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Confinement bis

Chapitre 2

Découvertes

Inceste
De retour à la maison vers 18heures, Olivier profite que sa sœur prépare le repas du soir pour prendre une douche. Hortense lui a annoncé sur le retour que la sortie lui avait creusé l’estomac et donc elle voulait qu’ils mangent tôt, elle se laverait ensuite. Cela l’arrange, car il préfère prendre la douche avant sa frangine, car il ne sait jamais combien de temps elle va occuper la salle de bain, de plus, il doit absolument se soulager pour faire tomber la pression. Le dîner pris, Olivier paresse dans le salon, vautré sur le fauteuil, il s’adonne à son sport favori ; combattre des aliens à la seule force de ses pouces. Le monde autour de lui peut s’écrouler, malheureusement, un cri perçant le fait sursauter.
Olivier crie Hortense, en panique.— Oui, répondit-il par réflexe. — Viens vite, j’ai besoin de toi !
Alerté par le caractère urgent de l’appel, Olivier se décide enfin à lâcher ses manettes et montre quatre à quatre les marches de l’escalier. Hortense l’attend en peignoir, assise sur le rebord de la baignoire.
— Qu’y a-t-il, lui demande son frère en la voyant blanche comme un linge.— Je crois que j’ai attrapé des tiques en forêt. — Eh bien enlève-les, tu n’as pas besoin de moi !— Justement...— Quoi justement, répond-il.— J’en ai sur les fesses.
Et là, Olivier ne peut s’empêcher d’éclater de rire, ce qui énerve encore plus sa sœur.
— Ce n’est pas marrant, éclate alors Hortense, je voudrais bien t’y voir avec ces sales bestioles à ton cul !— Tu veux dire... Se reprend Olivier devant la mine dépitée de sa sœur... qu’elles sont dans tes fesses ?— Moque-toi !— Tu les as comptés, reprend-il s’étouffant presque de sa connerie.— Arrête Olivier, c’est assez gênant comme ça... tu peux m’aider à les enlever s’il te plaît, lui demande-t-elle avec un effort sur elle-même. — OK, OK, je vais t’aider, râle pas... mais je fais comment ?— Tiens, prends cette pince à épiler, surtout il faut absolument que tu retires la tête de ces bestioles !

Hortense se décale alors sur la bordure pour mettre en avant ses fesses. Elle est dans une position très instable. Assise sur son coccyx, penchée en arrière avec sa main en appui sur l’autre bord de la baignoire afin de basculer son bassin, elle repose son pied droit sur la chaise et l’autre sur l’épaule de son frère lequel s’est assis entre ses cuisses. Elle est affreusement gênée de se dévoiler dans cette position et ce n’est pas sa main en conque protégeant puérilement sa vulve qui diminue sa honte. Elle essaye de se calmer en contrôlant sa respiration, cependant, elle est tout de même surprise lorsque Olivier pose une paluche pour écarter ses fesses. Elle pousse une exclamation.
— Eh !!!— Il faut bien que je voie clair, lui dit Olivier en appuyant pour décoller les deux globes. Il y a un gros point noir près de ton petit trou, si tu bouges tout le temps, je n’arriverai pas à l’enlever, continue-t-il.— Oui d’accord, lui répond-elle... Mais dépêche-toi !!!
Olivier essaye alors d’être plus doux en écartant les deux hémisphères, cependant au moment précis où l’entrée du puits se dévoile, il commence à avoir une érection dantesque. Ses yeux sont aimantés par cet anneau plissé qui bouge au rythme de la respiration de sa propriétaire, il n’arrive plus à se concentrer sur la tâche, il oublie complètement ce pour quoi il est là, seul compte dès à présent l’irrépressible envie de toucher cette rondelle brune. Et c’est ce qu’il fait. Doucement, lentement, Olivier dirige son index vers l’œil qui palpite pour délicatement se poser sur lui et le caresser.Le réveil est difficile. Sa tête vient de cogner le meuble derrière lui.Obnubilée par le contrôle de ses sens, Hortense ressent subrepticement une décharge électrique, une onde de plaisir la foudroie, mais elle ne peut s’empêcher de sursauter au contact de ce doigt fureteur, elle se contracte et par protection, son pied se détend avec pour effet de repousser son frère violemment.
