Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 104 J'aime
  • 6 Commentaires

le conflit des générations

Chapitre 1

Erotique
L’été de mes vingt ans, je dus aller chez mon oncle et ma tante, car elle était malade et c’était la sœur de ma mère donc j’étais de corvée. J’arrivais le premier jour de juillet à la gare où mon oncle m’attendait, il n’avait pas changé, un grand sec qui se tenait droit malgré son âge.« Ta tante est hospitalisée, nous serons donc seuls les premiers jours. Elle doit sortir dans 10 ou 15 jours. Ca te donnera le temps de tout nettoyer avant son retour et puis tu m’aideras dehors cela t’occupera, nous verrons l’organisation au fur et à mesure. » Et toujours aussi aimable. On s’arrêta à l’hôpital pour que je puisse dire bonjour à ma tante.« Je suis contente que tu sois là, tu vas tenir compagnie à ton vieil oncle, il est ronchon quand il est seul. »« Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper de lui »On prit le chemin de la maison. Ca promettait, déjà passé mon été là-bas ne m’enchantais pas du tout mais toute seule avec le vieux ça allait être l’enfer. Il avait plus de 70 ans et moi j’allais sur mes vingt ans. Bonjour le conflit des générations !

A notre arrivée à la ferme, comme dans mon souvenir, tout était vieillot et moche. J’allais dans la chambre ranger mes affaires et je revins dans la cuisine.« Tiens, tu n’as qu’à nous préparer un café avec des tartines pour le goûter »En plus, j’allais vraiment lui servir de bonne. Mais je fis ce qu’il me demandait car j’avais promis à ma mère.« Le chauffe-eau de la salle de bain à lâcher hier, il faudra te laver dans la cuisine si tu veux de l’eau chaude »Je préparais le repas du soir et nous le prîmes en tête à tête, puis on s’installa devant un vieux film de guerre. L’ennui profond pour moi. A la fin, j’allais me coucher en lui souhaitant bonne nuit.

Le lendemain matin, réveil en fanfare. J’ouvris les yeux en sursaut, mon oncle ouvrait grands les volets et la fenêtre. Je regardais l’heure il était à peine 5h.« Mais il est trop tôt « Il tira sur le drap et me découvrit, on était en pleine été, c’était la canicule et j’étais entièrement nue. Il me regarda, j’attrapai mon peignoir pour me couvrir.« C’est l’heure, à la campagne, on se lève tôt et tu vas m’aider à l’étable alors debout ! »Je me levai et le suivi à la cuisine. Je le vis prendre une bassine et la remplir d’eau. Puis il s’installa à table pour manger« J’ai fait le café, fais toi des tartines et débarbouilles toi vite que l’on puisse y aller »Je mangeais vite fait et tout en lui tournant le dos, j’essayais de me laver un peu tout en gardant mon peignoir. « Tu laves comme les chats toi » dit-il en riant.J’allais m’habiller pendant qu’il débarrassait la table et nous partîmes à l’étable. 

Entre la traite et le nettoyage de la paille. Je ne vis pas le temps passé. A 11 h, on rentra manger, puis la vaisselle et on repartit cette fois-ci avec le tracteur pour la vigne.En rentrant le soir j’étais fatiguée. Je lui expliquais que j’allais prendre une douche même à l’eau froide mais que j’avais besoin de me laver correctement. J’allais dans la salle de bain, mais je découvris que je ne pouvais pas fermer la porte à clé.Je me déshabillais et m’installai dans la baignoire sabot à l’ancienne et même pas de rideau. Je faisais à peine couler l’eau qu’il entra sans frapper. Il s’installa devant le lavabo et commença à se raser. Je me couvrais avec les bras comme je pouvais.« Tu sais à mon âge, j’en ai vu d’autres. Quand j’ai connu ta grand-mère, elle avait à peine 17 ans. Cela ne sert à rien de faire ta mijaurée. Ici c’est comme ça, ta tante et moi, on vit seul, il faudra t-y faire. »

Je lui tournais le dos et me lavais tant bien que mal et le plus vite possible. Du coin de l’œil, je le voyais qui matait mes fesses dans la glace. Je pris la serviette et m’emballais dedans pour aller dans ma chambre où je me séchais et m’habillais avant de retourner à la cuisine pour préparer le repas.La soirée se passa comme la veille sauf qu’après la vaisselle, je préférai aller me coucher et lire un peu car j’étais fatiguée par la journée. Je me réveillais en sursaut, mon oncle était penché au-dessus de moi, mon livre à la main. Je baissai les yeux et je vis ma chemise de nuit  était relevée jusqu’à la taille. Je tirai dessus.« Tu t’es endormie en lisant, en allant fumer ma cigarette dehors j’ai vu la lumière allumée et je suis venue voir ce que tu faisais. »« Quelle heure est-il ? »« 21h30, tu dois être très fatiguée, tu t’es endormie comme une souche »Il sortit de la chambre en me souriant. Je me levais pour ouvrir la fenêtre comme ça je pouvais mettre la couverture en plus drap sur moi pour bien rester couverte pendant mon sommeil.

Le lendemain matin de nouveau le réveil matinal en sursaut. Je me réveillais j’étais sur le ventre et je sentais mes fesses à l’air. Mon oncle ouvrait les volets tout en me regardant avec un sourire. Je me couvris sur le champ puis je me levais. Retour dans la cuisine pour le petit déjeuner et le débarbouillage rapide en gardant mon peignoir et départ pour l’étable. La journée se passa comme la veille, et la soirée idem avec la petite séance de matage dans la salle de bain lors ma douche pendant qu’il se rasait.

