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Confinement bis

Chapitre 4

Un cadre idyllique … presque des vacances

Inceste
Confinement
Part 4 Un cadre idyllique ... presque des vacances
— Voilà Julie ma compagne, énonce Emma en se retournant. Ne reste pas là, viens les embrasser, continue-t-elle... voici Oliveur, mon copain de "bac à sable" et Hortense, sa mère-poule, dit-elle en riant comme une folle !!!— Enchanté de faire ta connaissance Julie, dit Olivier en se rapprochant d’elle.— Moi aussi, répond Julie après l’avoir bisé chaleureusement.— Je suis très contente que tu sois venue, s’exclame ensuite Hortense avant de l’embrasser avec le même plaisir.— Merci Hor... Je peux vous appeler Hortense ?— Mais bien sûr ! quelle question, tu es ici chez toi ! ... Et on se tutoie tous.— Merci Hortense, je suis ravie de vous connaître enfin ... Emma ne tarit pas d’éloges à votre égard... Euh à ton égard !— Taratata, s’exclame Emma ! ... Ah oui, je n’ai pas pu vous prévenir que nous serions trois !— Ce n’est pas grave Emma, lui dit Hortense.— C’est Anne-Caroline, la cousine de Julie, elle est seule aussi, je me suis dit que cela ne vous dérangerait pas qu’elle passe le confinement avec nous.— Bien sûr que non, confirme Hortense.
Emma met de l’eau dans son vin en disant cela. En effet, la Parisienne, comme elle l’appelle, est arrivée la veille chez eux après avoir supplié Julie au téléphone de l’emmener. La grande ne l’aime pas spécialement, elle l’a toujours trouvé fière, hautaine et souvent dédaigneuse... pas franchement sa tasse de thé. Par contre pour sa chérie, Emma se doit de faire des efforts. Aussi elle ne veut en aucun cas montrer son inimitié face à ses deux amis, elle espère qu’Anne-Caroline en retour saura se montrer agréable.
— Tu as bien fait Emma.
Sur ces entrefaites, Olivier s’est rapproché d’Anne-Caroline pour lui souhaiter la bienvenue. Il ne se précipite pas pour autant, même si l’envie ne lui manque pas, cette fille est tellement jolie, il essaye de rester impassible en lui faisant une bise sur chaque joue. Par contre, sa sœur a tout de suite vu l’éclair dans les yeux de son frère, elle s’en amuse. Elle marche alors vers Anne-Caroline pour l’embrasser et lui dire qu’elle sera bien ici, qu’elle est heureuse de l’accueillir. Anne-Caroline est émue.
— Allez rentrons, dit alors Hortense en emmenant Anne-caroline, la main placée sur sa hanche. Vous prendrez bien un petit café ou un jus de fruit avec un petit bout de gâteau, continue-t-elle en regardant les nouveaux venus. Je vous ai préparé un quatre-quarts, le voyage vous a certainement creusé l’estomac !!!
Laisse les valises là Julie, elles ne vont pas s’envoler, ajoute-t-elle en riant, avec le monde dans les rues, elles peuvent même passer la nuit sans problème... Je blague bien sûr ! on vous aidera à décharger la voiture après.Tout ce petit monde rentre donc dans la maison, il s’installe dans le salon où tout est prêt.
— Fais le service Oliv... Sois galant pour une fois !!! Tu ne vas pas échapper à tes devoirs, rajoute Hortense, ce n’est pas parce que tu es entouré de quatre filles que tu seras le "pacha", s’exclame-t-elle en déclenchant des rires de l’assemblée.
Je me sens moins seule, continue-t-elle, toujours aussi joueuse, aux moins, je sais qu’avec toi Emma, il ne fera plus tout ce qu’il veut.
— C’est vrai oliveur !? Tu n’es pas serviable avec ta sœur, renchérit sa copine, je vais devoir remédier à ça lui dit-elle en le taquinant !— Ooooh les filles !!! Vous ne perdez rien pour attendre. Là, je suis pris à froid, mais croyez-moi, vous aurez le retour, répond Olivier en servant le café.
