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Confession d'une mère

Chapitre 1

Inceste
Mon bébé vient juste de monter se coucher, alors j’en profite pour te faire un petit coucou et te raconter ce qui m’arrive, c’est fou. Il fallait que je t’écrive pour t’expliquer ce qu’il vient de m’arriver, à moins que Tatie t’en ai déjà parlé.Je suis depuis quelques jours sur un nuage mais je me demande si je ne suis pas une vraie salope. Parfois je me fais honte tu sais, je n’ai plus de morale, je deviens incestueuse tu te rends compte...
Voilà,
Depuis 5-6 jours, je suis tombée amoureuse de ma fille, pas amoureuse comme doit l’être une mère de son enfant, mais vraiment amoureuse comme je le suis de ma tante et de toi.Ne me juge pas, je t’en prie, parfois je me fais honte mais quand elle est à côté de moi, je fonds littéralement et j’ai le cour qui tape comme lorsque j’ai retrouvé ma tante il y a presque 20 ans maintenant.Tout ça c’est passé bêtement. Nous étions Tatie et moi allongées sur le divan et je ne rentrerais pas dans les détails de ce que nous faisions toutes les deux, tu dois t’en douter, d’autant qu’elle avait amener le "matos" comme elle aimait dire.Nous avions attendu que Cloé se soit couchée et Tatie comme elle sait que j’aime ça, était derrière moi avec son god bien fiché au fond de mes reins (je suis vraiment chienne, je mouille en te racontant, imagine).Je sais que Tatie t’a déjà raconté ce qui s’était passé alors je ne vais pas m’éterniser là-dessus , mais depuis il s’est passé beaucoup de choses, choses dont je devrais avoir honte mais vois-tu, je m’en fiche, je suis trop heureuse comme ça et mon bébé aussi.Depuis que nous sommes rentrées de notre séjour à la montagne, figure toi que Cloé ne veut plus dormir seule, je sais que ce n’est pas bien , mais je suis tellement heureuse de câliner mon enfant, si câliner est bien le mot que je devrais employer.Je suis restée près d’elle attendant qu’elle s’endorme comme lorsqu’elle n’était qu’un tout petit bébé et sentant son souffle régulier je suis redescendue devant la télé pour regarder une série quelconque, la tête visiblement accaparée par d’autres choses bien plus importantes que ce qui défilait devant mes yeux.Ce fut plus fort que moi, au bout d’une certain temps, je ne tenais plus, j’ai eu envie de la sentir contre moi, tout contre moi et doucement je vins me glisser contre elle, pour sentir son corps tiède pour le caresser pendant qu’elle dormait.Mais dormait elle vraiment, ça je ne le sais pas, ou alors malgré son jeune âge elle était devenue une très bonne comédienne.La deuxième nuit de notre retour, je me suis glissée derrière elle pour sentir ses petites fesses contre mon ventre, contre mon sexe et c’est là que je me suis vraiment posée la question de savoir si elle dormait vraiment. A peine me suis je collée à elle que je l’ai senti se rapprocher de moi jusqu’à ce que ses fesses touchent bien mon ventre puis elle a commencé à bouger doucement son bassin jusqu’à ce que ses fesses soient bien en contact avec mon sexe.Je n’ai pu me retenir plus longtemps, je me suis mise à bouger moi aussi, posant une main sur une de ses hanches mimant la pénétration de son petit cul et l’autre effleurant le bout de ses tétons qui commençaient à durcir entre mes doigts.J’ai du m’arrêter de peur de la réveiller, mais elle continuait en gémissant comme si elle était vraiment en train de faire l’amour.Mon bébé, je n’osais même pas imaginer un homme la toucher et j’étais là moi sa mère en train d’essayer de la baiser.J’ai beaucoup hésité de me lever pour aller chercher mon god mais il est trop gros, beaucoup trop gros pour son joli petit cul.J’ai glissé alors ma main qui était sur sa hanche jusque sur son ventre plat et j’ai forcé sa petite culotte pour la poser sur le duvet soyeux de son sexeDix secondes après ce contact je l’ai senti haleté comme une vraie femme quand elle va avoir un orgasme et c’est ce qui est arrivé, elle s’est blotti encore plus contre moi, son corps se raidissant d’un coup comme toi quand tu dois jouir, et j’ai senti entre mes doigts la cyprine couler de son sexeJe suis devenue comme folle, agissant comme si c’était moi le mâle et je me suis mise à mimer vraiment la pénétration allant à l’encontre de ses fesses qui n’arrêtaient pas de remuer et comme elle, j’ai joui en même temps qu’elle
