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Confinement 2020

Chapitre 1

Inceste
Karine, 50 ans, est secrétaire dans un cabinet d’avocat. Divorcée, elle a un fils de 25 ans, Adrien, qui termine ses études d’ingénieur et qui vit chez elle dans un grand appartement en banlieue de Lille. Pour la décrire, elle est assez grande 1m75, quelques kilos en trop qui lui donnent une imposante poitrine et marquent bien ses fesses sous mes jupes. Ses amis trouvent qu’elle a un joli minois encadré d’une abondante chevelure brune qui caresse ses épaules. Adrien est un beau jeune homme à l’allure athlétique qui doit bien plaire aux filles.En ce mois d’avril, comme la France entière, ils sont sévèrement confinés et leurs seules sorties se résument aux courses dans la supérette à deux pas de chez eux. Les journées sont longues mais son télétravail l’occupe. Quant à Adrien entre le banc de muscu, la télé et son ordi avec les jeux et Skype, il essaie de meubler son temps autant que faire se peut.Aujourd’hui samedi, c’est le jour de lessive.
— Adrien, as-tu du linge à laver, je vais faire une machine ? — Oui maman, un jean et mes affaires de sport. — OK, il fait beau, ce sera sec ce soir sur la terrasse.

En vidant la panière à linge sale, Karine tombe sur une de mes culottes qui lui semble anormalement humide. En y regardant de plus près elle découvre un épais liquide blanchâtre qui à n’en pas douter, ressemble à du sperme. Son interrogation n’est pas grande. Qui d’autre qu’Adrien a pu se soulager de la sorte ? Lui vient alors une image fantasmatique qu’elle avait eue lors d’un rêve : elle faisait l’amour avec son fils ! Prise d’une excitation soudaine, elle porte sa culotte à la figure, les yeux fermés, hume cette odeur de foutre qu’à son âge elle connait bien, descend dans son entrejambe, se caresse la chatte et l’idée perverse lui vint d’enfiler cette culotte car elle n’a encore rien mis sous sa jupe.
Le contact de cette mouille que je fais pénétrer sur mon clito est un véritable aphrodisiaque. Je sens que je mouille abondamment. Les deux jus doivent se mélangerUne image lui revient à l’esprit. Toujours dans ce fameux rêve, elle se voit en face de l’énorme bite de son fils. Comme dans tous les rêves, les situations sont bien souvent exagérées et naturellement irréalistes mais à voir l’imposante quantité de sperme qui a souillé sa culotte, elle se dit qu’Adrien doit avoir tout de même une queue et des couilles de bonne dimension. Et si ce rêve pouvait devenir une réalité ? se faire baiser par son fils ! Cette pensée incestueuse ne la choque pas mais comment arriver à ses fins sans perdre la face d’une mère à son fils ? Elle va commencer par tâter le terrain. Elle enlève la culotte trempée et la pose bien en vue sur la machine à laver.
— Adrien j’attends ton linge.— Oui maman j’arrive.— Viens voir quelque chose. Regarde mon slip. Tu peux m’expliquer ?