L’atmosphère est conviviale, détendue, Anne-Caroline et Julie se sentent intégrées, le début du confinement est prometteur.
Pendant que les filles continuent à papoter de tout et de rien, Olivier s’occupe de sa chambre. Comme il y a une invitée en plus, Hortense lui a demandé de débarrasser son antre - ce qui a bien fait rire les filles - pour qu’Anne-Caroline puisse avoir son intimité en disposant d’une chambre. En s’adressant à Olivier, elle lui dit en le taquinant qu’il trouvera bien une place sur le canapé. Elle rajoute enfin devant son air interrogatif, qu’elle lui laissera une place dans son grand lit si toutefois il met un pyjama et qu’il ne sent pas le vieux bouc !!! Evidemment, cette dernière phrase provoque l’hilarité générale alors qu’Olivier se lève.
— Dis tout de suite que je ne me lave pas ! Tu es une peste ma sœur ! — N’oublie pas ton doudou, renchérit-elle. — Non meh... tu es déchaînée ! répond-il hilare, en montant les escaliers.
Au premier abord, ce petit jeu innocent confirme la duplicité d’un frère et de sa sœur. Un peu comme les fondations d’une maison, Hortense impose l’humour et la joie comme base pour masquer les dégâts de ce terrible virus, tenter d’oublier ce confinement imposé et vivre ensemble dans la bonne humeur.
Evidemment, les invités ne connaissent pas la passion qui anime le frère et la sœur. Hortense ne veut surtout pas la révéler ni suggérer quoi que ce soit qui puisse ne serait-ce que leur mettre la puce à l’oreille.
La venue de Anne-ka est une aubaine. En effet, comme il n’y a que trois chambres avec dans chacune d’elles un lit de deux personnes, immédiatement Hortense a saisi l’occasion pour mettre Olivier dans son lit sans que pour cela il y ait une quelconque interprétation sexuelle. Elle est contente d’elle et rassurée aussi, car elle n’a pas le souhait de renoncer à son frère, bien au contraire.
*****
Jour - 3 Complètement abasourdis tous les deux par les événements qu’ils viennent de vivre, Olivier, perturbé par ce qu’il a commis, monte dans sa chambre en laissant Hortense sur la table. Il ne trouve que tardivement le sommeil, déchiré entre la culpabilité, le tabou qu’il vient de franchir et le désir encore plus fort de faire l’amour à nouveau à sa sœur.
De son côté, Hortense rejoint sa chambre totalement groggy, honteuse de s’être laissé faire, mais surtout ébahie d’avoir aimé la fougue de son frère, d’avoir ressenti autant de plaisir, d’avoir joui comme une folle et se méprisant d’envisager que cela ne s’arrête pas. "non, non, et non, je ne peux pas continuer, il faut absolument qu’on discute avec Oliv".
Et puis le matin, en robe de chambre, pas coiffée, la mine défaite par une nuit agitée, assise à la table de cuisine devant un bol de café, la tête plongée dans ses pensées, elle n’entend pas son frère arriver. Hortense sursaute alors qu’Olivier l’enserre de ses deux bras. Elle voudrait lui dire tout le fruit de ses réflexions, mais lorsqu’il dépose une myriade de bisous sur sa nuque, accompagnée vicieusement par des mains baladeuses qui lui caressent ses seins, elle fond. Toutes ses bonnes résolutions s’envolent.
Le feu s’est réveillé comme s’il n’avait jamais été éteint, son cœur bat la chamade, ses seins durcissent, ses tétons bandent, et une chaleur sournoise se manifeste au creux de son ventre. Elle est perdue.
