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Confession de Sandra

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Un mois s’écoula depuis ma libération avant que mon ex-geôlier me téléphona.C’était en pleine journée, j’étais à l’école.Une chance pour moi c’était entre deux cours. Je me suis donc réfugiée dans les WC pour répondre.— Tu en as mis du temps ma petite garce.— Désolée monsieur, j’ai eu du mal à rejoindre un endroit isolé.— Je n’en ai rien à battre de tes excuses garces, la prochaine fois tu paieras le prix fort pour ton retard. En attendant voici mes premières consignes.Je veux que tu retires ta culotte et que tu laisses ta chatte prendre l’air sous ta jupe.Ce soir, tu sortiras à 19h00 précise de chez toi et tu te rendras au coin de ta rue, une voiture t’attendra. Tu embarqueras dans cette voiture et obéiras à la lettre à son conducteur. Il te ramènera le lendemain.Consigne vestimentaires : tu devras porter ta jupette plissée, tu sais celle que tu ne mets plus depuis un petit temps, des bas blancs, ta paire de botte noire et un chemisier.De plus tes cheveux devront être noués en 2 couettes sur les côtés.Tu as tout compris?— Mais monsieur, comment je vais justifier ma sortie et ma tenue vestimentaire???— Démerde toi salope....mais n’oublie pas ce qui pourrais arriver à ta sœur et ta mère si tu me désobéis.— Bien monsieur, j’obéirais.— Enlève ta culotte maintenant garce! et n’oublie pas les consignes pour ce soir.Il coupa la communication directement.Comment pouvais t’il savoir que je portais une jupe??? Il me surveillait donc.C’était donc sans culotte, chatte à l’air que je retournais au cours.J’avais l’impression que tous le monde pouvait voir que j’étais nue sous ma jupe...c’était assez agréable en fait.Le soir venu, à l’heure convenue, je sortais de chez moi, argumentant que j’allais étudier chez une copine pour un examen et que je rentrerais demain.J’avais pris soins de prendre mes affaires dans un sac à dos et je me suis changé un peu plus loin en bas de chez moi dans un buisson.La voiture m’attendait comme convenu.C’était une grosse voiture aux vitres teintées, je ne pouvais distinguer l’intérieur.La porte arrière s’ouvra et je m’installai. Une vitre teintée me séparait du conducteur.Dès que la porte fut fermée la voiture démarra doucement. Une voix métallique émana du haut parleur installé entre la vitre et le conducteur.
— Bonjour Sandra, installe-toi bien confortablement, remonte ta jupette et écarte bien les cuisses que je puisse deviner ta petite chatte de putte au travers de tes bas.J’écartais mes cuisses doucement, laissant entrevois mon entrejambe.— Bien Sandra, tu es belle, très belle...ouvre donc ton chemisier que j’admire tes petits seins.La voiture roulait toujours, je déboutonnais mon chemisier doucement, laissant entrevois mes seins nus.— Tu m’appelleras daddy, compris salope?— Oui daddy, j’ai compris— Quand je m’arrêterai, tu m’attendras dans la voiture.Peu de temps après, la voiture s’arrêta et je pu deviner que le conducteur était sorti de la voiture.Combien de temps allais-je rester ainsi, jambe écartée, chemisier ouvert...je ne le savais pas.Perdue dans mes pensées je n’avais pas fait attention mais l’homme était revenu dans la voiture.— Tu trouveras dans le petit coffre situé au milieu des sièges un bandeau, je veux que tu le prennes et que tu le mettes sur tes yeux avant de rentrer dans la chambre que j’ai réservée.Tu vas attendre 5min et me rejoindre, chambre 457 au 2e étage. N’entre pas sans ton bandeau compris ma petite?— Oui daddy, j’ai compris.Après 5 minutes je suis sortie de la voiture, nous étions dans un motel comme on en trouve beaucoup le long des autoroutes...Je rejoins la chambre 457 et posa le bandeau sur mes yeux, ensuite j’ai frappée à la porte.— Entre ma petite fille, entre donc, viens rejoindre daddyA peine étais-je entrée que la porte se ferma derrière moi.— Suis moi ma petite fille, viens sur les genoux de daddy.Une main me guida à travers la chambre, ne voyant rien je me déplaçais avec difficulté, mais la main me tenait fermement.Je m’assis sur ce qui était les genoux de mon « client ».Il posa immédiatement une main sur mes cuisses et une autre dans mon dos.— Tu sais que tu plais à daddy ma petite— Merci daddySa main commençait à me caresser les cuisses, remontant légèrement ma jupette.— Mais tu sais que tu as été très méchante ma petite fille...très très méchanteDaddy va devoir te punir!A peine eut t’il fini sa phrase que déjà il me bascula le corps sur le lit.Je me retrouvais face contre le coussin. Il m’écarta les cuisses avec sévérité et fixa mes bottes avec une corde afin de me maintenir les jambes bien écartée.Il glissa un coussin sous mon ventre pour me faire relever le postérieur.Ensuite il me fixa les mains avec des cordes rêches...qui était très serrée.— Daddy, qu’ai-je fais?