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Confession d'un homosexuel refoulé

Chapitre 10

Silence, on tourne !

Avec plusieurs hommes
Résumé du chapitre précédent :Un dimanche matin, faisant croire que je prend une douche, j’épie Céline qui ouvre la porte à un livreur, celui-ci, Hakim, s’avère être un de ses nombreux amants, prise au dépourvu par cette visite à l’improviste, Céline cède à ses caprices et lui fait une fellation pour s’en débarrasser au plus vite, ils seront rapidement rejoint par Enzo, collègue de travail d’Hakim, lassé d’attendre dans le fourgon. Cet évènement me décide à mettre mon projet de gang bang sur les rails, le lendemain je contacte un à un les “candidats” désignés, seul Michel se montre retord, mais la menace de tout révéler à sa femme le fait hésiter. Plus tard dans la soirée, alors que je consulte le compte pornographique de Lydia, je reçois un message en privé de sa part, elle me demande si je suis disponible dans la semaine pour faire cette fameuse vidéo bisexuelle à trois, comme évoqué lors de notre rencontre surréaliste dans les bois.

Chapitre 10 :
Je suis tout excité et surpris à la fois, j’étais loin d’imaginer que Lydia donnerai suite à notre discussion de l’autre jour, mais je n’en ai pas encore parlé à Éric, je lui fait part de ce petit contre-temps :
— Ça ne devrait pas poser de problème, mais il faut que je vois avec Éric avant, je te tiens au jus rapidement.— Ok.
Réponse laconique de Lydia, qui se déconnecte aussitôt. Si je ne lui confirme pas rapidement, je peux dire adieu à cette occasion unique de la baiser.Comme pour me convaincre que tout cela est bien réel, je visionne à nouveau la vidéo de Lydia avec Roger, cette fille dégage assurément quelque chose de terriblement érotique et magnétique, très vite, l’excitation me pousse à me soulager d’une branlette salvatrice. Hasard du destin ou mauvais timing, ma femme rentre pile au moment ou j’éjacule dans un Kleenex, il serait bien trop hasardeux de vouloir le dissimuler, Céline n’est pas née de la dernière pluie. Le mouchoir copieusement rempli de sperme dans le creux de ma main, je dois affronter son regard hautain et m’attend à subir son légendaire sarcasme.
— Oh le pauvre chou ! Il avait une petite envie.
En toute décontraction, elle s’assoit à côté de moi et s’empare de mon téléphone que j’ai laissé négligemment traîner sur le canapé, la vidéo est encore à l’écran.
— Le coquin, il regarde des vidéos cochonnes en cachette, mmm, bien foutue la blondinette.
Mon embarras est total, je me garde bien de répondre et subit les railleries sans moufter, il faut dire que je l’ai bien mérité. Jamais à court d’idée quand il s’agit de me rabaisser, Céline attrape une poignée de mouchoirs et essuie tendrement mon sexe, comme le ferait une maman avec la bouche de son enfant pleine de chocolat. Passé ce moment infantilisant et gênant, je la questionne sur sa prétendue séance de fit bike, histoire de passer à autre chose mais aussi pour sonder si Michel à su garder sa langue :
— Alors cette séance, comment ça se fait que tu rentres si tôt, je croyais que ton coach avait du retard ?— Oh là là, m’en parle pas, en plus d’arriver en retard, ce con à oublier les clés de la salle, du coup la séance a été annulée, les mecs je te jure, vous êtes de vrais boulets !— Ah merde, les boules !
— Oui, ça fait chier, moi qui avait besoin de me défouler après le taf, bon je vais prendre une douche ça va me détendre.— Y’a ton repas qui t’attends.— Merci t’es un amour, ah et la prochaine fois, branle toi la nuit quand je dors ou bien dans un coin plus discret que le salon ! (elle me jette au visage le mouchoir en boule).
Après cette petite leçon de morale, elle disparaît dans la salle de bain, je peux enfin souffler, rassuré, quant au fait que Michel n’a rien dit. Je profite à nouveau de cette tranquillité pour envoyer un message à Eric.
— Salut, j’ai envie de te voir, j’ai un truc à te dire.