Olivier n’est pas préparé à cette réaction, déséquilibré, il chute lourdement en arrière.
— Qu’est-ce que tu fais... ? Je rêve ou tu me caresses le trou du cul Oliver ?!— Euh... ce n’est ce que tu crois, ment-il effrontément, je touchais pour voir comment procéder avec la bestiole...
Mais qu’est-ce qui t’a pris, je vais avoir une grosse bosse, lui dit-il en contre-attaquant.
— Tu te fous de moi j’espère !!!— Ecoute, lui dit alors Oliver en totale mauvaise foi, puisque tu le prends comme ça, débrouille-toi toute seule, je retourne dans le salon.
Et sur ces paroles, il se relève et sort de la salle de bain en claquant la porte.
— Reviens Olivier... Ne me laisse pas comme cela !!
Sur le palier, il est content de lui, il sourit, car sa sœur devra le supplier de revenir et là, il lui imposera ses volontés. Cette interruption n’est pas pour lui déplaire, elle tombe à pic, car cela lui donne le temps de réfléchir à la suite.
Depuis qu’ils sont ensemble vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il découvre une autre Hortense. Jusqu’à présent, il ne connaissait qu’une jeune femme protectrice, une sœur responsable toujours présente pour lui, à l’écoute de ses soucis, attentive à sa personne. Aujourd’hui, il entrevoit une femme dans toute sa féminité, une femme avec sa libido, ses fantasmes, une femme libérée, une frangine qui n’est pas asexuée.
Voir sa sœur en photo montrant les différentes facettes de sa personnalité, que ce soit son côté exhibitionniste, ses attitudes provocantes, ses yeux qui transpire le vice, est un choc pour Olivier. Pour lui, Hortense est sa sœur, un point c’est tout. Qu’elle ait une vie sexuelle ne l’a jamais effleuré, alors quand il découvre la face obscure de sa frangine il tombe des nues. Fasciné au début il devient curieux et intéressé, tous ces repères sont chamboulés, cette femme le trouble et l’électrise, il n’est plus lui-même, elle a réveillé l’animal qui sommeillait, sa frangine fait naître en lui la convoitise.
Évidemment, le point d’orgue est le massage avec la baignade où il s’est vraiment rendu compte combien sa sœur pouvait être d’une impudeur totale, une adorable salope avec une plastique à damner un saint... Et Olivier n’en est pas un.
Hortense aime le sexe tout simplement.
Le plus dur reste à venir. Olivier a conscience de marcher sur des braises. S’il a déjà franchi mentalement la barrière de l’inceste, il n’en est pas de même pour sa sœur. Il est pratiquement sûr qu’elle y pense, sans se l’avouer, ce tabou doit l’exciter, mais de là à franchir le cap, il y a un fossé. Il doit le combler. Il la désire tellement qu’il est inconcevable d’échouer.
Il s’est passé une demi-heure depuis la réaction incontrôlée d’Hortense. Elle est dans sa chambre à cogiter, assise sur son lit, elle est partagée entre la rage de savoir cette bestiole encore dans ses fesses et le trouble qui grandit depuis une semaine.
Avec Oliv, elle se sent en sécurité, elle a l’impression de revivre. Elle retrouve le rire, la joie des plaisirs simples, l’incomparable bien-être de le savoir présent à ses côtés. Prévenant, rassurant, il est aussi un complice de tous les moments, joueur, canaille, il n’a pas son pareil pour la rendre folle, il prend tellement de place que le soir, seule dans sa chambre, elle a du mal à s’endormir, elle s’ennuie, elle pense déjà au lendemain, tous les deux assis dans la cuisine, prenant le petit-déjeuner, lui avec sa figure d’ange, réfléchissant à ce qu’il pourrait faire pour la rendre chèvre, elle en attente de sa dernière trouvaille.
