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Au confessionnal

Chapitre 3

Divers
Troisième jour
Dans l’épisode précédent, ma culotte est restée dans la poche de Monsieur le curé. J’attends le SMS qui m’invitera à aller la récupérer. Et il arrive ...
— Venez vendredi soir à 20 heures précises à la petite porte que vous connaissez !
Vingt heures, c’est l’heure de la fermeture de l’église, monsieur le curé veut donc que nous ne soyons pas dérangés. Humm, je m’attends au pire (ou au meilleur). Je décide le grand jeu : robe noire très courte, bas noirs à résilles, porte-jarretelles, mini-culotte noire transparente, Pas de soutien-gorge. Mon mari me chauffe avec ses habituels mots doux : "salope ! Putain à curé !
— Tu vas te faire claquer les fesses, tu vas encore le sucer. Avoue que tu en as envie.— Oh oui, j’ai envie d’être la catin du curé. J’ai envie qu’il me touche, que ses doigts fouillent mon abricot.— Et que vas-tu confesser cette fois-ci ?— Ah ah ! Tu verras bien, surprise !
Au jour et à l’heure dite, nous sommes devant la petite porte qui s’ouvre quelques minutes après notre arrivée. Monsieur le curé, sans un mot nous fait signe de le suivre. Au lieu de pénétrer dans l’église, nous prenons une autre porte sur la droite, surprise ! Nous entrons dans le presbytère. L’ameublement est très succinct, une grande table massive en bois, quelques chaises parmi lesquelles je reconnais celle sur laquelle j’ai été fessée la dernière fois, un grand canapé et un coin cuisine.Monsieur le curé s’installe sur le canapé et invite mon mari à s’asseoir à ses côtés. Moi, après avoir retiré l’imperméable qui me rendait « sortable » je dois rester debout face à eux. Quatre yeux me dévorent, je me sens vraiment salope. Je commence à mouiller ma culotte. Monsieur le curé chuchote quelque chose à l’oreille de mon mari qui me regarde toujours et un sourire vicieux se dessine sur son visage. Enfin il prend la parole de cette belle voix grave qui me fait fondre.
— Mes enfants, la dernière fois, j’ai failli, je me suis laissé distraire de la foi, j’ai pêché. J’ai dû me confesser auprès d’un confrère et néanmoins ami de longue date, le Père Georges. Ce dernier va nous rejoindre bientôt, mais en attendant je veux voir de visu ce que j’ai dû subir sous ma soutane. Alors ma fille montrez-moi sur votre mari les gestes pervers que vous avez pratiqués sur ma personne. Venez vous agenouiller devant lui et œuvrez !
Alors je m’exécute. Je viens à genoux devant mon homme, et je bataille un peu avec sa braguette. Je sors son dard déjà bien dur et le caresse un peu. Sa main attrape l’arrière de ma tête et me tire vers lui. Je le suce, d’abord doucement puis comme une affamée. En levant les yeux, mon regard croise celui de monsieur le curé. Alors sans le quitter des yeux, je pose ma main sur la fameuse protubérance qui déforme la soutane. Faute de résistance, j’empoigne le vit à travers le tissu et commence à le branler. Et là, surprise, la soutane remonte et le sexe jaillit sous mes yeux. Une queue énorme, deux fois la taille de celle de mon mari. Je l’avais bien senti gros l’autre fois, mais là le voir c’est géant.
Je me place à mi-distance entre les deux sexes et les suce à tout de rôle. Je les tiens de mes deux mains et ma bouche passe de l’un à l’autre. Je sens mon jus qui déborde de ma culotte et qui coule sur mes cuisses que je serre alternativement pour me donner un peu de plaisir. Leurs soupirs et grognements m’excitent encore plus. Je vais être couverte de foutre. Ils parlent entre eux, ils parlent de moi comme si je ne les écoutais pas.
— Oh mon ami, la bouche de votre femme est divine.— C’est une vraie salope, vous voyez.— C’est le moins qu’on puisse dire, elle est irrécupérable.
— Et vous n’avez rien vu, quand je la baise, c’est encore pire.— Je voudrais bien voir ça.
La conversation est interrompue par un bruit de porte. Je tente de me relever, mais je suis retenue par mes deux bourreaux.
— Entrez, Père Georges, vous voyez que je ne vous ai pas menti. Vous n’aviez pas l’air de me croire.— Effectivement le spectacle est saisissant.— Voyez cette catin qui aime les religieux, Monsieur est son mari.— Je dois dire qu’elle est excitante, je me laisserais bien tenter.— Mais faites donc mon ami touchez-la donc un peu et dites-nous tout de son état.
Je perçois immédiatement une main se glisser sous ma robe qui se plaquer sur ma culotte. Réflexe ou envie, j’écarte les cuisses, je m’offre au nouvel arrivant. Je suis à quatre pattes en train de sucer deux verges et je me fais caresser l’abricot à travers ma culotte. Il ne m’en faut pas plus, je pars dans un orgasme géant qui me laisse anéantie, la tête affalée entre les deux bites et les fesses en l’air. Je reprends contact avec la réalité quand les conversations reprennent.
— Elle m’a giclé sur la main à travers sa culotte. J’espère que les voisins sont loin, elle n’est pas vraiment discrète.— Remontez-lui sa robe, qu’on voit l’état de sa culotte.— On va plutôt lui retirer.
