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Confinement en chaleur

Chapitre 3

Gay
On ne va pas se mentir, embrasser un mec, c’est une chose. Accueillir ce même mec en bouche, c’est une autre chose. Mais, quand ce mec décide que votre trou sera sa prochaine destination, cela change tout. Rome ne s’est peut-être pas faite en un jour, mais je vous assure que mon chemin vers le plaisir anal s’est construit en une fois. Et cette fois-là, ma première a suffi pour me faire aimer le sexe masculin et oublier temporairement mon amourette virtuelle. Je vous passerai les fois banales que j’ai eues avec mon colocataire durant une semaine. Mais il me faut quand même vous raconter ce qu’il s’est passé dix jours après cette fameuse levrette d’initiation.
Nous sommes mardi et dans mon souvenir, il fait assez chaud, mais nous sommes encore emprisonnés chez nous. Avec lui, nous occupons notre temps d’ennui à faire du sport l’un contre l’autre. Et quoi qu’il se passe, je me retrouve constamment dans la même position, celle de celui qui accueille la queue de l’autre. Je suis devenu un vrai passif et ce n’est pas pour me déplaire. Le passage est fait, je me débrouille de mieux en mieux avec ma bouche et mon dos a compris comment se cambrer au maximum. Au dire de monsieur, je suis meilleur que certaines femmes qui sont passées dans son lit ; et ça me plaît beaucoup. Je dois vous avouer qu’Internet est une belle source d’apprentissage. Je découvre la catégorie “Gay” et à chaque fois mon membre se tend, ma main se réveille et je profite de ces vidéos pour me branler comme il se doit. Marie est pratiquement oubliée.
Chez nous, le mardi, c’est le jour des courses et aujourd’hui c’est à lui de les faire. Donc après déjeuner, il part de l’appartement, me laissant seul dans ma solitude. Une heure se passe, puis une autre, pendant lesquelles j’en profite pour faire une bonne sieste.
Et aux alentours de 16h, le voilà qui rentre ; il a un peu traîné, mais peu importe. Pour lancer la discussion, je lui dis :
— Ben alors tu t’es perdu dans le magasin ? — Non, mais il y avait du monde et j’ai dû passer chez une amie, me répond-il.— En plein confinement, monsieur est joueur ! Je lui glisse en rigolant.— Joueur ? Je te confirme que oui, mais t’en fais pas, tu vas pas être déçu.
A ces mots, je suis songeur. De quoi parle-t-il ? Et puis cette amie, c’est qui ? Bref, je laisse passer, nous rangeons les courses et on retourne à nos occupations. Mais rapidement, je me trouve interrompu par des coups à ma porte.
— Oui ? dis-je, interrogateur.— C’est moi, je peux entrer ? répond monsieur.— Oui, bien sûr, depuis quand tu demandes ?
Le voilà dans ma chambre, à l’endroit même où il m’a sodomisé la nuit dernière. Mais il est bizarre et il cache quelque chose derrière son dos.
— Ah ça ? Tu sais je suis passé chez Marion tout à l’heure, c’était pour récupérer ça.
En me disant cela, il ouvre un sac papier où sont glissés des bouts de tissus. Je décide donc de fouiller et de tout sortir de là. Et à ma grande surprise, ce ne sont pas de vulgaires bouts de tissus, mais bel et bien de la lingerie féminine.
— Qu’est-ce que c’est que ça ? je lui demande.— C’est des trucs que Marion ne voulait plus et je lui ai proposé de les jeter, me répond-il. — Ben ouais et ? Va les jeter ! je lui rétorque.— Non, je crois pas ! J’aimerais bien que tu les testes.
Je suis relativement choqué par ce qu’il me dit. Me faire sodomiser de façon bestiale ça me va. Mais l’idée de me travestir ne m’a jamais traversé l’esprit. Je le regarde puis je regarde ce petit string qu’il me tend. L’hésitation se fait sentir, mais rapidement je remets tout dans le sac et je me dirige vers la salle de bain.
— Attends-moi là ! lui dis-je en partant.
J’entre, je ferme la porte à clé et je déballe tout. Il ne faut plus que je réfléchisse comme un mec, mais bel et bien comme si j’étais une femme voulant séduire son homme. La tâche est ardue, mais très vite mon choix se porte sur un string dentelle rouge. Hasard ou prémonition, je suis totalement lisse de partout. Le bas c’est OK, maintenant le haut. Et à ce moment, je sais que je suis rentré dans le rôle, car instinctivement je cherche à me créer une fausse poitrine convaincante. Je n’ai qu’une paire de chaussettes à proximité. Je la prends, je choisis un soutif assorti à mon string et j’enfile le tout. Et tout de suite, je me sens très à l’aise. La matière est agréable et je me sens sexy. Je me suis faite bonne pour mon homme. Un dernier coup d’œil dans le miroir et en avant. Je sors et je me rends dans ma chambre. En entrant, je le trouve là, allongé sur le lit, torse nu.
— J’ai une autre surprise pour toi, me dit-il.