Aussi, lorsqu’Olivier lui dit qu’il l’aime comme un fou et pose ses lèvres sur les siennes, elle ouvre la bouche pour se laisser dévorer, maintient la tête de son frère avec sa main et fouille à son tour la bouche d’Oliv, elle ne respire plus, le temps s’est arrêté, Hortense est en transe.
Elle ne se rappelle pas comment elle s’est levée, à peine s’est-elle rendue compte d’un bruit de vaisselle cassée qu’elle est assise sur la table, les jambes écartées, la tête d’Olivier entre ses cuisses.
— Aaaaaaaaaaaaaah !... Olivvvv nooonnn ! ... ooooooh oui ! geint-elle.
Ses yeux voilés, le souffle court, elle est une marionnette dans les bras de son frère.Olivier mange le sexe de sa sœur avec un appétit féroce. Il la lèche sans ménagement de haut en bas, de bas en haut, parcourant les lèvres suintantes jusqu’au bouton tuméfié, Hortense se pâme. Il redescend ensuite enfuir sa langue dans l’antre brulant laper et aspirer la cyprine abondante. Sa sœur remue la tête dans tous les sens, elle frémit, frissonne, devient folle.
— Alors ma sœur, tu aimes quand ton frère te lèche... dis-moi que tu m’aimes.— ...— Tu ne dis rien ? lui dit-il en relevant la tête. Tant pis, continue-t-il en tenant fermement son bassin.
Vicieux, il plonge sur la vulve gorgée de sang puis se dirige vers le clitoris orgueilleux, il le titille, le fait grandir, puis tout en affirmant sa prise avec ses mains, il aspire fortement la perle pour enfin la mordiller. Hortense remue son bassin comme une damnée pour se cabrer ensuite sous l’aiguillon qui la transperce.
— Aaaaaaaaaaaaaaaaah nooon Olivvvv c’est trop fort...— Dis-moi que tu m’aimes ?— Oh.
Sans réponse, Olivier poursuit son travail de sape, de sa main gauche, il appuie sur le ventre pour qu’Hortense s’allonge sur la table, relève ensuite les deux jambes pour les poser sur ses épaules et insère profondément deux doigts dans la vulve détrempée.
— Oooooh.
Il agite ensuite ses arpions tel un fouet battant des œufs en neige. Au début, sa sœur pousse des gémissements plaintifs, sa respiration est saccadée, puis le timbre de sa voix devient rauque lorsqu’il titille sans ménagement son point G, de longs sons gutturaux s’échappent de sa bouche tout en haletant, puis sans prévenir, elle gicle sa jouissance en hurlant.
— Oh la vilaine, tu m’a trempé.
Olivier est fasciné par le tempérament démonstratif de sa frangine, il adore la voir jouir et encore plus lorsqu’elle se lâche totalement. Il bande depuis le moment où ils se sont embrassés, mais là, l’effet sur sa libido est incommensurable, son gourdin est dur comme du bois. Encore secouée de spasmes, sa sœur essaye de récupérer, seulement lui, il ne peut attendre qu’elle reprenne ses esprits, cette vulve ouverte et suintante avec ce parfum fort qui s’en échappe l’excite au plus haut point.
Seulement avec le déchaînement de sa sœur, celle-ci s’est éloignée du bord de la table... ni une ni deux, il la tire presque brutalement, son cul est alors en bonne place.Gamin, il ne se rendait pas compte que le plateau de cette table était anormalement bas avec sa hauteur de soixante-cinq centimètres, cela ne le dérangeait nullement. Par la suite, il en avait demandé la raison à sa mère qui lui avait répondu que son père avait flashé dans une brocante sur cette table d’atelier au plateau massif et depuis, elle était là dans la cuisine... Quelle aubaine !!! ... La hauteur est parfaite, les fesses de sa sœur sont légèrement en contrebas.
Tenant des deux mains les jambes à l’équerre, Olivier regarde Hortense encore sous le coup de la jouissance puis reporte son attention sur son bâton et les deux lèvres congestionnées qui l’appellent, pose son gland au centre "mon Dieu qu’elle est brulante" et électrisé par cette sensation, sans réfléchir à la grosseur de son membre, animé d’un instinct primal, il donne un grand coup de reins.
