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Confiné chez ma meilleure amie

Chapitre 1

Erotique
— Maudit Covid-19 ! On est confiné ! Tu as entendu le Président ? Que vais-je faire ?— Reste chez moi... On va rester coincés pendant plusieurs semaines, ça nous permettra de ne pas être seuls. Puis tu ne peux pas faire autrement de toute manière. Tu ne trouveras jamais un train à temps pour rentrer chez toi.
Cette réponse, c’est ma meilleure amie Clarisse qui vient de me la donner. J’étais chez elle exceptionnellement durant ce week-end à Paris, pour une offre d’emploi. Elle a 21 ans et vit à Paris, dans ce qui s’apparente à une chambre de bonne. Elle a juste la chance d’avoir en plus un petit espace pour une douche au coin de son studio. Je devais repartir en fin d’après-midi, mais j’ai raté mon train en me perdant dans les différentes lignes de métro de la capitale. Me revoici donc chez elle ce soir. Jusque-là, je pensais que c’était seulement pour une nuit, le temps de trouver une solution. C’était sans compter sur cette pandémie...
Moi, c’est Damien. Nous sommes originaires de Nice. J’ai le même âge que Clarisse. On se connaît depuis le primaire. On est très proche depuis toujours. Elle et moi, ça a toujours collé, donnant naissance à une réelle amitié. Clarisse est sportive, plutôt fine, mais avec une poitrine imposante, et des cheveux frisés de couleur châtain. Elle est très joviale, et ce que j’adore le plus chez elle, c’est sa tolérance et sa «folie», ainsi que notre passion commune pour la littérature. Puis on adore se raconter les différents ragots qui nous entourent. Je sais aussi qu’elle est une femme libérée enchaînant régulièrement les relations. Ce qui n’est pas forcément mon cas, étant toujours puceau. Mais ça, personne ne le sait vraiment.
— Mais je n’ai rien pour rester chez toi. J’avais à peine un boxer et une paire de chaussettes de rechanges pour le week-end, et encore là, elles sont sales à présent. Comment je vais faire ?
Il est à présent près de 21 heures et le discours du chef de l’État vient de s’achever. Clarisse est déjà dans son lit. Elle est sous la couette en train de se changer pour mettre un long tee-shirt qui lui sert de pyjama.
— Va mettre tes affaires dans le panier. Demain, je te ferai une lessive. Pour ce soir, viens dormir nu
Malgré la proximité de notre relation, je n’ai jamais été nu devant ma meilleure amie. Je n’avais jamais été nu devant une autre fille d’ailleurs. C’est une des dernières barrières que nous n’avions jamais franchies, elle et moi. Une forme de pudeur, peut-être. La seule fois où notre amitié a plus ou moins glissé, c’était pour un jeu entre amis, où Clarisse, par défi, m’avait fait un smack. Nous étions encore au lycée.
Je me dirige donc vers l’autre coin de la pièce, devant le bac de douche, où le panier me fait face. Je me déshabille entièrement. La situation m’amuse finalement. Enfin, je me sens homme, à être en tenue d’Adam, et regardé par une fille. Puis avec elle, je n’ai aucune crainte. Elle ne peut pas me faire de mal. Je me redirige vers le lit de Clarisse, tout nu.
— Alors comment me trouves-tu ?— T’es mignon comme tout. T’es à croquer la bite à l’air. Tourne toi que je profite de tes fesses un peu !
Je me soumets à sa demande avec amusement et envie. Je l’entends remuer dans son lit. Puis quelques secondes après, je sens sa main claquer mon postérieur. Elle rit.
— Désolé Damien, mais c’était trop tentant. Tes fesses sont très belles.
Je me retourne, et elle est là, un gros sourire sur le visage, avec son téléphone portable dans la main.Elle filme le tout. A présent, c’est mon sexe qu’elle enregistre dans sa vidéo.
