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Confinement bis

Chapitre 5

Le vase déborde

Divers
Vie ensemble, activités, répartition des tâches.Les premières semaines passent à toute vitesse. Chacune et chacun prennent ses marques. La vie s’organise tout naturellement avec le petit-déjeuner pris aux alentours de neuf heures. Hortense est la première debout, habillée simplement d’une robe de chambre. Elle met un point d’honneur à toujours préparer le café et mettre sur la table, beurre, confiture, miel, jus d’orange, biscottes et pain. Evidemment, ce dernier acheté en magasin a rapidement disparu pour être remplacé par celui que fabrique Julie. En effet depuis le premier confinement, elle s’est essayée au pétrissage, au façonnage, elle a même poussé le vice à n’utiliser que du levain. Ainsi elle peut faire une miche de campagne de sept huit cent grammes avec de la farine de blé type soixante-cinq mélangée avec du seigle en proportion de dix à vingt pour cent afin d’avoir un pain de campagne, présenter un produit d’une agréable saveur et surtout un pain qui se conserve deux à trois jours sans que ses qualités ne soient affectées. Certes, la cuisson dans la cuisinière n’a pas le rendu d’un four à sole, cependant il est tout de même très bon avec sa croûte brunie et sa mie alvéolée.
L’assistance est bluffée au début, surprise, mais maintenant, ils l’appellent tous la boulangère et il est interdit pour elle que le pain vienne à manquer. De plus, ses talents ont vite été mis à contribution pour qu’elle leur confectionne des pizzas, une brioche pour le dimanche et aussi de multiples petits gâteaux, ces gâteries qui émoustillent les papilles et rendent les soirées agréables.
Julie est d’ailleurs la seconde à descendre à la cuisine, fraîchement lavée, elle est habillée pour la journée. Suivent ensuite Emma et Olivier ou l’inverse, tous deux sortant du lit avec pour seule tenue un caleçon et un tee-shirt pour l’homme de la maison, et pour son amie, un slip tout juste couvert par une liquette ou une chemise de nuit pour le moins suggestive. Elle n’est pas provocatrice, elle est simplement naturelle.
Tout ce petit monde a presque terminé de déjeuner lorsque apparaît enfin Anne-ka dans toute sa splendeur. Douchée, habillée, apprêtée comme une demoiselle se rendant à un rendez-vous galant, coiffée et maquillée avec ostentation. Au début, l’assemblée l’avait charriée et notamment Emma se moquait d’elle avec ses airs de grande dame tout droit sortie d’un concours de beauté : " je te rappelle que l’on a prévu de travailler au jardin tous les trois avec oliveur, ton vernis à ongles ne va pas tenir ma chérie !!!". Evidemment, ces remarques contrarient Anne-ka, cependant elle n’arrive pas à faire autrement, et la plupart du temps, elle doit se changer pour effectuer les activités de la journée.
En effet, après deux semaines de vie en commun, il avait été décidé que chacun devrait faire une tâche particulière quotidiennement, d’une part afin d’assumer une vie en communauté avec toutes ses exigences, de s’occuper pour éviter de penser à ce confinement, et puis récemment de prévoir l’avenir.
Cela faisait maintenant trois mois qu’ils vivent reclus et les informations qu’ils entendent ne sont pas de nature à les rassurer. Si le virus continue à se propager aussi vite avec son cortège de contamination et de mort, jamais ils ne pourront vivre normalement dans un mois. Le vaccin, selon ce que la veille médicale relate, rencontre d’énormes problèmes d’élaboration et vraisemblablement ne sera disponible que dans trois quatre mois. Si l’on rajoute à ce délai quelques mois supplémentaire dû à l’optimisme des médecins, l’acheminement du produit et les vagues de vaccination par tranche d’âge, il est presque sûr que le petit groupe doit se préparer à vivre ensemble encore six mois, voire beaucoup plus.
Le mois de novembre touche à sa fin aussi hier soir, après le repas, le groupe a discuté longuement suite aux informations, et la mort dans l’âme, il a décidé de quelques mesures afin d’appréhender aux mieux leur séjour qui allait devoir se prolonger.
Le bois en premier lieu doit être leur préoccupation pour alimenter la cheminée du salon. Il faut faire des réserves pour les mois d’hiver, sous l’appentis, il ne reste plus qu’un stère de bois et il leur en faut au moins quatre, car la réserve de fioul pour le chauffage central est au plus bas.