Adrien comprend vite de quoi il s’agit et devient tout rouge.
— Qu’est-ce que tu veux que je t’explique maman, en ce moment je ne peux plus voir mes copains et copines, je compense en me masturbant en regardant des films érotiques sur mon ordi voilà ! — D’accord, je comprends bien mais de là à utiliser mes culottes... — C’est un peu de ta faute maman, regarde ta tenue, souvent j’aperçois tes seins quand tu n’as pas de soutien-gorge ils me font envie et quand tu mets ta minijupe avec tes bas noirs, j’imagine que tu as un porte-jarretelles et tu me fais fantasmer. — Eh bien, je n’aurais jamais pensé que je puisse faire de l’effet à 50 ans à mon fils. Ce n’est pas très moral tout ça. Comme ça, il t’arrive de mater ta mère ?
— Oui je l’avoue et même en ce moment je devine tes seins libres sous ton corsage j’aimerais tant les voir en entier. Fais-moi plaisir, montre-les-moi. — C’est un petit plaisir que je peux t’accorder mais pas touche à la marchandise.— Promis maman Karine.
Comme une vraie professionnelle du sexe, Karine dégrafe lentement son corsage d’où s’échappent les deux seins qu’elle rehausse, un dans chaque main, avec un mouvement de caresse passant sur les tétons visiblement dressés d’excitation. Ce petit spectacle doit faire l’effet à Adrien car Karine a bien remarqué la bosse imposante sous le jean.
— Tu es satisfait mon bébé, ils te plaisent ? Mais donnant donnant, j’aimerais que tu me montres ce qui pointe sous ton pantalon.— OK mam, regarde.
A peine sa braguette ouverte, un énorme braquemart surgit dressé comme un pieu en direction de Karine.
— Quel bel engin mon fils, tu dois ravir tes conquêtes.— C’est vrai qu’elles aiment bien mais par contre, tu es autorisée à toucher la marchandise.— C’est gentil mais pas très moral, toucher la bite de son fils !— Prends-la bien en main et branle-moi.

A ces mots, Karine sent un bon jet de cyprine qui vient de mouiller la toison de sa chatte et commence à couler le long de ses cuisses.
— Caresse-la bien en partant de mes couilles mais attention tu risques de me faire jouir rapidement tellement je suis excité.
A regrets, par principe en pensant à faire une autre fois une bonne baise et pour faire monter la pression, Karine met fin à ce petit jeu en refermant son corsage.
— Soyons sages Adrien nous nous engageons sur la pente de l’inceste si nous allons plus loin et ce n’est peut-être pas souhaitable, pas forcément par moral. Je t’autorise à fouiller dans ma garde-robe et te branler comme tu auras envie sur mes sous-vêtements. — Mais maman, c’est toi que je veux, tu m’as permis de visualiser l’objet de mon fantasme. Ce confinement nous permet toutes les fantaisies.— Reviens à tes occupations, je continue les miennes. Nous aurons peut-être l’occasion de reparler de ta façon de vivre notre isolement.

Déçu par cet arrêt brutal de leur contact, Adrien referme sa braguette et en se dirigeant vers sa chambre, esquisse une caresse sur la poitrine de sa mère qui ne réagit pas.Karine reste seule devant sa machine à laver le linge et tout émoustillée de sa première approche reprend la culotte chargée de sperme et de cyprine pour se caresser la chatte. Elle ne peut résister à l’envie d’une bonne masturbation et monte dans sa chambre retrouver ses jouets habituels. En s’empalant sur le plus gros de ses godes ventouse (cinq centimètres de diamètre) elle imagine comment amener son fils à une bonne partie de baise malgré ses réticences (apparentes et calculées) de mère.
Elle a trouvé un stratagème : c’est Adrien qui ira faire les courses cet après-midi avec son attestation de déplacement dérogatoire. Pendant son absence elle préparera un « terrain de jeu » pour le provoquer.
Le moment venu après le repas et dès le départ d’Adrien, Karine a préparé quelques-uns de ses sous-vêtements : Soutien-gorge noir à dentelle, string assorti et bas noirs qu’elle pose délicatement d’une manière ordonnée sur le lit de son fils. Quelle sera la réaction ?

Adrien revient de faire les courses.
— Maman tu es là ? J’ai trouvé tout ce que tu voulais.— OK, merci je vais aller le ranger.
En entrant dans sa chambre, Adrien est focalisé sur les habits étalés sur son lit. Il comprend que sa mère lui a facilité les choses pour ses prochaines masturbations. L’excitation monte et, tout habillé, il se couche sur les dessous en embrassant le soutien-gorge et mimant une baise sur le string et les bas.Karine qui surveillait discrètement son fils entre à pas feutrés dans la pièce. Elle est habillée avec sa jupe hyper-mini, lui arrivant très haut sur ses grosses cuisses et laissant bien voir le haut brodé de ses bas tenus par un porte-jarretelles. Le corsage largement ouvert est totalement dilaté par son imposante poitrine et laisse deviner ses larges aréoles brunes. Hyper-bandante la maman !
— Alors Adrien qu’est-ce que tu en penses ?— Oh maman, je ne t’avais pas entendu entrer. C’est sympa d’avoir pensé à moi. Cet étalage était trop excitant je n’ai pu me retenir.— Je savais que cela te plairait et pour tout t’avouer, j’aurais aimé te voir te branler devant moi.— Tu vois Karine que tu es capable de t’exciter à la vue de ton fils. Tu as vraiment envie que je me branle devant toi ? — Oui, je t’ai bien montré mes seins ce matin.— OK mais si tu veux un beau spectacle, il faut te déshabiller devant moi. Donnant-donnant, pas de pudibonderie entre nous deux maintenant.— Ecoute, je vais te faire plaisir, viens me déshabiller toi-même.