Sûrement occupé, il ne me répond pas, j’allume la télé, le téléphone à portée de main, impatient de lui parler de Lydia. Au bout d’une demi-heure je suis rejoint par Céline qui se blottit contre moi, rare moment d’affection, c’est parti pour notre série du moment sur Netflix. Je m’endors assez rapidement sans pouvoir lutter, un assoupissement coupable d’un petit quart d’heure. Lorsque je me réveille, je cherche instinctivement mon téléphone mais impossible de mettre la main dessus, malicieusement Céline glisse sa main entre nos cuisses collées et extirpe mon téléphone.
— C’est ça que tu cherches ?— oui merci !
Je lui arrache des mains, et consulte discrètement si Eric m’a répondu, une notification est affichée à l’écran, je suis inquiet à l’idée que Céline ai pu y jeter un coup d’oeil pendant mon sommeil, son attitude détachée - elle semble absorbée par la série - ne me dit rien de bon, je m’empresse de lire le message : “Alors mon lapin t’es en manque, on s’en parle demain si tu veux”.Par chance, son message n’a rien de bien explicite, de plus, par prudence, j’ai mis comme contact, le nom d’un collègue de travail avec qui j’ai l’habitude de plaisanter, au pire ça peut passer pour une blague potache. Je lui réponds vite fait : “Rendez-vous après le taf au château d’eau, bonne nuit”.
Le lendemain en fin d’après-midi, je suis le premier à arriver sur place, à tout hasard, je surveille le chemin qui s’enfonce dans la forêt, qui sait, peut-être que Lydia en habituée du coin s’y montrera. Après quelques minutes, Éric arrive enfin, il se gare à côté de moi et s’extrait de sa voiture d’humeur très joviale, il me fait les yeux doux, il porte immédiatement sa main sur la bosse de son pantalon et se fend d’un geste obscène assorti d’une boutade sans ambiguïtés :
— J’espère que ta faim, c’est l’heure du goûter !— Tu m’as l’air chaud toi !— T’as pas idée, en plus d’être frigide, ma femme me fait migraine sur migraine, ça fait deux semaines que je dors sur la béquille !— Comme par hasard, je compati, je connais ça aussi.
Il s’approche de moi et colle ma main sur son pantalon
— Alors qu’est ce que t’as à me dire avant que je ne m’occupe de ta bouche, c’est pour ton histoire de gang bang ?
Il défait son pantalon et plonge ma main dans son caleçon, j’emprisonne sa queue entre mes doigts et la masturbe délicatement, son sexe est moite et sans fort, surement les effets d’une longue journée de travail sous un soleil de plomb.
— Non c’est pour autre chose.— Quoi donc ?— Un plan à trois avec une fille.— Ah bon ? Décidément t’arrête pas toi, comment tu te débrouilles pour avoir autant de plans cul ?— Moi même je sais pas trop, y’a comme un alignement des planètes, c’est un truc de fou, ça me tombe dessus sans avoir rien demandé !— Alors raconte, c’est quoi ce plan à trois ?— Tu te rappelles la joggeuse qui nous avait surpris l’autre jour ?— Quoi ? La petite pin up ?— Oui, elle s’appelle Lydia, elle a une chaîne coquine sur internet ou elle met des vidéos qu’elle fait avec des inconnus, je l’ai croisée par hasard l’autre jour dans les bois, elle serait intéressée par un plan à trois bi, je voulais savoir si t’étais partant ?— À ton avis, bien sûr que oui, je vais pas cracher sur une petite bimbo ! Mais quand tu dis qu’elle fait des vidéos, on va voir nos tronches alors ?— Non t’inquiète, nos visages seront floutés et nos voix modifiées, attends, je te montre une de ses vidéos.
Je lui montre la scène avec le pauvre Roger tout en continuant mes travaux manuels dans son caleçon avec application. Éric est littéralement absorbé par la vidéo, il ne cesse de répéter “la salope” à tout bout de champ, surexcité, il se tortille dans tous les sens.
— Elle est incroyable cette nana ! Comment ça se fait qu’une fille aussi bonne veuille baiser avec des mecs comme nous ? Elle t’as demandé de l’argent ou quoi ?
Je lui presse la queue en guise de petite réprimande, puis accélère la cadence, il ne tient plus en place et gémit de plus belle.
