur mes fesses puis s’introduire dans ma raie, aspirant méticuleusement le reste de sperme qui y coule. Je m’assoie à mon tour sur le canapé, le cul meurtri, regardant Anita s’offrir en spectacle, allongée sur le dos, jambes écartées, elle commence à se masturber sous nos yeux, se trémoussant et gémissant sans retenue. Excité, je succombe à mon tour au plaisir solitaire. Premier à jouir, je me lève précipitamment pour éjaculer sur sa poitrine, Anita joui quelques secondes plus tard en hurlant de plaisir. Après s’être amusée à étaler mon sperme en se caressant, elle se relève, renfile sa robe avec une décontraction désarmante et embrasse Jean sur la joue avant de s’éclipser. Après s’être rhabillés à notre tour, Jean m’offre un verre et me questionne, curieux de connaître mon ressenti.
— Alors ça t’as plu ? Pour une première je t’ai trouvé plutôt à l’aise.— Oui faut croire que j’aime ça, après je te cache pas que j’ai déjà eu une première expérience avec un homme y’a pas longtemps— Ha oui qui ça ? Vous avez fait quoi ?— Eric, un mec plutôt costaud de mon âge, je l’ai sucé, il m’a aussi doigté vite fait, c’était un peu un avant goût de ce qu’on a fait— Bien, t’es un sacré coquin ! Et ta femme dans tout ça ?— Elle n’en sait rien, après je te rassure elle aussi est très coquine, elle passe son temps à forniquer dans mon dos— Ha oui ? Intéressant ! Tu baises avec des hommes par facilité parce qu’elle te frustre ou bien…— Non j’avais vraiment envie, mais j’aime toujours autant les femmes— Oui j’ai vu qu’Anita ne t’as pas laissé indifférent— ho que non, elle est spéciale, tu as de la chance— Tu aimerais la revoir ?— Je vais pas te mentir, je dis pas non— En tout cas, j’ai bien aimé ton petit cul, y’a des chances pour qu’on se revoit, bon je ne veux pas te mettre à la porte, mais nous sommes de sortie ce soir— Oui pas de soucis, je dois y aller aussi ou ma femme va se poser des questions— Tu la crains ?— Disons qu’elle a son petit caractère, allez, je file, merci pour tout— A très vite Nicolas
Je quitte son domicile en boitant bas mais heureux de l’expérience vécue, cela m’a permis d’explorer un peu plus mes fantasmes et d’oublier mes soucis avec Céline, c’est d’ailleurs sans enthousiasme que je rentre la rejoindre, toujours animé par mes envies de vengeances.
N’hésitez pas à mettre un petit pouce si vous souhaitez une suite, merci de m’avoir lu.
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