Aaarrrrrrgggghhhhhhh hurle HortenseElle a l’impression d’être pourfendue par une lame en fusion. Heureusement, elle est fortement excitée, la cyprine est abondante et cela facilite grandement l’intrusion, même si elle n’a pas l’habitude de l’accueillir, un priape aussi énorme ne se rencontre pas à chaque coin de rue.
Olivier, conscient de son empressement, et malgré l’excitation, reste immobile quelques instants, les couilles en butée, il ne veut pas faire de mal à sa sœur.
— Oooooooohhh, souffle-t-elle en essayant de récupérer, salaud tu vas me tuer !!— Tu es belle, lui dit-il en se penchant pour l’embrasser.
Les bras toujours en dessous des genoux de sa sœur, la bouche ouverte, Olivier n’a pas à quémander un baiser, Hortense telle une sangsue attire de ses mains la tête de son frangin pour littéralement le dévorer.
Olivier bouge alors doucement son bassin, il entame un léger retrait, suivi d’un retour tout aussi doux, deux autres suivent, Hortense tente de calmer sa respiration tout en mangeant toujours aussi goulûment son frère puis, Olivier augmente graduellement l’amplitude de ses mouvements, les parois se dilatent pour l’accueillir, sa sœur geint maintenant la bouche toujours collée, elle ondule imperceptiblement le bassin.
Le signal est là !!!Olivier se retire alors sur toute la longueur de son vit, le gland à l’intérieur, puis, comme un étalon change de cadence, du pas il passe au trop, les aller et retour deviennent soutenus, aaaaaah geint sa frangine tout en accompagnant le rythme de sa monture, puis au bord du précipice, excité par ses longs préliminaires, il passe au galop, sa frangine crie, au double galop ensuite, Hortense est en apnée.
Enfin en appuyant sur les mollets de sa sœur, Olivier applique les pieds à côté de la tête et c’est au triple galop qu’il se déchaîne, son pieu fore à une cadence infernale le conduit devenu graisseux, des bruits obscènes accompagne cette chevauchée, Hortense lui griffe le dos en hurlant, puis dans un dernier han de bucheron, le gland frappe à la porte de l’utérus, Olivier se repend tout tremblant, la pouliche se cabre.
Au bord du gouffre depuis quelques instants, la sève expulsée provoque d’innombrables contractions autour du membre, une traite sans concession, l’instinct primal d’Hortense a pris le dessus, il lui faut tout son jus. Hortense ahane avec ce gourdin monstrueux, repoussant ses chaires au-delà de l’imaginable puis avec la semence qui pulse, elle exulte, délire et tout en griffant les épaules de son frangin sous une ultime contraction, elle ouvre la bouche sur un terrible cri rauque qui n’en finit pas de sortir, elle s’effondre, tétanisée.
Pendant un temps qu’ils ne peuvent définir, Olivier est couché sur sa sœur, la tête dans son cou, le sexe encore à l’intérieur de sa frangine. Celle-ci savoure le calme après la tempête, elle adore ce moment après l’amour où son frère est détendu sur elle, son corps épousant ses courbes, cette chaleur rassurante et aussi le monstre reposant dans son ventre, cette chaire si douce maintenant, ce démon qui la fait hurler, mais qui la remplit si bien. Elle ne s’est jamais sentie aussi femme que maintenant, un brin salope, mais une femme comblée.
Hortense ne sait pas ce qui lui arrive, Oliv la rend dingue. Dès qu’elle voit ses yeux pétiller, qu’elle aperçoit son regard lubrique, son corps réclame, elle est en ébullition. Lorsqu’il lui parle, qu’il commence à la toucher, comme une chatte pendant ses chaleurs, elle devient infernale, folle, elle se damnerait pour sentir sa grosse queue, il faut qu’il la remplisse.