— Non, pas du tout, c’est son business, y’a plein de mecs qui payent pour s’abonner et voir ses vidéos, les scènes avec des inconnus ça cartonnent de ouf sur le net.— Putain, elle est bien foutu en tout cas, regarde moi cette chienne ! Elle a de ces nibards !— C’est des faux je te rassure.— Non sans déconner, merci je sais faire la différence ! Bon, j’ai hâte de lui défoncer sa petite chatte serrée, je me suis jamais tapé une minette, elle est majeure au moins, qu’on finisse pas en taule ?— Je pense qu’elle doit au moins avoir la vingtaine, à mon avis tu peux pas créer un compte porno sans contrôle, enfin je crois.— Ouai, t’as sûrement raison, aaaah putain mec t’as des doigts de fée, je sens que ça vient.
J’ai à peine extirper son sexe qu’il jute aussitôt, crépissant copieusement mon pantalon avant que je n’ai le temps de mettre ma main en opposition.
— Désolé, ta blondinette m’a trop excité, je m’y voyais déjà.— Je vois ça ! T’es soulagé au moins ?— Ouai, ça fait du bien ! J’avais les couilles bien pleines, désolé pour ton fût !— C’est pas grave, bon je lui dit que c’est ok, je te préviens au plus vite pour la date, tiens, d’ailleurs je lui envoie un message tout de suite.— Ok, j’attends de tes news, tchao !— Tchao !
Lydia me répond assez tardivement dans la soirée de manière tout aussi laconique, son propos ne laisse guère de place à la négociation, rendez-vous est donné demain à 19h, au repère désormais habituel du château d’eau. J’en informe Éric dans la foulée qui me répond d’un pouce levé, ne reste plus qu’à servir à Céline, l’alibi magique de la tournée des bars entre potes.
Le lendemain, j’arrive dix minutes en avance, suivi de peu d’Éric, en attendant Lydia, nous partageons notre excitation mais aussi notre appréhension de cette première devant une caméra, mais pas le temps de cogiter, Lydia jaillit du bois en petite foulée, dans sa tenue de sport habituelle, flashy et sexy, j’ai remarqué en regardant toutes les vidéos de son site que c’était une habitude à laquelle elle ne dérogeait pas, comme une signature pour construire son image et sa réputation sur les réseaux. Lydia nous aborde en nous provoquant avec beaucoup d’humour et de répartie :
— Salut les filles, alors, vous êtes prêtes pour une méga baise à trois ? Les couilles sont chargées à bloc j’espère ?
Éric qui a un sens de l’humour limité lui répond du tac au tac
— t’en fais pas pour nous, tu vas moins faire la maline tout à l’heure.— Mmmmm, c’est Éric c’est ça ? J’ai hâte de voir ça, j’adore les mecs bourrus dans ton genre, même si ils me déçoivent souvent au final.— C’est parce que tu m’as pas encore rencontré, tu vas voir, le bourru va te labourer le cul sévère, petite merdeuse !— ouah, ça tombe bien, j’adore me faire enculer, j’espère que t’as une bonne grosse queue au moins.— T’inquiète, tu vas pas être déçu.
Je reste silencieux, amusé par ce savoureux échange. Eric se risque à lui pincer les fesses avec beaucoup de virulence, Lydia écarte aussitôt sa main d’un mouvement de bras sec et le fusille du regard tout en l’invectivant :
— Tu t’es cru ou la ? Tu pourras toucher mon cul seulement quand je te le dirai, c’est clair ?— Mais c’est qu’elle a du caractère la petite, oui madame, c’est très clair.— Bon suivez-moi.
Lydia nous devance, coupant à travers bois sur plusieurs centaines de mètres, comme deux proies face à un appât, nous la suivons aveuglément, les yeux rivés sur son cul bombé, délicieusement mis en valeur par son shorty ultra moulant. Après de longues minutes d’une marche laborieuse, nous arrivons sur un vaste champ de blé, Lydia se dirige sur sa droite, en direction d’un cabanon en pierre à moitié en ruine qui tient péniblement debout, avec la lisière de forêt en arrière plan, le site offre un cadre bucolique et champêtre très charmant et évidemment très visuel pour une vidéo. Je constate que la scène a été soigneusement préparée, des perches pour smartphone et des panneaux réflecteurs de lumière sont disposés tout autour d’une couverture posée au sol contre le cabanon. À peine arrivée, elle sort de son sac plusieurs smartphones qu’elle fixe sur les perches et lance l’enregistrement vidéo sur chacun des appareils avant de nous faire un petit topo.
