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Confessions d'une esclave sexuelle

Chapitre 7

La salope d'un soir

Trash
C’était un samedi en fin d’après-midi. Dans la journée, mon Maître m’avait demandé d’aller faire des courses. Il recevait des amis le soir et il souhaitait faire un bon apéro. Lorsque je faisais les courses quand il était à l’appartement, c’est lui qui décidait des habits que je devais me mettre. Généralement, je m’étais toujours un haut bien décolleté sans soutien-gorge et une minijupe très moulante, sans culotte bien évidemment... Mon Maître n’habitait pas dans un quartier très bien fréquenté et je sentais tous les regards pervers et avides de sexe des hommes dès que je passais sur leur passage. Il faut dire que mes seins étaient souvent à deux doigts de sortir de mon haut. Tout le monde savait que je sortais sans sous-vêtement. Il n’était pas rare que je me prenne des remarques, voire des mains aux fesses par les plus goujats...
Une fois, mon Maître m’a forcée à aller faire les courses alors qu’il venait d’éjaculer sur mon visage et je n’avais pas le droit de m’essuyer. Ces situations, qui me mettaient très mal à l’aise les premières fois, m’excitaient finalement comme pas possible. Aller faire les courses dans cette tenue était devenu un de mes passe-temps favoris. Je sentais tout le désir que j’éprouvais à ces mecs, je voyais que je plaisais toujours et cela me donnait une énorme confiance en moi. Dans mon attitude, mon Maître sentait bien que ces actions me donnaient grave envie de baiser et il lui arrivait de bien me déboîter au retour des courses. Il pensait peut-être me faire du mal, mais c’était tout le contraire : à chaque fois, c’était orgasmique !
Bref, ce samedi après-midi, je suis donc allée faire des courses. J’ai acheté 3 packs de bières, une bonne bouteille de whisky, du houmous, du guacamole et des biscuits apéritifs. Il allait pouvoir se faire un bon apéro et bien s’amuser avec ses amis ! Comme il allait être occupé, j’allais très probablement avoir ma soirée de libre. J’avais envie d’inviter mes copines à manger à la maison. J’allais passer un bon moment avec elles, mais j’aurai tout de même très hâte de revenir au pied de mon Maître.
A mon retour des courses, je rangeais tout dans le frigo et je m’occupais de faire le ménage de l’appartement pour que tout soit parfait pour la réception de ses amis. Il était 19h30 et ses potes devaient arriver dans 30 minutes lorsqu’il me demandait de le rejoindre dans “la chambre du sexe”. Ce n’était pas très raisonnable de baiser maintenant, il ne restait que très peu de temps, il fallait encore que je m’habille, etc., mais bon... S’il avait envie de niquer, il fallait que je lui donne satisfaction. Dans la pièce, le matelas du canapé était posé au sol. Deux menottes étaient attachées sur les bords du canapé. Il m’ordonna de m’allonger et sans grande surprise, il me passa les poignets dans chacune des deux menottes. Je ne comprenais vraiment pas l’intérêt de faire ça maintenant. Il me mit le bandeau sur mes yeux, ce qui eut pour conséquence de me plonger dans un noir profond, mais j’en avais l’habitude désormais. Puis il quitta la pièce en fermant la porte. Il n’est jamais revenu...