Je me réveillais dans la nuit avec une drôle d’impression, n’osant pas ouvrir grands les yeux, j’aperçus entre mes paupières, la porte de ma chambre ouverte avec la lumière du couloir pour éclairage et mon oncle debout devant mon lit qui me fixait, sa main dans son pantalon. Je vis ma chemise de nuit relevée très haut sur mes épaules. Je ne bougeais pas ne sachant pas comment réagir. J’étais seule avec lui dans la maison en pleine campagne. Au bout d’un moment, il sortit en refermant doucement la porte. Je me couvris vite fait et malgré l’inquiétude de le voir revenir, la fatigue étant la plus forte, je me rendormis.

Le lendemain matin tout recommença comme la veille, comme si la visite nocturne n’avait pas existée, réveil en fanfare, déjeuner, débarbouillage et travail. Au retour, le soir même soirée, même voyeurisme de sa part pendant ma douche. 

Dans la nuit, la sensation me revint et je m’éveillais mon oncle était cette fois assis sur le lit à côté de moi, ma chemise de nuit relevée. Au bout d’un moment, je sentis ses doigts me touchait légèrement les seins, ils glissèrent sur mon ventre et sur mon sexe que je regrettais d’avoir rasé avant de venir. Sa main dans son pantalon bougeait, il était en train de se caresser. Puis il posa doucement sa main sur un de mes seins qu’elle engloba car malgré mon 95C, il avait de grosses mains de travailleur. Du bout du doigt, il titilla mon téton. Je continuais à faire semblant de dormir, mais mon corps commençait à réagir. Heureusement, il s’arrêta et partit. 

Le lendemain matin après le réveil habituel. J’allais dans la cuisine et commençai par me débarbouiller toujours en peignoir avant de prendre mon petit déjeuner. Ensuite je le fermais mais sans le serrer, je penchais au–dessus de la table pour me servir le café. Mon oncle put voir mes seins dans mon décolleté. A chacun de mes mouvements, mon peignoir mal fermé laissé entrevoir la naissance de ma poitrine. Mon oncle n’en perdait pas une miette. La journée passa de la même façon que la veille, la soirée également et dans la nuit j’eus la visite de mon oncle qui se permit les mêmes caresses mais sans aller plus loin.

Le vendredi matin, mon oncle me réveilla comme d’habitude et m’annonça que l’on travaillerait que le matin car l’après-midi on irait voir ma tante à l’hôpital. Dans la cuisine, je me tournai vers l’évier pour mon débarbouillage matinal mais à l’inverse des autres jours, j’enlevais mon peignoir et lui laissais voir mes fesses qu’il matait de toute façon tous les soirs dans la salle de bain pendant que je prenais ma douche, mais là, il les voyait de près et non par l’intermédiaire d’une glace. Puis je remis mon peignoir en le fermant mal et pris mon petit déjeuner.« Je vois que tu commences à comprendre à la campagne, on vit simplement sans faire de cinéma. On s’habitue à tout, il n’y a rien de mal »« Oui mon oncle »

On partit pour la matinée, à 11h on rentra et je préparais le repas. Pendant qu’il mijotait, j’allais prendre ma douche, mon oncle bien entendu vint pour se raser comme à son habitude. Mais cette fois-ci, je me tournais vers lui et me lavais la tête. Les bras levés pour mettre le shampoing et le faire mousser, mes seins ballotés par les secousses, mon oncle avait arrêté de se raser croyant que j’avais les yeux entièrement clos pour éviter le savon dans les yeux. Je me rinçais, il reprit son rasage. Je pris le gel douche dans la main et entrepris de me savonner tout le corps. Il essayait de ne pas en perdre une miette dans la glace à tel point qu’il se coupa, il prit une serviette pour se nettoyer et sorti de la salle de bain, j’en profitais pour me raser le sexe. J’allais m’habiller puis on se retrouva dans la cuisine comme si tout était normal.

 Dans l’après-midi, on alla voir ma tante.J’entrai dans la chambre avec des fleurs et des chocolats, elle était contente.« Ce n’est pas ton oncle qui y aurait pensé, tu es adorable c est gentil. J’espère qu’il est gentil avec toi et qu’il ne te fait pas trop travailler ? Je vois que tu es toute bronzée mais on voit les marques du tee-shirt. »« Non ma tante, tout va bien. Rentre vite comme ça tu pourras le voir tes yeux »Je les laissais discuter seuls et allais me promener. Puis vers 17h, on repartit. En arrivant, je préparais le repas, on regarda un peu la télé et j’allais me coucher car le samedi comme les autres jours c’est boulot-boulot avec lui. Je m’endormis à nouveau le livre sur le nez, je me réveillais en sursaut quand mon oncle enleva le livre, il avait déjà relevé ma chemise.« Tu dors comme une souche, il n’y a pas grand-chose qui te réveille toi. Toute une semaine à la campagne t’as épuisée »Quand il sortit de la chambre, je passai un doigt sur ma chatte, j’étais mouillée, il avait dû me caresser dans mon sommeil et je ne m’étais même pas réveillée. Mais là, j’étais excitée, j’avais une grosse envie de jouir et je me caressais. Je gémissais en me branlant le clito. Mon oncle ouvrit la porte très vite, il devait être juste derrière.« Tout va bien, je t’ai entendu gémir. Tu es malade ? »« Non, j’ai dû me rendormir et faire un cauchemar mais tout va bien »Je n’osai pas continuer de peur qu’il entre à nouveau.

