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Confinement oblige

Chapitre 1

Contexte

Avec plusieurs hommes
Confinement oblige, cela fait maintenant 6 semaines que je n’ai pas vu beaucoup de nouveaux visages. L’histoire que je vais vous conter s’est déroulée il y a trois jours et elle n’aurait probablement jamais eu lieu sans le contexte de pandémie que nous traversons, mais pour bien comprendre, il faut que je remonte plus loin en arrière.
C’est en 4ème7 que j’ai rencontré Jérémy, il venait d’emménager à quelques rues de chez moi, je n’avais pas beaucoup d’amis à l’époque, aussi nous sommes rapidement devenus inséparables.Au lycée, nous avons pu fréquenter les mêmes classes, avons tous deux obtenu un bac S et avons fini par intégrer la même université. Je connaissais tout de lui et inversement, fils unique de deux parents très gentils, Annie et Christian qui m’adoraient. Quant à moi, il dormait un week-end sur deux à la maison, ma sœur ainée et mes deux parents l’avaient adopté.
Nous avions choisi la même fac que ma sœur, Noémie avait un an de plus que moi et faisait de la biologie à l’université la plus proche, l’image qu’elle nous en avait dépeinte nous avait plu, aussi Jérémy avait rejoint le même cursus qu’elle, et pour ma part, j’avais opté pour la licence de maths physique.
Notre première année fut riche, ce fut l’année de ma première relation amoureuse qui fut brève, mais suffit à perdre mon pucelage. Jérémy avait un peu plus de succès avec les filles, il l’avait perdu au lycée et avait fréquenté 2 étudiantes au cours de l’année. Le matin, nous prenions les transports ensemble aussi, si nos relations et nos études nous prenaient du temps, cela ne nous empêchait pas de nous voir toujours tous les jours.
Notre amitié a franchi pour la première fois un cap, lors d’une soirée organisée par le copain de ma sœur. Steve était un beau gosse un peu con qui sortait avec Noémie depuis 2 semaines. Elle ne connaissait pas ses amis, aussi elle nous avait invité tous les deux pour ne pas y aller seule. Les parents de Steve lui avaient laissé pour le week-end leur grande maison non loin de la fac qui accueillait pour la nuit près d’une cinquantaine de personnes. De la musique à fond, du monde dans toutes les pièces, faute de maillot de bain, je ne pouvais profiter de la piscine où se trouvaient pourtant de charmantes jeunes femmes. Ma sœur avait disparu à l’étage depuis un moment avec le maître des lieux, et je n’osais me demander ce qu’elle y faisait. Quant à Jérémy, il m’avait laissé pour aller draguer une jolie demoiselle blonde que je connaissais vaguement du cours d’histoire des sciences que nous avions en commun.
Je me souviens que ce soir-là, je n’avais pas prévu de rester dormir, mais faute d’être à l’aise, j’avais bu, espérant que Noémie ou Jérémy soit suffisamment sobre pour me ramener. Après plusieurs parties de bière Pong en terrasse, contre des inconnus avec qui je commençais à sympathiser, Jérémy déboula et m’attrapa par le bras.
Au fur et à mesure qu’il m’entraînait dans les profondeurs de la maison, il m’expliquait en détail son flirt avec Capucine, je cessai d’écouter un instant, m’attardant sur le côté à la fois mignon et ridicule de ce prénom. Il reprit
— enfin bref, elle t’avait repéré en amphi et sait qu’on est potes, cette fille, c’est une occase en or.
Sur le moment, je n’avais pas compris, croyant qu’il voulait me caser avec la fille qu’il avait draguée toute la soirée, mais il enchaîna
— elle ne l’a jamais fait non plus, mais là, elle est chaude comme la braise. Qu’est-ce que t’en dis ? »
Il faisait chaud, j’avais bu et à peine 6 mois après ma première fois, j’allais prendre part à un plan à 3 avec mon meilleur ami. Capucine nous attendait au pied de l’escalier qui menait à l’étage. Au sourire de Jérémy, elle comprit que j’étais d’accord, même depuis la terrasse, aucun mot n’était sorti de ma bouche. Elle me fit une bise sur la joue en m’indiquant de la suivre. En montant l’escalier, j’échangeai un regard gêné avec Noémie qui redescendait. Capucine nous conduisit dans une chambre qui s’avéra être la sienne, je compris alors que Capucine était la petite sœur de Steve, je culpabilisais un instant avant de me faire la réflexion que décidément, leurs parents avaient des goûts douteux en matière de prénom.
Seul avec cette fille, j’aurais probablement été pataud, mais en présence de Jérémy, j’étais carrément nul, mais Capucine prit les devants et nous mit à l’aise.