— Les mecs, je vais faire une petite intro pour mes abonnés et après je commencerai par vous présenter vite fait, soyez le plus naturel possible, faites comme si j’étais votre femme, ok !— Ok ! (répondons nous de concert).
Si je suis un peu tendu à l’idée de tourner cette vidéo coquine, Eric lui prend ça avec beaucoup de légèreté :
— Putain elle m’excite la petite blonde, j’ai l’impression de passer un casting x.— Je vois que tu le prend à la cool.— Ben ouai on va se régaler ! Détend toi mec, c’est pas tous les jours qu’on peut se taper une bombasse comme ça.— Je sais, c’est d’être filmé, j’aime pas, ça me met pas super à l’aise.— T’inquiète, dans le feu de l’action tu vas vite oublier la caméra, crois moi !
Lydia coupe court à nos messe basses en réclamant du silence, elle sort de son sac un énième smartphone et commence à se filmer en selfie :
— Coucou mes amours, on se retrouve pour une nouvelle vidéo un peu spécial, vous avez été nombreux à plébisciter l’idée de l’un de mes followers : un plan à trois bi, ça n’a pas été simple mais j’ai trouvé un couple gay qui a bien voulu se prêter au jeu, maintenant place à l’action !
Elle se tourne vers nous et nous filme en gros plan en nous abreuvant de derniers conseils.
— Les gars vous êtes prêt ? Bon, allez, on commence !
Elle donne un top départ et commence par nous poser des questions :
— Les amours, je vous présente notre charmant petit couple du jour, Eric et Nicolas, deux beaux quadras très coquins, salut les garçons, alors vous êtes chaud pour ce petit plan à trois un peu spécial ?
Visiblement très à l’aise, Eric monopolise la parole :
— On est chaud bouillant, on a hâte de s’amuser avec toi et petite précision on est pas gay mais bisexuels, on aime aussi et surtout les belles femmes comme toi !— Oh merci c’est chou, alors dîtes-moi, vous avez déjà fait un plan à trois avec une fille ?— Non, jamais, c’est une grande première.— Ouah, cool, quel privilège j’ai ! Bon je dois vous poser la question qui brûle les lèvres de tous mes abonnés, qui de vous deux fait la fille ?— C’est moi (répond je d’une voix timide)— Je t’avouerai que je m’en doutais Nicolas !— Ouai, on va voir si tu suces mieux que lui.— Oh, Eric me met au défi, j’adore ! C’est vrai qu’il paraît que les garçons sucent mieux que les filles, tu confirmes Eric ?— Je te cache pas que la barre est haute, va falloir que tu t’appliques.— Oh tu me mets la pression là, sinon comment vous me trouvez ? Pas trop déçu les garçons ?
Le regard d’Eric pétille, sa libido est en éveil maximal, sans demander la permission il pose son imposante main sur la poitrine de Lydia qu’il palpe avec ardeur.
— J’avoue que t’es très bonne, t’as ce qu’il faut là où il faut.— Merci Eric, je vois que tu perds pas de temps, Nicolas, tu peux me toucher aussi, on est là pour ça.
Je suis en retrait, relégué au second plan par Eric qui occupe l’espace de manière très imposante, je me fait violence et attrape timidement le sein en silicone laissé libre par Eric, quelle étrange sensation, inattendue et finalement très agréable.
— Quatre mains pour moi toute seule, j’en ai de la chance !
Son discours est rôdé et même s’il sonne faux, il est redoutable d’efficacité. Comme elle l’avait fait avec Roger, elle soulève sa brassière pour libérer ses seins et les secouer dans tous les sens. Eric ne se fait pas prier pour y plonger son visage et sucer goulument ses tétons. Faute de place je m’exile derrière Lydia et caresse ses fesses. Toujours plus affamé, Eric l’étreint en l’attrapant par la taille, frottant son sexe contre son pubis, la tête toujours solidement ancré dans le creux de ses seins, je l’imite en me collant à mon tour contre elle, le sexe écrasé contre son cul. Prise en sandwich, Lydia continue de dérouler son dialogue tout en se trémoussant, faux gémissements à l’appui :
— Mmmmm, les garçons vous m’avez l’air chaud, je suis toute mouillée.
Eric ne se fait pas prier pour sauter sur l’occasion.
— Ah ouai, on va voir ça !
