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Confession d’un praticien pervers

Chapitre 2

Hétéro
Cette fois je m’attendais à ce qu’elle revienne assez vite. Ou alors je me racontais des histoires. Les allumeuses quand elles ont eu leur dose d’excitation, n’éprouvent pas forcément le besoin d’en avoir une nouvelle rapidement. Ou alors elles prennent peur. Mais celle-ci était d’une autre catégorie. Pas froid aux yeux, je commençais à m’en apercevoir. Et elle devait avoir pris goût au jeu qui devait commencer à l’exciter au-delà du raisonnable.

En effet, moins de deux semaines s’écoulèrent avant qu’elle ne revint à ma consultation.Elle avait un sourire radieux, comme d’habitude.Et elle ramenait son examen. Je le prends, le regarde sous toutes les coutures, lis le compte rendu.Effectivement, il n’y a pas quoi fouetter un chat.En même temps chez quelqu’un d’aussi jeune, et surtout présentant aussi peu de douleurs et de gêne fonctionnelle, ç’aurait été étonnant.
Je lui demande de se dévêtir, comme d’habitude, pour examiner son dos, qui, à ses dires, sont dans le même état, bien qu’elle bouge sans vraiment de difficultés.
Cette fois elle a mis le paquet ! Elle porte un petit shorty blanc en dentelles, qui, vu la taille de ses grosses fesses, ne cache pas grand-chose ; il couvre à peine le bas de ses reins, laissant libres les fabuleuses rotondités au-dessous. Au-dessus elle ne garde qu’une petite nuisette courte et transparente, bordeaux ; elle a gardé un soutien-gorge pigeonnant assorti au shorty.
Je vais lui faire un examen encore plus long, bien que toujours centré sur son dos. Néanmoins je suis décidé à rentrer dans son jeu, tout en restant professionnel ; mais je veux observer ses réactions et voir jusqu’où elle ira, espérant qu’elle ira plus loin, plus loin qu’un simple petit jeu d’allumeuse, trop loin, afin que ce ne soit pas moi qui porte la responsabilité d’avoir franchi la ligne. Je me méfie des allumeuses, des hystériques : si elles prennent peur parce qu’elles se rendent compte qu’on est allé trop loin, certaines sont capables de jouer les vierges effarouchées, et de déclarer avec la bouche en cœur qu’elles, elles n’ont rien fait, il n’y avait rien d’ambigu dans leur attitude, et que c’est le gros obsédé de mec en face qui a mal interprété, qui a pris ses désirs pour la réalité etc.De toute façon la loi leur donne toujours raison : le médecin a toujours tort, il doit toujours rester le professionnel qu’il est, ne pas transgresser le tabou de la relation interdite.
Dire qu’aux U.S.A. certaines consultations désormais sont filmées, tellement chacun a peur d’un procès pour harcèlement sexuel. Passons.
D’abord en position debout, je la manipule dans toutes les directions. Cette fois elle pose ses deux mains sur les miennes, histoire de montrer qu’elle a besoin de se cramponner, qu’elle a peur de perdre l’équilibre, ou que je l’emmène au-delà de l’amplitude où elle ira mal.

« - N’ayez pas peur, je vous tiens. »
Elle ne répond rien, mais ne retire pas ses mains.
Ensuite je sors le grand jeu. Je tire une chaise derrière elle où je m’assois pour mieux examiner la région lombaire. Evidemment elle ne peut ignorer ce que j’ai à hauteur de mes yeux, et à moins de cinquante centimètres de moi : ses grosses fesses, plantureuses, et quasiment nues.
Il faut que je me retienne pour ne pas l’attirer vers moi et l’assoir sur mes genoux.
Je lui fais remarquer qu’elle « vraiment très cambrée » (ce qui est peut-être une des causes de ses problèmes). « Très cambrée » doit résonner dans sa tête : ça lui fait un gros cul, et je ne peux pas le louper, je l’ai en plein dans ma ligne de mire.
