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Confinés en famille

Chapitre 8

Vu par Julia (1/2)

Inceste
—* Depuis plusieurs chapitres, Théo partage ses aventures incestueuses avec sa maman et avec sa sœur. Mais comment Julia, sa petite sœur a vécu le début de cette histoire ? Elle raconte... **

Salut, je me présente, je m’appelle Julia, j’ai dix-neuf ans et je suis étudiante à Bordeaux depuis la rentrée de septembre. Six mois que j’ai quitté le cocon familial, où vivent Sophie et Fred, mes parents, et mon grand frère, Théo.
Comment me décrire, je suis une petite blonde d’un mètre soixante-trois, plutôt jolie (c’est ce qu’on me dit généralement), avec de jolies formes... Comprenez, un petit cul bien rebondi et une belle poitrine (90 C pour les connaisseurs !).
Étudiante à plusieurs centaines de kilomètres de la maison, je rentre rarement voir les parents. Je profite plutôt de la vie à Bordeaux pour sortir avec mes amies.
Lorsque le confinement a été annoncé, j’étais justement rentrée pour passer quelques jours avec papa, maman et Théo. Finalement, on est tous resté à la maison, c’est quand même plus agréable d’être confinée dans une maison avec un grand jardin, que dans un petit appartement de 20 m 2 !
Les premiers jours se sont déroulés normalement, mais après quelques semaines de révisions et des heures passées devant Netflix, le temps est devenu de plus en plus long. Et comme toutes les filles d’une vingtaine d’années, je commence à ressentir un manque... De sexe !!
Bien sûr, je me fais plaisir le soir dans mon lit, mais ces six mois loin de la maison m’ont également permise de découvrir les plaisirs de la chair... Je vous vois venir ! Non, je n’ai pas couché avec toute la fac ! Juste deux petits amis, et même si les expériences n’étaient pas parfaites, elles m’ont donné le goût du sexe.
Un soir, alors que je monte me coucher, je passe devant la chambre de Théo. La porte est légèrement entrouverte et une lumière tamisée jaillit. Curieuse, je jette un œil pour voir ce que fait mon grand frère à cette heure... Théo est allongé sur le lit et semble regarder un film sur son ordinateur. À moins que... non, il se masturbe sous sa couette ! Il doit regarder un porno. Je l’espionne encore un peu, espérant en voir un peu plus. Il finit par dégager sa couette, me dévoilant son impressionnant sexe bandé. Instinctivement, je glisse ma main dans ma culotte. Ma chatte est bien humide. La vue de ce sexe m’excite, j’aimerais tellement le toucher, le caresser, le sucer...
Je me dépêche de rejoindre ma chambre. À peine la porte fermée, je m’allonge sur mon lit et je fais glisser ma culotte sur mes cuisses. Je peux me caresser en imaginant ce sexe glisser en moi, me pénétrer, me remplir de sperme... Il ne me faut que quelques instants pour jouir, comme rarement !
Mais à quoi je pense ? C’est le sexe de mon frère, je ne peux pas avoir ces idées, ce n’est pas normal... Mais en même temps, puisqu’on est confiné, c’est le seul sexe que j’ai sous la main, si je puis dire !

* *

Le lendemain, au réveil, ma culotte est encore trempée. Je repense alors à la vue de ce sexe dur que mon grand frère astiquait hier soir. Ma main glisse aussitôt sur mon sexe pour me caresser. Pourquoi cette envie soudaine de sexe ? Pourquoi avec lui, mon frère ?
Avec Théo, nous avons un peu moins de deux ans d’écart, ce qui fait que nous sommes assez fusionnels tous les deux. Depuis notre plus jeune âge, on a toujours tout partagé, on se dit tout... Mais comment lui dire que je fantasme sur lui, que j’ai envie de goûter son sexe et qu’il me fasse l’amour ? Impossible, à moins de trouver un moyen de partager cette envie.