— Pourquoi tu filmes Cla ?— Faut bien prendre des souvenirs Daminou. C’est pas tous les jours que je te vois nu. Attends, bouge pas. Je prends une photo de ta bite. Je vais la mettre en fond d’écran pour quand tu m’appelleras.
Je souris et me prête au jeu. Elle n’imagine rien de ma situation. Et savoir qu’une fille veut un souvenir de ma bite me réjouit intérieurement. Je commence à faire l’hélicoptère avec mon sexe. Je me sens ridicule et homme à la fois. Puis je tente de mettre des bifles à son téléphone.
— Elle est trop petite Daminou. Tu peux pas atteindre mon tel ! Fallait boire plus de soupe, rigole-t-elle.
Et sur ces mots, elle coupe l’enregistrement, et m’invite à rejoindre ma place dans son lit, sous la couette. Allongé à ses côtés, nous décidons de mettre un film débile sur Netflix. Elle se blottit contre moi, comme elle fait habituellement. Sauf que là, je suis nu. Je sens sa tête posée contre mon torse. Je peux sentir l’odeur de ses cheveux. Elle a passé une jambe par-dessus les miennes. Elle m’enlace d’un bras. Et regarde donc la télé tout comme moi. De mon côté, j’ai aussi mes bras qui l’enlacent. Le film s’achève. Elle éteint la télé et la lumière.
— J’aime bien être dans tes bras Damien. Depuis toujours.
Je rougis, mais ça, elle ne le voit pas. Je l’étreins alors plus fort. Sa main parcourt mon corps nu puis rapidement, trouve mon sexe imberbe. Elle le caresse délicatement et fait de même avec mes testicules. Je ne l’en empêche pas. C’est plutôt bon. Je profite comme si de rien n’était. Bon sang, une fille, et ma meilleure amie qui plus est, caresse ma verge.
Elle sait y faire, elle a l’habitude et ça se sent. Ma bite, prisonnière de la main de ma meilleure amie commence à bander. C’est alors que sa tête toujours posée sur mon torse, elle la pivote légèrement, m’embrasse le sein et me souhaite bonne nuit. Sa main agrippant toujours mon sexe. Nous nous endormons, moi plus difficilement qu’elle. Vivement les prochains jours reclus avec Clarisse. Confinement, je t’aime !
Le lendemain, au réveil, Clarisse est toujours blottie contre moi. J’ai la gaule, et sa main tient toujours ma bite. Elle se réveille aussi. Elle sent que mon mat est levé.
— Dis donc Daminou, de bon matin tu es en forme !— Excuse-moi d’être un homme, je réponds entre deux éclats de rire. Puis c’est un peu chatouilleux. — T’aimes pas mes caresses ? Tous les hommes aiment mes caresses sur leur bite généralement... Dis, toi aussi tu sens que c’est parti pour être long ?— De quoi Clarisse ? Ma bite ?— Mais non gros bêta. Je parlais du confinement ! Ta bite et long dans la même phrase, ça va pas forcément ensemble !!!—... Ah... d’accord ! Je peux te poser une question Clarisse ? — Beh oui, on a que ça à faire pour au moins deux semaines !— Pourquoi depuis hier soir, tu caresses ma bite ?— Pourquoi ça te dérange ? Je peux te mettre un doigt dans le cul si tu préfères, répond-elle dans un éclat de rire. J’adore faire ça aux hommes ! — Heuuuu non merci... J’attends toujours ma réponse !— J’aime ça les bites... Puis je t’apprécie beaucoup. Alors je profite un peu de la situation. Je ne pensais pas un jour tenir la tienne. Puis elle est toute douce. On dirait une bite d’enfant Daminou ! C’est mignon. J’aime.— Heu... merci c’est gentil. Sincèrement, je suis comment tout nu ? Je suis beau ? Tu la trouves comment ma bite ?— Beh douce, et mignonne je te dis. Bon après, ne le prends pas mal, mais j’en ai vu passer des bites. Je pense que la tienne est une des plus petites que j’ai eues entre mes doigts. — Ah... au moins, ça a le mérite d’être sincère...