Le lendemain debout 5 h. Nous partîmes pour la matinée de travail, quand on revint à 11 h, il m’annonça que l’après-midi, je n’étais pas obligée de venir avec lui.« Tu auras qu’à prendre une chaise longue sous l’appentis pour te faire bronzée comme ça ta tante sera contente. Car elle a raison, tu as bronzé mais on voit les traces de ton tee-shirt et tes jambes sont blanches » Quand il partit avec le tracteur, je me mis en maillot de bain et m’installais avec un livre dehors à l’ombre car je n’aimais pas me mettre en plein soleil. Et je m’endormis tellement j’étais épuisée bien entendu, je n’ai jamais autant travaillé physiquement que depuis que je suis là. Je me réveillais sentant des doigts caresser mon sexe. Mon oncle avait posé ses doigts et passait ses doigts sur ma chatte à travers le maillot. Comme je commençais à bouger, il s’arrêta et se redressa.« Décidément, tu dors bien. L’air de la campagne ça tue. Tu n’as même pas entendu le tracteur. Demain c’est dimanche, tu as qu’à rester couchée, je m’occuperai des vaches tout seul. »La soirée se passa comme d’habitude, il vint me mater sous la douche comme à son habitude en se rasant. Mais je ne me tournai pas, il ne put voir que mes fesses. Mais cela ne le gênait pas. Dans la nuit, il vint dans la chambre. Je le sentais qu’il écartait une de mes jambes tout en la poussant vers le haut, je sentais l’un de ses doigts courir le long de ma fente, il dégagea mon clito, tourna autour et redescendit. Puis sa main se posa sur mon sein et il titilla mon téton. Je remuais légèrement car ça m’excitait follement ces caresses volaient. Il ne bougea plus attendant pour voir. Comme je n’ouvrais pas les yeux, il reprit ses caresses. Je ne pus retenir un gémissement, il se leva rapidement et sortit.Je me levai entrouvrir la porte pour voir, il n’y avait plus personne. Je cherchais dans mes affaires, le gode que mon ami m’avait offert avant que je parte et me recoucher. Je commençai à me caresser, je me branlais le clito et gémissais de plaisir, je ne vis pas la porte s’ouvrir doucement de quelques centimètres. Tout en me pinçant un téton, je me mis le gode dans la chatte pour me masturber. Je me branlais le clito et accélérai le mouvement du gode. Ça faisait une semaine que mon oncle me caressait et mon ami me manquait. Je jouis rapidement en me tordant de plaisir sur le lit, je continuai à me branler avec le gode pour faire durer le plaisir. Puis je le rangeais et me rendormis satisfaite. Mon oncle avait pu voir toute la scène dans l’entre-baillement de la porte

Le lendemain quand je me levai, il était parti, je pris tranquillement mon petit déjeuner et préparai le repas de 12 h avant de me débarbouiller à l’évier. Je venais de me savonner quand il entra. Je me rinçai vite fait et enfiler mon peignoir.« Tu as du mal dormir hier, je t’ai entendu gémir une bonne partie de la nuit »« Non, je n’ai pas cette impression, je me suis bien reposée au contraire. Je pense que j’avais besoin de ça pour attaquer la nouvelle semaine qui débutera demain. » « Oui sûrement c’est toujours le genre de chose qui fait du bien surtout quand on est jeune. Tu as quartier libre cet après-midi. Au fait, ta tante rentra en fin de semaine prochaine. Si tu veux inviter ton petit ami, ça ne me gêne pas. »« Il ne peut pas, il travaille la semaine »L’après-midi se passa tranquillement ainsi que la soirée. J’allais à la douche et entrepris de me raser les jambes, les aisselles et la chatte, le tout devant mon oncle qui pour une raison que j’ignore préféra sortir au lieu de finir son rasage. Je fus étonnée mais bon c’est comme ça. La nuit, il ne me rendit pas sa petite visite. Je pensais que peut être à son âge, il en avait eu assez ou que la peur que je me réveille hier soir pendant qu’il me caressait, l’avait fait réfléchir. Je fus déçue, j’aimais ces petites visites nocturnes et ces attouchements auxquels il se livrait comme un voleur, ses doigts qui m’effleuraient, ça m’excitait.

