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Confessions d'une esclave sexuelle

Chapitre 8

Le répugnant Carlos

Trash
Alors que nous venions de terminer notre repas, mon Maître avait pris sa place sur le canapé et moi la mienne, à 4 pattes à ses pieds. Il prit la parole :
“ - Il te reluque toujours le gros sac à ton boulot ?— Oui Maître, il n’arrête pas. C’est vraiment gênant. Il est vraiment dégoûtant et laid.— Haha parfait ! Je veux que tu te fasses tringler par ce mec !— Mais... Maître...— Ta gueule ! Tu n’as pas ton mot à dire, me dit-il en me bousculant avec son pied. Dès demain, tu vas mettre les mêmes fringues que tu mets pour aller faire les courses. Bien entendu, je ne veux rien en dessous, comme d’hab quoi. Tu vas l’allumer comme la pute que tu es toute la matinée. L’aprèm, tu l’appelles et le fais rentrer dans ton bureau. Tu te lèves pour fermer la porte du bureau à clé et là tu le chauffes pour qu’il te baise. Il aura tous les droits sur toi. Je t’interdis de refuser la moindre initiative de sa part. Crois-moi, si tu refuses quoi que ce soit, je serai au courant et là, tu vas morfler. Je veux également que tu lui donnes ton téléphone et qu’ils prennent un maximum de photos/vidéos. Je veux recevoir les photos au plus tard à 15h30. Si je ne les ai pas ou au-delà de 15h30, tu seras punie. T’as bien tout capté ??— Oui... Maître... Je ferai selon vos désirs... répondis-je angoissée.”

Toute la soirée, j’ai pensé au calvaire qu’allait être ma journée de demain. Rien que de m’afficher au boulot avec ma minijupe ras la foufe et mon décolleté qui faisait ressortir quasiment la totalité de mes seins m’angoissait. Qu’allaient donc penser mon patron et mes collègues ?? Tous les regards allaient être tournés vers moi. Autant cela m’excitait comme une folle pour faire les courses, mais là, j’avais de gros doutes au travail. Ce job était vraiment très important. C’est grâce à lui que j’ai pu remonter la pente après ma dépression. Je me suis énormément investie sur ce poste, je ne voulais pas tout foutre en l’air pour satisfaire la perversité de mon Maître. Mais au final, avais-je le choix ??
Je pensais également au gros Carlos... Comment allais-je pouvoir baiser avec lui ? Je n’allais jamais mouiller, c’était impossible tant cet homme m’inspirait le plus profond dégout. Il devait avoir entre 55 et 60 ans. Il était immense et massif : il ne mesurait pas loin des 1m80-85 et pesait entre 120 et 150 kilos. Son ventre était énorme. Sa bedaine dépassait de son bleu de travail. Il n’avait pas de tee-shirt assez long pour le recouvrir entièrement, si bien que son nombril était exposé à la vue de tous. Autour de son nombril, d’immenses poils noirs foncé camouflaient entièrement son ventre tellement il y en avait. Je n’osais donc pas imaginer comment c’était entre ses jambes... Il avait de longs cheveux noirs bien gras qui s’arrêtaient aux épaules afin de cacher sa calvitie. Il avait également une grosse barbe qui n’était pas du tout entretenue ni taillée. Il n’était pas rare, après le repas du midi, de le voir avec plein de miettes dedans. Ses dents, pour ce qu’il lui en restait, étaient jaunies par le tabac. Le summum de ce portrait infâme était son odeur nauséabonde. Il sentait un mélange de clope froide et de transpiration. Il ne changeait que très rarement de vêtements. Il avait vraiment une hygiène déplorable... Et dire que demain après-midi, ce répugnant personnage sera calé entre mes jambes à me défoncer... Rien qu’à cette pensée, j’avais envie de vomir. Je crois que j’aurai préféré encore que mon Maître me chie dessus plutôt que de devoir baiser avec lui. J’hésitais vraiment à dégainer le safe word mais je savais qu’il me punirait sévèrement pour cela, car je n’avais même pas essayé. Il fallait que je m’accroche à l’idée que cette situation allait énormément lui plaire et que je faisais ça, car j’adorais faire plaisir à mon Maître.
Le lendemain matin, j’effectuais donc le même rituel qu’expliqué dans mon précédent chapitre. J’avais enfilé ma minijupe noire très très moulante ainsi que mon haut blanc ultra-serré qui donnait l’impression que mes seins allaient exploser. Sur la demande de mon Maître, j’avais mis des talons (chose que je ne faisais jamais, j’étais du style jean/basket) et je m’étais maquillée plus qu’à l’ordinaire, insistant bien sur le rouge à lèvres. Après avoir déposé mon Maître à son travail, je prenais donc la direction du mien la boule au ventre.
A peine rentrée, il y eut une stupeur générale lorsque mes collègues me virent. Le bâtiment était conçu de telle sorte qu’en rentrant, il y avait un petit couloir. Sur la gauche, il y avait la cuisine où nous nous retrouvions pour manger, et sur la droite, un espace cosy de “détente” où nous faisions nos pauses café. Il fallait traverser cette pièce pour accéder ensuite à un autre couloir qui menait à nos bureaux. Quelques personnes étaient déjà présentes à ce moment-là, dont bien évidemment celui qui allait être mon bourreau dans quelques heures, Carlos. J’avais déjà la nausée rien qu’en le voyant avachi sur son fauteuil, café à la main. Il faillit s’étouffer avec en me voyant habiller ainsi. C’est bien l’effet que recherchait mon Maître en m’ayant habillée comme ça. Il y avait deux collègues de chantier à lui puis mes collègues Virginie, Samantha et Audrey. Je leur faisais la bise, les trois me dirent presque en cœur que j’étais magnifique aujourd’hui. Je les remerciais, et très vite, je devais penser au rôle que mon Maître m’obligeait à jouer. Je devais allumer Carlos. J’avais très peu de temps, car il démarrait son chantier d’ici 30 minutes. Il n’allait donc pas être là de la matinée. Généralement, comme le chantier était à quelques minutes du siège de l’entreprise, lui et ses collègues revenaient ici pour manger.