Nous étions assis tous les trois sur son lit uniquement éclairé par une lampe de chevet qui faisait une ambiance tamisée. Capucine portait une robe blanche légère, elle m’indiqua la fermeture à l’arrière en me souriant, et pendant que je la défaisais d’un geste hésitant, elle se retourna et embrassa Jérémy. Une fois la robe défaite, elle tourna la tête et posa doucement ses lèvres humides sur les miennes. Elle se releva face à nous et la robe glissa le long de son corps, révélant un ensemble deux pièces blanc en dentelle. Ses courbes étaient fines, de belles hanches et une paire de seins avoisinant le bonnet C. Elle sourit de plus belle et nous intima l’ordre le plus gentil du monde « à vous ! » Je me revois encore déboutonner ma chemise bouton après bouton, alors que Jérémy était déjà en caleçon. Lorsque je fus à mon tour en caleçon, un boxeur Marvel dont j’avais un peu honte, Capucine passa un genou de chaque côté de mon torse pour s’assoir sur mes jambes.
Jérémy passait derrière elle pendant qu’elle m’embrassait de nouveau.
Lorsque je récupérai l’usage de ma bouche, mon complice avait fait tomber le soutien-gorge de la belle, exposant sous mes yeux deux très beaux seins. Ses tétons étaient d’un marron pâle et tout dur, mais disparurent sous les mains de Jérémy qui l’embrassa par le dessus. Sur le moment, la situation était irréelle, j’avais l’impression d’être dans un porno immersif, mais cela était bien réel et sous cette fille assise sur moi, je bandais. Revenant à moi, Capucine me poussa en arrière pour que je finisse pleinement allongé sur le lit, elle caressait mon torse et mon meilleur ami la caressait également. Elle remonta le long de mes jambes pour se relever, emportant avec elle mon fameux boxer. Ça y est, j’étais nu et ma verge s’érigeait vers le plafond, mais Capucine n’eut pas le temps de s’y attarder, car Jérémy enchaîna en ôtant sur le caleçon, libérant également sa queue.
Cela faisait maintenant 6 ans que je connaissais Jérémy et s’il y avait bien un tabou entre nous, c’était nos tailles respectives de pénis.
Je réalisai ce soir-là que ce tabou n’avait pas lieu d’être puisque nous avions grosso modo la même. La mienne courbait peut-être un peu plus et la sienne légèrement plus courte, mais plus grosse. Je m’étonnai finalement d’être en train de mater la bite de mon pote au lieu de profiter du moment. Capucine quant à elle ne perdait pas un instant, elle avait la verge de Jérémy en main et commençait un va-et-vient tout en s’agenouillant au pied du lit.
Machinalement, ma main avait regagné mon pénis et je commençais moi aussi à me branler en m’approchant du bord du lit. Je regardais la scène, il y eut un échange de regards entre elle et lui puis, elle lécha de la base vers le gland l’ensemble de sa queue avant d’entamer une fellation. Une chose était sûre, les cours d’histoire des sciences n’auraient plus jamais la même signification pour moi. Capucine était très excitée, la fellation accélérait, elle attrapa de sa main qui était libre mon sexe que je lui laissais volontiers. Puis il y eut ce moment magique où ses lèvres passèrent d’un geste de la queue. Sa bouche déjà pleine de salive n’eut aucun mal à lubrifier en un instant l’ensemble de ma queue pour mon plus grand plaisir. Elle n’était pas particulièrement douée, mais la situation était si excitante que je ne voulais pas que cela s’arrête. Je rebasculais de nouveau en arrière pendant que Jérémy partit l’espace d’un instant farfouiller dans ses vêtements.
Capucine en continuant sa fellation, se plaça en sens inverse, présentant sous mes yeux sa culotte en dentelle inondée d’excitation.
Pour la première fois de la soirée, je fus dégourdi et d’un geste écartai sa culotte et fourrai ma langue dans son vagin parfaitement épilé. Son clitoris était gonflé et très facile à stimuler, ainsi elle aussi ne semblait pas bouder son plaisir. Lorsque Jérémy revint, il capta mon regard et déposa une capote dans ma main, cet outil allait rapidement s’avérer utile. Capucine pivota et c’était désormais mon compère qui lui mangeait le sexe alors qu’elle s’essayait sur le mien à aller de plus en plus loin. Au fur et à mesure que cela durait, sa technique gagnait en impact et ma queue atteignait des endroits toujours plus reculés de sa gorge. Soudain, son corps entier tressaillit, et l’espace d’un instant, Capucine resta immobile, ma queue entre les dents. Sans que je n’eusse remarqué, Jérémy avait enfilé son préservatif sur sa bite qu’il venait de plonger dans le vagin de la belle.
Capucine était aux anges, et alors que Jérémy lui grimpait un peu plus dessus, ma fellation prit fin et seule sa main continuait d’agiter régulièrement ma queue.
J’en profitai à mon tour pour mettre en place ma capote et continuai à m’astiquer en admirant la scène. Je regardais mon meilleur ami qui baisait de dos cette jolie fille et je sus à cet instant que notre amitié était si forte que nous pouvions tout partager. Jérémy relâcha prise et partit changer de capote, je sus par la suite qu’il avait joui. Capucine, remise de ses émotions, me grimpa dessus et enfonça à mon tour mon sexe en elle. Elle avait le dessus et même si j’essayais de donner quelques coups de hanches, c’est elle qui menait la danse. Elle remuait d’avant en arrière comme pour se frotter de l’intérieur en accélérant. Ses respirations s’accéléraient et elle se contracta d’un coup en se collant à moi tout en gémissant. Cette blonde dont j’ignorais tout une heure auparavant venait de jouir avec ma bite en elle.
