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Confinement avec mon neveu

Chapitre 2

Inceste
Cette histoire est purement imaginaire.Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n’est qu’une coïncidence.
Confinement avec mon neveu - chapitre 2 et fin

Je me lève la première et je suis à la cuisine ne portant pour tout vêtement que ma nuisette transparente quand il sort à son tour de la salle de bain complètement nu et la bite en érection qui se dresse fièrement.
Il vient se réfugier dans mes bras et je sens son sexe durci cogner contre mon bas-ventre. Le coquin, il ne m’épargnera rien. Aussitôt le désir m’envahit, mais je résiste en me disant que désormais nous avons tout notre temps.
Je l’écarte de moi en diant :

— Il me faut me consacrer à la préparation de notre petit déjeuner. Après cela, il nous faudra organiser un planning, tu dois faire ce que tu dois faire et je dois avancer dans mes écrits... Ce serait trop simple de se laisser aller à nos bas instincts... Dans le planning, j’aménagerai des moments de « récréation ».

Il acquiesce, mais il me fait remarquer en baissant la tête en direction de son érection toujours aussi visible

— Mais maintenant, tu ne peux pas me laisser comme ça !

En effet je me dis que cela doit commencer à devenir douloureux pour lui de bander comme ça sans possibilité de jouissance.

— Tu préfères que je te suce ou que je te branle mon petit salaud ?
— Que tu me suces, on ne m’a pas encore fait jeune puceau que je suis !
— OK viens par là.

Je m’agenouille devant lui et prends l’objet de les désirs dans ma main. Il est tendu de désir, de passion et d’envie et j’ai hâte de le déguster.
Il faut dire qu’il y a longtemps que je n’ai pas sucé une bite, plus ou moins dix mois, et de savoir que celle-ci n’a encore jamais connu la bouche d’une femme me motive encore plus. Je ne dois pas rater cette prestation si je veux que mon neveu en garde un bon souvenir.
Je m’applique donc à lui lécher d’abord les testicules l’un après l’autre, du bout de la langue, puis je remonte le long de la hampe comme si je dégustais un sucre d’orge. Je lui caresse le gland du bout de la langue avant de l’englober entre mes lèvres. C’est tout simplement délicieux d’introduire lentement ce membre dans ma bouche jusqu’à ma glotte et sentir ses gonades tout près de mes lèvres.
Je le sens se raidir encore et j’empoigne les fesses d’Amine pour l’empêcher de ressortir. Puis je relâche lentement la pression pour faire aller et venir ma bouche tout le long de la hampe.
D’une main je lui masse les testicules et de l’autre je lui écarte les fesses pour lui titiller l’anus avec l’extrémité de mon majeur. Tout en continuant mes va-et-vient, je lui introduis un doigt dans le rectum.
Au début de ma pénétration je le sens se crisper, puis il se détend peu à peu. Je sais que j’ai trouvé sa prostate quand je sens sa queue se crisper et que je reçois la première giclée de sperme au fond de ma gorge. Pour sa première fellation, mon amant aura été gratifié d’une pipe royale, un doigt dans le culàà et je suis certaine qu’il en gardera un souvenir inoubliable.

— Alors mon chéri tu as aimé ?
— Oui super et c’est génial avec un doigt dans le cul.
— Tu sais, les femmes aiment aussi qu’on les suce et qu’on leur mette un doigt dans l’anus.
— Hi hi et même plus je crois !
— Tu crois bien. On essaiera si tu veux.

Et au fond de moi-même j’espère que l’on essaiera très bientôt, j’ai envie de me faire lécher la chatte et de lui offrir aussi mon fondement, de sentir sa petite queue s’enfoncer dans mon anus.

— Va t’habiller maintenant. On va se mettre au travail, tu devrais appeler tes parents pour leur dire que tu vas bien.
— T’inquiète, je leur ai envoyé un texto.
— Et tu leur as dit quoi ?
— Rien de spécial, qu’on a fait l’amour hier toute la journée, que tu es plus grosse cochonne que je connais et que tout va bien !
— Fais voir !

Je regarde le message qu’il a envoyé : « Tout se passe bien... chez Tatie, le confinement est une prison dorée ».

— C’est joli, mais tu n’as pas peur qu’ils se posent des questions ?
— Des questions sur quoi ? De toute façon, ils m’ont répondu : « Profites-en bien, mais n’abuse pas si tu veux qu’elle te garde encore un peu ».
— Moi, ça ne me gêne pas que tu abuses de moi !

