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Un confinement coquin avec ma mère...

Chapitre 1

Inceste
Bonjour. Je m’appelle Hugo. J’ai 21 ans, et j’ai vécu en confinement avec ma mère, Marianne, 47 ans, pendant toute la crise du corona virus.La première semaine ça allait mais dès la deuxième semaine ça a commencé à être vraiment dur. Avant le virus j’avais une vie sociale très riche et surtout pas mal de copines différentes avec qui je baisais souvent. Et là, tout d’un coup, je devais rester à la maison, ne plus voir personne... La catastrophe ! Je l’adore, ma mère, et passer du temps avec elle ne me gênait pas. Je dirais même que c’était l’occasion de nous voir un peu plus. Mais rester sans bouger dans cette maison était difficile. C’était notamment le manque de sexe qui me faisait peur. Pour combler ce manque physique et pour me détendre, le soir je n’avais plus qu’à aller me masturber dans ma chambre, en imaginant caresser les seins ou la petite minette bien fendue d’une de mes copines...
Pour ma mère aussi ce confinement était difficile. Elle ne disait rien mais je le voyais bien. Elle tournait en rond. Sans doute était elle aussi en manque d’affection. Elle était célibataire et je crois qu’elle n’avait pas eu d’amant depuis un moment. Pourtant elle était plutôt bien foutue. Plutôt grande, des belles fesses bien rondes et des beaux nichons. Si seulement elle n’était pas si ringarde, elle aurait pu se faire plein de mecs. Moi même si je n’avais pas été son fils, je n’aurais pas refusé de les écarter, ses belles fesses dodues pour mettre mon nez dans sa grosse chatte. Mais il en était hors de question, évidemment. C’était ma mère...
Alors il fallait se résoudre à accepter le confinement en espérant que ça ne dure pas trop longtemps...
Et puis un soir, il s’est passé quelque chose. Avec ma mère on avait regardé un film japonais, "L’empire des sens". Ce n’était pas un film porno à proprement parlé, mais il y avait beaucoup de sexe, des scènes carrément érotiques. C’était juste le genre de film qu’il ne faut pas regarder quand on est en manque. Impossible de ne pas en sortir excité. A la fin du film j’ai fait une bise à ma mère et je suis allé dans ma chambre. J’étais vraiment excité. Alors j’ai commencé à me caresser la bite. J’imaginais une petite japonaise, une geisha toute nue sous son kimono, s’offrir à moi. Ca produisait son effet, je bandais dur. J’imaginais la petite japonaise venir s’installer sur mon sexe, le rentrer en elle. Ma queue était bien raide, c’était très agréable. C’est là que progressivement, le visage de la geisha s’effaça et ce fut celui de ma mère qui se dessina devant mes yeux. J’étais surpris par cette vision, mais bientôt dans mon imagination ce fut elle que je voyais assise sur mon sexe.
C’était assez perturbant et je n’arrivais pas à chasser cette image de ma tête. Je croyais que j’allais débander mais ce fut l’inverse qui se passa. L’idée de baiser ma mère m’excita encore plus. Je décidais de me laisser aller, me masturbant de plus belle, imaginant ses ses gros seins qui bougeaient dans tous les sens au-dessus de moi. J’arrivais presque à sentir mon sexe tout en elle, tout au fond de la douce chaleur de son vagin. Cetait aussi perturbant que délicieux.
Bientôt je sentis monter la jouissance. Je laissais alors le plaisir m’envahir, avec à la clef une belle éjaculation libératrice. C’était la première fois que j’éjaculais en pensant à ma mère. J’en eu un peu honte, mais j’étais assez impressionné par l’efficacité de ce fantasme.
Après ça bien sûr, le lendemain j’appréhendais de me retrouver face à elle. Au petit-déjeuner elle s’était assise à table, avec son café, et je n’osais même pas la regarder. D’autant plus qu’elle portait juste une chemise de nuit en soie bleue, plutôt légère, qui laissait deviner la forme généreuse de ses seins, avec ses tétons qui pointaient assez nettement à travers le tissu. Lorsqu’elle se pencha vers le four pour récupérer un morceau de brioche, je ne pus m’empêcher de lorgner sur ses fesses. Je réalisais qu’elles étaient vraiment appétissante ! J’eu tout d’un coup envie de poser une main sur ce superbe cul. Cette pensée m’effraya. Je devins rouge de honte... Alors bon gré mal gré je m’efforcais de me maîtriser, faire comme si rien n’était. Et la journée défila, monotone.
