- Histoire érotique écrite par Anonyme
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Nous sommes mariés depuis bientôt trente ans, deux grands enfants qui vivent à
quelques pas de chez nous. Dernièrement, ma femme s’est confessée de quelques
aventures qu’elle a vécu depuis notre mariage. Nous sommes des libertins, mais les
confessions dont elle m’a parlé n’avaient jamais été évoqué jusque là. La première de
celle-ci a pour cadre son entreprise et son patron, elle date de 15 ans.
Elle travaille dans une société de fournitures industrielles, physiquement elle est brune, cheveux
mi-long à l’époque, très féminine dans ses
tenues. La première approche de son patron à eu lieu un jour après le repas
pris à la cantine. Il lui proposa de prendre un café à l’extérieur, elle accepta son offre
sans imaginer un instant de ce qui allait se produire au retour et avant l’ouverture du
magasin.
La prenant par le bras, il la
poussa entre deux rayons, l’entoura de ses bras et posa ses lèvres sur les siennes. La soudaineté et la rapidité
de la situation, ne lui permis pas de le repousser et elle répondit à son baiser sans réagir. Prenant cela pour une
acceptation de sa part, il investit la bouche de mon épouse avec sa langue. Dans ce court instant, il posa une main sur sa poitrine afin d’évaluer la fermeté du sein et le malaxa plus qu’il ne le caressa. La non-réaction de ma femme fut pour lui un consentement, l’encourageant à aller plus loin. Du coup, et malgré le peu de temps qu’ils avaient avant l’ouverture il l’emmena dans son bureau. Il s’assied dans son fauteuil demandant à mon épouse de venir près de lui tout en lui intimant l’ordre de se retrousser, ce qu’elle fit après s’être assurée que personne ne pouvait l’apercevoir. Il la complimenta sur les dessous qu’elle portait et se saisissant de l’élastique de la culotte,
il la lui baissa à mi-cuisse en lui demandant d’ouvrir ses cuisses, ce qu’elle fit, se demandant si elle rêvait où pas.
Il porta la main sur le sexe de mon épouse, caressant avec deux doigts les extérieurs de ses lèvres intimes tout en effleurant de son majeur le sillon qui se creusait par le fait de l’excitation dû à la situation. Il s’amusa un court moment et ma femme se laissa aller, fléchissant même les genoux afin de s’ouvrir d’avantage à la caresse de son
patron. Voyant que la situation prenait la tournure qu’il souhaitait, il la pénétra avec son majeur, lui faisant
remarquer à quel point elle mouillait pour lui. Il la masturba rapidement et ma femme ne pouvant retenir l’onde de
plaisir qu’elle sentait monter en elle, poussa un râle et jouit debout, les yeux dans les yeux de son patron. Sachant
qu’a présent il en ferait ce qu’il souhaitait, il retira son doigt et le porta à sa bouche pour qu’elle
en essuie les sécrétions qui le recouvrait puis lui fit retirer sa culotte en lui disant : tu n’ en a pas besoin pour le moment, tu viendras la réclamer avant de partir ce soir. Elle prit congés et se rendit à son bureau pour l’après-midi.
Elle n’avait pas encore totalement réaliser ce qu’elle venait de faire, seule une vibration dans son ventre lui rappeler
qu’elle venait de se soumettre au désir d’un homme, que celui-ci avait 20 ans de plus qu’ elle. Elle avait un peu de mal à se concentrer sur son travail, elle avait l’ impression que ses collègues du bureau savaient ce qu’ elle venait
de faire. En milieu d’après-midi, son patron arriva dans le bureau et demanda un dossier datant de quelques
années, celui-ci ne pouvait se trouver que dans les archives, (c’est une pièce à proximité du bureau et donnant sur
le boulevard avec des vitres sans teint). Elle se leva et le suivit devinant ce qui allait s’ y passer. A peine entrée, il
l’ emmena vers le fond, lui intima l’ ordre de se plier tout en ouvrant ses jambes, elle s’ exécuta, le nez sur les carreaux voyant les personnes et les voitures à l’ extérieur. Il la retroussa à nouveau, la voyant côté pile, il se
délecta de soumettre ma femme à son envie. Il lui glissa une main entre les cuisses, elle était encore toute mouillée, il lui en fit la remarque tout en lui disant : je vais te prendre le cul ! Elle ne répondit pas, mais attestait
son accord en tortillant ses fesses au nez de son patron. Il s’ accroupit, lui écarta les globes fessier, faisant
ressortir la rosette de son écrin, il porta sa bouche à l’ objet de sa convoitise et avec la langue commença à
titiller la fleur anale qu’ il allait investir. Son appendice buccal glissait le long de sa raie fessière, récupérant
son nectar intime pour lubrifier son oeillet qui accueillait la pénétration de ce membre. Cela dura quelques secondes puis il se redressa, elle entendit le bruit du zip de son pantalon puis cru deviner
qu’il se masturbait. Elle attendait, il se positionna, son sexe vint se coller à sa fleur. Il aurait souhaité
être le premier à la déflorer de ce côté, il n’ en était rien, elle n’ offrit aucune résistance lorsqu’ il avança son sexe,
les mains sur ses hanches, il la pénétrait lentement afin qu’ elle le sente prendre possession de ses reins.