Je suis restée 30 minutes comme cela puisque le premier invité venait de sonner à la porte. Pas longtemps après, le second arriva, puis le 3e. Mais qu’allait-il me faire ??? Je compris assez vite que la soirée copine tombait à l’eau. Il allait sûrement me laisser là toute la soirée, me faire attendre des heures dans cette position pour venir me baiser lorsque tous ses amis seront partis et qu’il sera complètement saoul. Il fallait que je trouve une occupation “mentale” pour passer le temps, car cela risquait d’être certainement très long... J’entendais tout le défilement de ses potes au fur et à mesure que la sonnette retentissait. J’étais étonné qu’il y ait autant de monde, il m’avait parlé de sa bande de potes, mais il n’était que 5-6. Là, je pense avoir compté au moins une dizaine de sonneries. L’ambiance dans le salon n’avait pas l’air à la franche camaraderie. Il n’y avait pas énormément de discussion et je n’entendais pas ce qui se disait jusqu’au moment où le silence se fit. Là, je reconnaissais distinctement la voix de mon Maître :
— Bon les gars, un peu d’attention s’il vous plaît ! Comme je vous l’ai expliqué, ce soir, je vous offre ma chienne. Vous pouvez lui faire tout ce que vous voulez, mais il y a tout de même quelques règles à respecter. Deux sont très importantes : obligation de la baiser avec des capotes, je ne sais pas où ont traîné vos queues et interdiction totale de lui enlever son masque ! Vous pourrez lui gicler sur la gueule et salir le masque si cela vous amuse, mais je vous interdis de lui enlever. A aucun moment, elle ne doit voir votre visage. Soyez vraiment vigilant là-dessus, je rentrerai de temps en temps dans la pièce et je vous fous dehors à coups de pied dans le cul si je la vois sans le bandeau. Je ne rigole vraiment pas avec ça ! Également, une seule personne à la fois dans la pièce, interdiction d’y aller à plusieurs. Ensuite, lorsque vous avez giclé, vous sortez de la pièce et vous passez votre tour au prochain. Selon le temps que ça durera, certains pourront peut-être lui passer dessus une seconde fois. Je suis le seul à prendre cette décision et le premier qui insiste lourdement pour y retourner, il prend la porte. Enfin, nous avons mis en place avec ma chienne un safe-word. Elle le connaît, si je l’entends le dire, on arrête tout et tout le monde rentre chez soi sans la moindre protestation. Je vous rassure, depuis que je la connais, je lui ai fait tout un tas de saloperies et elle ne l’a jamais dit ! Mais là, c’est la première fois que je la partage à des inconnus, alors je ne sais pas quelle réaction elle va avoir. Mis à part ça, vous avez le droit de tout lui faire, sauf lui chier dessus, elle n’aime pas ça malheureusement... Vous pouvez lui enlever les menottes et la défoncer dans toutes les positions qui vous feront plaisir. Dernière chose, si vous lui enlevez les menottes, vous lui remettez en quittant la pièce. Il faut que votre successeur la retrouve dans la même position que vous l’avez trouvée. C’est tout bon pour vous les mecs ?? — Ouais c’est bon ! dirent-ils en chœur.— Parfait les gars. Alors prenez du plaisir, ne vous souciez pas du sien et surtout, défoncez-la bien comme il faut ! Allez mec, à toi l’honneur.

J’étais pétrifiée de ce que je venais d’entendre. Il allait m’offrir en peinture à ses potes. Il y avait énormément de monde, cela allait durer des heures. Je crevais de peur ! Quelques secondes après la fin de la conversation, la porte de la chambre s’ouvrit, ce qui fit entrer un air frais dans la pièce. Je ne savais pas qui était là à m’observer, je ne savais pas à quoi il ressemblait et j’étais là, attachée au canapé, nue avec ma laisse... L’homme m’écarta les jambes avec son pied et il le passa sur ma chatte pour me caresser. Très rapidement, mon rythme cardiaque s’accélérait et je commençais déjà à bien mouiller. Encore une grande surprise ! Cette situation commençait finalement à m’exciter !
— T’es vraiment bien mouillée espèce de pute ! L’autre ne nous avait pas menti, t’as l’air d’être une bonne grosse salope ! Je n’ai jamais vu ça, je ne sais même pas si tu imagines ce qui va t’arriver, me dit-il.
“L’autre” ? Pourquoi ne l’appelait-il pas par son prénom puisqu’ils sont amis ? Qu’allait-il m’arriver ?? Je n’avais pas trop le temps de réfléchir à la question que je sentais ses doigts de pied pénétrer dans mon vagin. Ses ongles semblaient longs et la pénétration fut douloureuse, il dut forcer pour qu’ils puissent rentrer. Cette manière de faire commençait à me stimuler et je me sentais mouiller de plus en plus. Il se rapprocha ensuite de moi et tapota sa bite bien dure contre ma joue. Je me souviens qu’il tapait vraiment fort, c’était des véritables coups de boutoir. Ça claquait sec. J’en avais mal à la mâchoire. Celui-là, ce n’était de toute évidence pas un tendre et la suite allait me donner raison. Il m’enfonça son gros bâton tout dur dans la bouche. Ma position n’était pas idéale pour sucer convenablement puisque j’étais toujours allongée, les deux bras menottés au-dessus de ma tête. Par contre pour lui... Il m’avait agrippé la tête avec ses deux mains par l’arrière de mon crâne et m’a littéralement explosé les amygdales. Sa bite était énorme, bien plus grande que celle de mon Maître. Je m’étouffais à chacun de ses allers-retours si bien que je n’ai pas pu m’empêcher de lui vomir dessus.