J’allais donc le revoir le midi à la cuisine puis il allait repartir travailler l’après-midi. Il fallait donc que je trouve un moyen qu’il soit présent un petit moment l’après-midi pour me baiser. Beurk... Après avoir discuté une ou deux minutes avec les filles, je me dirigeais vers mon bureau en tortillant bien du cul. Passant devant Carlos, je lui dis “Bonjour Carlos” avec une petite voix sensuelle et le plus beau sourire que j’étais capable de faire. C’était un deuxième choc pour le pauvre homme. Au mieux, il avait droit à un vieux signe de tête de ma part le matin en guise de bonjour. Il bégaya un “Salut” en me reluquant de haut en bas avec ses yeux lubriques. Je filais à mon bureau le cœur battant à la chamade de ce qui venait de se passer. Il fallait absolument que je prenne le dessus sur mes émotions, sinon la mission allait être un véritable échec et mon Maître ne me le pardonnerait pas. Je ne voulais pas le décevoir. Avant d’arriver à mon bureau, je passais comme tous les jours dire bonjour à mon patron. Là encore, il parut vraiment déboussolé et interloqué de me voir dans cette tenue. Je sentais qu’à lui aussi, je lui faisais de l’effet et je dois avouer que j’en tirais un certain plaisir. J’allumais mon ordi et commençais à lire mes mails. Je regardais bien l’heure, car il fallait que je repasse encore au moins une ou deux fois devant Carlos.