Le soir j’étais à nouveau dans ma chambre. Livré à ma solitude, j’allais sortir ma queue, comme d’habitude. J’essayais de ne pas penser à ma mère, mais c’était difficile. Pour le repas elle avait mis une petite robe pull, blanche, moulante, sous laquelle je pouvais voir sa culotte noire. C’était très excitant... Tout le repas j’ai essayé de ne pas faire attention, mais dès que je fus allongé dans mon lit cette image réapparu...C’est là que j’ai entendu frapper à la porte. J’ai cru que mon esprit me jouait des tours, dans un demi sommeil, mais je vis alors la porte s’ouvrir. Ma mère est rentrée. Ce n’était pas un rêve, c’était bien elle.
— Hugo, tu dors ?— Heu non... Ca va, maman ? Qu’est-ce qui se passe ?
Elle s’avança et vint s’asseoir au bord de mon lit. Elle était juste vêtue d’une petite nuisette rose très légère sous laquelle il n’était pas difficile de deviner qu’elle ne portait pas grand-chose. J’en eu le souffle coupé.
— Écoute Hugo, je n’arrive pas à dormir alors j’ai réfléchi. On ne va pas passer deux mois comme ça. Je te propose un marché. Toi et moi on s’arrange pour se réconforter un peu pendant la durée du confinement et après on oublie tout ça.
— Maman, mais qu’est-ce que tu veux dire ?
Elle attrapa ma main et la posa sur son sein à travers sa nuisette. La chaleur de sa poitrine me fit instantanément du bien.
— À ton avis ? Ne fait pas l’idiot, tu as très bien compris. Tu as besoin de sexe. Je sais que te masturbes tous les jours depuis que tu es arrivé. À qui penses tu en faisant ça ? À moi ? J’ai bien vu tes regards en douce, sur mes fesses ou mes seins, depuis quelque temps ! Ce soir tu ne m’as pas quittée du regard...
Je restais bouche bée et je devins rouge écarlate. Ma mère remarqua mon trouble.
— Tu vois, j’ai tout deviné ! En temps normal j’aurais été très fâchée. Mais là tu sais que pour moi non plus c’est pas facile d’être seule. Alors je te propose qu’on passe cette période de confinement le plus agréablement possible tous les deux. Je ne te le proposerai qu’une fois. Profites en, c’est déjà assez difficile pour moi de te parler de ça.
J’étais bien sûr sidéré par la proposition de ma mère. Mais elle gardait ma main sur son sein et ce contact avec la masse accueillante de sa mamelle était délicieux. Elle effectuait des mouvements avec ma main, des pressions sur son sein qui réussirent à me donner envie. Elle fit alors passer ma main sous le tissu de la nuisette et c’est sur la chaire nue de son sein que ma main se retrouva.
— Maman, t’es folle ! C’est vraiment pas une bonne idée.— Arrête tes simagrées. Tu bandes déjà, je suis sûre !
Elle posa sa main sur ma couette, vers le bas de mon ventre, et malgré l’épaisseur du duvet elle trouva mon sexe déjà dur. Presque deux semaines sans relations sexuelles avaient réussit à me mettre bien en manque. Elle savait qu’il ne me faudrait pas grand-chose pour me faire basculer du côté obscur...
— Tu vois que j’ai raison ! C’est bien dur, là dessous !— Ho merde, arrête ça maman... Je ne vais pas pouvoir résister !— Ça tombe bien il s’agit exactement du but de l’opération ! Moi non plus je ne tiendrai pas deux mois sans sexe... Alors autant faire ça tout de suite.
Sans attendre plus de protestations de ma part, elle rabattit le drap et découvrit ma queue. Elle la regarda avec émotion, absolument pas choquée de découvrir mon organe en érection. Elle se mit alors à le masturber avec délectation. Stupéfait, je la regardais manipuler ce sexe comme s’il s’agissait d’un petit animal charmant dont elle s’allait s’occuper avec grand plaisir. Je pus lire de la fierté dans son regard.
— Elle est belle, ta queue !— Heu merci... Elle te plaît ?— Oui beaucoup... C’est important pour moi, un homme bien monté.