Jérémy s’approcha de nouveau, une demi-molle à la main, sa verge était à une quinzaine de centimètres de mon visage, mais Capucine qui revenait à elle se remit à la sucer malgré la capote pour lui rendre sa taille tout en reprenant ses mouvements de hanche sur ma queue.
Une fois bien dur, Jérémy l’attrapa par les épaules et l’entraîna debout face au lit, il cambra son dos et enfonça sa queue pour la prendre en levrette contre le lit. Capucine avait déjà joui, mais elle semblait aimer ce qui lui arrivait, je me levai et pris place aux côtés de Jérémy, regardant Capucine subir son courroux. Elle n’en pouvait plus, et peina à se retourner pour s’allonger sur le dos dans un coin du lit. Debout chacun contre un bord, Jérémy et moi avions compris. Je soulevai les jambes de capucine et la baisais de plus belle, quant à lui, il ôta son préservatif et enfonça sa queue dans la bouche de notre proie. Capucine gémissait de plaisir si bien que je finis par éjaculer dans mon préservatif en elle. Jérémy ne tarda pas et déchargea également dans sa bouche. Elle recracha dans sa culotte sale désormais posée au sol et s’allongea exténuée de fatigue au centre du lit.
Pendant plusieurs minutes, nous sommes restés là, allongés sur la couverture à nous remettre de nos émotions. Je pris finalement l’initiative, je déposai un baiser sur les lèvres de Capucine et quittai la pièce après m’être rhabillé.
Une fois en bas, je rejoignis ma sœur qui boudait sur un canapé, après un dernier verre, elle me ramena à la maison, laissant Jérémy se dépatouiller. Sur le retour, Noémie m’expliqua qu’elle faisait la tête à cause de Steve qui avait, paraît-il, cherché à aller trop loin ce soir-là, mais je n’en sus pas plus sur le moment.Depuis cette soirée, Jérémy et moi sommes plus proches que jamais, quant à Capucine, elle resta un temps un plan Q pour lui, mais je ne la rebaisais pour ma part jamais.
Dans les mois qui suivirent, Jérémy et moi prîmes la décision d’emménager ensemble l’année suivante.Notre L3 débuta donc au sein d’un colloque que nous partageons avec Florian, un camarade de promo avec qui je m’entendais bien. L’appart était grand et à 10 minutes à pied de la fac, la vie était belle, mais allait bientôt être chamboulée.
Pendant des années, je confiais tout à Jérémy, de la couleur de ma brosse à dents au prénom de la fille sur qui je craque. Un des secrets dont il est le seul au courant est le fantasme que j’éprouve pour ma sœur. Que l’on soit bien d’accord, je ne désire pas baiser sauvagement ma grande sœur contre un mur, toutefois j’ai fini par remarquer que les filles qui me plaisent, présentaient de troublantes similitudes physiques avec ma sœur : lunettes, cheveux noirs, 1m70, bonnet B, marrante... Certes, il m’est arrivé à la puberté de me masturber en pensant à elle après l’avoir entraperçue dans la salle de bain ; mais cela s’exprime plus désormais dans mes fantasmes. Les histoires érotiques que je réalise tournent souvent autour de l’inceste, et il en est de même pour les pornos que je regarde.
Jérémy savait tout ça, pourtant un soir en rentrant des cours, je suis tombé sur Noémie qui sortait de notre appartement l’air très gêné en me voyant. Jérémy m’expliqua que depuis quelques semaines, elle et lui se voyaient à l’occasion et que leur relation commençait à devenir sérieuse. Sur le moment, je me suis senti trahi, il était comme mon frère et côtoyait ma sœur comme moi depuis 7 ans, ils s’étaient vu grandir et voulaient maintenant être ensemble. L’amertume passa d’autant mieux que je tombai peu de temps après amoureux, elle s’appelle Anna, de beaux yeux verts des cheveux noirs et malheureusement pas de lunettes.
L’histoire entre Jérémy et ma sœur gagna en importance même s’ils se voyaient le plus souvent en dehors de l’appartement, elle finit par y passer quelques nuits. Anna aussi migra petit à petit vers notre colloque pour atteindre un quasi-temps complet.
Jusqu’au mois de mars dernier où le confinement fut déclaré. Plutôt que de rester seul dans son appart étudiant, ma sœur emménagea avec nous, pensant que cela allait durer 2 à 4 semaines, Emma en profita pour ramener davantage d’affaires à elle dans ma chambre, tandis que Florian regagnant sa Normandie natal pour se confiner en famille.
Ainsi tous les quatre nous allions entamer un confinement dont l’issue allait s’avérer inattendue.
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