Ensuite, ils doivent cultiver quelques légumes au printemps prochain afin de parer à toute éventualité. Aussi pour l’instant, le mieux est de préparer la terre, débroussailler et ensuite bécher le jardin afin que le terrain soit prêt pour février mars. Hortense a même suggéré de préparer des couches pour avancer les plantations, car elles permettront de semer des graines plus tôt en saison.
Enfin, il faut prévoir de faire un enclos dans la grange avec une sortie sur un parc dans le jardin. En septembre lors d’une sortie pour un ravitaillement, notamment de farines pour le pain, Emma et Julie avaient eu l’adresse d’un paysan qui vendait des poules. Pour les gâteaux, Julie a besoin d’œufs et ceux-ci servent aussi de repas. Il est donc judicieux d’acquérir quatre cinq poules afin de se prémunir d’une pénurie. Ils en ont acheté 10 avec un coq, cela semble beaucoup, cependant Hortense leur dit au téléphone qu’une bonne poule au pot ne se refuse pas. Il en reste huit avec le coq qu’ils doivent protéger contre le gel, dans cette région lorsque l’hiver arrive, les températures peuvent descendre très bas.
Généralement donc, Hortense s’occupe de l’intérieur et des repas, Julie est affectée à la réalisation quotidienne du pain, de la pâtisserie viennoiserie parfois, ou encore des différentes pâtes qu’elles soient brisées pour les quiches, sablées pour les tartes, ou encore à pain pour les pizzas. Pour tout ce qui est des menus travaux, du bricolage, Emma et Olivier sont préposés à leur réalisation et lorsqu’ils demandent beaucoup de temps, ils sollicitent Anne-ka. Elle n’est pas spécialement heureuse de les aider, seulement elle n’a pas toujours le choix. Il faut dire qu’elle n’aime pas faire la cuisine et comme l’entretien de la maison n’est ni fait ni à faire, laver la vaisselle se révèle une catastrophe, Emma ne lui demande sa participation que pour l’aider, elle et Olivier, et encore la plupart du temps, ils la laissent procrastiner. Cependant lorsque la grande estime qu’elle doit les aider, il n’y a pas à discuter, elle ne lui laisse pas le choix, bon gré mal gré, elle doit les suivre.
Donc chacun et chacune a son lot de petits travaux à faire dans la journée et puis le repas du soir pris, tout le monde peut regarder la télé ou se consacrer à son loisir préféré, ou encore, de temps en temps participer à un jeu tous ensemble.

Ce soir en rentrant, Anne-ka est agressive. Elle s’est griffée en débroussaillant le jardin avec Olivier. Elle est d’humeur massacrante en regagnant la douche, elle est particulièrement en colère et sa vindicte va contre Emma, tout le monde l’entend invectiver celle-ci de tous les mots d’oiseaux, ce qui par ailleurs laisse la grande totalement indifférente"cela lui passera" pense-t-elle, "la précieuse s’en remettra" dit-elle à Oliveur.
Tout le monde est habitué au sale caractère d’Anne-ka, personne ne la prend de face pour essayer de la calmer ou de lui faire entendre raison à part Emma qui n’entend pas que cette Parisienne hautaine et fière puisse chambouler l’harmonie de leur communauté. Plusieurs fois, elle l’a remise à sa place, gentiment au début, puis plus fermement et pendant une semaine ou deux, on ne l’entendait plus. Tout le monde est conscient que ces incidents ne sont pas définitivement réglés, le naturel revient toujours au galop.
La goutte d’eau.Et justement ce soir, le repas pris, Hortense et Olivier sont assis dans les deux fauteuils qui se trouvent de part et d’autre du canapé où Emma et Julie sont collées l’une contre l’autre. Ils regardent un film de Guillaume Canet. La publicité vient de couper la projection et ils reviennent sur les dernières mauvaises nouvelles vues ce soir aux informations. Ce n’est pas réjouissant, car les hôpitaux sont saturés et on vient encore de franchir un cap avec dix mille nouveaux cas constatés par jours.
Soudain, ils entendent à l’étage Anne-Ka crier puis dans la foulée, elle descend quatre à quatre les escaliers pour enfin atterrir dans le salon entre la télé et le groupe. Tous sont médusés de la voir telle une furie, habillée d’un kimono japonais, cette veste courte serrée à la taille par une ceinture laisse apparaître un shorty flottant de nuit. Elle est très sexy dans cette tenue, cependant les convives ne voient qu’une harpie déchaînée. Devant l’assemblée médusée, elle harangue Hortense avec véhémence pour son incompétence ; elle a mis sa jupette blanche à laver, or maintenant, elle a changé de couleur, elle ne peut plus mettre sa jupe préférée, elle est "foutue".