Il baisse le shorty de Lydia à mi cuisses pour y glisser ses doigts épais, je me retrouve par la même occasion avec la bosse de mon pantalon collée contre ses fesses à l’air libre. Mon érection n’échappe pas à Lydia qui se cambre et frotte son cul contre moi, j’en profite pour jouer avec la ficelle de son string et tâter ses fesses, tout en enfonçant mes pouces dans sa raie. Désireuse de renforcer sa main mise, Lydia se débarrasse de son smartphone (il ya suffisamment de caméra qui nous filment) et caresse nos pantalons, une main derrière une main devant.
— Oh, mais ça m’a l’air tout dur ça, allez les garçons, montrez-moi vos bijoux de famille !
Tout autant excité l’un que l’autre, nous baissons pantalons et caleçons sans se faire prier, libérant nos sexes tendus, aussitôt réquisitionnés par les mains de Lydia. Tandis qu’elle frotte mon gland gonflé et humide contre ses fesses et celui d’Eric contre son pubis, Eric et moi échangeons des sourires complices, tout en se partageant, ses seins et ses fesses. L’offrande paraît irréel tant Lydia est magnifique, de longues boucles blondes aux reflets dorés, un visage fin et juvénile plein de candeur, un corps ferme et délicieusement sculpté, une peau douce au parfum enivrant, un ravissement incandescent pour les yeux, qui réveille nos instincts les plus primaires et incarne le fantasme de vieux mâles pervers, prêts à tout pour assouvir leur soif de jeunesse. Un comportement bestial, égoïste et dérangeant mais comment résister à la tentation ?
Rapidement, Lydia s’accroupit et s’amuse à frotter nos glands l’un contre l’autre tout en les chatouillant du bout de la langue. Au jeu des comparaisons, je constate un brin jaloux, que le sexe d’Eric est bien plus gros que le miens, d’ailleurs, Lydia, toujours aussi mielleuse, ne manque pas de le complimenter :
— Hmmm, Eric t’as une belle queue dis donc, je comprend pourquoi Nicolas à craqué sur toi.— Elle est tout à toi.
Eric décalotte son gland et tente d’investir sa bouche, mais Lydia se dérobe aussitôt, petite mesquinerie pour tester sa patience et montrer qu’elle est la maîtresse du jeu. Pour le titiller un peu plus, elle avale soudainement ma queue en le défiant du regard, Eric bouillonne et se contente de branler mollement sa queue en riant jaune. Après avoir fait courir ses lèvres sur ma queue avec de savoureux vas et vient, Lydia se tourne vers Eric et tire sur ma queue pour m’inviter à m’accroupir à ses côtés :
— Viens à côté de moi Nicolas, montre nous comment tu suces.
Je m’agenouille à ses côtés, Eric qui n’en peut plus d’attendre secoue sa queue frénétiquement sous mon nez, je jette un regard gêné vers Lydia, sentir qu’elle m’observe m’intimide d’autant plus qu’elle a ramassé son smartphone pour le confier à Eric en lui demandant de nous filmer en gros plan. Lydia attrape le sexe d’Eric, elle le décalotte et approche son gland de ma bouche. D’une voix douce et apaisé Lydia me motive à sa façon :
— Regarde cette belle queue qui s’offre à toi, tu as de la chance… Allez ne fais pas attendre Eric, regarde comme il trépigne le pauvre.
Je sens son autre main se poser sur ma nuque et appuyer dessus délicatement pour m’accompagner. J’absorbe le gland d’Eric et fais glisser lentement mes lèvres sur sa verge jusqu’à l’avaler complètement, après quelques secondes d’apnée imposée par cette main appuyée sur ma tête, je le recrache, des filets de baves s’érigent en passerelles entre mes lèvres et son sexe. Sans se départir de ce regard charmeur à l’égard de la caméra, Lydia vient lécher mes lèvres avec gourmandises puis bifle ma langue avec le sexe d’Eric avant de l’enfoncer à nouveau dans ma bouche. Tandis que je m’applique à lustrer son gland, Lydia abreuve la caméra de commentaires :
— Wouah, je confirme, les mecs sucent très bien, une vrai petite salope ce Nicolas, n’est ce pas Eric ?— Il se débrouille pas mal, mais j’aimerais bien tester ta bouche pour voir si tu peux faire aussi bien.— Mmmmm petit coquin.