-Ah putain, espèce de sale grosse chienne dégueulasse ! Tu m’as vomi sur la queue petite pute !! Nettoie maintenant !! me dit-il.
Il semblait cependant particulièrement ravi de cette action. Je sortais ma langue pour nettoyer et avaler mon vomi. C’était sale, mais je commençais à avoir l’habitude lorsque je mangeais les croquettes et que je vomissais dans la gamelle... A ce moment-là, je me rappelle bien m’être dit “que va-t-il se passer si la dizaine de gars dans le salon te traite ainsi ??” En tout cas, c’était une belle entrée en matière. Une fois sa bite bien propre, il retournait au niveau de mes jambes pour les soulever.
D’une main, il me tenait les deux chevilles, ce qui faisait que mes jambes étaient très resserrées et, par conséquent, mes 2 trous également. Il me dit— Et maintenant on va voir si t’es un garage à bites. Sans aucune préparation, il enfonça sa bite directement dans mon cul. Il me fit hurler de douleur. J’avais l’impression d’avoir reçu un véritable coup de poignard dans le bas-ventre. Je ne pouvais pas m’empêcher de verser des larmes. J’entendais des éclats de rire et des réactions de stupeur dans le salon. Il ne me ménageait absolument pas, il allait aussi vite dans mon cul pas encore préparé que dans ma bouche. Il se mit à crier :
— Ouais les gars, elle est trop bonne cette salope !! Je la défonce !!

A ce moment-là, mon Maître rentra dans la chambre et lui dit :
— Défonce-la tant que tu veux, mais tu fermes ta gueule, je ne veux pas t’entendre ! Y a qu’elle qui en a le droit.

D’entendre la voix de mon Maître me rassurait. Je savais qu’il n’était pas loin et qu’il était là pour veiller sur ma sécurité si les choses venaient à déraper. A partir de ce moment-là, j’ai pu complètement me relâcher et vivre l’expérience à fond. Pendant qu’il me baisait sauvagement, il me mettait des tapes bien appuyées sur mes seins avec sa main droite. Mon cul se dilatait de plus en plus suite aux assauts répétés de mon partenaire et le plaisir envahissait tout mon corps, me faisant jouir à plusieurs reprises. Il n’a pas arrêté une seule fois de me sodomiser, ma chatte ne devait pas l’intéresser. Quand il se retira, c’était pour enlever sa capote et gicler sur mon trou du cul qui était désormais bien ouvert. — J’en ai fini avec toi grosse pute. Bon courage pour la suite, tu vas en avoir besoin pouffiasse !
Une dernière tape bien sèche sur mes seins comme un signe d’au revoir, il quittait la pièce pour laisser la place au prochain.C’est ainsi que plusieurs mecs ont débarqué dans la chambre. Tous plus brutaux les uns que les autres. Il faut dire que j’étais de plus en plus dégradée à chaque fois qu’un nouveau rentrait, donc ça devait leur donner des idées : sperme de partout sur le corps et le visage, mes deux trous complètement ouverts. Les fesses, les seins et la gorge devaient être rouge vif à force d’avoir été frappée et strangulée. Également, plus la soirée avançait pour eux, et plus ils étaient bourrés. Ils n’avaient plus aucune limite, ils ne retenaient plus leurs forces et étaient beaucoup plus endurants.

J’enchaînais les sodomies, les baffes et toutes les positions possibles et imaginables. Ils me retournaient dans tous les sens comme un vulgaire objet. J’ai même eu le droit à un fist vaginal et anal ! La douleur était proportionnelle à la jouissance que cela me procurait, c’est-à-dire extrême. Mon Maître venait de temps en temps dans la pièce pour s’assurer que les règles énoncées auparavant étaient bien respectées. Tous les gars qui me sont passés dessus ont été réglo et ont respecté les consignes. Lorsque mon esprit se déconnectait un peu de la scène, je parvenais à entendre la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer. Même si j’adorais ce qu’il se passait dans cette pièce, c’était vraiment épuisant et j’espérais vraiment que les gens partaient et que ce n’était pas pour accueillir de nouvelles personnes. Cependant, j’entendais de moins en moins de bruit provenant du salon, ce qui me laissait plutôt penser à l’hypothèse que les gars étaient sur le départ.