Ses sens sont en révolution, elle ne sait pas comment gérer cette nouvelle situation.Il est 21 heures quand Olivier frappe à la porte de sa sœur.
— OK Hortense, je vais regarder pour te l’enlever.— Oh merci olivier, rentre.
Son frère ouvre alors la porte et voit sa sœur au bord du lit en train d’ajuster son kimono. Avec le shorty qu’il aperçoit quand elle se lève, il la trouve ravissante, cependant Olivier se défend de le lui dire, il marque son indifférence et la presse.
— Dépêche-toi, le film va commencer dans quinze minutes et j’aimerais bien le voir.— Oui d’accord. Tu veux que je me mette là, lui demande-t-elle, certaine qu’il la fera installer sur le lit.— Viens avec moi. Dans ta chambre, il n’y a pas assez de lumière !— Tu m’emmènes où ? l’interroge-t-elle un peu surprise.— Suis-moi, on va en bas.— Pourquoi dans le salon ? insiste-t-elle en nouant sommairement son kimono alors qu’elle le suit dans les escaliers.— Ce sera plus pratique, lui répondit-il d’une voix détachée.
De prime abord, elle se dirige vers les canapés du salon, cependant Olivier l’arrête sur son parcours pour lui indiquer qu’il y verra beaucoup mieux sur la grande table. Surprise, elle ne dit rien et puis elle se rassure, son calvaire durera moins longtemps. Elle s’assoit sur la grande table en chênes." heureusement qu’il y a un épais, un bull-gomme, se dit-elle, je n’aurais pas mal aux fesses" Elle s’allonge alors, profite de l’absence de son frangin pour retirer son shorty et tout en posant ses pieds sur la table, elle se voile le sexe avec une main, l’autre sur ses yeux pour ne pas voir. Elle essaye de se détendre "ce n’est pas pire que chez le médecin, en plus, Olivier est actuellement un carabin". C’est une réflexion puérile, mais elle a besoin de se raccrocher à ces détails, cela l’empêche de spéculer sur l’attitude de son frère face à son fondement. Elle évite de songer à la suite, elle veut à tout prix éviter que son corps la trahisse.
Pendant ce temps, Olivier est revenu avec un spot allogène qu’il allume tout en posant sur la table une trousse de pharmacie. Hortense est pour l’instant calme.
— Non, pas comme cela Hortense, il faut que je sois à hauteur, lui dit son frangin. Retourne-toi et mets-toi sur la table, lui précise-t-il tout en réglant la lumière.
Hortense est stupéfaite par la demande, elle reste interdite sous l’annonce, totalement hébétée.Olivier a conscience de perturber fortement sa sœur avec ce souhait, elle pourrait refuser. Comme sa frangine ne doit penser qu’à l’aspect pratique de la position, il l’abreuve de paroles rassurantes afin de détourner son attention. " Dès qu’elle se sera à quatre pattes, elle aura franchi le point de non-retour, elle fera ce que je lui demanderai et même si elle a honte, elle ne pourra plus faire machine arrière." Pour ce faire, Olivier sait qu’il doit être diplomate et aussi faire ressortir l’aspect professionnel de sa demande, ce moment doit être habilement accompagné pour que sa sœur ne se braque pas.
— C’est l’affaire de 2 minutes. Je repère l’intrus et je te l’enlève. Le temps de te retourner et j’aurai fini.