Le lendemain, la semaine reprend. Lever 5 h, débarbouillage nue dans la cuisine devant mon oncle, j’enfilai le peignoir et le laisser ouvert pour prendre mon café. Mon oncle fixait ma poitrine et mon sexe à chaque fois que je me levais. On partit faire le travail et la journée passa tranquillement. Je pris ma douche sous le regard détourné de mon oncle, je me lavai normalement en me savonna bien partout et en prenant bien mon temps avec le jet. A tel point que mon oncle avait fini de se raser que j’étais encore en train de me rincer. Il s’appuya au lavabo et me parla de chose et d’autre tout en me détaillant. La soirée passa comme d’habitude. La nuit, il entra dans ma chambre, j’écartais mes jambes afin de lui faciliter les choses en l’entendant entrer. Il me découvrit et souleva ma chemise. Il s’assit à mes côtés et me caressa les seins, la chaleur de ses grosses mains calleuses qui m’effleuraient, m’excitaient déjà, il fit descendre ses mains le long de mon corps et mes cuisses. Je sentis ses doigts remonter sur ma chatte en écartant délicatement les lèvres. Il titilla mon clito qu’il avait dégagé de son capuchon. Je me mordais la lèvre pour ne pas gémir car je me rappelai que la dernière fois ça l’avait fait partir. Il posa ses lèvres sur mes seins en les embrassant l’un après l’autre, le bout de sa langue me léchant délicatement les tétons pour ne pas me réveiller. Sa main quitta ma chatte et je sentais qu’il s’agitait, il devait être en train de se caresser. Il sortit de la chambre et j’en profitais pour me branler plusieurs fois tellement j’étais excitée

La journée du lendemain et les deux qui suivirent furent les mêmes je passai mon temps à lui laisser voir mon corps pour l’exciter et la nuit il venait me caresser. Puis il fut temps d’aller chercher ma tante à l’hôpital pour la ramener. On l’installa dans sa chambre pour qu’elle se repose et nous continuâmes nos journées comme d’habitude sauf que je m’exhibais moins et lui ne venait plus dans la salle de bain pendant que je me douchais. Il avait réparé le chauffe-eau de la salle de bain où je pouvais me débarbouiller tous les matins. On partit sur le tracteur un après-midi« Depuis que ta tante est rentrée, tu n’as pas arrêté. Si tu veux cet après-midi, tu te reposes, il y a une couverture sur le tracteur, tu as qu’à t’allonger dans l’herbe et prendre le soleil tranquillement, je n’ai pas grand-chose à faire. »« Merci mon oncle mais je n’ai pas mon maillot »« Ce n’est pas grave, mets-toi en sous-vêtements, ça ne me dérange pas »J’allais au tracteur et me déshabillais, j’enlevais même mon soutien-gorge et je passais près de lui, les seins à l’air pour aller m’installer à l’ombre. Je m’allongeais et sommeillais tranquillement quand il vint s’allonger à côté de moi.« Tu devrais appeler ton petit copain pour qu’il vienne de voir »« Il travaille la semaine, il est libre que le week-end. »« Ah bon. Mais quel âge il a ? »« 35 ans »« C’est beaucoup comme différence. Moi ça me gêne pas mais ta tante, elle, c’est la sœur de ta mère, elle va la prévenir. Mais si tu veux, tu lui dis de venir samedi après-midi, tu viendras avec moi comme si on allait travailler ensemble et tu lui dis de te rejoindre ici. »Je me retournai vers lui et le pris dans mes bras pour lui un bécot sur la joue. Mes seins s’écrasèrent contre lui sans que j’y prenne garde. Il m’y sa main dans mon dos quand je voulus me relever, il me serra plus fort.« C’est gentil de me faire un bisou surtout que je t’ai fait beaucoup travaillé, tu as rangé toute la maison avant que ta tante ne revienne. Je suis un vieux monsieur et un peu de douceur me fait toujours du bien. »

Je restai dans cette position mes seins collés contre lui et il me caressait le dos. Je m’endormis quand je me réveillais dans la même position, il me sourit.« Je savais bien que tu étais épuisée. Mais bon ce n’est pas tout ça j’ai pris du retard »Il se leva et retourna travailler. Quand il eut fini, il me fit signe et je le rejoignis en courant. Il me regarda venir vers lui.« Qu’est-ce que c’est bon d’être jeune ça saute dans tous les sens » dit-il en regardant mes seins.J’enfilais mon pantalon pendant qu’il mettait le tracteur en route et m’assis à côté de lui les seins à l’air quand il démarra. Il roulait à travers champs en regardant mes seins ballotaient dans tous les sens pendant que j’essayai de m’habiller. Il posa sa main sur un de mes seins en rigolant.« Ca ballotte Charlotte ! »Il en profita pour me le palper un peu vite fait. J’éclatais de rire avec lui et finis par arriver à enfiler mon soutien-gorge et mon tee-shirt avant d’arriver à la maison tout en résistant aux secousses. Tout le restant de la semaine et en faisant en sorte que ma tante ne s’aperçoive de rien à chaque fois que je m’exhibais devant lui, il en profitait pour me prendre un sein dans la main en répétant la même phrase et en riant. « Ca ballotte Charlotte ! ». Un soir en sortant de la salle de bain entièrement nue, il en profita pour me mettre une claque sur les fesses en riant et en disant la même chose.Quand le samedi après-midi arriva, je ne tenais plus en place. Je fus sur le tracteur avant mon oncle que je pressai.« Eh bien. Je suis pressé de faire la connaissance du jeune homme qui te fait courir aussi vite »Quand nous arrivâmes, sa voiture était déjà là. Il descendit et vint dire bonjour à mon oncle. Puis on partit main dans la main plus loin pour être à l’abri des regards. On s’embrassait, se caressait. Il me déshabilla, je me roulais nue dans l’herbe comme une gamine. Il se coucha sur moi, ses mains me malaxait les seins, sa bouche descendait jusqu’à ma chatte, il lécha. Le plaisir montait, je gémissais en m’accrochant à lui jusqu’à ce qu’il me pénètre. Je me cabrai pour mieux le sentir. Au moment où je me redressai pour me mettre à quatre patte pour qu’il puisse me prendre en levrette, j’aperçus mon oncle cachait derrière les arbres qui nous observait. Je fis celle qui ne l’avais pas vu et continuais à me mettre en position de façon à ce qu’il me voit de profil et puisse profiter de la vue de ma croupe tendue et de mes seins qui s’agitent en rythme. Mon ami me prit par derrière, on bougeait de concert le plaisir montait, je commençai à crier et je hurlai en jouissant pendant qu’il continuait à me défonçait la chatte à grand coup de butoir. 