La maman était fière. Lentement elle descendit son visage et entoura mon gland avec ses lèvres. Elle se mit à me sucer avec une application, une douceur et un savoir faire tout à fait incroyable. Ma mère que je pensais assez étrangère aux choses du sexe se révélait être une experte en la matière. Elle me fit une fellation tout à fait délicieuse. Pour être plus à l’aise, elle finit de retirer sa nuisette. Elle ne portait rien dessous. Je découvrais alors sa beauté. Ses seins étaient lourds, magnifiques. Son cul majestueux... et sa chatte... Incroyable... C’était une belle grosse chatte de maman, absolument pas épilée. Mais je ne détestais pas ça. Comme ma mère était blonde, c’était des poils fins et doux, plutôt agréables à caresser. On voyait sans peine tout le détail de ses belles lèvres, sa vulve magnifique. J’étais sous le charme.
— Et toi mon chéri, ça te plaît ? Ça t’ira bien pour cette période de confinement ?— Ca oui... Tu es superbe maman...— Bien, alors mets la, cette queue ! me dit-elle avec douceur.
Elle s’allongea de tout son long sur le dos et écarta les jambes, me livrant à nouveau une somptueuse vue sur son sexe. Avec un certain empressement, excité par deux semaines d’abstinence, je vins sur elle, j’orientais ma queue vers sa vulve, et je poussais. Ses lèvres s’écartèrent et je fus comme aspiré en elle. C’était délicieux, déconcertant. Je fus bientôt au fond. Je n’osais la regarder dans les yeux, j’avais trop honte. Mais j’entamais une série de va-et-vient d’abord assez lents, pour bien profiter du plaisir de sentir ma queue à l’intérieur d’elle. C’était une sensation très douce. Puis j’augmentais le rythme, avec de va-et-vient assez énergique. Je regardais mon sexe entrer et sortir de cette vulve que je n’aurais jamais imaginé pénétrer ne serait ce que quelques jours avant. Et je devais reconnaître que je m’éclatais...
Baiser ma mère était génial, au final. Non seulement ça tombait bien en ces temps difficiles, ça me dépannait bien. Mais en plus ma mère se révélait être une maîtresse tout à fait honorable. Géniale même, à la fois douce, sensuelle et enflammée. J’adorais ça. Elle aussi semblait apprécier la chose, car elle s’était mise à gémir de plaisir et son sexe était trempé de plaisir.
Elle se mit à genoux et me présenta son gros cul.
— Baise moi par derrière maintenant, Hugo. J’aime me faire prendre en levrette.— J’aime bien ça aussi, maman.
A nouveau je la pénétrais avec vigueur, agrippant ses hanches rondes et dodues pour mieux la tenir, imprimer des mouvements de va-et-vient énergiques, presque violents. Plus j’envoyais des gros coups de reins, plus elle gémissait. Je changeais alors encore une fois de position, la remettant sur le dos et levant ses jambes très haut. J’étais fou, j’oubliais toute convenance, toute retenue.
— Putain maman, tu es une vraie salope en fait !— Oui, une salope, une pute ! Et j’adore ta queue !
Ma mère semblait ravie de tant d’énergie de ma part. Nous avons baisé de cette façon une bonne heure, jouissant tous les deux à plusieurs reprises. C’était incroyable. Elle me demanda même de lui jouir dessus et étala tout mon sperme sur ses seins.
— C’est extraordinaire, tu es vraiment un bon amant mon chéri !— Merci maman ! Je ne m’attendais pas à ça pour tout t’avouer...— Tu ne pensais pas que ta vieille mère puisse aimer le sexe ?— Oui, c’est un peu ça...— Comme quoi cette histoire avec ce virus a des bons côtés. Pour nous en tout cas.— Bien... Je crois qu’on ne va pas s’ennuyer pendant ce confinement  !
Nous avons passé ainsi plusieurs semaines tous les deux à baiser plutôt souvent. Vu qu’à part ça les distractions étaient rares, ça nous allait très bien. Ma mère m’apparaissait de jours en jours plus sexy, plus désirable. Dès le petit-déjeuner le matin je ne pouvais m’empêcher de glisser ma main sous sa chemise de nuit pour accéder à la douceur de son cul, de son sexe.Elle se laissait faire en fermant les yeux, suite à quoi nous retournions nous allonger pour faire l’amour. La journée passait de façon très agréable, à faire l’amour, manger, dormir...Et après cette période de confinement ? Pour des millions de français la vie allait reprendre normalement. Mais moi avais je envie de reprendre ma vie d’avant ? Lorsque je posais la question à ma mère elle vint vers moi, descendit mon caleçon, prit ma queue dans sa bouche, la suça un peu, puis me dit doucement :— Tu as raison, ça va être un problème. Je ne crois pas que je pourrais me passer de ta belle queue désormais...
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