Hortense, toute contrite, accepte les arguments comme une évidence, elle ne dit rien, vaincue, elle se retourne pour se mettre à quatre pattes sur la table...Et là, c’est la cata, sa libido se met en marche. Une chaleur insidieuse s’installe entre ses cuisses. Elle n’arrive plus à penser sereinement, normalement...La raison lui dicte de descendre de cette maudite table, cependant, ses membres sont aimantés à celle-ci. Tout est confus dans sa tête. Elle est mortifiée à l’idée que son frère se rende compte de son excitation, mais parallèlement, sa psyché, confrontée à la pose totalement indécente, s’enflamme sans qu’elle ne puisse la contrôler. Et puis, comble d’érotisme, elle se rend compte trop tard qu’en ayant les deux mains posées à plat sur la table, elle ne peut cacher sa fente ni renouer le cordon du kimono qui s’est détaché. Ses seins sont libres maintenant de toute entrave, ils pendent magnifiquement comme deux mamelles gorgées de lait, ils ondulent au rythme de sa respiration et pire encore, ils décident de bander leurs tétons.
Une image s’imprime alors devant ses yeux... La louve de Rémus et Romulus.Cependant, cette photo est vite remplacée par une autre hautement plus érotique, une posture de soumission qui l’embrase, une position qu’elle adore quand elle se fait prendre... la levrette. Cette image la liquéfie. L’excitation est d’autant plus grande qu’elle est exposée à quatre-vingts centimètres du sol, elle est présentée sur cette table comme un fruit mur à déguster, un objet de décoration magnifiant la pièce, une femelle qui affiche ses atours, une salope qui transpire la luxure. Elle pense toucher le fond.C’est sans compter sur la perversité de son frère.
Avec l’halogène, il a bien remarqué la percée du berlingot, la jolie fraise commence à pointer son nez. Tout fonctionne à merveille pour l’instant, il poursuit donc son plan. D’une voix douce et apaisante, il lui sollicite alors son aide en lui assurant qu’il sera rapide et efficace pour enlever la tête de l’animal :
— Tiens tes fesses écartées, cela m’aidera.— Mais je...— Eh bien pose ta tête sur la table... Attends, je te mets un coussin... Oui c’est mieux, mais tire sur tes mains... Super... écarte plus tes jambes... Oui voilà, garde cette position, je vois beaucoup mieux.
Hortense s’exécute comme un automate, sa raison l’a définitivement quittée.Prosternée, les reins creusés, le cul en l’air, les cuisses écartées outrageusement offrant une vue détaillée, elle ne s’est jamais trouvée aussi nue, ouverte, il est difficile de faire plus obscène cependant, honteuse, elle découvre avec horreur une excitation hors du commun. Pour la première fois de sa vie, elle est domptée. Elle est orientée, canalisée, matée, elle réalise que son frère la dresse sans qu’elle ne veuille l’arrêter, il révèle la salope qu’elle est et elle aime ça. Pour elle qui a toujours fait ce qu’elle voulait, elle accepte cette domination imposée sans se rebeller. Avec douceur certes, mais avec persévérance et fermeté Oliv la dirige là où il veut qu’elle aille et elle se soumet. Être obligé d’obéir à son frangin, un jeunot de dix-neuf ans qui plus est, lui fait bizarre, mais elle est obligée de reconnaître qu’elle est toute retournée, le plaisir pervers qui l’envahit, elle le recherchait depuis longtemps sans en être consciente.
Hortense est en feu. Pour l’instant, son obsession est de respirer calmement pour brider les spasmes qui montent de son bas-ventre. Elle espère endiguer les fluides en contractant aussi ses muscles vaginaux, or il est déjà trop tard, elle ne contrôle plus rien.
Elle oscille d’avant en arrière, frotte ses tétines turgescentes et simultanément, ses mains deviennent autonomes, elles écartent ses fesses puis les relâchent doucement. Au départ, les mouvements sont presque invisibles pour in fine devenir ample, le frotti-frotta de ses petites lèvres devient insoutenable, tout son corps s’embrase.