Remis de leur frénésie, tous les deux partent à la douche sans dire un mot. Il faut attendre le repas du midi pour qu’ils se parlent enfin.
Pendant les trois jours qui les séparent de l’arrivée de leurs amies, aucun des deux n’arrive à endiguer leur soif de volupté. Hortense n’a jamais eu autant d’orgasmes en un temps aussi court. Olivier est plutôt performant pour soutenir le rythme effréné, il est aussi très imaginatif autant qu’habile avec ses doigts, sa langue et le reste. D’ailleurs excepté la sodomie, elle avait trop peur qu’il la déchire, ce qu’il comprenait facilement, elle acceptait tout de lui.
Elle découvre l’anulingus pour la première fois. En préliminaire, elle aime cette langue qui la fait se pâmer surtout quant à force de patience, son petit trou s’ouvre et qu’Oliv peut insérer la langue et lui lécher l’intérieur. "c’est vicieux, mais divin" pense-t-elle. Elle jouit sans retenue, elle coule et puis surtout cela la prépare au gourdin qui ne manque pas de l’envahir ensuite. Excitée comme une folle, Oliv peut alors la pénétrer plus rapidement, sa vulve accepte maintenant avec gourmandise ce chibre hors norme.
Ils explorent presque toutes les pièces de la maison et même l’extérieur devient un terrain de jeu.La veille de l’arrivée de leurs amis, dans l’après-midi, en recherchant des outils dans la grange, une poussée lubrique s’est emparée d’Olivier à la vue de ballots de foins. Ils ont baisé comme des bêtes oubliant toutes précautions, les portes de la grange ouvertes, on pouvait entendre de loin Hortense "gueuler", oui j’ai bien dit "gueuler "car maintenant, Hortense se lâchait sous le joug de son amant. Elle devenait d’ailleurs de plus en plus garce en titillant son frère, le provoquant, l’amenant à se dépasser, devenir sauvage, le poussant à la violenter, l’invectivant pour assouvir sa soif de jouissance extrême.
De son côté, Olivier remarque la demande toujours plus pressante d’Hortense pour qu’il la prenne sans ménagement, avec force et parfois rudesse. Etonné au début, il se réjouit du débridage de sa sœur. Il adore les moments de tendresse, cependant, il est de plus en plus attiré par les accouplements bestiaux, il devient addict à ces fornications violentes où ne compte que le sexe pur, la luxure poussée à l’extrême.
Tous les verrous sautent un à un, de garçon calme au langage mesuré, il ne se prive plus maintenant de lui sortir toute une ribambelle de mots grossiers pendant leurs rapports sexuels.Sur l’oreiller, car bien sûr dès le deuxième jour, ils dorment ensemble, elle lui concède ses écarts de langage pendant leurs rapports, elle ne veut pas l’empêcher de se lâcher si cela lui fait plaisir. Quelle mauvaise foi !!! En fait, elle découvre avec étonnement que les grossièretés, dans la bouche de son frère lors de leurs jeux, décuplent sa libido. Cependant pour rien au monde, elle ne lui aurait avoué... Olivier n’est pas dupe évidemment.
Hortense est une femme heureuse, comblée. Elle ne pense certes pas à l’avenir, à l’après confinement, par contre, elle souhaite profiter pleinement de cette période, elle n’est pas encore rassasiée, elle se découvre même chaque jour un peu plus salope, elle n’a pas besoin de se faire prier pour "ouvrir les cuisses", son imagination est sans limites pour provoquer son frère, l’exciter, l’obliger à bander pour qu’elle retrouve cette sensation inouïe d’être couverte par son mâle, remplie au-delà de ses espérances les plus folles, violentée parfois pour pimenter sa soif de jouissance.
Toutes ces années à se chercher, elle n’avait pas conscience de sa libido et que son épanouissement passait inexorablement par une sexualité en dehors des sentiers battus. Il lui fallait oublier les tabous, franchir toutes les limites de la bienséance, mettre du piment dans ses rapports. L’inceste est une révélation, ses jouissances n’en sont d’ailleurs que plus intenses.