« - Faites voir un peu, décambrez-vous un peu, cambrez-vous, encore plus – pour voir jusqu’où vous pouvez aller… »
Comme une grosse poule elle tend en arrière son volumineux fessier, cet énorme ballon de basket (tiens, je me ferais bien quelques dribles, moi…)
« - Hum hum… » je palpe ses reins, tout près de la naissance des fesses et du sillon qui les sépare.« C’est certain que vous avez un peu d’embonpoint, et que vous portez bas… Il vous tire sur les reins, les lombaires…— Oh oui, je sais Docteur » me susurre-t-elle, comme en s’excusant, mais en minaudant. — Je ne vais pas vous mettre au régime. Les régimes ça ne marche pas, et puis ce sont des stocks qui sont placés là, chez vous ; même si on vous faisait perdre du poids ça n’est pas sûr que vous le perdriez là. »
Et là ma main s’égare – comme moi – et commence à palper les masses fessières, faisant apparaître de la cellulite, comme sur les fesses d’un nourrisson potelé.Je palpe, pince, pinçote, fais rouler, pelote, lentement, consciencieusement. Elle ne réagit pas, ne s’indigne pas. Elle n’attendait que ça la grosse poule.
« Oui, vous avez un peu de cellulite » continué-je pour que le silence ne dure pas trop longtemps, enfin ça n’est pas dramatique.…et puis ce serait quand même dommage de faire maigrir ce qui est votre plus bel avantage. »
Elle pousse comme un petit gloussement bête, elle ne me contredit pas. La preuve en est établie, elle aime ses fesses, en est fière, et ne résiste pas à les montrer à qui elle peut !
Je me remets debout, et recommence mon examen, mais cette fois en m’approchant le plus possible d’elle, décidé à la serrer de près et à tester ses réactions.
Que je recommence l’examen à l’identique doit lui sauter aux yeux ainsi que son caractère inutile. Elle ne proteste pas, ne fait aucune remarque. Elle posa à nouveau ses doigts avec grâce sur mes mains, mes mains qui la maintiennent par ses bras dodus, fermement et de la longueur maximale de mes doigts écartés, pressant sa chair en imprimant leurs marques sur sa peau rose.
Mon bas-ventre frôle d’abord son fessier qui bombe bien en arrière, ma bouche est très proche de son cou, elle doit sentir mon souffle – court – dans le creux, charmant, de son épaule.
Puis je me colle carrément contre ses fesses – plus précisément je range ma gaule dans son sillon fessier, et elle ne peut ignorer ni ce que je fais, ni ne pas sentir combien ma queue est dure ! – et je commence à me frotter tandis que je la manipule dans toutes les directions.
Elle ne bronche pas, ne réagit pas, pas un mot, pas un geste ni une parole traduisant la moindre gêne ou une protestation, ou même la volonté de mettre fin à ce jeu obscène.
Encouragé, je décide de continuer ce jeu pervers. Je lui demande d’aller se positionner contre la table d’examen, de s’y accouder, penchée en avant, et de faire ressortir sa croupe, « le plus cambré possible. »
Elle ne se fait pas prier, et comme une Betty Boop lascive, elle marche en se déhanchant jusqu’à la table, s’installe lentement, et les jambes décalées, dans une pose type de pin-up, m’y attend, passive à souhait.
Là, me positionnant sur son côté gauche, j’effleure puis caresse le bas de sa région lombaire, la peau est terriblement douce.
« - Vous savez que vous êtes très belle ?— Oh, merci !— Mais vous le savez, n’est-ce pas ?— Oui, je crois…— Vous devez être fière de ce fessier, de votre croupe majestueuse, de ces fesses magnifiques qui doivent faire bander tous les hommes… ?— Oh… oh… Oui, je l’aime assez…— Je suis désolé mais vous avez senti dans quel état vous m’avez mis, n’est-ce pas ?— Oh oui, Docteur… Je suis désolée, je sais que j’en suis responsable…— Et bien cet état de fait a deux conséquences : la première est que vous ne pouvez pas me laisser dans cet état, la seconde est que ce fessier, plantureux, orgueilleux, arrogant... qui ne vous obéit pas, doit être puni pour ça…— ouiii… » glissa-t-elle dans un soupir, d’une voix éteinte, comme si elle allait s’évanouir.
Ayant donc son consentement pour ce que je vais lui faire, je prends entre mes doigts le petit shorty et le descends, lentement mais fermement et d’un seul mouvement jusqu’aux bas des cuisses où il tombe sur ses pieds.D’un petit mouvement de cheville délicat, elle s’en débarrasse.