A partir de ce moment-là, Hortense ne peut et ne veut éviter l’inéluctable. Elle se sent si faible, si coupable, si honteuse et malgré tout, elle espère qu’Oliv la prenne sans son autorisation, qu’il la force, car bien sûr elle résistera, maintenant qu’elle a mis un nom sur sa libido, le fantasme tenace est plus obsédant que jamais... Ce désir la torture. Elle est heureuse que son frère prenne la responsabilité de ce qui va suivre, elle pourra toujours par la suite fuir ses responsabilités, se dédouaner et lui dire qu’il l’a forcée.
— Ouille !!! crie-t-elle.— Ça y est je l’ai eu... encore deux trois minutes, je désinfecte.
Olivier prend l’onguent qu’il a préparé et avec son pouce, il l’applique sur la minuscule plaie en élargissant sur toute la zone. Sa sœur se contracte inévitablement en serrant les dents pour ne pas émettre d’onomatopées révélatrices, par contre, sa chatte déjà toute gonflée de désir laisse s’écouler un filet de mouille. Son frère ne peut que le remarquer, il est aux anges... il se lâche !
— Oh, mais qu’est-ce que je vois, tu mouilles comme une cochonne, enfonçant sans préambule deux doigts profondément dans la vulve de sa frangine.— Aaaaaaaaaa,... Qu’est-ce que tu fais Olivier...— Dis-moi que tu n’es pas excitée, lui répondit-il alors en passant son autre bras devant sa cuisse pour la ceinturer et caresser son clito.— Tu ne peux pas faire ça, lui dit-elle entre deux spasme... Aaaaaaaaaaah je suis ta sœur !— Réponds à ma question, insiste Olivier d’une voix douce en accentuant son pistonnage.— Aaaaaaaaaaaaaa... Ouiiiiiiiiiii continue-t-elle parcourue de spasme... — Jure-moi que tu n’aimes pas, insiste-t-il, les doigts incurvés vers le haut à la recherche de son point "G"
Tout à son plaisir, Hortense ne peut répondre à son frère, elle devient folle. Elle geint, elle crie, elle sent d’ailleurs que sa jouissance monte de plus en plus et pour l’accentuer, elle descend légèrement ses mains pour étirer plus encore ses fesses. Elle s’ouvre vulgairement abjurant toute morale, elle n’est plus qu’un orifice qu’il faut combler.
Olivier est subjugué par ce geste obscène, il reste interdit face à cette vulve gorgée de sang, ces grandes lèvres qui tressautent à chaque mouvement, ces babines écarlates luisantes de mouille, elle le rend dingue.
Confrontée à une telle lubricité, un spectacle si cru, il décide de donner à sa dépravée de frangine ce qu’elle attend, ce qu’elle quémande. Il insère donc sans répit son auriculaire en plus dans l’antre trempé, les doigts coulissent sans peine dans le tunnel onctueux, il remue vigoureusement sa main, sa sœur vagit à chaque aller-retour, Olivier s’enflamme alors en pistonnant crescendo le vagin dilaté et lorsque les cris deviennent ininterrompus, l’orgasme imminent, il se déchaîne, faisant ressortir toujours plus de mouille et lorsque sa sœur hurle en remuant comme une furie puis se fige sur l’orgasme libérateur, il pince vicieusement son clitoris. La réaction est fulgurante. Hortense se cabre en giclant une quantité phénoménale de liquide, elle jouit une deuxième fois puis encore lorsque Olivier relâche la framboise tuméfiée pour enfin s’étaler de tout son long sur la table... Anéantie.
Olivier est ébahi par le tempérament de sa sœur. Il se doutait qu’elle devait être une sacrée coquine, mais aujourd’hui, il vient de réveiller un volcan, un mont hautement éruptif, il découvre pour la première fois une femme fontaine.
Fasciné, il la regarde, allongée, reprenant difficilement sa respiration, sa bite est plus dure que jamais, son désir reste intact. Il a une envie irrépressible de toucher sa peau, l’embrasser et bien sûr se fondre en elle.