Aussitôt Lydia s’invite à la fête, venant pincer sa verge avec sa bouche en coulissant de gauche à droite comme si elle tenait une flûte traversière entre les lèvres. Très vite une répartition des tâches s’impose naturellement, chacun s’occupant à tour de rôle de lui sucer la queue ou de lui lécher les couilles. Cette proximité troublante avec Lydia exalte mes sens, à chaque fois que sa langue croise la mienne sur le gland d’Eric, une décharge d’adrénaline parcourt mon corps. Mais je ne suis pas le seul à être fébrile, derrière l’apparente concentration qu’il déploie pour nous filmer, Eric n’en mène pas large, ce soudain silence et les rictus de son visage trahissent la peine qu’il a à se contenir, serait-il sur le point de craquer ? Cela n’échappe pas non plus à Lydia qui lui octroie un répit salvateur en m’arrachant un baiser fougueux, tandis que sa main vient fouiner entre mes cuisses.
S’appuyant de tout son poids sur moi, elle me fait basculer en arrière et m’allonge sur le plaid, elle se met à quatre pattes au dessus de moi, tête bêche, offrant une vue imprenable sur sa croupe. D’un suave mouvement de bassin elle frotte ses fesses contre mon visage, tandis que sa bouche s’empale avec délice sur mon pénis, échange de bons procédés, je joue de la langue avec ses lèvres et aspire son clitoris avec délectation, rapidement, je sens le jus salé de sa chatte bien lisse, couler sur mes joues. Entre deux gémissements feins, Lydia lâche à nouveau des mots soigneusement choisis pour la caméra.
— Oh, Nicolas, décidément tu es très habile avec ta langue, je suis trempée !
Survoltée, elle se trémousse de plus belle et se redresse, elle attrape ses fesses et écarte sa raie pour y emprisonner un peu plus mon visage.
— Lèche moi la rondelle Nicolas !
Je m’exécute avec docilité, glissant la pointe de ma langue dans son petit trou serré, pendant qu’elle attrape Eric par la queue pour une rapide branlette avant de le tirer en arrière.
— Sodomise-moi mon chou.
Eric qui n’attendait que ça, la contourne et s’agenouille derrière elle, alors que je tente de me dégager pour laisser la place, Lydia bloque mon visage entre ses cuisses.
— Reste-là, profite-en mon chou.
J’ai l’impression de revivre la même scène qu’avec Jean et Anita à la différence que cette fois-ci c’est moi qui me retrouve aux premières loges sous mes deux partenaires, avec un panorama imprenables sur leur sexe. Tandis qu’il palpe les fesses de Lydia et joue avec la ficelle de son string, j’attrape son gland du bout des lèvres pour une rapide lubrification avant qu’il ne pourfende la chatte humide de Lydia. J’observe avec délices sa queue épaisse s’enfoncer dans le vagin de Lydia, à l’affût, j’attrape sa queue au vol à chaque sortie de route et applique quelques caresses buccales à Lydia, pour apaiser et lubrifier ses lèvres lorsqu’elles s’assèchent. Je prends aussi un malin plaisir à gober les couilles d’Eric qui tel des cloches se balancent d’avant en arrière au gré des va et vient. Rapidement, Éric change de trou, impatient de sodomiser Lydia, autant pour la tester que pour la punir de son insolence.
Sans temps mort, Eric fais immédiatement usage de sa virilité sans modération, vu du dessous, ses coups de hanche paraissent dévastateur, avec une brutalité étourdissante, sa queue, dure et épaisse s’enfonce tel un marteau piqueur dans l’étroit tunnel anal. Secouée comme une vulgaire poupée, la frêle Lydia ne vacille pas pour autant et se permet le luxe entre ses cris aigus de le haranguer de “encore” ou “plus fort”. Témoin de cette surenchère ou aucun des deux ne veut céder, j’en oublierai presque que Lydia se cramponne à ma queue et continue tant bien que mal de me sucer, occasionnant quelques coups de dents bien involontaires. Face à l’étonnante vaillance de Lydia, Eric montre rapidement des signes d’épuisement, son pilonnage se fait moins intensif et moins profond, bien décidée à ne lui laisser aucun répit, Lydia reprend la main et s’empale de plus bel sur lui, abusant d’intenses mouvements de bassin.