Je m’affalai dans l’herbe et me blottis dans ses bras. On s’embrassa et on refit l’amour. On se rhabilla et nous retournâmes auprès de mon oncle qui était revenu dans sa vigne entre temps. On l’aida à finir son travail, mon ami repartit et nous nous rentrâmes à la maison. 

J’allais à la douche, comme ma tante dormait, mon oncle en profita pour venir se raser en même temps, il s’appuya au lavabo et me regarda tout le temps que je me douchais.« Tu es contente de ton après-midi ? Ca c’est bien passé, j’espère ? »« Oui mon oncle. C’est gentil de l’avoir laisser venir me voir. »Comme je sortais de la baignoire, j’en profitai pour me coller contre lui, la serviette entre nous mais mes fesses à l’air, pour lui refaire un bisou. Lui en profita pour me mettre la main aux fesses qu’il laissa tranquillement dessus en les serrant un peu.« Du moment, que ça t’a fait plaisir, moi je suis content. Par contre, ne dit rien à ta tante sinon ta mère le saura et gare à nous » On discuta deux minutes comme ça, moi à côté de lui et lui sa main sur mes fesses comme si de rien n’était.

Le soir pendant que je lisais dans mon lit, il entra dans ma chambre.« Tu ne dors pas encore ? »« Je ne suis pas trop fatiguée ce soir »« Demain c’est dimanche et tu pourras dormir si tu veux. J’ai autre chose à te dire. Cet après-midi, je t’ai entendu crier, j’étais inquiet et je suis venue voir si tu allais bien. Je t’ai vu faire l’amour avec ton copain. »« Je suis désolée mon oncle, je ne sais pas quoi te dire ? »« Ce n’est pas grave c’est la nature, tu sais. C’est pour tout le reste, tu t’es habituée à notre façon de vivre et il t’arrive de te mettre nue devant moi sans gêne. C’est très bien. Mais tu sais je reste un homme et je dirai que j’aime ça te voir dans cette tenue et que cela ne me laisse pas indifférent. Je sais également que la nuit tu te caresse, je t’entends la nuit quand tout est silencieux. Je ne sais pas trop comment te le demandais. »« Ce n’est pas grave mon oncle, je ferai attention à l’avenir pour que ça n’arrive plus, je ne voudrai pas te mettre mal à l’aise. »« Non, non c’est pas ça. Au contraire, j’aimerai que tu te mettre nue maintenant et que tu te caresse devant moi. Il n’y aurait pas de mal, il n’y a aucun lien de sang entre nous. »

Il me regarda. Je me levai enlever ma chemise de nuit et me rallongeai. Je pliais mes jambes et les écartais pour qu’il puisse bien voir ma chatte ouverte. Je pris mes seins et les malaxais, me pinçai les tétons en tirant légèrement dessus. Puis une de mes mains glissa entre mes jambes, je me masturbais lentement le clito tout en continuant à me caresser les seins. Je voyais une bosse se formait sur l’entre jambe de mon oncle. Il alla à ma commode et en sortit le gode qu’il me tendit. Je le fis glisser dans ma chatte. Je mis le vibro en route, tout en donnant des coups de bassin, je me branlais le clito, je jouis en me tordant de plaisir devant lui. Sa présence décuplant mon plaisir.« Merci, c’est gentil de ta part »Il s’approcha du lit, se pencha sur moi et m’embrassa sur la joue tout en posant une main sur l’un de mes seins.

 Le lendemain, la journée fut la même que les autres jours sauf que lorsque je me relevais après avant passer un moment pencher sur les pieds de vigne, je me tenais le dos. Mon oncle s’en aperçut mais ne dit rien. Lorsque l’on rentra, j’allais à la douche en me tenant toujours le dos. Je fis le repas que j’amenai à ma tante.« Tu es bien gentille, je vais mieux mais je suis encore très fatiguée. Heureusement que tu es là. Même ton oncle qui était très inquiet pour ma santé et redevenu très gai. Tu nous fais beaucoup de bien »J’embrassai ma tante et la laissai pour aller à la douche j’enfilais mes sous-vêtements.

 Quand je sortis de la salle de bain mon oncle m’attendait.« Ne te rhabilles pas tout de suite, je vais te mettre de la pommade dans le dos. Ca te fera du bien, viens à la cuisine. Penches toi légèrement en avant sur la table »Je me mis en position, Il baissa mon slip sur mes fesses et commença à me masser. Au fur et à fur, il descendait de plus en plus bas. Ma culotte le gênant, il la descendit sur mes genoux et entreprit de me masser la totalité des fesses en plus du dos. Je me retournais vers lui pour remettre ma culotte.« Ce n’est pas la peine, on va manger et ensuite tu devras te déshabiller autant que tu restes comme ça, tu as l’habitude maintenant. Et moi, j’aime te regarder, ça me remonte le moral de voir tes seins qui bougent et ta petite minette toute rasée et blanche»Je restai donc entièrement nue et on passa la soirée sans que rien ne se passe sauf mon oncle qui ne me quittait pas des yeux surtout lorsque je m’allongeais sur le divan une jambe repliée. 