Il se déshabille rapidement puis monte précautionneusement sur la table. Tout doucement, il profite que sa sœur soit encore dans les vapes pour la retourner. Elle maugrée, mais encore à cuver ses orgasmes, elle se laisse faire. Allongé sur son côté, Olivier détaille le corps somptueux de sa sœur. Ses yeux n’arrivent pas à se repaître du corps alangui, par contre sans qu’il puisse les retenir, ses mains caressent les joyaux faits pour nourrir une ribambelle de bébés affamés, des seins consistants et moelleux qu’il malaxe doucement, des aréoles larges qu’il parcourt d’un doigt, appréciant le grumelé de la peau, des tétines, oui de formidables protubérances encore gorgées de désir qu’il presse légèrement pour apprécier leur sensibilité.
Hortense, les paupières closes pour éviter de rencontrer le regard de son frangin, réalise seulement qu’elle vient d’éjaculer, elle se sent vidée, elle voudrait cuver tranquillement ce formidable orgasme, seulement son frangin ne lui laisse aucun répit.
Oliv poursuit la reconnaissance du corps tant désiré, et puis le bâton qui pulse le long de la cuisse de sa sœur se rappelle à lui, il ne peut plus attendre, il doit le mettre au chaud.Il tente d’embrasser sa frangine. Elle se défile en mettant sa tête de côté, aussi il s’allonge alors de tout son long sur elle en appuyant les genoux au creux de ses cuisses, Hortense résiste.Quand elle réalise qu’il la couvre, mollement, elle lui dit qu’il ne faut pas, elle s’est laissé aller, mais maintenant, ils doivent arrêter, c’est de l’inceste ; ils sont frère et sœur ! " Pourquoi avait-elle cédé à son frère ? C’était plus fort qu’elle, elle en avait eu très envie. Mais enfin, elle n’était pas une bête. Elle pouvait se retenir. Elle n’était pas une chienne en chaleur tout de même !!!"
Olivier n’entend pas les paroles de sa frangine, sur le corps trempé de sueur, il frissonne de bonheur, elle va être à lui, cette déesse sera son amante. En réponse aux remarques d’Hortense qu’il ignore totalement, il se presse encore plus sur elle, ondule, frotte son gland sur l’abricot brûlant tout en lui déplaçant sa longue natte sur le côté et dépose une nuée de bisous sur le cou. "elle ne veut pas m’embrasser ! ce n’est pas grave, je la ferai fléchir, et plus tard, elle aura sa fessée pour ne pas céder de suite et aussi pour m’aguicher éhontément toute cette journée. Oh oui ma belle, je vais me régaler à rougir tes fesses et toi je suis sûr que si tu négocieras au départ pour faire bonne mesure, tu seras certainement un peu honteuse de te faire punir par celui que tu appelles le gamin, par contre, tu vas jouir comme une damnée, crois-moi. Mais une chose à la fois !"
Pour l’instant, il concentre son attention sur l’oreille, il câline le tour par de savants baisers puis suçote le globe avec frénésie. La voyant se contorsionner sous l’attaque vicieuse, cette partie de l’anatomie de sa frangine lui apparaît très sensible, il s’en souviendra, elle n’arrive pas à se contrôler, elle devient folle et ses cuisses s’ouvrent comme par magie.