— Chuut ma petite...chuut...daddy doit te punir.Une violente douleur me traversa le corps, suivi d’une deuxième et d’une troisième.A chaque fois j’hurlais de douleurs tellement ça faisait mal.Il me glissa un morceau de tissus dans la bouche et recommença à me fesser avec quelque chose qui me zébrait les fesses.Les coups pleuvaient, sans s’arrêter.A la douleur je devinais qu’il utilisait une cravache ou quelque chose qui s’en rapprochait.Je pleurais comme jamais, aveuglée par mes larmes.La douleur était trop forte, je mordais mon baillons et suffoquait tellement il me faisait mal.Ma tête tournait, je faillis perdre conscience sous les coups que je recevais.Il a dû le constater car les coups stoppèrent net.Mon postérieur était en feu, j’avais mal...terriblement mal.Les larmes qui coulaient en continu de mes yeux avaient remplis le coussin sur lequel ma tête reposait.Je suffoquais dans mon baillons, tentant d’hurler ma souffrance.Il releva ma jupette et me massa doucement mes fesses endolories au travers de mes bas.— Tu méritais cette punition ma petite fille.Ta chatte n’est pas rasée comme daddy le veux, donc tu dois être punie.Son massage se fit de plus en plus doux, il glissait sa main entre mes cuisses, remontant le long de ma chatte.— De plus la prochaine fois, je ne veux plus voir cette paire de bas collant...tu porteras des stay up, compris ma petite fille?Je répondis en sanglotant :— Oui daddyIl déchira mes bas à hauteur de mon cul et repris le massage. Ses doigts glissaient le long de l’élastique de mon slip. Il écarta légèrement l’entrejambe de mon slip et glissa un doigt dans ma vulve.— On dirait que tu n’es pas contente de voir daddy...ce n’est pas grave, tu prendras bientôt assez de plaisir avec ton daddy.Je vais te détacher et retirer le bandeau qui masque tes yeux, n’oublie pas si tu parles c’est ta sœur et ta mère qui paieront...et je t’avoue que ta sœur me tente énormément.— Je vous le promets daddy, je ne parlerai pas. Faite de moi ce que vous voudrez mais ne touchez pas à ma sœur.Il me détacha les poignets, les mollets et me retira le bandeau qui me masquait la vue.L’homme qui était en face de moi était de corpulence moyenne, un peu bedonnant, dégarni sur le front...je lui donnais la quarantaine.— Tu sais, daddy à toujours voulu être gynécologue, mais il n’a pas réussi les examens d’entrée, faute de pratique. Mais daddy va examiner sa petite fille. Allonge toi sur le lit, soulève tes jambes et écartes les biens que daddy puisse procéder.Sans mot dire, je me couchais sur le lit, comme demandé.Il prit une vieille mallette en cuir noire et fouilla dedans.— Si tu cries, daddy te puniras sévèrement.Le ton était donné et très clair, je subirais sans me plaindre.Il sortit un spéculum en métal de sa mallette et l’enduit de gel lubrifiant. Avant même que je n’ai eu le temps de bouger, il l’enfonça profondément dans ma chatte et commença à l’écarter.Je pouvais sentir ma chaire se distendre, se dilater...la douleur commençait petit à petit à monter mais je tenais bon.Il continuait l’écartement, jusqu’où allait-il aller? Il allait me déchirer la chaire s’il continuait...et il s’arrêta, contemplant son œuvre.Je pouvais sentir l’air frais entrer dans ma chatte, étrange sensation.Il s’approcha et fis mine d’observer à l’intérieur, puis il desserra le spéculum doucement.— Tourne toi ma petite fille, l’examen n’est pas terminé.Cambre-toi et avec tes mains écarte tes fesses au maximum.J’écartais mes fesses comme je pouvais, encore douloureuse des coups de fouet que j’avais reçue.Il remit du gel sur le spéculum mais il l’enfonça directement dans mon anus légèrement ouvert. J’ai enfoncé ma tête dans le coussin pour étouffer le cri de douleur.A nouveau il commença à l’ouvrir de plus en plus, écartant mes sphincters au maximum.La aussi je sentais l’air entrer dans mon cul béant...puis il glissa ses doigts sur ma chatte, se frayant un chemin entre mes lèvres et commença un massage de mon clitoris.— Tu as un cul parfait ma petite fille, j’aime ça.Je retenais mes pleurs de douleurs dans le coussin, mais son massage commençait à me faire de l’effet. Ma vulve se mouillait petit à petit.Il retira le spéculum, enfila une paire de gant médicaux et enfonça 3 doigts dans mon anus ouvert et 3 doigts dans ma chatte trempée.Je le sentais me malaxer de l’intérieur, il prenait un plaisir à tourner ses doigts en latex au plus profond de moi.La séance dura encore quelques heures, puis il me demanda de le sucer en paiement de son examen gynécologique.Finalement je m’endormis dans ses bras et au matin il me ramena sans mot dire chez moi.Je devais le revoir une fois par mois, c’était un « client » régulier.Mon « geôlier » m’appelait parfois quatre à cinq fois sur le mois, à chaque fois j’obéissais.Je me faisais prendre par différent type de personne, des gros, des moches, des vieux, des jeunes, des couples, des femmes, des pervers, des sadiques....tous abusaient de mon corps et je prenais du plaisir avec tous.L’âge venant, les appels devenaient de moins en moins nombreux.Ca fait maintenant 5 ans qu’il ne m’a plus appelée...mais la semaine dernière j’ai reçu un coli par la poste.Le courrier n’était pas daté ni signé, tout au plus il contenait un cheque, un petit mot et une enveloppe assez lourde :Voici 50% de ce que j’ai gagné avec toi, il te revienne. Puisses-tu en profiter comme j’ai profité de toi ma petite garce.L’enveloppe contenait les vidéos qu’on avait faites sur moi ainsi que les photos et les négatifs.J’ai encaissé le cheque et conservé l’enveloppe et son contenu.Voilà, je me suis confessé et je me sens un peu mieux.Maintenant il est temps pour moi d’aller m’occuper de la jeune pétasse que j’ai enlevée pour mon plaisir personnel.Sandra
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