Nous nous mettons au travail, chacun dans notre coin du salon aménagé pour l’occasion. La table où travaille Amine fait face à mon bureau, nous avons donc la possibilité d’échanger des regards et Amine ne s’en prive pas en se léchant les lèvres avec un regard de pervers. 
Je remarque que son regard est souvent dirigé sous mon bureau et je décide de l’exciter en écartant les cuisses lui offrant la vue sur ma culotte. Je vois qu’il a de plus en plus de mal à se concentrer sur son travail et ça m’excite.
Je passe une main sous mon bureau et sous ma jupe. Lentement je fais glisser ma culotte le long de mes cuisses puis de mes jambes pour finir par m’en débarrasser. Je l’attrape du bout de mon pied nu et je l’envoie dans sa direction.
Elle tombe sur son cahier. Il simule la surprise car il a suivi tout mon manège. Puis il s’en empare et la porte à ses narines pour en humer les effluves. Son visage s’empourpre, puis il se lève brusquement.
Je suis surprise par sa réaction.
Il se met à genoux et passe sous mon bureau. Il m’écarte encore plus les cuisses et y fourre sa tête. Bientôt je sens ses lèvres contre mon sexe et sa langue entre mes lèvres intimes. Il se met à me bouffer la chatte avec avidité.

Je commence à gémir de plaisir en me laissant glisser sur mon fauteuil jusqu’à ce que mes fesses soient à la limite du bord. Cambrée sur mon fauteuil je lui offre mon intimité. Je sens ses doigts entrer dans mon vagin pendant qu’il continue de me sucer, me lécher le clitoris et les petites lèvres.
Il retire ses doigts pour m’écarter les fesses. Son objectif est clair, il veut me mettre un doigt dans l’anus. Je soulève légèrement mes fesses pour lui faciliter la tâche et je sens un doigt puis deux écarter mes sphincters et me rentrer dans le rectum. L’effet est immédiat, je me mets à jouir, ce jeune homme est décidément très doué.
Il me besogne le rectum avec ses doigts sans cesser de me pratiquer un cunnilingus et m’amène à l’orgasme. Je sens que la prochaine étape sera la sodomie et je me sens maintenant prête à lui offrir mon fondement, à me mettre à quatre pattes pour qu’il m’encule.
Quand il ressort de dessous le bureau il a l’air ravi de m’avoir fait jouir ainsi. Je lui fais un clin d’œil et me lève. Sans un mot je le prends par la main et l’entraîne vers le canapé. Je me déshabille lascivement avant de m’allonger sur le ventre.

— À toi de jouer maintenant que tu as préparé le terrain.
— Il me faut me concentrer sur mes études, j’ai l’épreuve du bac à préparer !

Je le repousse et lui dis les dents serrées :

— Baise moi... Si non, je vais me plaindre à ton père... À mon frère !

Je n’ai pas besoin de lui en dire plus. Il se déshabille à son tour pour se mettre à genoux derrière moi. Il se cramponne à mes hanches et se positionne pour me prendre par derrière. Je sens l’extrémité de sa bite chercher l’ouverture et le gland me pénétrer. Puis brusquement il s’enfonce en moi m’arrachant un cri de surprise.
On dirait qu’il se délecte à m’enculer ainsi, sans autres formalités. Il se met à me besogner, s’enfonçant à chaque fois au plus profond de mon rectum ses couilles venant cogner contre mes fesses. Il n’a pas mis de capote car il sait qu’ainsi il ne me fécondera pas et j’ai l’impression que cette pénétration sans précaution lui donne encore plus de plaisir.
Personnellement j’adore sentir que sa chair est directement au contact de la mienne et savoir que quand il va éjaculer son sperme va directement couler dans mes entrailles. Ce qui ne tarde d’ailleurs pas à arriver tellement je le sens excité.
Je sens les giclées de semence m’envahir et il se vide complètement, à grands coups de reins, brutalement comme un porc qui saillirait sa truie. Ce n’est que le resserrement de mes sphincters autour de son sexe qui retrouve sa flaccidité qui l’oblige à se retirer.
Les nouvelles mesures annoncent un déconfinement pour le 12 mai et réouvertures progressives des établissements scolaires et crèches...
Amine a réussi à convaincre ses parents de le laisser chez moi, bien que cela n’était pas vraiment nécessaire c’est plutôt moi qui devais les persuader que cela ne me dérangerait guère de l’abriter jusqu’à la reprise des cours.

FIN
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