Hortense avait apprécié qu’il lui dise qu’elle était belle, qu’il la regarde comme un homme sait le faire, ça flattait son ego, c’est sûr ! Après la trahison de son mec, elle avait besoin d’être rassurée, se prouver qu’elle pouvait plaire à nouveau et elle s’était jetée à corps perdu dans ce jeu de séduction qui par ailleurs, pensait-elle, n’était qu’un jeu innocent entre un frère et une sœur qui ont l’habitude de se taquiner. Mais voilà, le manque, le désir, l’excitation, son goût pour la provocation, sa facilité à braver les interdits avaient eu raison des préceptes judéo-chrétiens. Elle n’avait pu stopper l’engrenage, aussi elle se trouvait piégée à ses propres pulsions, elle avait laissé faire son frère et maintenant, il la rendait dingue. Aucun homme ne l’avait fait jouir comme aujourd’hui, il l’avait fait juter à se vider, son corps avait rendu les armes et ce n’est pas la bite brûlante sur son ventre qui allait contenir son envie. Elle n’en pouvait plus de se contenir.
Son frangin est le diable personnifié, il en a même les attributs, se fait-elle la réflexion lorsqu’il bouge son énorme bâton pour venir frotter son gland sur son berlingot en effervescence.C’est plus fort qu’elle, Hortense ne peut se soustraire à ce formidable désir de toucher le priape de son frangin. Elle faufile sa main entre leurs deux corps puis s’approche de la hampe pour se l’accaparer, mais à l’instant où ses doigts veulent le saisir, elle est prise d’un vertige sous la violence de la réalité ; son frère est monté comme un âne. Elle n’arrive pas à faire le tour pour enserrer le monstrueux vit. En une fraction de seconde, elle se voit empalée sur ce gourdin, son vagin se tord de désir et elle sent un flot de mouille ruisseler entre ses fesses. Hortense abandonne alors toute retenue, il n’y a plus que la partie animale de son comportement qui fonctionne, un besoin primaire de se faire monter, une envie irrépressible d’avoir son vagin comblé, il faut qu’elle soit remplie par ce monstre, elle a besoin de cette queue.
Hortense capitule, toute honte bue, elle harangue son frangin :
— Tu as gagné Salop, mets-moi ta grosse queue, je n’en peux plus...
Olivier positionne alors son gland au bord de l’entrée avec l’aide de sa frangine puis pousse doucement. Le nœud est à peine englouti qu’Hortense crie de surprise.
— Aaaaaaah... Tu es énorme ! Tu vas me déchirer !— Ne dis pas de bêtises, répond alors Olivier, il est fait pour toi !
Et le vit monstrueux, continue sa lente ascension, ce pieu commence à glisser dans les profondeurs de la chatte trempée puis dans un grand soupir, Hortense l’avale en entier. Cette invasion lui fait perdre pied. Elle se laisse aller en arrière, s’allonge, se crispe, les mains agrippées à la table, elle suffoque, râle.
Hortense ne résiste plus, elle a même posé ses mains sur les cheveux de son frère, comme pour lui demander de rester. Elle oublie tout. Dans un état proche de l’hystérie où toute lucidité s’est brisée en mille morceaux, elle ne vit que pour ce forage qui distant toutes les chaires sur son passage, un envahissement total qu’elle n’a jamais connu. Ce priape atteint alors son but, il est rentré totalement, laissant juste les testicules collés à ses fesses.
Olivier l’observe reprendre son souffle et tout doucement, il retire le mandrin en lui imprimant une légère rotation avant de le replonger presque avec brusquerie au plus profond de son vagin. Hortense se cabre, mais ne se soustrait pas. Alors son frangin se retire sur toute la longueur et entame un va-et-vient rythmé. On le voit attentif au plaisir de sa sœur, et visiblement, celui-ci l’envahit. Sa respiration s’accélère, elle gémit, crie, râle, son bassin se soulève et Olivier, très appliqué, sent qu’il faut brusquer les choses. Il aimerait être tendre, mais cette fois, ce n’est plus possible. Il s’enfonce d’un trait dans la chatte juteuse.
— Ooooooooooooooh geint Hortense.
Il poursuit par de longs et profonds allers et retours qui se transforment très vite en un implacable pilonnage. Et là, quasiment malgré lui, il la baise comme un forcené, il se déchaîne.
— Aaaaaaah tu vas me faire mourir !!! gémit-elle.
