- Histoire érotique écrite par LUCE PECHERESSE
- Fantasme
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Deuxième jour :
Comme convenu la veille (voir chapitre 1), nous sommes ponctuels à vingt heures devant l’église. Nous regardons sortir les derniers visiteurs. Le temps est plutôt maussade, nuageux. Sans que personne ne soit visible, les lourdes portes de bois se referment et nous percevons le bruit de leur verrouillage. Que devons-nous faire ? Est-ce une mauvaise blague ?
Il arrive sur nous surgi de nulle part et nous fait signe de le suivre. Nous accédons à l’église par une petite porte latérale au fond d’une impasse sur le côté du bâtiment, une entrée discrète. Monsieur le Curé est impressionnant d’autorité dans sa soutane claire, son regard est encore plus perçant qu’hier.
Vous n’avez rien à me dire ?
C’est un peu difficile, un peu délicat, alors nous l’avons écrit.
Mon mari lui tend l’enveloppe. Il ne l’ouvre pas. Il nous fait avancer jusque devant le confessionnal et, désignant un petit banc de prière, s’adresse à mon mari :
Asseyez-vous là et ne bougez pas.
Sa main me saisit le bras fermement et il m’entraîne dans la petite cabine où je dois m’asseoir. Il ferme le rideau qui ne masque qu’à mi-hauteur et s’installe dans le petit local mitoyen qui lui ferme avec une porte. Au bout d’un instant, une petite trappe s’ouvre à hauteur de mon visage et j’entends la voix grave et chaude de Monsieur le Curé.
Je vous écoute ma fille, dites-moi tout. J’ai cru comprendre que vous n’êtes pas un modèle de vertu, alors soyez franche. Pourquoi choisir ce lieu saint pour vous montrer en culotte en train de vous frotter honteusement sur un homme, fut-il votre mari. Seriez-vous possédée par un démon ?
Oh mon Père, ce doit être ça, je suis possédée. Dès que j’entre dans une église, je deviens lubrique. J’imagine des tas de choses sexuelles inavouables et je ne contrôle plus mes pulsions.
Vous imaginez quoi par exemple ?
Oh mon Père, êtes-vous prêt à entendre le pire ?
Parlez ma fille, vous êtes ici pour tout me dire.
Eh bien par exemple, je m’imagine attachée nue sur l’autel, écartelée et offerte à tous les vices, pénétrée par un gros cierge jusqu’à la jouissance puis prise par des hommes vigoureux comme une catin sur une table de bistro.
J’entends votre parole quelque peu essoufflée, le démon prend-il possession de vous ? Seriez-vous en train de vous donner du plaisir ?
Oui mon Père je ne peux retenir ma main entre mes cuisses, je coule de plaisir en vous disant ça.
Vous serez punie en conséquence ma fille.
Je m’imagine aussi à genoux en prière. En guise d’Ostie, je reçois en bouche le vit du prêtre qui va-et-vient entre mes lèvres jusqu’à m’abreuver de son foutre divin.
Je réalise que le bas du rideau laisse voir la partie inférieure de mon anatomie et que mon mari doit voir ma main s’agiter entre mes cuisses. J’ouvre le compas de mes jambes pour qu’il ne perde rien du spectacle et j’écarte le fond de ma culotte. J’imagine un instant qu’il n’est pas seul à me regarder, que plusieurs personnes se rincent l’il et l’orgasme me submerge avec une rare violence. Je ne peux retenir mon cri qui résonne dans tout l’édifice.
Eh bien ma fille, que se passe-t-il ? Un peu de tenue que diable ...
Heu, mon père, je, j’ai, oh, ah, ouiiii !
Je lui dis ensuite, après avoir repris un peu mes esprits, l’origine de mon plaisir. Je lui avoue dans la foulée ma nature exhibitionniste. Que je me vois bien être conduite devant l’autel, dans l’église pleine à craquer de fidèles. On me penche en avant, agenouillée, on relève ma robe sur mes reins et on baisse ma culotte aux chevilles. Je suis alors copieusement fessée cul nu en public. Je dois ensuite quitter l’église par l’allée centrale en tenant ma robe troussée à la taille sous les yeux, les sifflets et les quolibets de tous ceux qui ont assisté à ma déchéance. Je dois bien lui dire que ce genre de pensées provoque chez moi des orgasmes fabuleux.
Nous allons passer à la rédemption, j’ouvre votre enveloppe. J’espère que le contenu est à la hauteur de vos fautes. Sortez et attendez-moi ici, agenouillée sur une chaise de prière. Je reviens de suite.