Eric subit, gémissant à tout rompre à chaque fois que les fesses de Lydia viennent rebondir douloureusement contre son aine, incapable de résister plus longtemps il se retire à la hâte et jouit sur ses fesses, Lydia ne se prive pas de se retourner pour lui lancer un regard de vainqueur tout en riant ironiquement. Lydia m’ordonne gentiment de lécher le sperme qui s’écoule dans le sillon de ses fesses, je m’exécute sans rechigner, pendant qu’elle reprend ses gorges profondes à un rythme infernal, bien décidée à me faire craquer à mon tour. Je capitule rapidement, en me vidant dans sa bouche et sur sa langue qui n’en finit plus d’astiquer mon gland irrité. Elle se retourne la bouche pleine, et remonte le long de mon torse, arrivée à hauteur de mon visage, elle prend possession de ma bouche sans concession, sa langue se déploie et s’enroule autour de la mienne, déversant ma propre semence au fond de ma gorge.
Vidée de sa dernière larme de sperme, elle me libère de son étreinte buccale puis se relève en nous gratifiant d’un sourire angélique, mais Eric et moi ne sommes pas dupes, c’est bien un petit démon qui vient de nous soumettre. Eric semble abasourdi, sans doute n’imaginait-il pas qu’une si jeune fille à l’apparente candeur puisse dominer à ce point ses vingts centimètres de virilité. Tandis qu’elle s’écarte, smartphone en main pour son habituel conclusion, nous nous rhabillons tranquillement, j’en profite pour charrier gentiment Eric :
— Comment elle t’a retourné la petite !— Quoi ? n’importe quoi, je lui ai cassé son petit cul tu veux dire.— Mais bien sûr ! Y’a qu’à voir dans quel état elle t’as mis !— Oh ta gueule, c’est bon je sais, pas la peine d’en rajouter ! Toi c’est pas mieux, putain la petite garce quand elle a commencé à s’empaler comme une folle je savais que je ferai pas long feu, elle a pas froid aux yeux la minette.— Je te rassure, à ta place, j’aurai pas fais mieux, tiens, regarde la faire ses commentaires tout sourire face à la caméra, elle est pas mignonne ?— Ouai, je t’avoue que cette génération avec leurs réseaux, ça me dépasse, tant que je passe un bon moment, ça me va !
Sa conclusion terminée, Lydia se rhabille et revient vers nous, nous gratifiant une nouvelle fois de son humour taquin :
— Merci les filles, c’était bien cool, on s’est bien amusé.
C’est alors qu’un 4x4 fend le champ de blé par un chemin de terre qui le traverse et s’immobilise brutalement dans un nuage de poussière à quelques mètres de nous. Un agriculteur bourru d’une soixantaine d’année, sort furibard du véhicule et nous invective tout en brandissant un bâton :
— Foutez-moi le camp de là, vous n’avez rien à faire ici, c’est un terrain privé !
Lydia s’interpose aussitôt dans son style bien à elle tout en continuant de ranger ses affaires avec le plus grand calme, avec Eric nous restons prudemment en retrait et assistons amusés, au dialogue croustillant qui prend forme.
— Détends toi papi, on se casse t’inquiète !— Dépêchez-vous ou j’appelle les flics, bande de voyous, aller faire vos saloperies ailleurs !— Minute là, tu vois pas que je range mes affaires, pas la peine de t’exciter comme ça le vioc !— toi ma petite, c’est pas la première fois que tu viens faire tes trucs sur mon champ, je te préviens, encore une fois et c’est à coup de fusil que je vais te recevoir !— Oh, ça tombe bien j’adore les coups de fusils, surtout ceux avec des longs canons, j’espère que le tiens est chargé avec du gros calibre !— C’est ça, fais la maligne, je rigole pas, tu vas voir ce que tu vas voir petite merdeuse va !— Hey relax, faut croire que la camomille ça suffit pas, va falloir que mamie donne un peu de sa personne.
L’agriculteur s’approche presque front contre front, le visage rouge de colère, il lève une nouvelle fois son bâton et hurle de plus belle sans intimider ni même impressionner Lydia :
— Laisse ma femme tranquille, ou je te promet tu vas t’en prendre une bonne, ras le cul de ses jeunes qui se croient tout permis, ramasse tes affaires et casses toi avec tes deux zigotos là !
Eric se tend et se tient prêt à intervenir le point serré si ça venait à dégénérer, mais Lydia tente une autre approche, avec une insolence rare, elle s’amuse à prendre une voix de jeune fille éplorée et se joue de la crédulité de l’agriculteur avec une délicieuse ironie.