Je suis une fille jolie et sexy... Il va faire beau aujourd’hui, mon maillot de bain sera mon meilleur allié ! Après le déjeuner, je regagne ma chambre pour me changer. Je mets un bikini bleu-marine qui a l’avantage de ne laisser personne insensible !
Ma chambre donnant sur le jardin, il ne me reste plus qu’à surveiller Théo. Ce midi, il a parlé de profiter du soleil pour lire un livre. Vers 15 h, il apparaît enfin dans le jardin. C’est le moment pour moi de faire une séance de bronzage...
Je rejoins Théo dans le jardin, installe une serviette sur le transat et m’allonge sur le ventre. On parle un peu du beau temps, de son livre, puis il se replonge dans son livre... Pour l’instant, mon approche est un échec !
Mon slip brésilien met pourtant mes fesses en valeur... Que lui faut-il de plus ? J’ai trouvé, je me redresse et attrape la crème solaire. Je commence à m’enduire le corps avec, passant sur mes seins, mon ventre, mes cuisses... Du coin de l’œil, je vois que mon frère a perdu le fil de sa lecture. Son regard semble braqué sur moi.
C’est le moment pour attaquer :
— Théo, tu pourrais me passer de la crème dans le dos, s’il te plaît, je n’y arrive pas...— Si tu veux sœurette, allonge-toi sur le transat...
Je m’allonge sur le ventre et bascule mes longs cheveux au-dessus de mon épaule et je lui tends la crème solaire. Un courant électrique me parcourt lorsque Théo pose ses mains sur moi. D’abord hésitant, il me surprend en dénouant le nœud de mon soutien-gorge qui barre mon dos et reprend son massage, en couvrant chaque centimètre de mon dos.
Il reprend de la crème solaire et glisse ses mains sur mes cuisses et mes mollets pour appliquer la protection. Mais est-il encore en train de me passer de la crème solaire ? J’ai rapidement la réponse lorsque je sens ses mains caresser mes fesses. Je suis de plus en plus excitée par la situation, et instinctivement, j’écarte très légèrement les cuisses. Théo ne tarde pas à en profiter. Il semble se rapprocher de plus en plus de mon sexe. Ses mains glissent sur mes cuisses et ses doigts se frottent enfin au tissu humide de mon maillot. Je suis prise d’un frisson d’excitation. Impossible qu’il n’ait pas senti ma cyprine...
Il retire alors ses mains et reprend sa place sur son transat. Bien qu’un peu déçue que ça s’arrête déjà, je me retourne et lui dis :
— Merci Théo, ce massage était très agréable !
Très agréable, oui... Maintenant, j’en veux encore plus ! Je veux que ses doigts me caressent, je veux lécher son sexe, je veux sentir son sexe en moi...

* *

Le soir même, après le repas, maman et papa décident d’aller se coucher tôt. Avec Théo, on préfère profiter de la douceur printanière de la soirée pour se poser dans le salon de jardin.
Nous nous installons et dégustons quelques verres de vin en discutant de tout et de rien... Pour émoustiller un peu mon grand frère, je me confie sur mes aventures à Bordeaux, mon ex, Lucas, avec qui j’ai expérimenté pas mal de choses (fellation, cunnilingus, sexe...), mais qui finalement n’était pas à la hauteur de ce que j’attendais.
Tout en discutant, je me rapproche de Théo et l’alcool aidant, je m’allonge et viens poser ma tête sur sa cuisse. C’est peut-être le bon moment pour séduire mon frère...
— Tu sais, tout à l’heure, j’ai beaucoup aimé quand tu m’as passé de la crème solaire, dis-je avec un léger sourire, les yeux levés vers lui.— J’ai essayé de m’appliquer, c’était rien de particulier, répond-il.— Disons que j’ai vraiment aimé ton application sur mes fesses et entre mes cuisses...
Peut-être est-ce plus clair ainsi. J’accompagne ma remarque d’un clin d’œil et d’un sourire coquin. Il semble troublé et son regard dévie vers mon décolleté plongeant et mes cuisses à moitié nues.
Sans un mot, il vient poser sa main sur mon sein, le caresse doucement puis rapidement, ses doigts glissent sous ma robe. Nos regards se croisent alors que sa main masse mon sein et que ses doigts titillent mes tétons, qui ne tardent pas à pointer.
Je laisse échapper un gémissement qui traduit mon excitation. Ma respiration s’accélère, mon grand frère est en train de me caresser les seins et sa main glisse maintenant sur mon ventre. Il tire délicatement sur ma robe, pour dévoiler mes cuisses et bientôt ma culotte... Je pose mes jambes sur l’accoudoir et je les écarte, comme pour l’autoriser à poursuivre son chemin...
Ma culotte est trempée de cyprine, signe de mon excitation. Ma tête toujours posée sur sa cuisse, je viens poser ma main au niveau de son entrejambe. Au travers du tissu, je sens son sexe en érection. Je touche enfin le sexe de mon frère... Mais il y a encore cette barrière entre nous...
Théo se défait rapidement du tissu qui recouvre mon sexe. Ses doigts glissent en dessous et viennent se frotter à mon intimité. Je tremble de plaisir lorsque je sens sa main caresser mon clitoris et mes lèvres... Je suis désormais à sa merci. J’ai tellement envie de lui...
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