Il est revenu avec une chaise de bois avec un dossier et une assise molletonnée. Il s’est assis, ses grandes mains posées à plat sur ses cuisses.
Approchez ma fille, nous allons tenter de corriger vos vices.
Je me retrouve en un instant basculée en travers de ses genoux, en position traditionnelle de fessée. J’ai un frisson quand je sens qu’il relève ma robe. Il doit découvrir la jolie petite culotte rose que j’ai choisie en cas. Sa main chaude se pose sur mes fesses. L’attente ... puis la première claque tombe sur une fesse, puis la seconde sur l’autre, puis en alternance de l’une à l’autre, en presque douceur, ce qui me fait presque sourire. Mauvaise anticipation, les claques gagnent en puissance au fur et à mesure et au bout de quelques minutes, mes fesses me brûlent. Je gigote des jambes dans le vide. Il s’arrête et me masse les fesses. Le feu se propage à l’ensemble de mon bas-ventre et je sens mon abricot qui coule. Le fond de ma culotte est trempé et colle à ma vulve.
Alors, déculottée ou non ? Eh bien ma chère ce sera déculottée !
Et il me baisse la culotte, et me la retire complètement. Il me la place sous les yeux.
Ce n’est plus une culotte, c’est une éponge. Vous n’avez pas honte ? Ouvrez la bouche ! Je vais vous empêcher de couiner.
Et il me bourre la culotte dans la bouche. Il me pelote encore les fesses puis la correction a repris. Cette fois-ci directement en mode fort. Je me tortille sur ses genoux pour tenter d’échapper aux claques, mais il me tient bien.
Je sens soudain une protubérance sous mon ventre. Mon bourreau bande dur et la bosse ressentie présage une érection de belle taille. Du coup, j’ai beaucoup moins mal et à chaque claque, je me frotte l’entrejambe sur l’excroissance et j’y prends plaisir. J’écarte les cuisses pour accentuer le contact. La fessée s’arrête. Il me caresse les fesses qui doivent être écarlates. Je continue à onduler légèrement pour continuer à stimuler le vit sous mon ventre. Sa main descend doucement entre mes cuisses. Quand ses doigts frôlent mon abricot, je pars dans un orgasme fabuleux et sonore que mon bâillon atténue quelque peu. Je suis presque inconsciente quelques secondes.
Il est debout, je suis agenouillée devant lui. Je me serre contre lui, mes bras autour de lui.
Merci mon Père.
Je sens toujours la protubérance à travers la soutane, mais cette fois-ci contre ma joue. Il n’a pas le temps de réagir, en deux temps trois mouvements je passe sous la soutane et, oh surprise je me trouve en face d’un sexe bandé, énorme. Monsieur le curé est nu sous sa soutane. Je le prends immédiatement entre mes lèvres avant toute réaction de sa part et je le suce comme une affamée. Je le tiens par les fesses et le pompe du plus profond que je peux. Je ne sais pas si ses mains sur ma tête tentent de m’arrêter ou de m’encourager, disons qu’elles m’accompagnent contrairement à ses dires.
Arrêtez ! Vous ne pouvez pas, c’est un pêché, vous êtes le diable.
Mais au bout d’une dizaine d’aller-retour, je sens l’engin gonfler, tressaillir et m’arroser copieusement la bouche, le visage, les cheveux et le haut de la robe. En grognant comme un ours, il me dit des mots doux, perdant toute retenue.
Ah ! Salope tu m’as eu. Tiens, prends tout.
Quand je dis arroser copieusement, c’est impressionnant, je ne pensais pas qu’un homme puisse éjaculer autant. Je suis couverte de foutre. Monsieur le Curé doit être en abstinence depuis longtemps. Il exige mon numéro de téléphone et avec un sourire moqueur nous indique du doigt la petite porte. Je sors de l’église souillée aux yeux de tous. Nous sommes garés assez loin et en regagnant la voiture, je subis le regard des passants qui nous croisent. Ma robe est froissée, mouillée, mon maquillage coule, les traces blanches sèchent sur mon visage et dans mes cheveux. Je dois avoir l’air d’une putain salope, j’ai honte, mais je me sens épanouie. Je mouille encore. Je reçois un SMS.
Vous avez oublié votre culotte, vous devrez revenir, je vous donnerai rendez-vous.
Dès le retour chez nous, je me lave, et sur ordre de mon mari je reste nue. On ne peut pas dire qu’il me fait l’amour, il me baise, il me viole la bouche, il me saute comme la dernière des traînées. Il me claque les fesses encore sensibles, il me gifle en me traitant de tous les noms, il finit par se lâcher sur mon visage et ... j’adore ça. Deviendrais-je soumise ?
(A suivre)