Je l’ai senti calme après cette jouissance qui venait de la terrasser et doucement sa respiration redevenue normale je l’ai senti s’endormir dans mes bras contre moi, contre mon ventre, ce ventre qui l’avait portée et qui maintenant jouissait d’elle.Quand le calme fut revenu, je me fis honte crois moi, je me demandais où tout cela allait s’arrêter.Et depuis deux jours maintenant tu vois que ça n’a pas traîné et bien nous nous faisons l’amour, je lui fais l’amour mais sans objet seulement avec ma bouche et mes doigts. Seulement moi, je ne veux pas pour le moment qu’elle me fasse ce qu’elle a envie j’ai trop honte déjà, imagine se laisser faire l’amour par sa fille de 18 ans.Ce qui devait arriver, arriva !!!!!L’autre soir devant la télé, elle était comme à l’accoutumé allongée sur le divan sa tête posée sur mes cuisses , et moi comme une bonne maman, je lui caressais les cheveux.Sans aucune gêne, elle a passé sa main sur mes mollets, ce qui m’a fait comme une décharge électrique dans le bas de mon ventre. Je n’osais plus bouger, je voulais savoir jusqu’où elle irait et ses mains doucement allaient de mes mollets au bas de mes cuisses, vu que je ne portais qu’un tee shirt sur ma culotte, elle n’avait aucune entrave à son investigation.Je ne réfléchissais plus, j’avais envie de l’allonger sur le divan pour poser mes lèvres sur les siennes et doucement mes mains de ses cheveux sont descendues de sa tête à son cou pour aller finir sur ses seins Je les sentais grossir sous mes doigts, ses tétons durcissaient pourtant tu sais ils ne sont pas gros.Ma bouche a commencé à glisser elle aussi sur son cou et pendant que ses doigts continuaient à me caresser les cuisses, il est vrai qu’ils avaient fait du chemin depuis l’arrière de mes genoux, je lui ai tendrement prise la tête entre mes mains pour venir poser un doux baiser sur sa bouche affamée. Nos dents s’entrechoquaient tant nous avions faim l’une de l’autre et sans aucune restriction de sa part, nos langues se sont mélangées dans un merveilleux baiserSans quitter sa bouche, je l’ai allongée sur le divan, mes mains cette fois avaient envies de son ventre, de son sexe, que je savais vierge, alors j’allais doucement pour ne pas la déflorer. Sans rien lui imposer, ses cuisses se sont ouvertes pour faciliter le travail de mes doigts et dans un grand cri je l’ai senti jouir.J’en aurai pleuré crois moi, elle était mienne, je devais encore l’aimer, alors ma bouche a quitté sa bouche merveilleuse pour descendre le long de son cou, happant au passage un téton tendu par l’envie, glissant le long de son ventre musclé pour finir enfin sur les lèvres de son sexe ouverte par le désir.Il sentait bon, il était brillant de cyprine et je commençais à lui faire sa toilette par de grands coups de langue allant de son anus à sa chatte parfumée.Son sexe sentait bon la pucelle, tu sais ce mélange de cyprine et de pipi Je n’ai eu de cesse de la lécher et d’essayer de la pénétrer avec ma langue tant qu’elle n’eut pas pour la troisième fois un orgasme terrible.Cette fois elle n’en pouvait plus et me repoussait ma bouche qui devait certainement plus l’irriter que de lui faire du plaisir. Elle a bien essayé elle aussi de venir boire mon sexe mais je l’ai tendrement repoussée, je ne suis pas encore prête.
Je lui ai demandé d’être patiente après que nous eûmes repris nos esprits. Depuis tous les soirs je la rejoins dans son lit et nous faisons l’amour à notre façon.Un jour viendra où j’irai plus loin. Ce soir elle m’a raconté qu’elle avait vue Tatie nue dans la salle de bain, et qu’elle était étonnée de la voir si poilue et elle m’a demandé quand elle en aura autant car elle trouvait ça très beau. J’ai souri quand elle m’a demandé pourquoi je ne me laissais pas pousser les miens.— Tu veux que je le fasse?— Oui, maman je veux te voir comme tatie, c’est trop beau à caresser.Alors moi étonnée :— Pourquoi, tu as déjà caressé Tatie?Elle est devenue rouge comme une pivoine et elle est partie en courant dans sa chambre, en me criant :— Tu es folle, non je ne l’ai pas caressée.Je ne l’avais jamais vue autant gênée et j’étais certaine qu’elle me mentait et qu’elles ont fait quelque chose ces deux là.Remarque que je m’en balance si elles l’ont fait, je la sais entre de bonnes mains, n’est-ce pas elle qui m’a apprit tout ce que je sais, tout ce que j’ai fait !Je préfère de loin qu’elle soit entre les mains de Tatie que dans celles de perverses tu me comprends.D’ailleurs elle passe le week-end chez elle tu vois comme j’ai confiance en elle Je suis certaine qu’à son retour mon bébé aura des choses à me raconter.
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