Emma se lève alors, telle une féline protégeant sa portée, se place devant la mégère, et sans que celle-ci ne puisse s’attendre à une réaction aussi violente, la grande lui balance un aller et retour cinglant, Anne-ka vacille. Totalement surprise, elle aspire d’un coup tout l’air de la pièce. Jamais personne ne l’a traitée ainsi.
Les trois spectateurs sont stupéfaits, interdits. Plus aucune mouche ne semble voler.
— Tu arrêtes ? Tu vas te calmer immédiatement, lui dit Emma. Que tu sois désagréable continuellement pour un oui, pour un non, passe encore, mais que tu puisses te permettre d’insulter Hortense, alors là, jamais je ne te le permettrais.
Anne-Ka est paralysée, la foudre lui est tombée dessus et c’est sur un nuage que lui parviennent les paroles d’Emma. Celle-ci lui débite toutes les rancœurs accumulées.
— Tu dépasses les bornes, ajoute-t-elle. Non seulement Hortense t’accueille chez elle avec toute sa gentillesse, elle s’est mise en quatre pour que le logis soit accueillant, elle ne dit jamais rien en réponse à tes soupirs, quand tu n’aimes pas ceci ou cela, elle ne te fait aucune réflexion quand tu boudes tel ou tel produit sous prétexte qu’il n’est pas bio. Tu n’es pas chez toi "merde" à la fin. Et puis je te ferais remarquer que tu es là, car tu as supplié ta cousine pour venir avec nous. C’est comme cela que tu nous récompenses !!! Tu n’es qu’une égoïste et une capricieuse. J’ai pris sur moi pour t’accepter, Julie m’avait demandé de faire un effort, ce que j’ai fait pour elle, mais là ce n’est plus possible. Tu dois partir.
Anne-ka prend alors conscience de la situation. Radoucie, désemparée, elle essaye de se rattraper en voulant s’excuser auprès d’Hortense.
— Non Anne-Ka, c’est trop facile. Et puis demain, tu vas recommencer ton cirque. Y en a marre de tes comédies, tu as vingt-quatre ans et pourtant tu réagis comme une gamine de douze ans, une gamine gâtée pourrie qui fait tout pour mettre à bout la plus patiente d’entre nous. Tu es une peste. Il y a dix ans si j’avais eu ton comportement, mon père se serait vite chargé de me rougir les fesses pour me remettre les idées en place.
Emma est furieuse, cependant les dernières paroles lancées dans le feu de l’action résonnent encore dans son esprit, et ce type de punition lui donne des idées.Oui, pense-t-elle, "la voir se tortiller en public sous une pluie de claque s’abattant sur ses fesses me donne du baume au cœur. Cela la calmera et pour nous tous, quelle agréable vengeance pour ce qu’elle nous a infligé depuis deux mois. Qu’elle ait honte ne sera que plus jouissif, elle s’en remettra !!!"Sa décision est prise. Tout en jubilant intérieurement, elle met son plan à exécution et c’est d’une voix calme et froide qu’elle lui dit :
— Bon maintenant, fais tes affaires, je t’emmène en ville.
Les paroles lancées réveillent totalement Anne-Ka.
— Noonn, vous ne pouvez pas faire ça ! répond-elle, affolée.
Elle se met alors à pleurer, et entre deux sanglots, elle s’adresse à Hortense.
— Hortense, excuse-moi pour mon comportement, je ne le referais plus, mais s’il te plaît, ne me mets pas dehors... Je t’en supplie. Snif-Snif... — Hortense ne viendra pas à ton secours, lui répond Emma..... Comme c’est moi qui t’ai amenée ici, je vais réparer mon erreur.— Pitié Emma SNIF-SNIF, je ferais ce que tu voudras, mais ne me jette pas SNIF-SNIF.—....... OK... mais ce ne sera pas sans conséquence si je te permets de rester !
Anne-Ka, encore surprise de la réponse, ouvre grand les yeux. Elle recommence à espérer, toute son attention est reportée sur Emma.
— Tu es bien consciente d’avoir été infecte depuis deux mois ?— Heu... Ouuui répond-elle d’une voix basse.— Tu mérites donc une punition à la hauteur de ton comportement inqualifiable.
Assis dans les fauteuils, Julie, Hortense et Olivier se sont depuis longtemps redressés sur leur assise et ils sont tout ouïe, la tension est à son comble.