10 minutes après mon installation, je retournais donc dans la pièce où Carlos était toujours présent avec ses collègues. Il n’y avait plus qu’eux. Je les entendais discuter et rire fort de l’autre bout du couloir. Dès que j’ai mis un pied dans la pièce, le silence fut instantané. Je n’étais que de passage, car je me rendais à la cuisine pour y déposer mon tupperware. A l’aller et au retour, les trois chiens me regardaient la bave aux lèvres. Au retour, Carlos se lança et me dit en bafouillant :
“- T’es sacrément bon... heu... belle aujourd’hui Marine
— Je te remercie du compliment mon Carlos, t’es plutôt pas mal toi aussi”, répondis-je avec un clin d’œil.
Quelques mètres plus loin dans le couloir, j’entendais ses collègues lui dire : “putain la salope comme elle te chauffe mon gars ! Elle est en chaleur ou quoi ?? On dirait qu’elle cherche à se faire défoncer !” Puis des rires gras suivirent. Encore 10 minutes plus tard, je retournais à nouveau dans la pièce pour me faire couler mon café. Les gars étaient sur le départ. Carlos était le dernier à partir de la pièce. Il fallait le temps qu’il arrive à lever tout son poids du fauteuil et il était obnubilé par mon cul et mes seins, il n’arrivait pas à en détacher le regard. Je lui glissais doucement ces quelques mots : “Travaille bien mon Carlos et sois prudent sur le chantier, je ne voudrai pas qu’il t’arrive quelque chose. A tout à l’heure pour le déjeuner...” Bingo, j’avais déposé mes pions sur l’échiquier et je voyais bien que cet imbécile avait mordu à l’hameçon. Je commençais à prendre du plaisir dans ce petit jeu d’allumeuse. J’avais presque hâte d’être midi pour continuer ! Par contre, lorsqu’il faudrait passer réellement à l’acte, ça allait être une autre paire de manches...
12h30, il était temps d’aller manger. Carlos et plusieurs autres de ses compères étaient déjà présents (ça devait bosser dur sur le chantier...) ainsi que mes collègues administratifs. Nous avions une très grande table, longue et large, ce qui faisait que quasiment toutes les personnes présentes pouvaient y manger dessus. Par chance, personne n’était assis en face de Carlos. Je prenais donc cette place. Il n’a quasiment pas touché à son assiette (ça ne lui faisait pas de mal) tant il était obsédé à me mater. De temps en temps, sa main droite quittait la table et disparaissait dessous. Je l’imaginais en train de se toucher. Cette situation me dégoutait et m’excitait en même temps. S’il n’était pas aussi laid, j’aurai certainement fait une flaque sur la chaise ! Mais bon... C’était Carlos ! Il était tellement concentré sur ma paire de seins qu’il fit tomber un moment sa fourchette au sol (volontairement ou non, je ne sais pas). En tout cas, lorsqu’il se baissa, je saisis l’occasion pour écarter en grand mes jambes afin qu’il ait une vue plongeante sur ma foufoune impeccablement épilée comme mon contrat le stipulé. Il mit du temps plus que de raison pour ramasser sa fourchette et pour se redresser, profitant au maximum du tableau qu’il avait devant ses yeux. Il se cogna d’ailleurs la tête contre la table en se relevant, ce qui eut pour effet de faire rire l’assistance. Moi, je lui lançais un simple clin d’œil bien plus aguicheur que celui du matin. Peu de temps après, vers 13h, Carlos et sa bande devaient repartir sur le chantier. On pouvait très distinctement apercevoir une grosse bosse entre ses jambes... La deuxième partie du plan avait fonctionné à la perfection, il fallait maintenant que je passe à la phase finale, celle qui serait de toute évidence la moins agréable.
Vers 14h, je pris mon téléphone et appela Carlos sur son portable (du fait de mon travail, j’avais les numéros de tous les personnels de l’entreprise). Je lui parlais avec ma voix la plus sensuelle possible :
“- Salut Carlos, c’est Marine... J’espère que je ne te dérange pas trop en plein effort...— Heu... Sa... salut Marine... Non non, tu ne me déranges pas du tout. Je peux faire quelque chose pour toi ?— Oui, tu peux faire quelque chose pour moi. J’étais en train de m’occuper de ta paie du mois prochain et il y a un petit souci. J’aimerais que tu passes le plus rapidement possible à mon bureau pour qu’on puisse régler cela ensemble. Tu peux être là quand ?— Un problème sur ma paie... ? Ecoute, je pose tout et je suis là dans même pas 10 minutes... A tout de suite— Parfait, à très vite mon Carlos”
Mon Dieu... Vu comme je le chauffais, j’allais vraiment vraiment prendre cher... A partir du moment où j’ai reposé le téléphone, un immense stress m’envahissait ! Il n’a même pas fallu 10 minutes pour que Carlos toque à ma porte. “Entre Carlos, entre”. Ce gros porc avait sûrement couru pour arriver au plus vite. Il était complètement essoufflé et dégoulinant de transpiration. Le bureau empestait déjà de son odeur. L’heure qui venait allait être très certainement un calvaire. Je lui dis de s’asseoir sur une chaise en face de mon bureau. Je me levais ensuite en marchant toujours de manière très aguicheuse pour faire le tour de mon bureau et fermer la porte à clé. Je m’approchais de lui, je passais mes mains sur ses épaules puis les faisais descendre lentement le long de son torse.
“ - Tu as couru pour être aussi essoufflé ? Il ne fallait pas te presser, nous avons tout notre temps pour régler ce petit problème” lui dis-je en rapprochant ma bouche au maximum de son oreille.
Aussitôt, il saisit mes mains, ce qui eut pour conséquence de me faire basculer le visage un peu plus dans son cou. Sa transpiration dégoulinait sur ma joue. J’avais déjà envie de vomir.
“ - Tu m’as chauffé toute la journée grosse salope. Je n’ai pas arrêté de penser à ça, tu m’as totalement perturbé à midi. Maintenant, tu vas recevoir ce que tu cherchais. Je vais te défoncer tous tes trous ! Tu vas prendre cher, crois-moi, tu ne vas pas être déçue !”
Il déposait mes mains sur sa bite qui commençait déjà à bien gonfler. J’en profitais pour défaire son bouton et ouvrir sa braguette. Carlos recula un peu sa chaise, me prit par le bras de toute sa poigne et m’ordonna de le sucer. A genoux, j’enlevai son pantalon et son slip. Une énorme touffe de poils recouvrait l’ensemble de son pénis, un véritable buisson. C’était ignoble. Il aurait fallu que je prenne mon courage à deux mains pour approcher ma bouche de sa queue, mais il ne m’en laissa pas le temps.