Le lendemain après-midi, on ramena ma tante à l’hôpital pour faire les derniers examens et vérifier que tout était bien fini qu’elle était guérie, elle devait y rester 2 jours. Mon oncle fut taciturne pendant tout le retour. En arrivant, j’allais à la douche mais il ne vint pas se raser en même temps. Je restai nue toute la soirée devant lui sans que rien ne change, il était triste et inquiet moi aussi mais je voulais surtout lui remonter le moral. On alla se coucher tristement. 

Le lendemain, il vint me réveiller mais sans plus. L’après-midi, lorsque nous partîmes en tracteur, une fois que l’on fut dans les champs, j’enlevais mon tee-shirt, j’étais nue en-dessous et je mis mes bras derrière le siège, mes seins se mirent à balloter dans tous les sens. Mon oncle me regarda en souriant : »Ca ballote Charlotte ». Je passai l’après-midi à travailler à ses côtés torse nu, et lui passa plus de temps à regarder mes seins bougeaient lorsque je me penchais, qu’à travailler.« Tu es adorable, vas te reposer un peu sinon je ne vais pas avancer beaucoup »

Au bout d’une heure, il vint s’allonger à côté de moi et il me massa de nouveau le dos et les fesses. Une fois qu’il eut fini, je me retournais. Il regardait mes seins.« Tu peux les toucher si tu veux mon oncle »Il tendit sa main et en engloba un entièrement dans sa grosse main calleuse, puis sa bouche se posa sur l’autre. Il le picora de petits baisers, puis il le lécha et se mit à le téter, le mordiller pendant qu’il caressait l’autre avec la main. Il les prit dans ses mains et sa bouche me les dévora. Je gémissais de plaisir c’était bon. Il arrêta.« Merci, j’en ai envie depuis si longtemps. Quand tu te promènes et que tes tétons durcissent, j’ai juste envie de te les bouffer. Maintenant on y va, il est l’heure de rentrer. »

La soirée se passa comme d’habitude. Le soir, il entra dans ma chambre, j’étais allongée nue et je lisais. Il me mit sur le ventre et entrepris de mettre à nouveau de la pommade sur mon dos. Je sentais ses mains sur mon dos et mes fesses. Quand ce fut terminé, je me tournai vers lui. Il me caressa les seins, il fit rouler mes tétons entre ses doigts puis il les embrassa, les lécha. Sa bouche descendit sur mon ventre. Sa main glissa sur ma chatte, il serra les grandes lèvres et les embrassa puis il mordilla. Sa langue s’insinua dans ma fente, je la sentais qui fouillait le moindre repli. Elle s’arrêta sur mon clitoris, je bougeai mon bassin pour l’encourager. Mon oncle se mit à lécher mon clito et ma chatte, sa langue tournait follement autour. Je gémissais, je n’en pouvais plus de plaisir, qui monta comme une vague et je criai. Il plaqua sa grosse main sur ma chatte, je la bloquais avec les cuisses pour me frotter dessus, je jouis à nouveau. 

Mon oncle se mit entre mes cuisses, souleva mon bassin jusqu’à sa queue qu’il avait sorti et il se frotta dessus puis il jouit en éjaculant sur mon sexe. Je me levais pour aller me laver.« C’était bon, tu sais. Une jolie petite chatte toute rasée et douce pour une vieille queue comme la mienne »« Ne dis pas ça mon oncle. Ton sexe est comme tes mains, gros et noueux »

Le lendemain matin, il ne me réveilla pas. Quand je me levai, il était parti. A son retour, j’étais nue dans la cuisine. Il se lava les mains et pris le tube de pommade pour me masser le dos. Quand il eut fini. Il m’attrapa et me mit assise sur la table, me souleva les jambes et me bouffa la chatte sans autre forme de procès. Je jouis plusieurs fois en hurlant. Il ouvrit son pantalon et sortit sa queue qu’il présenta à l’entrée de ma chatte et la fit entrée de quelques millimètres et me regarda. Je lui souris, il entra un peu plus lorsque son gland fut entré, il me regarda à nouveau. Je souriais toujours et soulevais mon bassin pour venir à la rencontre de son sexe. Il me pénétra entièrement et commença à aller venir en moi. Sa queue était différente de celle de mon copain, elle était noueuse mais elle s’élargissait aussi à la base. Ce qui fait qu’au lieu de se refermer dessus, ma chatte était obligée de s’ouvrir de plus en plus. Il souleva une de mes jambes très hautes et observait son sexe qui entrait et sortait de ma chatte. Avec son pouce, il masturbait mon clito et accélérait ses coups de queue. Je jouis à nouveau en hurlant et il se vida sur ma chatte.