— Heuuuuu.....— Je n’ai pas compris ta réponse, relance Emma.— Ouuui susurre-t-elle avec beaucoup d’appréhension.— Et bien pour gagner ton droit de rester, comme tu agis comme une gamine de douze ans tu seras punie comme telle.— ???— En clair, tu subiras une fessée devant tout le monde.
Les trois spectateurs sont ébaubis, quant à Anne-ka, il est facile de voir son désarroi. Incrédule au départ, elle devient vite horrifiée par le dilemme, elle est livide. Elle ne veut pas y croire, elle se dit qu’elle a mal entendu aussi, béatement elle s’adresse à Emma :
— Tu ne veux pas dire que...— Si si, rétorque la grande. Soit je te donne une fessée ici devant tout le monde, tu l’acceptes et tu seras pardonnée, soit je te raccompagne en ville immédiatement.— Tu ne peux pas faire ça, lance Anne-ka, blanche comme un linge.— Tu as le marché dans les mains, je ne reviendrais pas dessus... Si tu veux rester, décide-toi vite, ma patience a des limites.
Totalement déboussolée, sachant qu’elle n’a aucun endroit où aller et qu’elle ne veut pas risquer d’attraper le virus, elle regarde alors l’assemblée pour recueillir leurs avis, mais celle-ci ne la soutient pas, aussi la mort dans l’âme, elle se décide après quelques minutes.
— Oui.— Oui quoi ? insiste Emma vicieuse.— Oui je veux rester, répond timidement Anne-Ka.— Ce n’est pas suffisant... Tout le monde doit entendre de ta bouche que tu mérites une fessée comme punition.— Euuuh.— Alors ça vient. C’est toi qui décides !!!— Je... mérite... une fessée.— Mais encore, insiste Emma impitoyable.— Donne-moi la punition Emma.— Je voudrais que tu dises "donne-moi la punition que je mérite s’il te plaît Emma"— Donne-moi la punition que je mérite... s’il... te... plaît... Emma.— Parfait, tu vois ce n’est pas difficile. Alors maintenant, tourne-toi et va poser ton buste sur la table, mains tendues devant toi.
Comme une somnambule, Anne-Ka se tourne donc et fait deux pas vers la salle à manger, accompagnée d’une Emma souriante.A plat ventre sur la table de la salle à manger, Anne-ka essaye de mettre ses mains en protection, mais c’est sans compter la promptitude d’Emma à retirer la ceinture du kimono, attraper les fins poignets, les mettre dans son dos pour enfin les attacher solidement ensemble.
— Voilà maintenant, on va être tranquille avec tes mains, et puisque le vin est tiré, il faut le boire. Mais avant cela, une dernière chose essentielle.— Noooonn, pas ça.
Trop tard, en deux temps trois mouvements, vicieuse, Emma agrippe le Tanga des deux mains et d’un coup sec le descend aux mollets. La belle suppliciée expose maintenant ses atours à la vue de tous. Et ce n’est pas Olivier assis à un mètre qui va se plaindre.
Rapidement positionnée sur la gauche, Emma tient maintenant de sa main gauche les poignets relevés en traction bloquant de facto la Parisienne, le buste bien à plat sur la table, la grande a toute latitude de claquer les fesses et c’est ce qu’elle fait avec application.
La première frappe surprend, mais ne fait pas vraiment mal. Emma attend un peu pour la seconde, elle surprend Anne-ka. Les suivantes tombent fort, sans régularité et de plus en plus rapides. Anne-Ka finit par dire AÏE, AÏE, Emma ralentit un peu la cadence, pour reprendre de plus belle. AÏE, AÏE. Elle s’arrête. Puis reprend, encore plus fort, encore plus vite. Les fesses en feu, la Parisienne commence à gigoter et agiter les jambes, mais ça n’a pas d’effet, voire le contraire, la force et la rapidité des claques semblent augmenter.
Emma administre une fessée intense et soutenue. Elle distribue les claques en variant l’intensité, doucement au début puis de plus en plus fort ensuite, elle claque le haut puis le bas, la fesse droite puis la fesse gauche pour ne pas faire de jalouse. Anne-ka se tord maintenant dans tous les sens, elle râle de plus en plus fort, crie, pleure, supplie d’arrêter, mais aucune grâce n’est à attendre d’Emma qui prend de surcroit un plaisir jouissif à rougir ce joufflu. Cela fait maintenant plus de cinq minutes qu’Emma claque avec la régularité d’un métronome, la suppliciée suffoque sous la rudesse des coups, quant aux spectateurs, ils sont hypnotisés, ce derrière remuant dans tous les sens, cette croupe fabuleuse animée et colorée les fascinent. L’excitation est tellement forte qu’ils sont statufiés.