Elle veut profiter de cette réclusion pour vivre à fond ses envies. Par contre, le must n’est pas de réaliser telles ou telles cochonneries, mais que celles-ci lui soient imposées, elle veut que son frangin soit imaginatif et qu’il l’oblige à faire des choses que la morale réprouve. Son ventre se tord à l’idée des perversités inavouables que son frère pourrait lui ordonner, car elle lui obéirait, en rechignant pour la forme, mais en définitif, elle serait heureuse qu’il lui impose toute sorte de jeux sans qu’elle puisse s’y soustraire.
Olivier ne l’a pas encore sodomisée malgré son empressement. S’il a des pulsions, il n’est pas prêt à franchir certaines limites. Il reste tout de même scrupuleux.De son côté, Hortense ne veut pas qu’il lui demande, mais qu’il l’oblige à céder. Elle désire que cette première fois avec lui soit un rapport sous la contrainte, elle veut se sentir obligée, soumise, d’ailleurs à chaque fois qu’elle y pense, elle ne peut s’empêcher de mouiller tellement elle fantasme sur ce simulacre de viol.
Elle ne se demande pas qu’elle est sa limite, la honte, la perversité et peut-être même la douleur font partie intégrante maintenant de sa sexualité, elle le sait, seul le plaisir compte. Cependant le fait que tout soit caché derrière la vitrine du convenable, qu’elle paraisse en dehors du confinement, aux yeux de tous, comme une femme BCBG, une personne normale à la moralité conventionnelle, ajoute encore du piment à la salope dépravée qui se cache sous cette enveloppe. Cette dualité est jouissive pour Hortense.
*****

Pour le premier dîner ensemble, Hortense avait préparé un repas tout simple. Des tagliatelles à la carbonara accompagnées d’une salade que les convives pouvaient prendre avant, pendant ou après le plat principal, en dessert, elle proposait un yaourt aux fruits ou une compote.
Repus, les invités ne se sont toutefois pas éternisés après le repas, car la route les avait mis sur les rotules. Ils n’aspiraient qu’à retrouver un lit douillet, aussi comme Hortense avait décliné l’offre d’aide pour la vaisselle et le rangement chacun pouvait gagner sa chambre.
Ce n’est que vers 22 heures que la maîtresse de maison monte, suivie cinq minutes plus tard par son frère.Arrivé dans la suite parentale, une pièce conviviale, reposante, spacieuse, mêlant pierres et poutres en bois dans des tons chaleureux, Olivier ferme la porte derrière lui puis regarde avec un petit sourire sur les lèvres sa sœur au bord du lit.
Sa belle retire ses vêtements. Il attend pour retirer les siens, juste pour mater et profiter pleinement de son effeuillage. Il aime ces instants spéciaux dans ce genre d’exercice, des flashes qu’il faut savoir saisir : l’instant précis où Hortense détache son soutien-gorge, mettant ses deux mains dans le dos et ainsi projetant sa poitrine vers l’avant. Il apprécie aussi ce bref instant, lorsqu’elle pose sa culotte en la faisant glisser sur ses hanches, où le fond prend du retard et reste collé à la chatte humide. Il trouve ça merveilleux.
Elle s’étend sur le lit en l’attendant, posée sur le côté, une joue sur la main portée par le coude, l’ovale parfait de ses hanches se prolonge d’un creux accentué par le torse semi-relevé. La ligne de la colonne dessine une courbe superbe que le sillon fessier prolonge magnifiquement. e même, il admire les cuisses fermes inégalement pliées. Il adore cette pose ingénue, suggestive, provocatrice.
— Tu es magnifique ma chérie.— Tu m’appelles ma chérie maintenant.— Oui j’ai envie ! tu n’aimes pas ?— Oh si ! mais c’est tellement nouveau, moi je n’y arrive pas encore, mais je t’aime comme une folle.