Il se changea et alla voir ma tante à l’hôpital. Quand il revint, il était heureux ma tante était guéri encore quelques examens mais tout allait bien. J’étais toujours nue, de temps en temps, il me pelotait mais sans plus.« Ce soir, tu seras sage, j’ai une surprise pour toi demain. Tu sais ce que j’aime ? C’est voir ta chatte s’ouvrir. Le premier soir où tu as accepté de te caresser devant moi c’était très beau de voir le gode entrer dedans, puis là quand ma queue entrait dedans comme tu es rasée, on voit très bien dans le moindre détail. C’est trop bon. Je ne serai pas si vieux, je te baiserai pendant des heures. Mais malheureusement j’ai 50 ans de plus que toi, ce n’est plus la performance d’avant. Demain matin, tu restes couchée ce sera mieux que tu sois dans ton lit pour la surprise »

Le lendemain, je me levai après son départ, je vaquai à diverses tâches dans la maison et pris mon petit déjeuner. J’allai à la douche et me recouchais. Je trouvais le temps long jusqu’à 11,h. Puis je l’entendis qui rentrait et prenait une douche. Il entra dans ma chambre avec un petit sachet.« Bonjour, j’ai vu que tu avais pris ton déjeuner et une douche, c’est bien comme ça tu es prête pour la surprise. Tu me fais confiance, j’espère ? »« Bien sûr mon oncle. Pourquoi ? »« Et bien, je vais te mettre un bandeau sur les yeux et t’attachait au lit avec des foulards »Je souriais car je trouvais ça amusant, mon copain m’attachait souvent pour me faire l’amour

.Il me mit le bandeau puis il m’attacha les mains aux barreaux du lit. Puis il me caressa les seins, les embrassa, les lécha, me suça les tétons. Sa bouche descendit et s’occupa de ma chatte, sa langue fouillait partout, titillait mon clito mais sans jamais me faire jouir puis remontait à mes seins pour redescendre ensuite. Je n’en pouvais plus, je gémissais. Il me mit un baillon. Et je sentis quelque chose de gros essayer de forcer ma chatte. J’étais sure que ce n’était pas son sexe c’est beaucoup plus gros, ni mon gode qui était encore plus petit que sa queue. Je me crispai.« Détends-toi ma puce, ça va rentrer. »Il se coucha sur moi et pris mes seins à deux mains, qu’il me bouffa littéralement. Ses doigts titillaient mes tétons, les pinçaient, les massaient, tiraient dessus, les pinçaient encore plus fort. Je gémis de plaisir.« J’adore tes petits nichons, tu aimes quand je les maltraite un peu petite cochonne ! Tes tétons sont durs comme du fer»Il les prit entre ses dents et tira dessus. Je criai dans le baillon et me cabrant.Sa bouche descendit en m’embrassant le ventre, sa langue excita à nouveau mon clito mais sans me faire jouir. Je gémissais, me tordais dans mes liens tellement j’avais envie de jouir.Puis ça força à nouveau ma chatte, ça entrait doucement. Ma chatte se dilatait, s’ouvrait de plus en plus. Puis pour faire entrer plus facilement, mon oncle commença les va et vient.

 Chaque fois, ça entrait un peu plus. Je recommençais à gémir.« Tu aimes ça te faire défoncer la chatte par un gros engin ma petite salope, tu es autant ouverte qu’une pute.»La langue vint se poser sur mon clito, et le titilla. Tout s’arrêta, j’entendis mon oncle sortir, j’avais toujours le gros machin dans ma chatte mais il revint très vite. Il enleva mon baillon. J’entendis un drôle de bruit à plusieurs reprises. Puis il recommença à me lécher le clito, sa main attrapa mon sein, qu’elle malaxa sans ménagement puis il pinça mon téton sur lequel il tira. Je me tordais de plaisir, gémissais et je jouis en hurlant de plus belle. Il pinça encore plus violemment mon téton, je me cabrai et je sentis que l’objet entrait encore plus loin dans ma chatte. Mon oncle continuait à me la défonçait, je me tordais encore plus dans mes liens. Puis toujours la chatte défonçait par l’objet, j’entendis de nouveau ce bruit. Je sentis un autre objet forçait mes reins.

 A la taille, je pensais que c’était mon gode qu’il enfonça facilement tant j’étais excitée. Puis il bougea les deux objets en même temps jusqu’à ce que je jouisse à nouveau« J’aurai jamais pensé que tu étais salope à ce point. » Encore ce bruit bizarre. Il sortit les deux objets de mon cul et ma chatte. De nouveau ce bruit.« Tu m’as fait plaisir ma puce, c’était bon de te voir dilatée comme ça, de t’entendre jouir et crier. Je vais te détacher les mains mais tu enlèveras le bandeau uniquement quand je serai sorti et tu regarderas sur ta table de nuit tout ce que j’y ai posé. Je ne veux pas que tu sois fâchée pour les mots que j’ai employé. C’est juste que c’était vraiment trop de te voir comme ça offerte devant mes yeux acceptant tout. »Il m’embrassa tendrement la chatte et sortit

J’enlevai le bandeau et regardai à côté de moi. Il y avait un polaroid ce qui expliquait le bruit et plusieurs photos où on voyait ma chatte dilatai par un gode de la taille d’une batte de base-ball, avant, après, pendant à toutes les étapes. Mes seins pris en photo pendant qu’il tirait sur les tétons. Je regardai le gode qu’il m’avait enfoncé, il était énorme. J’allais le rejoindre dans la cuisine toute nue.« J’espère que tu m’en veux pas. Tu sais j’ai plus de 70 ans mais j’ai ce fantasme, j’adore voir des chattes complètement dilatées. »« Non je ne suis pas fâchée du tout. La première surprise passée, j’ai beaucoup aimé ça. Où as-tu trouvé un gode aussi gros. »« Quand je suis allé emmener ta tante à l’hôpital, je me suis arrêté dans un magasin spécialisé. Je ne pensais pas que je serai autant déprimé à mon retour. Je pensais que l’on pourrait jouer avec mais l’envie n’y était plus à notre arrivée."« C’était bon, mon oncle j’ai adoré »