Et ce n’est pas fini, car Emma a de la suite dans les idées. A ce moment de la punition, elle est certaine de faire vaciller Anne-Ka, ses résistances se fracturent une à une, la Parisienne abandonne progressivement toute combativité, et malgré une endurance et une combativité sans pareil, elle se dirige inexorablement vers une sédition totale. Celle-ci ne se rebelle plus, ne crie plus, elle accepte sa condition en pleurant. Aussi Emma fait une légère pause tout en insérant son genou droit entre les jambes de la Parisienne, et posant son pied sur le tanga, elle lui ordonne :
— Lève ta jambe droite... Repose-la.
Anne-Ka réagit comme un robot, elle obtempère sans sourciller.Evidemment, le tanga reste au sol et les deux jambes ne sont plus tenues l’une à l’autre, ce que voulait Emma bien sûr. Avec la fessée déculottée, la jeune femme découvre la honte, toutes traces de condescendance se sont évaporées. Cependant pour Emma, ce n’est pas suffisant. Depuis qu’elle a commencé à punir celle qu’elle surnomme la "Peste", une joie irrépressible s’est emparée d’elle, elle découvre un nouveau jeu et celui-ci lui plaît énormément. Elle a ouvert la boîte de pandore et il n’est pas question qu’elle se referme. Emma va pousser Anne-ka dans ses retranchements les plus profonds, l’emmener sur des chemins où le plaisir se mêle à la douleur, où la honte côtoie la perversité, lui enlever toute fierté pour enfin devenir son jouet de luxure.
— Ecarte tes jambes et cambre-toi... plus que cela, lui crie-t-elle. Allez, on continue.— Oh non s’il te plaît, implore Anne-Ka, j’ai trop mal. — Ce n’est pas toi qui commandes. J’arrêterai quand j’estimerai que tu as bien compris. Et cambre-toi, je n’en ai pas fini avec toi, lui intime-t-elle.
Résignée, Anne-caroline obéit, elle n’est pas en état de penser, elle a totalement occulté les voyeurs dans son dos, comme une automate, elle exécute les ordres. Elle pleure certes, mais ne se rebelle pas.
Olivier a les yeux exorbités. Un nouveau degré de perversion vient d’être franchi. Avec les jambes écartées au maximum, Anne-ka offre à ses amis une vision diaboliquement lubrique. C’est une exhibition sans fard. Olivier a maintenant les pupilles dilatées, le cul de la Parisienne est un véritable bijou. Un postérieur aux proportions idéales, des fesses joliment bombées et juste au-dessous, il aperçoit le double renflement charnu d’une jolie vulve nichée entre ses cuisses, un abricot parfait, très brun, pulpeux à souhait, avec en son centre une fontine légèrement ouverte. Olivier n’est plus de ce monde, la scène est au-delà de tout ce qu’il pouvait imaginer. Ce cul l’excite terriblement, de plus, au centre le puits brun est maintenant bien visible avec l’écartement des cuisses, il aperçoit distinctement l’anneau serré, et en se concentrant, il le voit palpiter, un signe qu’il interprète avec son cerveau malmené comme une invite à la découverte. Il se sent très à l’étroit dans son slip...
Machinalement, il enserre son bâton dur comme du bois. L’instant n’est plus à la retenue, la bienséance n’a plus lieu d’être, d’ailleurs rien qu’en jetant de temps en temps un œil sur ses voisines, il remarque que toutes les deux sont comme lui, elles ont basculé dans un autre univers, un espace où la pudeur est proscrite, un temps où la luxure s’affranchit de toutes les barrières. Hortense est rouge écrevisse, une main plongée dans sa fourche, quant à Julie, elle respire sporadiquement, le téléphone bien en main pour capter l’essentiel.
— clic clac... clic clac, la sarabande continue. Anne-Ka se contorsionne, râle, crie... — Tu as intérêt à tenir la position, exige Emma en accompagnant sa phrase par un petit coup de pied lui signifiant de garder le compas largement ouvert... Tu m’entends bien ?— Ouuii, répond Anne-caroline avec une petite voix cassée.
Emma reprend la fessée, toujours aussi magistrale. Et puis comme pour vérifier son travail, elle change le tempo, elle alterne deux trois claques sèches avec une pause, le temps de poser sa main sur les hémisphères, sur le haut des cuisses, le bas des fesses, pour constater l’effet sur la peau. En retirant sa main tantôt elle la laisse glisser machinalement sur l’intérieur des cuisses, ou furtivement elle frôle la pulpe de l’abricot en effervescence.