Suite à cette pensée, deux ou trois gars ont dû encore me baiser. J’entendais le dernier mec partir et mon Maître le remercier d’être venu. Il n’est pas venu me chercher tout de suite. Je suis restée un petit moment seule dans cette chambre, couverte de sperme, de crachat et de sueur. Je ne sentais plus mes bras à force d’être attachée. Fort heureusement, la plupart des gars m’avaient détachée pour me baiser comme ils le souhaitaient, mais tous m’ont rattachée avant de partir, suivant les ordres de mon Maître. Il finit enfin par rentrer dans la pièce. Il me dit :

— Eh bah... Chapeau ! Je suis extrêmement fier de toi. T’es magnifique ainsi. Ne bouge pas, je vais immortaliser cet instant.

Il semblait prendre des photos. J’en ai eu le cœur net lorsqu’il me retira le masque et qu’il continua à me prendre en photo. Je l’imaginais, seul, regardant ses photos en se branlant. J’adorais ça. Chaque photo était accompagnée d’un petit commentaire, d’une petite insulte de sa part. Je pense qu’il était réellement surpris de ce que j’avais fait et enduré.
— Tu as bien mérité un petit nettoyage rapide avant d’aller à la douche.

Il prit sa bite et commença à me pisser dessus sur toutes les zones (c’est-à-dire partout) de mon corps où il y avait du sperme. Le téléphone toujours en main, il était en train de filmer la scène. Le salaud ! Il avait tellement bu que sa pisse était interminable. J’en avais partout sur le visage. Il m’a même pissé sur la chatte et le cul pour enlever le sperme qui avait été déposé dessus. Totalement souillée, il finit par me détacher et me donna l’autorisation d’aller à la douche. J’avais vraiment peur qu’il me demande d’aller dormir comme ça, mais l’odeur était vraiment très forte et il ne l’aurait pas supportée dans la chambre.Au retour de la douche, j’allais me poser dans mon panier. Il me dit :
— Tu as compté combien de mecs t’ont baisé ce soir ?— Je ne sais pas Maître, j’ai arrêté de compter à partir du 3e. Je dirai une dizaine ?— 14. 14 mecs sont venus te baiser à la chaîne. Tu as été baisée sans aucune interruption pendant 5 heures. C’est une très très belle performance, me complimenta-t-il.— Merci Maître, je suis heureuse que cela vous fasse plaisir et que vous soyez fière de moi. Je peux vous poser une question ?— Oui, je crois que tu l’as mérité.— Toutes ces personnes étaient vos amis ? Vous m’aviez parlé de 5-6 amis très proches, mais là, ils étaient beaucoup plus nombreux.
Il rigola avant de prendre la parole :— Je ne connaissais aucun des gars qui étaient là... !— Ah bon ?? lui dis-je, surprise— Attention, ne me coupe pas la parole... Tu as énormément ramassé ce soir, mais moi, je ne t’ai rien fait, je peux encore te punir, alors fais attention.— Oui Maître pardon, je suis vraiment désolée. Veuillez me pardonner.— C’est bon, tu l’es. Comme je te le disais, je ne connaissais aucun des mecs. Je suis allé mettre une annonce sur un site spécialisé puis j’ai fait passer une sorte de casting aux gars qui ont répondu. Cela fait plus d’un mois que je travaille sur le projet. Est-ce que cela t’a plu ?— Je crois avoir rarement autant joui mon Maître. C’était incroyable.— Je suis content que ça t’ait plu. J’adorais t’imaginer te faire défoncer par toutes ces bites que tu ne voyais même pas. Peut-être que demain, dans la rue, tu tomberas sur un de ces gars qui t’a baisée. Lui te reconnaîtra, car ce n’est pas ce vulgaire masque qui cache ton visage, mais toi tu ne sauras jamais que ce mec t’a baisée. Qui sait, peut-être que Jérôme était parmi les 14...— Maître ! Non ! Pitié ! Vous ne m’auriez jamais fait ça !!— Haha non, je ne t’aurai jamais fait ça. J’ai l’esprit pervers, mais pas à ce point, quoique... Tu sais que si je croise ce type, je le défonce ! Allez ma chienne, je suis trop bourré, faut que je dorme. Passe une bonne nuit et encore félicitations, tu as été la bonne petite salope d’un soir.

C’est sur ces belles paroles qui pour moi étaient rassurantes et tendres que j’allais m’endormir également, épuisée par ces 5 heures de baise intense. La salope d’un soir... Ce titre m’allait bien.
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