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Confinement chez un ami

Chapitre 1

Hétéro
Confinement, même si à ce moment, je l’ignorais encore, un mot qui signifie galère et surprises pour moi.Galère, car avec ma copine Marine, nous vivons dans un petit appartement du 11eme arrondissement de Paris, 30m2 pour deux, pas de balcon, pas d’espace vert. Et ce confinement qui vient d’être annoncé par le président. Nos regards ont parlé pour nous, il faut qu’on quitte cet endroit.
Notre salut est venu d’un ami improbable, je ne pensais pas qu’un tel élan de gentillesse était possible de sa part, je ne comprendrai que plus tard.
— Mais si, viens je te dis, tu seras mieux que dans ton trou à rats. Et ici, il y a toute la place qu’il faut !— Sympa... tu es sûr ? Aurore est d’accord ?— Mais oui, si je te dis ! c’est même elle qui a proposé ! Aller ce sera fun, comme à l’ancienne ! — Euh OK, laisse-moi confirmer avec Marine et je te rappelle.— PAR-FAIT ! Viens demain pour 10h ! Ciao bello.
Ça c’était Jeff. Un ancien collègue de travail devenu un ami. Jamais très proche, mais on a passé de bonnes soirées de beuveries ensemble. Je l’aime bien, simple et toujours partant pour sortir, parfois un peu trop énervé. Ce qui me fait me demander si aller vivre le confinement avec lui et sa copine est une bonne idée. Puis je lève les yeux, regarde l’appartement autour de moi et la décision est toute prise. Nous partons.
Le lendemain nous voilà arrivés, l’appartement est situé à l’extérieur de Paris, en bord de Seine, dans un cadre vert et calme. Marine reprend confiance dans mon choix. La convaincre n’a pas été évident, elle ne connaît pas Jeff, et encore moins Aurore. Mais la perspective d’un meilleur cadre de vie pour les semaines à venir a fini par avoir raison de ses dernières réticences.

Jeff nous accueille en bas de l’immeuble. Étrange.
— Thomassssse mon ami ! ça fait plaisir de vous voir ! Bon faut que vous dise, Aurore n’est pas au mieux, je l’ai prévenue tout à l’heure que vous arriviez. Mais t’inquiète, ça va aller ! — Tu es sûr ? On peut repartir si ça pose soucis ? — Non non t’inquiète, c’est bon, je la gère...— Si tu le dis...
Nous échangeons un regard mi-inquiet, mi-désespéré avec Marine. Nous nous résignons à grimper l’escalier et espérons que Aurore est habituée aux excentricités de son homme. Je ne la connais pas beaucoup, j’ai juste en mémoire une petite nana discrète, plutôt jolie, souvent en retrait de Jeff.
Ça aurait pu être pire ! Le premier contact avec Aurore s’est plutôt bien passé pour nous, elle nous a accueillis très chaleureusement... trop peut-être ? Une embrassade appuyée pour chacun de nous, un sourire jusqu’aux oreilles et une robe... Je suis resté bloqué quelques secondes sur le pas de la porte, devant cette femme à moitié dissimulée par un fin tissu gris qui laisse à la vue ses jambes bronzées et fuselées et sa poitrine plutôt avantageuse...
Jeff semble aussi surpris que nous. Nouvel échange de regards avec Marine, mi-inquiet, mi-suspicieux pour elle cette fois.
— Bienvenue, entrez entrez ! je vous fais visiter !— Suivons la guide...
Nous avons le droit à un tour détaillé de l’appartement, grand T3 avec un salon séparant les 2 chambres, un balcon donnant sur la Seine, une douche à l’italienne, une grande cuisine...Jeff ne dit pas un mot de la visite, visiblement énervé de la situation. Malgré sa discrétion habituelle, elle semble savoir presser les bons boutons avec lui.Moi je n’en écoute pas grand-chose, mon sens de l’ouïe s’est perdu le long des courbes de notre nouvelle hôtesse. Le clou du spectacle a lieu lorsque Aurore doit se pencher pour récupérer nos draps au bas d’une commode, nous offrant par la même occasion la vue de son magnifique postérieur qui ne semble pas couvert de quelconque dessous.
— Un oreiller chacun, ça vous ira ?
Marine doit même me réveiller d’un coup de coude pour que je revienne à la réalité et formule une pseudo réponse.
Oui oui tant qu’ils sont fermes...
Mi-suspicieux, mi-colérique cette fois. Mon cas ne s’améliore pas.