Avant la mini-pause, les fesses d’Anne-Ka étaient déjà « précuites », aussi les sensations maintenant sont différentes, rien que les mains simplement apposées sur les fesses la font sursauter. Au début, les frôlements de ses zones sensibles ainsi que les mini-attouchements l’électrisent, puis quand ils se répètent, un étrange sentiment se propage insidieusement dans son ventre. Elle a l’impression de ne pas connaître son corps, il la trahit, sa vulve n’est plus un abricot sec, il s’éveille, il s’humidifie et cet état prend timidement, puis doucement et enfin inexorablement, le pas sur la douleur, d’autant plus qu’elle pense enrayer le phénomène seulement en contractant son ventre. L’effet est pire. Elle ne pense plus qu’à cela, elle est mortifiée : "Pourvu que personne ne s’en rende compte".
Cela n’a malheureusement pas échappé à Olivier. Il doit d’ailleurs se faire violence pour ne pas se lever, car les flagrances d’Anne-Ka se répandent dans la pièce, le parfum particulier d’une jeune femme excitée envahit ses narines, et comme si cela n’était pas suffisant, il remarque une excroissance pointant son nez au milieu des nymphes. Ce petit bout de chair ne cesse de se développer en écartant tout sur son passage, le bel abricot n’arrive plus à le cacher, c’est lui le maître des lieux.
Olivier devient fou. Il se voit enfoncer son vi dans cette femelle, la pénétrer sans fioriture et la faire faire crier, non, la faire "gueuler" à tue-tête"ah ce cul... Quelle beauté, si Emma me faisait signe d’approcher, je renierais tout. Les mains accrochées sur ses hanches, les doigts sertis sur cette peau tendre, je m’enfoncerai d’une seule poussée, tel un hussard, et je la besognerai comme un dément jusqu’à ce qu’elle rende grâce, que ce serait bon de la faire couiner."
À ce stade de la punition, Emma a un moment de lucidité. Elle se dit que la situation est devenue quasiment incroyable, Anne-Ka, rebelle, s’est transformée en une soirée. Emma a bien vu les changements, elle est surprise évidemment, intriguée par les non-dits, curieuse aussi des promesses que cela engendre. Cependant, elle se garde bien de montrer sa découverte, son cerveau reptilien a immédiatement enregistré cette évolution et il envisage déjà une suite. Les nuits et peut-être même les jours risquent rapidement de devenirs agités. Par contre, il faut battre le fer tant qu’il est chaud, elle accentue donc son côté dominateur, elle veut inoculer dans l’esprit de la punie une évidence, sa référente dorénavant, c’est celle qui la corrige, celle qui la soulagera ensuite du feu qui envahit ses fesses. Elle devra la suivre sans se rebeller, se soumettre sans compromission, obéir sans discuter et s’accepter dépendante.
— Changeras-tu maintenant de comportement ? demande Emma.— Ohhh SNIF-SNIF oui.— OK... Mais je me sens coupable de tout ce qui est arrivé et je ne te fais pas encore confiance... C’est pourquoi j’ai décidé de veiller sur toi.— SNIF-SNIF... Ah.— Oui, tu feras ce que je te dis.— SNIF-SNIF... tout ce... SNIF-SNIF que tu SNIF-SNIF voudras.— Tu vas m’obéir ?— Oouuii SNIF-SNIF laisse échapper Anne-ka dans un soupir.— Tu sais ce que tu risques dans le cas contraire, alors je le répète afin qu’il n’y ait pas de malentendu... Tu vas te conformer à ce que je vais exiger de toi ? Dis-le clairement.— Oui SNIF-SNIF je serais obéissante SNIF-SNIF je te promets.— C’est bien... mais pour que tu ne l’oublies pas, il te reste encore la fin de la punition.— Nooooonn... SNIF-SNIF. J’ai compris SNIF-SNIF... je t’en supplie SNIF-SNIF j’ai tellement mal.— C’est presque fini, lui répond alors Emma satisfaite.
La fessée reprend encore trois bonnes minutes.Emma jubile, le plaisir est indescriptible, punir cette bêcheuse, l’humilier, l’assouplir pour le futur, la soumettre pour assouvir ses fantasmes, aussi pour le final, elle se met à taper très rapidement, depuis le haut des cuisses jusqu’au haut des fesses, ignorant complètement ses cris, attend ensuite deux trois secondes pour qu’elle sente encore mieux les derniers coups, lui demande encore si elle a compris la leçon, et avec la réponse affirmative, elle termine par une série de claques d’une violence sans pareille.