De toute sa poigne, il colla ma tête sur sa bite, et je n’eus que d’autre choix que de la prendre en bouche. Elle sentait le vieux saumon périmé depuis des mois. C’était une horreur. Rarement je n’ai senti une odeur pareille. Il fallait vraiment que je me concentre pour ne pas vomir, d’autant qu’il appuyait de plus en plus fort sur ma tête pour me faire descendre jusqu’au bout. Je n’avais d’autres choix également que d’avoir ses poils sales dans ma bouche. Sa bite était proportionnelle à sa carrure : grande et large. En soi, une très belle queue, c’était sûrement la seule qualité physique de ce garçon tant le reste était répugnant. Rapidement, il se mettait debout pour me baiser la bouche. Il y mettait toutes ses forces. Des gouttes de sa transpiration tombaient sur mon visage, comme de fines gouttes de pluie.

Soudain, je me rappelais : les photos ! Quelle idiote, cela faisait déjà une dizaine de minutes que je subissais les assauts de sa bite dans ma bouche et je n’avais même pas pensé à lui demander de faire des photos ! J’essayais de me dégager tant bien que mal de son emprise pour prendre la parole.
“- Huuum j’adore ta queue... Elle est tellement grosse ! Je n’en ai jamais vu une pareille ! Tu sais quoi, j’aimerais pouvoir en garder des souvenirs autres que dans mes pensées. Prends mon téléphone sur le bureau et prends des photos et vidéos. Cela me permettra de me toucher le soir en pensant à toi...— Tu es vraiment la reine des salopes. Tu vas devenir ma bourrique, je vais te remplir tous tes trous de pute !”
Carlos se saisit du téléphone, enfonça à nouveau sa bite au plus profond de ma gorge et prit des photos durant tout le long de notre partie de jambe en l’air. Même s’il me dégoutait profondément, comme je le disais auparavant, il faut bien avouer que sa bite (malgré son odeur) était impressionnante, ce qui commençait à avoir pour conséquence de bien m’exciter. Touchant ma chatte, je m’apercevais que j’étais déjà bien mouillée. Carlos ne manqua pas de remarquer mon geste. Il m’ordonna de m’enfoncer deux doigts dans la chatte pour me préparer. Vu ce que j’encaissais depuis des mois, même si sa bite était grosse, je ne me faisais aucun doute sur le fait qu’elle puisse rentrer sans aucun souci.

Après l’avoir bien sucé, il enleva à la hâte mon haut puis m’attrapa sous les aisselles pour me soulever comme un vulgaire sac à patates. Il me jeta sans aucun ménagement sur le bureau. Il tira sur mes jambes pour me faire glisser au plus proche du bord et souleva ma jupe. Après un gros râle, il cracha un énorme mollard visqueux sur ma chatte et me pénétra. Il empoigna mes seins avec chacune de ses grosses paluches et les malaxa comme une pâte à pétrir, n’hésitant pas à pincer et tordre mes tétons dans tous les sens. Debout, il pouvait me baiser avec toute la force de son physique. Je ne pouvais me retenir de jouir à plusieurs reprises sous les coups de bite que je recevais.