Je me fais dépouiller de ma robe par le haut. Je reprends mes activités buccales, cette fois presque nue. La main inconnue revient à la charge avec cette fois des doigts qui tentent de me pénétrer. On me déculotte et aussitôt je sens que ce n’est plus des doigts. C’est un sexe qui me pénètre. Le père Georges me baise en levrette pendant que je suce deux hommes qui profitent de ma nudité nouvelle pour me malmener les tétons. On n’entend plus que cris et gémissements. Je jouis trois ou quatre fois avant de recevoir des jets de foutre en plein visage. Le père Georges me retourne et se branle encore pour se finir aussi sur ma figure. Je suis abandonnée là, souillée, humiliée, la tête sur l’assise du canapé, les cuisses ouvertes, les bas tachés, pendant que les hommes se réajustent. Je les regarde se désaltérer. Je les trouve beaux, sexy.
— Puis-je prendre une douche ?— Oui, mais nous allons vous regarder, suivez-moi !
Je retire mon porte-jarretelles et mes bas et pénètre dans la cabine vitrée qui reste ouverte. Je suis obligée de me laver les cheveux qui sont collants de foutre, je nettoie mes seins sous le regard intéressé des trois hommes. Leurs yeux me brûlent. Je sens l’excitation qui revient alors je glisse mes mains savonneuses sur mon ventre puis sur mon abricot. C’est de la folie, je me branle devant trois hommes qui se touchent la braguette en me regardant. Je n’ai pas le temps de jouir, à peine rincée je suis extraite de la cabine par des bras puissants et trois serviettes me sèchent le corps, les cheveux et tout le reste. C’est mon mari qui prend la parole :
— Elle doit être corrigée pour être aussi salope. Qu’en pensez-vous ?— Tout à fait, une solide fessée me paraît inévitable.— Allons dans l’église !
Je marche dans le couloir, toute nue, comme tenue en laisse par une serviette autour du cou. Monsieur le curé me tire et mon mari et père Georges suivent en me claquant les fesses. Pieds nus sur les pierres froides, je dois ressembler aux sorcières que l’on conduisait jadis au bûcher. Je suis agenouillée sur un prie-Dieu juste devant l’autel, la poitrine sur l’accoudoir. On m’écarte les cuisses autant que la largeur du siège le permet. J’imagine un instant la grande salle pleine de fidèles qui attendent le spectacle de la punition humiliante d’une femme infidèle au moyen-âge. Je tends ma croupe offerte à mes bourreaux. Je mouille. Monsieur le curé se place devant moi pour me tenir les bras. Il me dit :
— Reconnaissez-vous, ma fille, mériter votre sort ?— Oh oui mon père, je dois être punie.— Messieurs, veuillez procéder au châtiment !
Surprise ! En général les claques passent d’une fesse à l’autre permettant une petite récupération entre deux, mais là ce sont deux claques qui arrivent en même temps sur mes deux fesses. Ils en ont chacun une, c’est redoutable. En un rien de temps j’ai le cul en feu. Je pousse des cris de plus en plus forts.
— Aille, ouille, aille ! Pitié !— Père Francis, faites-la taire !
Et là, je vois l’énorme sexe de monsieur le curé devant mes yeux. Il me prend la bouche en guise de bâillon. Entre la chaleur de mes fesses qui gagne tout mon bas-ventre et l’introduction de ce vit géant entre mes lèvres, l’excitation reprend le dessus. J’imagine que mon cul doit-être écarlate. Je ne vais plus m’asseoir pendant plusieurs jours.Mon mari connaît mes fantasmes. Alors quand je le vois se saisir d’un cierge de bonne taille, je comprends que l’humiliation va continuer. Il déroule un préservatif sur la bougie et... il me l’enfile dans l’abricot sous les applaudissements de la foule de fidèles imaginaire. La fessée reprend de plus belle. J’ai récupéré l’usage de la parole. Monsieur le curé, ou devrais-je dire maintenant père Francis, se branle devant mon visage.
— Pitié, baisez-moi !— Demandez mieux que ça !— Baisez-moi comme une salope !— Encore mieux.— Je suis votre chienne, votre catin, votre cochonne, fourrez-moi comme une dinde de Noël !
Ils me branlent d’abord avec le cierge puis je sens un sexe aller et venir en moi, puis l’autre puis ils m’enfilent chacun leur tour. Ce n’est pas des orgasmes, c’est un orgasme géant qui me submerge et qui ne s’arrête pas. Je jouis en continu.Le père Georges et mon mari viennent devant mon visage et le miracle divin a lieu. L’énormité de père Francis entre enfin en moi. C’est géant, indescriptible. Je suis complètement remplie. Je jouis de partout, j’explose. Chaque millimètre de mon vagin est sollicité et me lance des ondes de plaisir.
— Oui, oui, encore, plus fort. Oh mon Dieu, baisez-moi encore !
Je ne sens même pas les jets de foutre qui m’arrosent le visage. Tout est entre mes cuisses. Je n’ai jamais été baisée comme ça. Ce n’est pas un orgasme, c’est un tsunami permanent.Monsieur le curé pousse un cri au moment où je sens des jets au fond de mon ventre, il me remplit de son sperme divin. Je crois même que j’ai pissé à ce moment-là. Puis je perds connaissance.Je reprends mes esprits, allongée sur le canapé sous une couverture. Ils ont dû me porter. Ils discutent.
— Malheureusement, c’est la fin de nos vacances, nous devons rentrer à Paris.— Quel dommage, j’aurais bien confessé Madame de temps en temps.— Mais quand nous repasserons par ici ...— Je vous enverrai quand même les coordonnées d’un confrère en région parisienne qui saura purifier votre épouse comme il se doit en cas de besoin. Il officie dans une paroisse intégriste qui a des us et coutumes un peu particuliers. Ils ont un jour hebdomadaire où les pratiques sont un peu exorcisantes. Enfin vous verrez par vous-même.
Nous nous sommes quittés sur ces bons mots. Quelles vacances ! J’ai réalisé tous mes fantasmes religieux. Je suis une femme comblée.
À suivre ...
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