Sans se faire prier, le fils s’approche de la mère, commence à lui caresser les seins, défait lentement le corsage qui tombe à terre. N’y tenant plus, Adrien embrasse les tétons, les mordilles descend ses mains le long du buste pour atteindre la fermeture éclair de la jupe qui ne tient plus et tombe également à terre dévoilant une chatte sans culotte à la touffe de poils bruns abondamment fournie. Dans un mouvement brusque, il prend la longue chevelure de Karine à pleine main, lui rejette la tête en arrière et plaque sa bouche sur celle de sa partenaire pour obtenir un baiser passionné où les langues se sucent, se lient, se délient.Karine qui s’est laissé faire commence à être particulièrement excitée, elle entreprend de défaire le pantalon d’Adrien et faire émerger l’imposante queue de son fils.
— Viens sur ton lit, pour l’instant je ne suis plus ta maman mais Karine qui a envie de se faire baiser. Regarde comme je mouille. Tu vas me bouffer la chatte.— C’est excellent, tu es donc pour un moment ma pute, la salope dont j’ai envie depuis longtemps.— Oui je veux être ta salope, j’ai hâte d’avoir ta queue dans mon con et si tu as de l’endurance, baise-moi par tous les trous.

Bien sûr qu’il a de l’endurance ce jeunot de 25 ans. La partie est endiablée. Chatte, cul, bouche, Karine se cabre sous chacun des assauts de son ardeur avec des râles de bête fauve.
— Fais-moi jouir du cul Adrien, je sens que je monte, crache toute ta sauce dans mon cul. Ahhhhh que c’est bon, c’est sublime !
Epuisés nos deux nouveaux amants s’affalent sur le lit dans un mini-repos bien mérité.En se relevant, Karine sent le foutre d’Adrien qui sort de son cul et coule le long de ses cuisses, elle recueille le précieux jus et se badigeonne les poils de chatte avec.
— Je ne vais pas prendre de douche, je veux sentir ton sperme sur moi tant qu’il ne sera pas sec — Tu es quand même une sacrée salope de mère. J’ai passé un merveilleux moment. — Bien, mais maintenant chacun reprend sa place de fils/mère.— OK mais alors cesse de m’exciter avec tes tenues hyper-bandantes ou alors promène-toi nue dans la maison que je vois bien tes seins danser quand tu te déplaces et toujours en bas et porte-jarretelles.— Tu vois, tu continues alors que je t’ai demandé que nous reprenions chacun notre place. — Je comprends ton souhait mais avoue que ce sera difficile à certains moments quand le désir poindra. Nous nous sommes libérés du tabou de l’inceste et nous sommes chez nous. Le confinement n’impose pas de contraintes à la maison autre que de ne recevoir personne hors du foyer. Alors qu’est-ce que tu penses de ma demande de te voir nue sauf bas, porte-jarretelles et talons hauts le plus souvent possible dans la journée ? — Si c’est un jeu de rôles, je veux bien faire la pute soumise de temps en temps, nous en reparlerons. J’ai du travail de maison, la lessive doit être terminée, je vais aller l’étendre sur la terrasse baignée de soleil.
Adrien qui n’en revient pas de son aventure et du langage de sa mère va se distraire en regardant la télé pendant que Karine s’affaire aux tâches ménagères.
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