— Je suis désolé monsieur l’agriculteur, vous avez raison, ce n’est pas bien, je suis une vilaine fille, veuillez m’excusez.— Ah enfin ! Tu comprend quand même, on vient pas chez les gens comme ça, c’est pas correct.
Elle lui fait les yeux doux et se tient les bras en V mettant soigneusement sa poitrine en avant, puis nous adresse un rapide clin d’œil, avant de continuer à jouer les ingénues, menant en bateau ce pauvre agriculteur bien naïf.
— Pardon, je ne me suis pas présentée, moi c’est Marie, et vous ?— Jean.— Jean, que puis-je faire pour me faire pardonner ? Je m’en veux tellement.
Elle resserre la tenaille de ses bras pour gonfler un peu plus ses seins. Le regard de Jean se perd immanquablement dans le décolleté de Lydia, il montre des premiers signes d’embarras et commence à bafouiller.
— Ben je… comment dire, je sais pas, tu pourrais… aller c’est bon pour cette fois, mais que je t’y reprenne pas, hein !— Oh vous êtes un amour !
Faisant un pas en avant, Lydia vient presque coller sa poitrine contre sa chemise pour lui déposer un bisous sur la joue, tout en frottant succinctement sa jambe entre ses cuisses. Pris de court, le vieil homme perd rapidement ses moyens, il se fige, comme tétanisé, ses mains tremblent, la tête basse, il n’ose plus affronter son regard, sa gorge se noue rendant chaque mot qui sort de sa bouche inaudible.
— Dîtes moi Jean, vous croyez qu’on pourrait trouver un arrangement ?— Heu, comment ça ?
La cuisse de Lydia remonte un peu plus entre ses jambes, venant épouser cette bosse qui grossit inexorablement.
— Si vous m’autorisez à venir sur votre terrain, je pourrais me montrer très gentille avec vous, comme en ce moment !
Perturbé au point d’être complètement déboussolé, il semble ne pas comprendre, ce qui déclenche l’hilarité d’Eric qui s’étouffe de rire dans sa main.
— Comment ça ? (gémit il)
Elle plonge sa main dans son pantalon, Jean sursaute sans toutefois opposer de résistance, Lydia commence alors à malaxer lentement son sexe avec beaucoup de douceur et de délicatesse. Jean est comme ensorcelé, son regard se fige de manière quasi hypnotique sur cette bosse mouvante qui ondule sous son pantalon, il se met à souffler de plus en plus fort tandis que son front sue à grosses gouttes sur la poitrine de Lydia.
— Alors Jean qu’en pensez-vous ?
L’agriculteur reste muet, complètement envoûté par les doigts de fée de Lydia qui caressent, palpent et branlent son sexe avec beaucoup de maîtrise.
— Oh Jean, mais tu bandes encore bien dur à ton âge, je vais prendre ça pour un oui, la prochaine fois que tu me verras tu n’auras qu’à passer me dire bonjour, comme ça on pourra jouer ensemble comme des fous.
S’en est trop pour le vieil homme, submergé par un trop plein de sensations qu’il n’avait sûrement pas ressenti depuis bien longtemps, il se met à beugler tel une bête harassée, incapable de se contenir, il jouit dans son slip et la main de Lydia presque en s’excusant. Pas de quoi émouvoir Lydia qui continu de tripoter son sexe jusqu’à ce qu’il ai complètement débandé, tout en le fixant avec insistance dans les yeux. Après quelques secondes, elle retire sa main maculée de sperme et l’essuie méticuleusement sur sa poitrine qu’elle libère à nouveau, comme pour lui signifier que maintenant elle lui appartient. Le regard Hagard et complètement hébété, le paysan donne l’impression d’avoir le tournis, il titube, Lydia l’accompagne à son 4x4 avant de conclure plein de malice.
— À bientôt Jean, rentre bien et passe le bonjour à ta femme !.
Tandis que le vieil homme remonte tant bien que mal dans son 4x4, avec Eric, nous échangeons des regards stupéfaits, c’est sûr, cette gamine a un sacré tempérament, à l’image de cette jeunesse qui n’a pas froid aux yeux et prête à tout pour renverser le patriarcat.
N’hésitez pas à mettre un petit pouce si vous souhaitez une suite ;-)
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