On ne parle plus pendant plusieurs secondes. Clarisse est toujours là à me faire de tendres caresses, à peine plus légères que le vent. Ce qu’elle vient de me dire me travaille. Je reprends la parole.
— Tu as couché avec beaucoup d’hommes ?— J’ai arrêté de compter, mais une bonne quinzaine, je dirai. Peut-être vingt ! Pourquoi, tu me juges ?— Jamais de la vie. Tu sais que c’est pas mon style. Jamais je ne pourrai te juger. Surtout en mal.— Merci. Et toi Daminou. Tu es toujours secret sur le thème. Personne ne sait au fond. Combien de copines tu as eues ?—... Zéro ! J’en ai un peu honte. Mais je ne suis qu’un piètre puceau. — Tu veux dire que t’as jamais niqué ? Et sucé ? Branlé ?— Pareil. Jamais... En fait, tu es la première fille à me voir nu...— Oh mon Daminou. J’en suis honoré. Vraiment... Mais en fait, je m’en doutais. Je suis quand même contente que tu me le dises. Ça devait te peser. C’est mon rôle de meilleure amie d’écouter tes confidences. Tu sais que moi aussi, jamais je ne te jugerai.
Sur ces mots, elle relève la couette à nos pieds et change de position. Elle a lâché ma bite des doigts. Elle s’est à présent allongée perpendiculairement à moi en me faisant face. Elle se sert de mes cuisses comme d’un coussin. Sa joue est posée à quelques millimètres de mon sexe. Elle me regarde d’un léger sourire et d’un regard intense. Entre ses yeux et moi, érigé comme un obstacle, se trouve mon sexe toujours en érection.
Tout doucement, elle rapproche son visage de mon pubis. Ses lèvres entrent en contact avec le bout de mes testicules. Je tremble.
— Tu as froid Damien ? Tu veux que je remette la couette ?— Non Clarisse, c’est pas ça...— Je sais gros bêta... Je te taquine...
A chaque fois qu’elle parle, ses lèvres effleurent la peau de mes bourses et c’est délicieux, doux et délicat à la fois. Puis je sens la chaleur de sa respiration dessus.
— Tu as la peau si douce Damien. Tu t’en rends pas compte.— Toi aussi, tes lèvres ont l’air douces.
J’ai dû batailler avec ma respiration saccadée pour y donner cette réponse dans un râle ridicule. Mes mains commencent à s’accrocher au matelas. Je sens que je deviens fébrile et que je lâche prise. Je suis comme emporté par le plaisir de ce moment. Elle me regarde toujours si intensément. Sa langue sort alors de sa bouche. Toujours allongée contre mon sexe, elle commence alors à lécher sans bouger mes testicules. Puis sa bouche s’ouvre. Elle a à peine le temps de gober une de mes boules, que ma bite tendue vers mon torse fait feu.
Pan ! je me suis tiré dessus.
Tout mon foutre se repend sur mon ventre. Nos yeux ne se sont pas lâchés pendant cet instant. Je viens de vivre un des plus beaux moments de ma vie grâce à ma meilleure amie. Elle garde dans sa bouche ma boule qu’elle cajole de légers coups de langue pendant plusieurs secondes.
Elle relâche enfin de sa bouche mon testicule.
De mon côté, je lui lâche un «merci».Elle me regarde, et susurre quelques mots. Je ne comprends pas, et lui demande de répéter plus fort.
— Je disais : l’homme qui tirait plus vite que son homme Daminou !!!! Attends, faut nettoyer ça.
Elle se met donc à quatre pattes sur le lit, et aidée de sa langue, commence à lécher mon ventre et mon torse. Elle avale mon sperme étalé sur ma peau. Je n’en reviens pas ! Elle avale mon sperme, comme dans mes rêves les plus fous. Sa langue me chatouille. Mon sexe se redresse. Depuis le haut du torse, elle redescend insidieusement vers ma bite, comme une chatte nettoierait son chaton. Elle est si belle à me donner des coups de langue sur mon corps nu. Elle a passé mon nombril à présent. Ma bite est de nouveau dressée. Son visage lui fait face. Elle rigole et se retourne vers moi.