Nous nous installons tranquillement, prenons nos marques dans l’appartement. L’heure du déjeuner venu, nous passons à table. Marine arbore maintenant une jolie robe d’été sortie par magie de son sac de voyage. Cette robe met son teint hâlé divinement en valeur. Jeff n’en perd pas une miette.
— J’aime beaucoup ta robe.— Merci, je te retourne le compliment, tu es splendide dedans !
Petite joute verbale entre nos compagnes sous des airs d’échanges conviviaux. La cohabitation s’annonce musclée. Jeff et moi échangeons un regard amusé.Au fur et à mesure de la conversation, j’apprends que Aurore travaille à l’hôpital, nous ne la verrons donc que rarement pendant la journée. Jeff quant à lui est au chômage technique, ne peut plus aller faire la tournée des bars et ne supporte pas de rester seul. Je comprends mieux son empressement à chercher des compagnons de confinement. Sa gentillesse apparente est tout à coup partie en fumée.
Je me fais une raison, on n’a rien sans rien, s’il faut passer du temps avec Jeff pour vivre correctement le confinement alors soit. Mon côté épicurien se console en se disant que ce sera l’occasion de côtoyer un peu plus la belle Aurore. Je me surprends à imaginer les autres tenus que comporte sa garde-robe...
Marine me fait vite quitter ma rêverie.
— Eh bien, un sacré numéro ces deux là ! Je sens qu’on ne va pas s’ennuyer. Quant à toi, attention avec miss gros nichons, je m’en voudrais de devoir te couper un bout de ton anatomie...
Ces mots ont été prononcés en même temps que son doigt dessinait contre mon jean la longueur de mon entrejambe à demi éveillé. Du Marine tout craché. Des menaces enrobées de promesses. Nous sommes ensemble depuis 2 ans maintenant et j’ai l’impression que je ne pourrais jamais la connaître entièrement. Notre relation est un mélange de mystère, d’érotisme et de voyage. Nous pouvons tout aussi bien passer nos soirées à débattre du dernier film sorti au cinéma, sortir s’amuser chacun de notre côté en oubliant complètement l’existence de l’autre ou redécouvrir pour la énième fois le corps de l’autre dans toutes les pièces de l’appartement. Et quel corps ! Marine n’a rien à envier à Aurore. Une silhouette longue et élancée, une grâce naturelle et déconcertante. Des jambes interminables surplombées d’une fine poitrine alléchante. Ma Marine, si tentée que quelqu’un puisse un jour la posséder, est un appel à tellement de choses...