Ne pouvant plus résister je me mets à caresser les deux volumineux ballons à la peau satinée, comme si je voulais mieux avoir une idée de son volume, en faisant descendre mes caresses jusqu’au bas des cuisses roses et veloutées.Elle entrebâille ses cuisses, dont la chair molle continue à se toucher au milieu.
Je la caresse ainsi pendant deux bonnes minutes, appuyant doucement, en appréciant tantôt la mollesse tantôt l’élasticité, mon pouce descendant vers la pente raide conduisant au sillon caché, les écartant légèrement… Je n’avais jamais caressé un pareil cul!
Je le palpe, le pelote, me sentant de plus en plus à l’étroit dans mon slip.
Finalement, je commence à lui donner de petites tapes, de plus en plus fortes, les répartissant sur toute leur surface (et il n’y a que l’embarras du choix !) ; je claque, sèchement, mais pas trop fort, j’ai peur de la faire fuir.Elle ne crie pas, de toute façon, et y répond de temps en temps par des petits soupirs, des petits « ah » aspirés, comme si elle feignait la surprise.
Je n’en peux plus. Je lui demande si elle sait ce que c’est qu’une branlette grecque. Elle me répond que non.
« - Alors écartez les jambes et restez en position. »
Elle s’exécute, tournant sa tête vers moi avec un sourire charmant et entendu.
Je prends du gel lubrifiant et en fais couler tout en haut de son sillon fessier, une bonne noix. Avec ma main je lubrifie bien tout le sillon étroit, insistant bien sur l’anus. Elle glousse, soupire, ondule un peu du bassin.Peut-être attend-t-elle autre chose, espère-t-elle plus, mais moi je veux me branler entre ces grosses fesses, en jouir. De toute façon quel plus bel hommage à ce fessier majestueux et plantureux, elle devrait être contente.
Je baisse mon froc, sors ma queue gonflée et dure comme jamais, le gland est violacé. C’est vraiment rare que je bande aussi fort. Elle tourne la tête, regarde avec envie. Je me colle contre elle. Plonge mon membre entre ses fesses moelleuses, l’attrape par le bas des reins ; elle me prend le cou avec sa main.
Ça y est, je ne perds pas de temps, je fais des va-et-vient, monte et descends lentement. La sensation est exquise. Je vais me la besogner la grosse poule. Je n’en veux pas plus. Je vais me soulager entre ses fesses. Je sens que je ne vais pas durer très longtemps, je suis trop excité.
Je lui pelote en même temps les fesses, les chairs molles de l’extérieur de ses cuisses, son ventre, je malaxe, je pétris, j’exulte !
Mais en même temps je ne veux pas qu’elle reste sur sa faim : j’empoigne sa vulve à pleine main, elle est grasse, bombée, bien charnue comme un fruit trop mûr.Mes doigts glissent dans sa fente : elle est trempée, elle coule comme une fontaine, sa chatte est juteuse, elle dégouline de mouille. Tantôt je pétris cette vulve d’une main forte, tantôt mes doigts glissent de haut en bas, du petit bourgeon – qui me semble bien gonflé – à l’orifice de sa chatte. J’y enfonce deux, trois doigts, les pousse loin, elle est brûlante, mouillée, douce, mes doigts coulissent et glissent comme sur une patinoire.
Elle beugle, crie de plaisir, de jouissance, m’inonde la main, sa cyprine dégouline sur l’intérieur de ses grosses cuisses que je pince, pelote comme un dingue.Je me frotte contre son anus, j’y enfoncerai bien mon dard, mais la position n’est pas favorable.
Je l’enserre de mes deux bras, enfonce quatre doigts en elle, deux de la main droite, deux de la main gauche, je lui mords l’épaule, je sens que je vais tout lâcher……J’éjacule entre ses fesses, lui balance tout, nous partons dans un orgasme de malade, jouissant comme des déments en gueulant comme si tout nous échappait, tout se dérobait sous nos pieds… Heureusement que le cabinet est parfaitement insonorisé.
Les jambes un peu flageolantes, elle prend du papier pour s’essuyer ; je fais de même, puis nous nous rhabillons de concert.
Sans un mot, elle me paie la consultation, puis avec un gracieux sourire me dit :
« - Merci. Je me sens beaucoup mieux, Docteur. — Mais je vous en prie » lui réponds-je en souriant également.
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