Enhardi par ces mots, Olivier dépose un baiser sur ses lèvres puis sur ses tétons déjà durs. Elle se laisse aller sur le dos, il la suit, passant des seins à la bouche, de la bouche à ses tétons et puis du ventre jusqu’au nombril pour arriver à son sexe.Il l’attaque sans ménagement, dévorant, suçant, lapant. Elle mouille à tout va, une cyprine aigrelette et musquée, délicieuse. Tout y passe, il s’attarde longuement sur son clitoris, elle respire fort et gémit doucement, même sa petite rondelle plissée n’est pas oubliée.
— Fais attention Loulou, ta copine dort juste à côté, dit-elle, mesquine.— Tant pis pour toi, je vais alors te bâillonner, ça t’évitera d’être une braillarde... — Oooooooooh.— Après tout ce que tu m’as fait subir depuis l’arrivée de nos colocataires, je ne vais pas te ménager !!!— Ce n’est pas vrai, répond Hortense, sentant l’excitation la gagner.
Elle le provoque pour lui dire après d’être discret, sachant pertinemment qu’il ne va pas s’arrêter en chemin, elle le devine, elle l’espère. Le câlin du soir, doux et langoureux, est aussi important que les "baises" de la journée. Hortense ne pourrait plus s’en passer.Seulement là, ce soir, Oliv est plus empressé. Il faut dire qu’elle n’a fait que le titiller toute l’après-midi et elle continue à le provoquer.Elle se retourne alors, mettant son cul en buse :
— Tu sais que tu as les plus belles fesses du monde ? Ce n’est pas un cul, c’est un appel au viol ! T’es vraiment une garce à m’exciter comme cela... Après, tu voudrais que je sois calme. C’est une fessée que tu mérites !!— Oooooooh. — Tu as envie d’une bonne grosse queue ? Hein ? Dis-le. — Je ne sais pas !!! ... Mais je sens que ça coule le long de mes cuisses, ajoute-t-elle, vicieuse. — Serais-tu un peu salope ?— Ooooh minaude-t-elle ... Occupe-toi de moi Olivier, je t’en prie, fais-moi un gros câlin !
Partagé entre l’envie de ne pas dévoiler sa relation avec sa sœur telle qu’elle lui a demandé et le désir de ne pas lui obéir pour ajouter du piment à leur relation, Olivier se rue sur Hortense en laissant le hasard prendre toute sa place. Il se laisse porter par sa libido révélée, il entre à grande enjambée dans le monde sulfureux, pervers, il franchit à vitesse folle toutes les barrières qui le transportent vers le plaisir et surtout, il devine les non-dits de sa frangine et n’a de cesse de la pousser là ou elle aspire qu’il la mènera. En d’autres mots, elle joue l’ingénue presque choquée par la hardiesse de son frère, or elle s’évertue à ce qu’Oliv fasse fi de ses paroles, qu’il outrepasse les conventions et qu’il se libère. Elle le veut affranchi de toute limite, qu’il assouvisse ses fantasmes et de plus, s’il pouvait la contraindre, elle en serait que plus heureuse.
Le domaine de la soumission-domination est souvent bien plus équivoque au second regard. Tel est pris qui croyait prendre. Olivier se rend bien compte que sa sœur le manipule, mais ce jeu lui plaît. La voir jouir, défaillir aussi à quelques reprises lui procure un indicible plaisir.
Alors si son amie Emma se rend compte qu’il y a autre chose que de l’amour fraternel entre lui et Hortense, il fait confiance en l’avenir, les conséquences pourraient être agréables. De toute façon, il est presque sûr que sa frangine a déjà envisagé et peut-être même souhaité que les événements déraperaient encore plus. Exhibitionniste, ouverte, libidineuse et perverse à souhait, elle serait ravie d’expérimenter de nouvelles pratiques.
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