Chez nos nouveaux hôtes, tout se passe pour le mieux, il y a des hauts et des bas forcément, mais rien d’insurmontable. Nous apprenons à vivre ensemble. Aurore est très prise par la crise à l’hôpital, tandis que Jeff trouve toutes les excuses imaginables pour mettre le nez dehors. Finalement, la vie dans notre nouvel appartement est assez tranquille. Il faut juste s’occuper de nos invités de temps en temps.
Le premier incident, ou incendie devrais-je dire, est arrivé quelques jours après notre installation. 10h du matin, la porte de l’appartement qui claque me réveille en sursaut. Sûrement Jeff qui est sorti faire son sport. Avec Aurore partie travailler tôt, cela nous laisse une fois de plus seuls dans l’appartement.
Ma belle dort à mes côtés, sa nuisette noir remontée sur ses longues jambes dorées. Cette vision réveille en moi une envie non satisfaite depuis notre arrivée ici. Dans un mouvement souple, je viens me placer au bout du lit, et remonte lentement les jambes de ma belle en les couvrant de baisers. Sa peau est un délice sous mes lèvres. Je la sens réagir et émerger lentement. Elle m’offre l’accès à son bassin, signe que mon traitement lui plaît. Pressé par l’envie, je viens effleurer d’un souffle l’intimité endormie qui se présente à moi. J’obtiens pour toute réponse qu’une main vienne se poser dans mes cheveux et me presser contre ce sexe envieux. Je ne me fais pas prier et m’attèle à lui donner un plaisir à la hauteur de mon désir pour elle. Je sais bien ce qui lui plaît, et se faire réveiller par la langue d’un homme en fait partie.
Je joue ma partition avec brio le long de ses lèvres humides, sur son clitoris dardé de désir. Ses gémissements étouffés sont vite remplacés par de longs cris de plaisir lorsque je l’informe que nous sommes seuls. Marine se lâche et exprime son plaisir à haute voix. Et moi je ne m’arrête pas tant qu’elle n’a pas pris son pied. Ce qui arrive quelques secondes plus tard dans une explosion de cris, de gestes erratiques et de respirations saccadées.
Marine va mettre quelques minutes à se remettre avant le deuxième round. J’en profite pour m’éclipser en cuisine pour prendre un verre d’eau et lui en apporter un.Je sursaute en entrant dans la cuisine, je viens de tomber nez à nez avec Aurore, dans une nuisette blanche toute simple, en train de se faire tranquillement un café.
— Euh salut, tu ne travailles pas aujourd’hui ? — Non je suis en repos, 2 à 3 fois par semaine. — Ah ?— Vous avez l’air de bien vous plaire ici. Me dit-elle, un sourire au coin des lèvres, et le regard baissé vers mon boxer qui ne cache rien de mon membre au garde à vous, excité par l’échange précédent avec ma belle. — Ah, euh oui pardon, je pensais que nous étions seuls ce matin.— Perdu. Mais ne t’inquiète pas, vous ne m’avez pas réveillé, j’aurais préféré. Marine peut faire comme chez elle, je ne m’en prive pas...
J’ai du mal à comprendre tous les sous-entendus. Je ne sais plus quoi répondre. Nous a-t-elle entendus ? Ses joues ont subitement pris une teinte plus rose. Pour dissimuler sa gêne, Aurore se retourne pour attraper un bol sur une étagère au-dessus d’elle, la forçant à s’étendre, faisant remonter sa nuisette au ras de ses fesses. Elles semblent si attirantes. Je souffle intérieurement, excité comme je suis, je ne voudrais pas commettre un impair, mais cette vue éveille en moi un immense désir bestial. Je me vois déjà la faire hurler contre le plan de travail... Je me gifle mentalement et le prédateur fuit devant sa proie, je bredouille une excuse et m’échappe vers la chambre, la queue (tendue) entre les jambes.
— A plus tard...
Je n’ai pas compris ce qu’il vient de se passer. Je ne réfléchis plus. Tout ce que je sais, c’est que j’ai une furieuse envie de baiser. De retour dans la chambre, je ferme la porte et me jette sur Marine.
— Enfin, mais qu’est-ce que tu fai...
Je ne lui laisse pas le temps de répondre. Je dévore ses lèvres comme un animal. 1 minute plus tard, je suis en elle. 3 minutes plus tard, elle a son premier orgasme sous mes coups de reins brutaux. 30 min plus tard nous sommes allongés, inertes, repus, la peau caressée par les rayons du soleil qui filtrent à travers les volets. Marine redescend doucement de son nuage...
— Et bin, je ne sais pas à qui tu pensais, mais elle a pris son pied...
Toujours énigmatique ma chère Marine...
La journée passe, Marine finit par croiser Aurore, ne se doutant pas qu’elle était dans l’appartement. Je les entends glousser. Elle n’a rien dû perdre de nos ébats. Je me demande ce qu’elles se racontent. J’aimerais être une petite souris pour pouvoir les espionner.
Nous dînons, discutons, rigolons, tout le monde semble de bonne humeur aujourd’hui. Vers 2h du matin, tout le monde finit par aller se coucher. Je préviens les autres et j’en profite pour prendre une petite douche avant d’aller dormir. Je reste de longues minutes sous le jet chaud...Avant d’avoir vidé la réserve d’eau chaude, je termine et rejoins ma chambre, serviette autour des hanches, je traverse le salon. Mais mon attention est attirée en chemin par un bruit reconnaissable entre mille.
A quelques mètres de moi, par l’entrebâillement de la porte laissée ouverte, j’entends Jeff et Aurore en train de faire l’amour. Je ne résiste pas à m’approcher un peu, prudemment, ne voulant pas dévoiler ma présence. Je ne vois malheureusement rien, juste un miroir qui me laisse apercevoir quelques ombres indéfinissables projetées sur le mur opposé. Leurs ébats semblent intenses. Aurore était peut-être dans le même état que moi après notre rencontre matinale ? Ou alors nous a-t-elle, elle aussi, écoutés quand je baisais sauvagement Marine sur leur commode...
— Encore ! Vas-y ! oui encore...
Les gémissements se font crescendo, comme elle le disait, elle ne s’en prive pas. Ils doivent savoir pourtant que je ne suis pas couché. La porte est-elle restée ouverte à dessein ? Je me plais à croire que ce spectacle m’est destiné. Que la belle Aurore souhaite me montrer qu’elle aussi peut-être une déesse érotique. Il n’en faut pas plus pour que ma serviette se tende autour de moi. Je suis à deux doigts de prendre les choses en main, et de prendre du plaisir au milieu du salon, au même rythme que la nana de mon pote.
Je suis stoppé net par le parquet qui craque sous mes pas. Je crois entendre une pause de l’autre côté de la porte, mais les gémissements reprennent de plus belle. Encore une fois, le prédateur rentre dans sa tanière, couard de se faire prendre. Je rejoins Marine, claquant légèrement la porte, espérant être entendu par ma cantatrice de la chambre opposée...
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