Il glissa sa main sur ma chatte et la pénétra en titillant le clito puis il me mit assise sur la table et me lécha jusqu’à ce que je jouisse.« Ce qui est bien à ton âge, tu es insatiable et tu vois ta chatte n’est plus dilatée. »Il me mit plusieurs doigts et me branla sans ménagement, j’étais mouillée et tout excitée encore par ce qu’il m’avait fait subir. « Tu sais, j’aime ta tante ce que l’on fait toi et moi n’a rien à voir avec les sentiments que j’ai pour elle, j’ai vraiment eu peur de la perdre. Heureusement que tu étais là pour me changer les idées. »« Je le sais très bien mon oncle, ne t’inquiètes pas pour ça »

 Il partit chercher ma tante. On l’installa à nouveau dans sa chambre et on se fit de nouveau discret pour nos jeux d’exhibition en fin surtout moi. Comme elle se levait quand même tard, le matin à 5 h, je continuai à me promener toute nue et mon oncle me pelotait dans tous les coins. Un matin, je l’ai même suivie entièrement nue dans la grange pour la traite des vaches. J’étais à poil avec de grosses bottes en caoutchouc, c’était à mourir de rire. Je prie tout de suite une douche en rentrant, il me suivit à la salle de bain et me fit jouir avec le jet et me branla avec ses gros doigts. Je me mordais les lèvres pour pas faire de bruit.

Deux jours plus tard, on alla dans la grange pendant que ma tante était occupée avec une amie à elle qui était venue lui tenir compagnie. On monta dans le grenier où il avait tout préparé. Je me retrouvais attacher en croix entre deux poteaux et pris des photos. Il me baillonna et commença à me tripoter les seins sans douceur. Il tira sur mes tétons, les pinça violemment. Je me crispais.« Qu’est-ce que tu as ? Tu aimes ça d’habitude salope ! Tu mouilles ! Tu n’es qu’une chienne qui a le feu au cul ! »Il me gifla les seins.« Regardes moi ça ses nichons qui ballottent » J’ouvrais grands les yeux, je crus qu’il avait disjoncté. Mais il s’agenouilla devant et me lécha la chatte. Sa langue fouillait partout, titilla mon clito. Le plaisir montait mais il ne me laissa pas jouir. Il me mordit les seins et les tétons. Il me doigta la chatte et le cul. Puis il prit le gros gode et commença à me l’enfoncer. Voyant qu’il avait du mal à rentrer, il sortit sa queue et me pénétra.

 Je gémissais c’était bon cette grosse queue qui me défonçait. Puis il se retira et me pénétra avec le gros gode de plus en plus profondément. Quand il fut dedans, il y alla franchement. Je mouillais, gémissais, j’étais au bord du plaisir. Il me titilla le clito et je jouis en hurlant. Il me lécha à nouveau pour me faire jouir une deuxième fois.

Le dimanche qui était mon dernier jour, ma mère venait me chercher en fin de matinée, nous devions manger tous ensemble et repartir dans l’après-midi.Mon oncle entra dans ma chambre à 5 h pour me réveiller, j’étais allongée nue jambes écartées. C’était le bruit de l’appareil photo qui me réveilla. Je le suivis dans la cuisine sans m’habiller. Là, il me souleva, sortit sa queue et me pénétra sans ménagement d’un violent coup de reins. Puis il me baisa en me bouffant les seins puis il sortit de ma chatte et la bouffa aussi. Je jouis et il me pénétra à nouveau. Ses coups de butoir étaient si violents que la table bougeait. Il jouit sur ma chatte. J’allais me nettoyer et je préparais mes bagages pendant qu’il allait à l’étable. 

Ma mère arriva vers 11 h. Je fis une dernière fois le repas et nous mangeâmes. Pendant que je faisais la vaisselle, ma mère et sa sœur allèrent se promener dans le jardin. Je montais finir de me préparer quand mon oncle me rejoignit.« Je veux dire au revoir à tout le monde correctement »Il souriait et souleva mon tee-shirt et mon soutien-gorge. Il embrassa mes seins et lécha mes tétons.« Ils vont me manquer, ne plus les voir sauter dans tous les sens ça va être dur »Puis il se baissa et souleva ma jupe et descendit ma culotte. Il embrassa ma chatte, je sentis sa langue sur mon clito. Je guettais par la fenêtre pour vérifier qu’elles soient toujours dehors. Puis il me fit jouir une dernière fois. Il prit ma valise qu’il descendit. Quand elles rentrèrent, on était assis à table en train de manger une part de gâteau. On se fit tous la bise, mon oncle me prit dans ses bras.« Tu vas me manquer, tu auras été comme notre fille tout au long de cet été » Ma tante était d’accord avec lui. Je repars vers la ville avec ma mère et pleins de souvenirs excitants.
Diffuse en direct !
Regarder son live