Nous sommes aujourd’hui le cinquième jour de confinement, et aussi le cinquième jour que je passe seul, habillé en femme dans mon appartement.Le patron nous a demandé de nous mettre en congé/chômage technique pour éviter que l’entreprise voie ses employés tomber malades. Cinquième jour en fille, plugguée, pomponnée, etc. Deuxième jour à m’ennuyer... J’ai fait le tour de ma penderie, il faut dire qu’elle n’est pas encore très remplie...Il est 18h30, j’ai passé la matinée à me caresser, et l’après-midi sur des sites de rencontre. Je sais que l’on est interdit de sortir, mais l’excitation de braver cette règle pour aller se faire prendre le cul est grande. Je discute un moment avec une consœur travestie, on se chauffe toutes les deux par cam, mots crus. On décide de se donner rendez-vous au lac entre nos deux villes, cette nuit pour réduire le risque de se faire surprendre par la police. J’enfile une robe pas trop longue, jarretelles et bas, je ne mets pas de culotte et gênerais plus qu’autre chose, mes talons pleins et me faufile à l’extérieur.Il est minuit, j’arrive en voiture, l’air est frais. Je fais le tour du lac pour rejoindre un bosquet et m’y enfonce. J’étale une bâche puis une couverture, et allume quelques bougies dans cette nuit sombre. J’entends des pas, j’espère que c’est mon amie et non un inconnu... Une silhouette féminine s’approche, je suis rassurée et accueille mon allumeuse avec un baiser langoureux.Elle me complimente pour l’installation, s’agenouille et glisse sous ma robe. Elle prend mon sexe en bouche, joue avec sa langue pour le faire grossir, l’effet est rapide, mon clito durcit en quelques secondes. Elle lèche mes boules, joue avec entre ses doigts, tout en me pompant mon bout de chair. Avec son autre main, elle vient d’attraper mon plug et le fait tourner en moi, sortir, rentrer et ainsi de suite. Je suis obligé de la stopper si je ne veux pas jouir maintenant. Je la relève et passe à mon tour sous sa robe y découvrir son service trois-pièces. À ma surprise, elle porte une cage de chasteté ! Et sa chatte est aussi comblée par un plug. J’avais dans l’optique de me faire prendre ce soir, mais elle en a décidé autrement, heureusement dans mon sac, j’ai apporté quelques godes. Je saisis son plug le retire et attrape un de mes godes de taille correcte. Je le lubrifie en le suçant avant de l’enfoncer dans son cul. Toujours debout, elle commence à gémir. Je m’arrête et lui demande de se mettre à quatre pattes. Sur le tapis en position levrette, je prends un gode moins large, mais plus long et l’enfonce entièrement dans ma sissy du soir. On a échangé les rôles, je lui attache un gode ceinture et elle vient me fourrer la bouche comme si c’était une chatte. Je bave beaucoup, gorge profonde, ramonage, ma cavité buccale y passe. Ma mâchoire fatigue, je lui demande de venir me prendre le cul. Elle me demande d’abord de la prendre que si je jouis avant je ne pourrais plus la baiser. C’est avec joie que j’accepte. Je la couche sur le dos, relève ses jambes, retire son plug et pose mon gland sur sa chatte de sissy. Tendrement, je pénètre ma partenaire, mon clito est happé par son cul, comme il m’avalait. Au vu de mon excitation, je me déplace en elle lentement, le plaisir doit durer. J’alterne des va-et-vient longs et fort, mes hanches claquent contre son cul. Une pause pour moi, il le faut. Changement de position, elle me couche sur le dos, à mon tour, et vient s’empaler sur ma queue. Elle se met à rebondir sur moi, tout en m’embrassant. Ma jouissance est proche, elle le sent, se penche en arrière et accélère sa course. Je n’en peux plus, je jouis, je remplis le préservatif. Les contractions de son anus sur ma bite m’indiquent qu’elle a aussi atteint l’orgasme. Elle s’allonge sur moi, haletante, et m’embrasse. Une petite pause durant laquelle j’ouvre une bouteille de vin pour se rafraîchir. On discute, nos fantasmes, envies, etc. Requinquées, je lui demande de m’enculer, j’en ai trop besoin. Je me mets en levrette et attends mon tour. Un peu de lubrifiant coule sur mon trou, un gland de plastique se colle contre, et sans prévenir, sans douceur, elle m’encule à fond. Dès le premier coup, ça claque, c’est avec force qu’elle vient taper au fond de mon cul qui en demandait tant. Cette chevauchée dure un bon moment, avant que je ne sorte le drapeau blanc. J’ai joui deux fois encore, je l’ai prise avec le gode ceinture, à son tour, elle a joui trois fois de plus. On est là, toutes deux étalées sur le sol, humide de nos semences, regardant le ciel étoilé. On s’embrasse, range les affaires et direction les voitures. Avant de se quitter, on se promet de se revoir, et finissons cette nuit sur un bon baiser...