Le cul ainsi que le haut des cuisses sont complètement rouges et brûlants, marqués de tous les côtés. Anne-ka a l’impression de ne plus avoir de derrière, mais à la place un brasier. Elle pleure à gros bouillon en gémissant tandis que ses fesses continuent à se contracter, se relâcher spasmodiquement. Elle souffre le martyre, mais ce n’est pas ce qui captive les trois personnes dans les canapés. A aucun moment, il ne leur vient à l’esprit d’arrêter la punition de leur copine. L’excitation annihile tout comportement rationnel.
Anne-Ka reste allongée sur la table, incapable de réagir, de se relever malgré la fin de la punition, épuisée, vidée, aussi Emma demande à Julie d’aller lui chercher la pommade dans sa valise. Celle-ci ne réagit pas. En fait, il faut que son amie réitère sa demande pour qu’elle sorte de cet état de transe dans lequel elle est plongée. D’ailleurs, le spectacle a dû fortement marquer Hortense et Olivier, car ils émergent seulement quand Julie se lève du fauteuil. Ils oublient la fin du film, pour sortir s’aérer, il faut absolument qu’ils prennent l’air.
Ils ne manqueront pas de repenser à cette incroyable soirée lorsqu’ils regarderont à nouveau cette toile ; "Les Petits Mouchoirs".Dehors, Olivier a sorti une cigarette pour fumer et il se dirige accompagné de sa sœur vers le jardin où ils marchent côte à côte, sans parler, tous les deux plongés dans leurs pensées, remués par ce qu’ils viennent de vivre.
Redescendue avec le tube de pommade, Julie le donne à sa chérie et voyant qu’Emma s’occupe de réconforter sa cousine, elle s’éclipse en l’avertissant qu’elle a une envie pressante et doit se rendre aux toilettes.
L’onguent en main, Emma en dépose une épaisse couche dans sa main et commence à tartiner très doucement toutes les parties échauffées. Amorphe, Anne-Ka se laisse faire, le froid lui fait du bien. Tout en administrant ce calmant, Emma change totalement de personnalité, elle se fait douce et précautionneuse tout en rassurant Anne-ka avec des paroles rassurantes ; elle lui dit combien elle est malheureuse de la punir, mais que bientôt tout aura disparu et qu’elle aura à nouveau une belle peau de bébé. Avec patience, tendresse, elle fait délicatement pénétrer la pommade, puis lorsque tout est absorbé, elle l’abreuve de mots doux tout en survolant l’ensemble du charnu, s’égare, caresse subrepticement l’intérieur des cuisses, les abords du coquillage. Anne-ka plane.
Emma lui délie enfin ses poignets et l’aide à se relever. Comme une marionnette, Anne-Ka se laisse conduire. Revenue droite, hébétée, le visage baissé, elle patiente tandis que délicatement Emma lui réajuste les deux pans du kimono et qu’elle les fixe en entourant la taille avec la ceinture de tissus. Elle lui dit enfin qu’elle est pardonnée et demain sera un autre jour.
— Allez va te coucher, on se verra demain.— Ouui répond d’une petite voix Anne-ka.— Viens me voir avant de descendre. Bonne nuit, lui dit-elle en déposant un furtif baiser sur la bouche.
Fin de soirée...Il est maintenant 23 heures et tout le monde regagnait sa chambre. La maison a retrouvé son calme. Quoique...Toutes les deux dans leurs pensées, les deux filles soulèvent le drap puis s’allongent dans le lit. Julie avec un sourire malicieux regarde sa chérie. Elle se demande à quoi rêve-t-elle, ou plutôt à qui. Elle n’est pas dupe, elle connaît très bien son amie, aussi elle se doute que celle-ci pense à l’avenir, à Anne-Ka, aux jeux. Voyant Emma tourner son visage vers elle, Julie lui décoche son plus beau sourire et lui dit :
— Je sais à qui tu penses !!!— Ah répond Emma avec espièglerie... Et tu en dis quoi ?— Je t’adore ma chérie, lui dit-elle avant de l’embrasser langoureusement. Mais n’oublie pas que c’est moi ton amour, continue-t-elle, les yeux dans les yeux après le baiser.— Tu sais bien qu’il n’y a que toi.— Oui, mais je te connais aussi. Tu as trouvé un jouet et tu aimerais t’amuser un peu.— Tu crois !!! répond Emma avec les yeux pétillants.— Oui oui... Mais moi aussi, cela me ferait plaisir que tu domptes cette petite garce, c’est bien de cela dont on parle n’est-ce pas ?— Je t’écoute ma chérie, tu me surprendras tout le temps.— Avec tout ce qu’elle m’a déjà fait subir, moquerie, ignorance, risée et j’en passe, je rêvais de lui donner une leçon à cette peste, cette fessée m’a ravi. Ceci dit, c’était super que tu lui infliges cette correction, car j’ai pu me délecter du spectacle.