Une fois au plus profond que son sexe pouvait investir, il se bloqua et la redressant, il lui fit retirer son pull,
lui dégrafa son soutien-gorge, il la saisit par les seins et la plaqua contre les carreaux. Il entama un va et viens dans
les entrailles de mon épouse qui ainsi offerte oublia tous ses repaires. Le combat des sens dura quelques minutes
avant qu’ elle ne ressente le sexe de son patron grossir en elle et que les jets brûlant de sa semence jaillissent au
plus profond de son corps. Elle prit son plaisir au même instant. Ils restèrent coller un court moment puis il se
retira, la laissant inerte face aux vitres. Elle garda la position, le sperme de son patron s’ écoulant de
ses intestins tombait sur le sol carrelé. Il se rajusta et quitta les archives. Elle regagna son bureau après avoir
prie le dossier que lui avait demandé son patron et maintenant amant, car elle savait que ceci n’ était qu’ un début.
Elle se sentait bien, ses intestins lui rappelaient ce qu’ elle venait de subir, sa jouissance avait calmé le feu qu’ il
avait allumé entre midi. Les deux heures qui s’en suivirent passèrent trop lentement pour mon épouse, elle savait qu’ il lui fallait récupérer sa culotte avant de rentrer. Tout le personnel quitta l’ entreprise et ma femme fit semblant
de devoir terminer son travail de façon à pouvoir se rendre chez son patron. Elle entra, il était assis
dans son fauteuil, le pantalon ouvert, la bite à la main en érection. Je t’attendais lui dit-il, viens ici et assieds toi
sur le bord du bureau. Elle se mit, face à lui, les fesses sur le bureau. ?carte bien tes cuisses que je puisse voir
ta chatte et retire ton pull. Elle fit ce qui lui demandait et se retrouva en soutien-gorge, jupe retroussée et sans
culotte le corps offert à la vue de son supérieur. Il continuait à se masturber tout en lui donnant des ordres qu’ elle
exécutait sans rechigner. La situation l’excitait et la faisait mouiller un maximum, elle louchait sur ce membre qui l’avait possédé quelques heures plus-tôt et attendait qu’il se décide de la prendre à nouveau. Lui savourait cet instant, prenait son temps, sa main libre se posa sur le renflement pubien de ma femme et de son index
titilla le clitoris qui bandait au travers des lèvres lubrifiées par la cyprine qui s’en écoulait. Elle poussait son ventre au-devant de cet intrus, il fouillait son intimité comme si cela était normal. Il s’amusait de la soumission que lui
témoignait ma femme. Il retira sa main, se releva, son sexe pointait entre les cuisses de mon épouse, il allait
la pénétrer vaginalement cette fois et elle s’ apprêtait à l’accueillir au fond de son ventre. Il lui dit : prends la en
main et guide la dans ton nid d’amour, elle fit ce qui lui demandait, elle positionna sa verge à l’entrée de son nid
et lentement il s’enfonça dans ses chairs jusqu’ au moment où ses couilles vinrent heurter les fesses de ma
femme. Ils se regardèrent un court instant dans les yeux puis ils s’embrassèrent. A présent, sa langue investissait
la bouche de mon épouse et son membre possédait son ventre. Il ne bougeait plus, il savourait. Il resta comme cela un moment puis le désir s’ accentuant dans son corps, il commença des va et viens dans le ventre ainsi conquis. Après avoir pris le cul de ma femme dans l’ après-midi, il terminait par sa chatte en soirée. Mais cela ne suffisait pas à son plaisir, aussi il prit le téléphone et lui intima l’ ordre de m’ appeler pour me faire savoir qu’ elle
serait en retard. A la confession de ma femme, je me souviens, même quinze ans plus tard de ce coup de fil.
Il la besognait, alors qu’ elle m’ expliquait son retard, cela avait décuplé la jouissance des deux auteurs. A peine
avait elle raccrochait, qu’ il avait éjaculé toute sa semence au plus profond de son utérus et qu’ elle en sentant le sexe grossir dans son vagin avait tout autant jouis que lui. Les deux amants restèrent collés l’ un à l’ autre
jusqu’ au moment où la verge de son patron perdit de son volume pour s’extraire seule du nid chaud et humide dans
lequel elle s’ était lovée. Il se remis dans son fauteuil, ma femme resta assise sur le bureau, il regardait sa chatte,
du sperme perlait sur les poils de son pubis. Il lui rendit sa culotte et la congédia tout en lui conseillant à l’ avenir
de ne venir au travail qu ’en jupe où robe sauf lorsqu’ elle serait indisposée. Cette remarque était d’ autant plus
subtile qu’ il venait de se vider dans son corps sans même lui demander si elle était protégée.