Et il me tend une paire de talons aiguilles noirs. Je ne dis rien, car secrètement je crois que j’en rêvais. Je les prends, les observe et me rends vite compte qu’ils sont parfaitement à ma taille. Je lui dis :
— Ah ouais t’es un sacré vicieux en fait !
Il reprend subitement les talons et vient me les mettre aux pieds. Je crois que je deviens de plus en plus féminine. Je me promets alors que tout ceci restera dans cette chambre, même si mes cris vont franchir les murs de l’immeuble. Il m’en passe une, puis l’autre. Je me dresse sur mes jambes en cherchant mon équilibre. La différence se fait rapidement sentir, le galbe de mes fesses est magnifique et il l’a bien repéré.
— Allez, marche un peu pour voir ce que tu donnes ma chérie ! me dit-il.
Je m’exécute sans relever son petit mot affectueux. Les pas ne sont pas maîtrisés, mais je prends plaisir à agiter mon petit cul sous ses yeux. Une fesse monte, puis l’autre, elles se frottent de part et d’autre de la petite ficelle du string. Je me prends vite au jeu. Je m’approche doucement de lui, le pousse sur le lit et le chevauche lascivement. Pris d’un réflexe, ses mains se portent sur ma poitrine et sur mon cul, et il malaxe. Je décide de descendre doucement vers son entrejambe. Mon dos se cambre comme jamais et mon cul se tend au maximum. A peine arrivé à destination que je découvre une montagne énorme ; la dentelle lui plaît énormément.
J’aurais été une femme forte, car à ce moment, j’arrache violemment tout le tissu qui me sépare de son énorme chibre. Mon Dieu, elle est encore plus gonflée que d’habitude. Peu importe, je suis une femme de devoir ; je vais le pomper comme jamais. Je me lance un coup de langue, un autre, des va-et-vient du poignet. Et le grand show commence. J’enfourne son gland, je l’humidifie et je continue à rentrer sa queue dans la bouche. Je me retrouve bloqué, me voilà déjà à la base. Je me régale de son chibre et je sens sa main sur l’arrière de ma tête et qui appuie doucement d’abord.
L’affaire dure jusqu’à que ma mâchoire n’en puisse plus. Alors, je me relève et reprends mon souffle. Mais l’accalmie ne dure que très peu de temps, car je sens toute sa force qui s’emploie à me retourner pour m’allonger sur le ventre. Il n’a plus une minute à perdre visiblement, car d’un geste, il m’écarte la ficelle, crache sur mon trou et appuie son gland. Apparemment, j’ai cherché la bagarre avec mes coups de langue, il va me le faire payer. Et je ne me suis pas trompé, le voilà qui enfonce sa queue dans mon trou en y mettant tout son poids. Je suis totalement soumis à sa force et sa masculinité. Sous mes tremblements, mes talons tombent au sol.
Il me pilonne de toute sa force et mon Dieu que j’aime ça. Mes cris sont de plus en plus puissants, je plains mes voisins et les gens de la rue d’en face. Il n’en finit plus de me labourer les fesses si bien que le plaisir monte dangereusement. Mais nous sommes connectés et il s’arrête au bon moment, avant l’explosion. Il ressort et j’imagine le trou qu’il a dû creuser en moi. Je me retourne et le suce doucement pendant qu’il prend une gorgée d’eau. Je sais que le deuxième round arrive rapidement.
Encore une fois, je ne me suis pas trompé. Il referme la bouteille, la jette à l’autre bout de la pièce et me regarde. Et à ses yeux, je sais que je n’ai encore rien vu. En un coup, il m’arrache mon string et le renifle pour se galvaniser ; c’est devenu un animal de plaisir. Il m’attrape et me met à quatre pattes. Je m’y attendais un peu, cependant je n’avais pas imaginé qu’il allait me bourrer la bouche avec mon string. Me voilà bâillonné, le cul bouillant et tendu. La route étant bien faite, il ne prend plus de précaution et continue là où il s’était arrêté. Il me pénètre d’un coup et recommence son limage intensif. Et je comprends enfin l’intérêt d’être parfaitement cambré, car je le sens en moi comme jamais, et mes cris fusent malgré le bâillon. Je sens qu’il donne absolument tout, car sa respiration est rapide, bestiale. Son pied se pose sur le lit et je sens sa force qui augmente. L’extase arrive à toute vitesse et la sienne également, tant je sens son chibre gonfler en moi.
Ses coups de reins sont de plus en plus puissants, mais saccadés. Et, dans un ultime aller-retour, nous explosons ensemble dans un grand cri.
Je m’effondre sur le lit, vidé, au sens propre comme au figuré. Je me débarrasse de toute ma dentelle et me retrouve complètement à poil. Il s’approche de moi, me tend son sexe qui faiblit, et je lui nettoie précautionneusement. Ce plan était d’une intensité extraordinaire et j’ai découvert ce que c’était que de se sentir féminine. Je ressens encore la caresse de la dentelle sur ma peau et la tension de la ficelle sur mon trou. Aussitôt monsieur parti que je me surprends à imaginer la prochaine aventure dans laquelle il m’emmènera.
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