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Confessions d'une esclave sexuelle

Chapitre 1

Les présentations

Trash
Petit préambule avant de lire cette histoire : les deux premiers chapitres sont un peu là pour planter le décor, essayer de comprendre l’aspect psychologique de la relation qui va naître entre l’esclave et son maître. Ne perdez pas espoir s’il n’y a pas trop de sexe dans ces deux chapitres, ça arrive dans les autres. ;-) Bonne lecture à tous et n’hésitez pas à me faire des retours.
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Il est 14h37 en ce dimanche 20 novembre. Un dimanche automnal somme toute classique pour cette période : la pluie tape contre mes fenêtres et le vent fait plier les branches d’arbre que je peux apercevoir depuis ma fenêtre. Un temps qui pourrait faire râler beaucoup de personnes, estimant que leur journée est gâchée et que demain, à la reprise du travail, il fera grand beau temps. Mais, quant à moi, je suis heureuse de ce temps maussade. En effet, c’est l’occasion idéale pour moi de m’asseoir sur la méridienne de mon canapé avec une tasse de chocolat chaud et d’allumer mon ordinateur en le posant sur mes jambes. Cela fait longtemps que j’attendais cette occasion, mais que je ne prenais pas le temps de le faire. Enfin, je vais pouvoir écrire et vous faire partager mon histoire. Depuis trop longtemps, j’ai senti le besoin de mettre par écrit ce que j’ai pu ressentir durant l’année qui s’est écoulée. Cette histoire, c’est celle de moi, Marine.
J’ai été durant un peu plus d’un an l’esclave sexuelle d’un homme.
Avant de vous raconter comment j’en suis venue à être la Chose soumise de cet homme, il est important que vous connaissiez quelques passages de ma vie. Je m’appelle donc Marine, j’ai 38 ans et je vis à Dieppe. Je mesure 1m70 pour 75 kilos. Je suis brune aux yeux marron. J’ai les cheveux lisses jusqu’aux épaules. Ma silhouette est plutôt “équilibrée”, même si, avec l’âge, quelques kilos commencent à se parsemer au niveau du ventre, des jambes et des fesses, mais rien qui ne me fasse me sentir mal dans ma peau. Au niveau de la poitrine, je porte fièrement un 90 C. Si je devais me complimenter, je dirais que je suis assez fière de mes seins et mes fesses.
J’ai un garçon qui se nomme Alexis. Il vient tout juste d’avoir 19 ans. Ma relation avec mon fils est très conflictuelle. Je me suis séparée de son père lorsqu’il avait 6 ans. Cela l’a beaucoup perturbé moralement et cela a eu des impacts durant sa scolarité. Aujourd’hui, il vit chez son père et vient me rendre visite lorsqu’il en a envie, c’est-à-dire très peu souvent... Il ne fait malheureusement pas grand-chose de sa vie, mis à part sortir avec ses amis et fumer... Je crois qu’il m’en veut d’avoir quitté son père. Il était petit, il ne comprenait pas ce qu’il se passait entre son père et moi. Malgré ce que j’ai pu lui raconter, je sens bien qu’il m’en veut toujours. Il me parle mal et devient vite agressif (voire violent) lorsque je lui fais une remarque ou que je lui demande quelque chose. Vous le verrez plus tard au cours de mon histoire, un passage concernera un moment très douloureux avec mon fils que je vous ferai partager en toute franchise.
J’ai rencontré son père lorsque j’avais 20 ans. Nous étudions ensemble à la fac d’Amiens. Je dois dire que je suis tombée très rapidement sous le charme de ce beau garçon d’1m80, blond aux yeux bleus, sportif et musclé avec un sourire ravageur. Je n’étais pas la seule à être attirée par lui, il avait un succès certain avec les filles. Moi, à cette époque, je n’avais eu que très peu de relations amoureuses et encore moins sexuelles. J’étais sorti avec Aymeric lorsque j’avais 15 ans, le premier amour du collège. Il était tendre et affectueux, mais vous le savez bien à cet âge-là, si la relation dure déjà 2-3 mois, cela relève du miracle. Et pourtant ce miracle avait eu lieu, mais nous n’étions pas allés au-delà. Il y a eu ensuite quelques amourettes par-ci par-là puis j’ai rencontré Ben à 18 ans. C’est avec lui que j’ai fait l’amour pour la première fois. Une première fois somme toute classique, qui ne restera pas dans les annales, si vous me permettez l’expression.