Hortense encaisse ces coups de reins dignes d’un marteau-pilon, Olivier n’est plus vraiment maître de lui-même... Ce corps, ces hanches, ses seins qui tressautent au rythme de ses aller-retour, les tétines gorgées de sang qui le narguent et surtout cette chatte qu’Hortense serre autour de sa queue ont raison de lui. Il s’enfonce encore plus profond et elle gémit au rythme effréné de ses assauts tout en lui réclamant toujours plus.
— Oh oui, olivier ! Baise-moi fort ! je suis à toi ! C’est bon ! Ne t’arrête pas ! lui dit-elle en relevant ses jambes pour croiser ses pieds dans le dos de son frangin.
Hortense est sous emprise, plus aucun contrôle n’est possible, la femelle en chaleur a pris possession d’elle, rien ne compte que ces va-et-vient qui lui écarte ses chaires, le centre de son univers se situe dans son vagin, elle crie, elle geint, elle se dilate et s’ouvre au maximum. Olivier n’en peut plus, son cœur va exploser, il est totalement à bout de souffle, la sueur brûle ses yeux, il sent le point de non-retour approcher. Pourtant dans un éclair de lucidité, il veut faire encore durer, il doit rester maître du jeu, et il arrive tant bien que mal à ralentir un tant soit peu son pistonnage puis s’arrête, abuté au col de l’utérus.
— Nonnnnnnnnn geint elle frustrée... Olivvvvvv vient supplie-t-elle en empaumant les fesses de son frère...
Il se penche alors sur la tête de sa sœur, la regarde intensément et lui dit :
— Embrasse-moi.
Hortense tourne alors sa tête dans un signe de refus, elle n’arrive pas encore à franchir cette ligne rouge. Pour elle, c’est un signe fort d’acceptation de l’autre, le dernier rempart qui fait d’elle une femme libre... elle le croit encore.
— Embrasse-moi, insiste Olivier en serrant fortement les tétines turgescentes.— Ouillllllle crie, sa sœur surprise par l’attaque de son frangin.
Hortense brave encore son frère quelques instants, c’est plus fort qu’elle, elle doit résister, ne pas lui accorder tout de suite même si elle en meurt d’envie. Or elle est taraudée par le besoin de jouir, le désir d’être remplie comme une chienne, aussi quand Olivier réitère sa demande en lui tordant encore plus fortement les tétons, la faisant crier, elle abdique.
Elle ouvre la bouche tout en fermant les yeux. Olivier se rue sur sa bouche et lorsque sa langue franchit ses lèvres, il exulte. Il l’embrasse d’abord du bout des lèvres, puis leurs langues se trouvent et leur baiser fiévreux devient enflammé, puis complètement volcanique. Hortense ne peut plus nier son état. De frangine discrète, elle est devenue une amante torride.
Elle enserre de ses mains le cou et la tête de son frangin puis elle le dévore avec fougue, elle chavire, la passion l’emporte sans qu’elle ne puisse rien faire. Parallèlement, son corps réclame son dû, Hortense remue le bassin pour rappeler à son frère le désir qui la tenaille.
Olivier a compris le message, il s’empresse d’y répondre. Maintenant qu’il a réussi à soumettre sa sœur à tous ses désirs, il peut continuer à la baiser, la faire hurler sera son ultime récompense. Il la lime alors sauvagement, enfonçant l’énorme pieu au plus profond, frappant les couilles sur son cul et accélérant de plus en plus les aller-retour. Hortense a les yeux exorbités, la bouche ouverte tel un poisson hors de l’eau.
— Je vais jouir... Oliv je vais jouir... Je n’ai jamais été... Dans un tel état... Jamais... Oh... Oh oui ! olivier ! Continue, je t’en supplie, continue !
Ooooh ! Je jouis ! aaaaaaaaaaaaah... Embrasse-moi Oliv ! Embrasse-moi encore...
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