Je me disais... comme j’ai vu ton regard s’illuminer à voir Anne-Ka à ta botte, la dominer... C’est difficile à exprimer... Enfin voilà si tu veux jouer avec elle, moi ça me plairait bien, mais seulement en ma présence.
— Ah intéressant.— En plus, il n’est pas question qu’elle m’évince, j’ai vu son regard de braise quand tu appliquais le Beaume sur ses fesses. En fait cette garce cache son jeu, j’ai l’impression qu’elle est amoureuse de toi.— Cela expliquerait tout...— Par contre, je ne te demande qu’une chose.— Et ce serait ?... Tu m’intrigues.— J’aimerais participer.— Oh la vilaine... La jeune femme sage se dévergonde !!!—... C’est quoi cela ? demande Emma, attentive aux bruits venant de la chambre d’à côté.— Je dirais que ce sont des claques, dit Julie en pouffant.— Oui tu as raison, reprend Emma. J’ai l’impression qu’Hortense n’est pas une sainte, la fessée a dû l’émoustiller pour se faire claquer le cul. D’ailleurs vu l’entrain d’Olivier, je dirais qu’on va se régaler.
Toutes deux se mettent alors à rire doucement, essayant de ne pas se faire démasquer. Ils profitent de la suite des événements avec plaisir.
— Clic-Clac ouille Clic-Clac ouille Splash Aïe.
Et puis des bruits d’une autre nature suivent.
— Haaaaaaaaaa... salaud !...... Haaa... Oui T’arrête pas... Hummmmmmmmm...
Des cris plus forts, de surprise, et peut-être de douleur, provoqués certainement par la hardiesse d’Olivier ponctuent ces ébats hauts en couleur.
— Oui, oui-i-i, c’est bon... Oui, comme ça, c’est trop bon... Oui-i-i...
Emma et Julie sont les témoins privilégiées de sourds gémissements. Elles tendent l’oreille pour apprécier l’intensité du plaisir de leur hôte, comme deux collégiennes surprenant une situation érotique, elles sont captivées, émoustillées. Olivier ne ménage pas sa peine. Il doit limer Hortense avec intensité, car quelques instants plus tard, les filles sont témoins d’un râle évocateur, les prémices d’un orgasme éminent.Mais Olivier est attentif, il a l’air de vouloir prendre son temps, il calme le jeu puis, après une petite pause, il la pistonne sans ménagement, lui inflige une ou deux claques sur les fesses et le brame reprend de plus belle.
— Tu vois Julie, notre hôte est aussi une belle salope sous ses airs de bourgeoise. Il ne faut pas lui en promettre. — Non, Aa-h... Oui-i-i, non-on... Aaaaaaaaaaaa !
Et puis un hurlement rauque déchire le silence suivi immédiatement par un râle sourd, la cavalcade prend fin.
— En tout cas, il n’y a pas qu’eux que ça excite, lance Julie.— Ah oui ? Fais voir ça......... Ah oui ! En effet ! Madame a des envies. — Pas toi ? — J’sais pas... mets ta main par là pour vérifier... — Oh, mais si ! C’est que tu mouilles ma belle !
Emma roule sur Julie, font l’amour avec ferveur et ne tardent pas à concurrencer leurs voisins.En général, Julie est assez expansive quand elle jouit, mais elle sait aussi mettre son plaisir sous l’éteignoir lorsqu’il a du monde chez eux. Là, elle ne cherche pas du tout à se refréner, bien au contraire. Il s’élève alors bientôt de leur chambre un concert de gémissements. C’est pour eux à la fois perturbant et excitant de savoir qu’Hortense et Olivier peuvent les entendre à leur tour, cependant elles ne sont pas mécontentes de leur faire savoir qu’elles ont tout entendu et notamment les claques magistrales qu’Hortense semble apprécier, elle adore être rudoyée, malmenée, baisée avec force. Emma met d’ailleurs ces informations dans un coin de sa mémoire, elle a une idée à soumettre à Oliveur, elle est certaine qu’il adorera ce jeu.
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