Nous sommes restés ensemble 9 mois. Il y a ensuite eu Nicolas. C’est un cas un peu particulier, car il était mon meilleur ami de l’époque. Nous nous aimions, je pense, mais nous avions peur de perdre cette amitié. Du coup, nous passions du bon temps ensemble à faire du sport de chambre. C’est avec lui que j’ai fait ma première fellation, obtenu mon premier orgasme, découvert le fonctionnement de mon corps. C’était un échange mutuel et fort appréciable.
Tout cela s’est donc arrêté au moment de rencontrer Jérôme, le père de mon fils. Il pouvait avoir toutes les filles qu’il souhaitait, mais étrangement son choix s’est arrêté sur moi. Du moins, c’est ce que je croyais au début. Les deux premières années ont été magnifiques, nous avons beaucoup voyagé ensemble (Bali, New York, Islande, Argentine), nous avons loué un appartement. Tout était beau, presque trop beau. J’ai fini par apprendre, en tombant sur un SMS, au bout de notre 3ème année de relation, qu’il me trompait avec une fille depuis plusieurs mois. Je ne vous raconte pas la crise à laquelle il a eu droit...
Tout penaud, il s’est confondu en excuse et moi, j’ai fini par lui pardonner quelques semaines plus tard. Les choses reprenaient tant bien que mal le cours de leurs existences jusqu’à ce que je tombe enceinte. J’avais 23 ans et j’étais en cloque d’un homme pour qui j’accordais désormais une confiance limitée. Durant cette grossesse, j’ai pris énormément de poids. Je ne me sentais plus belle et je sentais bien que Jérôme ne me désirait plus. Il retournait voir ailleurs, j’en étais persuadée...
Mon intuition était juste, je finis à nouveau par le découvrir. Le bébé allait arriver dans un mois, je me sentais totalement démunie...Je ne pouvais pas partir maintenant sinon quel genre de vie allais-je donner à cet enfant ?
L’amour avec Jérôme était bel et bien fini. Il ne m’aimait plus, il ne se cachait même plus pour me tromper laissant son téléphone bien visible lorsqu’il recevait des messages ou des photos dénudés de ses maîtresses. Petit à petit, il a réussi à m’isoler de l’extérieur. J’avais pris un congé parental de 3 ans pour m’occuper d’Alexis. Ce congé me permettait d’être avec mon enfant, mais m’a également plongée dans une profonde dépression. Je continuais à grossir en subissant au passage les réflexions abjectes de Jérôme qui me comparait à un cachalot échoué sur une plage lorsqu’il me rejoignait au lit.
Pour m’humilier, il venait souvent se coller à moi lorsque je lui tournais le dos sur le côté du lit. Il glissait sa main dans ma culotte, ses doigts se frayaient un chemin entre ma touffe de poils (je ne prenais plus le soin de m’épiler) pour caresser mon clitoris. Malgré le profond dégoût que j’éprouvais pour cet homme, la stimulation de mon clitoris finissait forcément par me faire mouiller. Dès qu’il le sentait, il attrapait et tirait la graisse de mon ventre en me disant “comment veux-tu que je baise une grosse vache pareille ?? Je ne suis pas zoophile !” Il se retournait pour s’endormir me laissant humiliée, énervée et pleine de tristesse. A cette époque, j’ai pesé jusqu’à 100 kilos.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase eut lieu un dimanche après-midi. Alors qu’il était censé jouer un match de foot avec son club, je reçus plusieurs photos sur ma messagerie. Mon cœur n’a fait qu’un tour. 3 photos, 3 putains de photos...
Sur ces photos, il y avait Jérôme (enfin sa bite !) et une fille que je connaissais très bien...C’était Nathalie, qui était la seule amie et confidente qui me restait. Comment avaient-ils pu me faire ça...Sur une photo, on voyait Nathalie avaler complètement sa bite, une autre avec son anus complètement dilaté, la tête de Jérôme posait sur une de ses fesses, grand sourire, et la dernière le visage recouvert de sperme. La rage me fit hurler, réveillant Alexis de sa sieste. Cependant, très rapidement, je me suis dit que c’était un mal pour un bien. C’était enfin le déclic pour mettre fin à ce calvaire qui avait trop duré. J’allais abandonner mon enfant (Jérôme était un compagnon exécrable, mais je dois reconnaître que c’était un bon père), mais je n’avais plus le choix. Je passai le reste de la journée à m’occuper de mon fils et à remplir mes sacs. Lorsque Jérôme rentra, je pris Alex fort dans mes bras et partit sans un regard pour Jérôme.
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