Pour ne pas éveiller les soupçons auprès de mes collègues des bureaux voisins (j’avais de la chance que mon patron soit en déplacement cet après-midi-là), Carlos enfonçait ses gros doigts sales au fond de ma bouche pour m’empêcher de faire du bruit. Il avait les ongles longs et noirs comme du charbon. Dégueulasse. Carlos était très excité et il ne put se retenir très longtemps d’éjaculer. Il me tira très fort les cheveux pour me forcer à descendre du bureau et me retrouver à genoux à ses pieds. Il ne put s’empêcher de crier lorsqu’il éjacula des litres de sperme sur mon visage. J’en avais de partout, même dans les cheveux. Il eut le réflexe de prendre plusieurs clichés de ce moment. Je savais que ça plairait à mon Maître.
“- Wahou... Tu m’as bien vidé ! Cela faisait des années que je n’avais pas baisé une grosse pute comme toi !! Et en plus, ce qui est bien avec toi, c’est que c’est gratuit !”— Merci pour le compliment... lui répondis-je en me redressant en direction de mon bureau pour y attraper des mouchoirs.— Tu vas où comme ça ?— Je récupère la boîte de mouchoirs pour m’essuyer.— Est-ce que je t’ai donné la permission ?— Heu... Non, mais tu n’as aucun ordre à me donner. J’avais une grosse envie de baiser, on l’a fait et voilà c’est fini.— Ah ouais ?? Tu crois vraiment que j’en ai fini avec toi petite pute ?? Je t’ai dit que j’allais te remplir tous tes trous et sauf erreur de ma part, il y en a un dont je ne me suis pas encore occupé ».
Sans que je ne puisse dire un mot ni même attraper un mouchoir, il me retourna face au bureau et plaqua mon ventre dessus. Il me tenait fermement par les cheveux de telle manière qu’il était impossible pour moi de bouger. Un petit coup de pied bien placé sur une de mes chevilles m’obligeait à écarter instantanément les jambes. De la même manière qu’il avait craché sur ma chatte tout à l’heure, il faisait de même sur mon anus. Puis, il enfonça un doigt dans mon cul. Il n’attendit guère plus longtemps pour y mettre un second. Il était toujours très excité, car je ne l’avais pas vu débander depuis son éjaculation. Cela devait vraiment faire un moment qu’il n’avait pas baisé ! En même temps, ce n’était pas très étonnant... Ses doigts s’acharnaient dans mon cul. Ses longs ongles râpaient l’intérieur de mon rectum.

Après m’avoir bien fait souffrir (j’avais beau lui dire que cela me faisait mal, mais il n’en prêtait pas attention) il se décida enfin de m’enfoncer son gros dard. Sa bite était peut-être la plus large que j’ai connue jusqu’à présent, ce qui rendait le départ un peu difficile. Ayant éjaculé peu de temps avant, je savais que j’allais prendre cher un petit moment... Sans jamais changer de position, il m’éclata totalement le cul pendant une vingtaine de minutes. Avec toute la puissance qu’il mettait dans ses coups de bite, le bureau craquait de plus en plus et je craignais vraiment qu’il ne se casse. Je ne sais pas comment j’aurai pu expliquer cela à mon patron... Pour ajouter un peu de perversité, il prit un moment la règle qui traînait sur mon bureau pour me l’enfoncer dans la chatte. L’entrée me fit un peu mal, mais la double pénétration était fort agréable.
Il finit par sortir sa bite et éjacula sur mon trou du cul complètement ouvert. Il remonta son pantalon et me dit : “Maintenant, j’en ai fini avec toi”, en me crachant un nouveau mollard dans le dos. Il jeta mon téléphone sur le bureau et me laissa ainsi seule, toujours plaquée dans la même position. Le sperme coulait le long de mon cul jusqu’à ma chatte et mes jambes. Il m’avait épuisé. J’avais du mal à tenir sur mes jambes. Je suis peut-être restée 30-40 secondes sans changer de position. Puis je pris les dernières forces qu’il me restait pour prendre mon téléphone. Il était 15h20. Sans trop prendre le temps de regarder, j’envoyais à mon Maître la trentaine de photos et vidéos qui avaient été prises par Carlos. J’avais relevé son défi.

Je pris la boîte de mouchoirs pour m’essuyer le sperme sur mon visage et entre mes jambes. Il fallait vraiment que plus rien ne coule, car comme je n’avais pas de sous-vêtement, je craignais vraiment que du sperme coule le long de ma jambe si je croisais mes collègues. Je sortais du bureau direction les toilettes pour me nettoyer le visage. Mon maquillage était ruiné, je n’en avais quasiment plus. Durant l’heure qu’il me restait à travailler, mes collègues ont bien remarqué que je n’étais plus la petite pimpante du matin avec du beau maquillage. Elles n’ont pas manqué de me faire la remarque. Je ne sais plus quelle excuse j’ai baragouinée pour m’en sortir. Je devais attendre encore une petite heure avant de rentrer chez mon Maître. J’avais hâte de partir !
Lorsqu’il rentra le soir, il était tout souriant. Je dus tout de même m’exécuter au rituel de son arrivée. Ce n’est qu’ensuite que nous avons débriefé ensemble ce qui s’était passé l’après-midi. Comme je m’en doutais, il était très fier de moi. Ma récompense fut de pouvoir dormir pour la première fois dans son lit. La nuit serait donc plus confortable que dans mon petit coussin de chienne. Je m’endormais donc auprès de mon Maître, finalement totalement satisfaite de ce qui s’était passé aujourd’hui.
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