— Dis donc Damien, t’es un rapide pour tout. On voit que tu manques d’entraînement, mon p’tit cow-boy. Laisse-moi finir de nettoyer...
Elle prend alors en bouche mon gland qu’elle nettoie de sa langue, après l’avoir décalotté de ses doigts. C’est tellement bon. C’est chaud, humide, doux... Je n’ai pas le temps de réagir que je lui envoie la sauce dans sa bouche une nouvelle fois. Elle ne dit rien. Elle avale. Une fois la rafale terminée, elle libère mon sexe de ses lèvres et se retourne une nouvelle fois vers moi. Toujours avec ce sourire qui la caractérise.
— Et beh mon cochon ! Je donne de ma personne, et toi tu me tires dessus.
Elle rigole à nouveau. Mon foutre sort légèrement de sa bouche quand elle parle. D’un coup de langue, elle ravale le trop-plein. Je réalise que je viens de connaître ma première pipe, offerte par ma meilleure amie. Elle me regarde d’un regard apaisant, puis vient se remettre dans mes bras. Sa tête sur mon épaule. On se rendort pour un moment. Je ne sais combien de temps à vrai dire...
Quand je me réveille, Clarisse est déjà lavée et habillée. Elle a même pris son petit-déjeuner. Elle m’a préparé des pancakes avec du café. Alors que tout nu, assis sur ma chaise, je profite de ce délice, je vois Clarisse se rapprocher pour s’asseoir en face de moi.
— Au fait, c’est quand que tu vas laver mes affaires Clarisse ?— Justement, mon Daminou. Je veux te parler. J’ai réfléchi à la façon dont se déroulent les choses. On est confiné pour un bon bout de temps. Et on va rester toi et moi seuls dans ce studio...— Tu regrettes toutes les bonnes choses que tu m’as faites ? je lui demande en l’interrompant.—
Elle me sourit.
— — Non, non c’est pas ça... En fait, je vais pas les laver tes affaires. Ça sert à quoi si on sort pas ? Tu vas rester comme ça, jusqu’à ce que le dé-confinement ait lieu. Puis, j’ai une proposition à te faire.— Quoi donc ? Faire la vaisselle ? C’est pas un souci, au contraire. Je me dois de participer aux tâches ménagères.— Daminou ? Me fais-tu confiance ?— Bien sûr. Pourquoi ?— Et si je te disais que je ne suis pas la personne que tu penses connaître ? — Comment ça ? Tu as tué quelqu’un ? Tu comptes me tuer ? dis-je d’un air effrayé. — Tu sais ce qu’est un deal ?— Oui quand deux personnes s’entendent sur une affaire. — C’est ça Dam. Quand deux personnes y gagnent et tapent dans la main. C’est ce que je te propose. On a chacun des choses à offrir à l’autre durant ces prochaines semaines.— Ah bon ? Quoi donc ?— Je t’ai écrit un contrat pendant que tu dormais. Lis-le et signe-le si tu es d’accord.
Je prends le bout de papier que Clarisse me tend. Seules deux phrases sont annotées : Moi Damien, j’accepte à partir de cet instant, de devenir le soumis de Clarisse, sans la juger et sans pervertir le secret. Je ferai tout ce qu’elle me demande, et en échange, je vais rattraper mon retard sexuel aux côtés d’une fille qui ne me veut que du bien, et qui ne me jugera jamais.
Je la regarde. Je n’ai pas tout compris dans son intégralité, mais ce que je retiens, c’est que je dois suivre les ordres et en échange, on va faire plein de trucs pour adultes ensemble. Je signe rapidement sous le texte. Elle me regarde et me sourit.— Tu as pris la bonne décision Damien ! Maintenant, va te doucher.
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