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Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je vous ai raconté dans les histoires précédentes comment, depuis le début de mon veuvage, je m’étais aperçu que les veufs attirent les femmes – et surtout celles d’âge mûr – comme le sucre attire les guêpes.J’avais un peu profité de la situation, je l’avoue (bon, je n’avais pas eu trop à les chercher, et c’étaient même elles, parfois qui m’avaient aguiché) et je m’étais offert de belles parties de jambes en l’air avec des dames d’un âge vénérable.
Et en fait, je m’apercevais que plus le temps passait plus j’aimais tringler les vieilles biques, enfiler les vieilles chouettes, empapaouter les vieilles peaux (à condition qu’elles ne l’aient pas directement sur les os.)J’aimais les femmes grasses, et ça de tout temps, mais en plus (et ça, c’était mon côté vicieux, pervers), j’aimais beaucoup, quand elles avaient dépassé 55 ou 60 ans, malgré leur pudeur, leurs complexes, leurs réserves, les faire se foutre à poil devant moi, en pleine lumière, et bien les mater, sous toutes les coutures, malgré leurs protestations, leur envie de se dissimuler.
Et si ce tabou s’avérait, chez l’une d’elles, vraiment absolu alors tant pis, je préférais laisser tomber et m’en aller. J’aimais bien outrager leur pudeur, passer outre leurs pudibonderies, leurs petites réticences, mais si je tombais sur une coincée, je jetais l’éponge. Au-revoir et basta. Pas la peine de perdre mon temps.Faire l’amour dans le noir, sous les draps, les bras en croix et les jambes jointes, je ne voyais pas l’intérêt. Ç’aurait pu être le début d’un jeu choisi, à tout prendre, mais pas une règle imposée par la morale ou par une pruderie obstinée et inébranlable.
J’en étais arrivé à un point tel, que quand j’entendais parler au travail des jeunes secrétaires de leurs mères, je me mettais à penser et à fantasmer sur ces mères que je ne connaissais pas, et non pas sur elles.
    - - -
J’avais peur de finir par être connu dans le quartier, mais outre ma voisine d’en face qui ne perdait pas une occasion de venir me voir à l’improviste - dès que son mari n’était pas à la maison quand elle savait que j’étais là - pour se faire fourrer vite fait bien fait, avant ou après un café, parfois debout devant la table de ma salle à manger (il faut dire que la chienne y avait pris goût, et qu’elle débarquait exprès sans culotte sous sa robe pour que je puisse facilement la trousser et mettre son fessier à l’air, que je n’avais plus qu’à enfiler tandis qu’elle avait écarté largement les cuisses et s’était cambrée pour me faciliter le passage), je ne peux pas me dire que je me faisais harceler sexuellement par les femelles du coin.
Il y avait bien une ou deux voisines qui me faisaient des petits gestes charmants de la main quand elles partaient en voiture et me voyaient, en passant devant chez moi, mais pour moi, ça n’était que le signe d’une exquise politesse que je trouvais touchante.
Pour en revenir à ma voisine d’en face, j’avais accepté son empressement à me rejoindre souvent, comme son intrusion qui était devenue plus fréquente, même si, parfois, j’avais d’autres projets au moment où elle débarquait, car je connaissais maintenant assez la vie pour savoir qu’il faut profiter de tout ce qu’elle vous donne au moment où elle vous le donne.Cependant, tant pour casser un peu le côté rituel qui était en train de s’installer que parce que j’ai un côté dominateur marqué, je voulais continuer à mener le jeu, à lui montrer que c’était moi le maître, et que c’est moi qui faisais et modifiais les règles, au gré de mes caprices.
Et comme mon côté voyeur était ces derniers temps en train de prendre le pas sur les autres – sans jamais éclipser mes besoins de domination – je lui imposais de se plier au code que j’établissais progressivement régissant la façon de débuter nos ébats, et de se conformer à ma mise en scène :
après avoir bu notre café, cérémonie durant laquelle nous avions discuté de quelques banalités, je lui ordonnais soudain :
« - Lève-toi maintenant, et fous-toi à poil ! »

Bien entendu elle ne discutait jamais cet ordre, se levait de sa chaise avec un regard trouble, et s’exécuter ne lui prenait pas beaucoup de temps étant donné qu’elle ne portait rien sous sa robe ; elle se retrouvait à poil avec ses chaussons.
Mais le jeu ne s’arrêtait pas là, je lui ordonnais de marquer une pause ; bien souvent de se retourner et de me présenter son fessier bien plein, d’écarter les cuisses, puis de se pencher lentement, d’attraper ses chevilles. Ainsi elle m’offrait une vue unique sur sa fente et sa petite praline, et je vérifiais que tout était parfaitement propre, et que son sexe était bien lisse, libre de tout poil, comme une vulgaire star du X.
Quand c’était le cas – c’est-à-dire pratiquement toujours – je récompensais l’effort fourni et le soin apporté à sa toilette par une feuille de rose, gâterie qu’elle affectionnait tout particulièrement (surtout quand je lui administrais avec deux doigts glissés dans sa chatte, ce qui la faisait jouir rapidement et très bruyamment.)Je la félicitais et elle me remerciait chaudement de la rendre folle, comme elle me disait à chaque fois.
Quand elle m’avait bien mis en appétit, je l’attrapais par les hanches, je l’attirais à moi et l’empalais sur ma queue raide que j’avais sortie, et je la gratifiais d’une belle chevauchée en levrette.Souvent, quand elle était encore plus excitée, elle me demandait de l’enculer, et, avec difficulté – parce que son petit trou était encore serré, parce que pas suffisamment pratiqué – je m’enfonçais avec délice dans son petit canal, empoignais ses seins mous, et la sodomisais sans hâte, ce qui occasionnait chez elle des soupirs, des cris de plaisir, puis des jurons de plus en plus obscènes, au fur et à mesure qu’elle s’embrochait le fondement sur ma bite raide, et que je lui manœuvrais en cadence ses mamelons tristes mais à fleur de peau.
Ma voisine, à 65 ans, prenait de plus en plus goût à se faire enculer sur mes chaises de salle à manger, et toute échevelée, elle me criait sa gratitude et ses orgasmes démesurés.
Elle venait pour ça, la chienne, et elle n’avait que la rue à traverser.J’espérais que personne dans les maisons voisines ne remarquait ce manège, mais qui aurait pu soupçonner cette retraitée à qui on aurait donné le bon dieu sans confession.
Comme elle n’était jamais déçue de l‘aboutissement de nos parties fines, je me permettais de jouer avec elle, de la faire languir, d’être de plus en plus exigeant dans ce que je lui demandais de faire pour que je daigne la tringler et l‘envoyer au septième ciel.
Je lui demandais par exemple de monter sur ma table de séjour, de se mettre à quatre pattes, et de s’écarter les fesses dans une posture d’attente. Ou bien je lui demandais d’aller prendre une belle carotte dans mon frigo, de l’enduire de beurre, puis de revenir et de se l’enfiler dans le cul, puis de la faire aller et venir lentement tout en restant debout face à moi et de me fixer dans les yeux, et de me décrire ce qu’elle ressentait ; je n’étais jamais déçu !
Parfois je lui disais que j’exigeais de l’entendre en confession avant de commencer à la toucher. Elle devait se mettre à genoux à côté de ma chaise, et la robe relevée sur ses reins, découvrant sa croupe nue, elle devait me raconter ce qu’elle avait rêvé, ce à quoi elle avait pensé dans son lit le soir, ce qu’elle avait espéré faire avec moi dans l’attente de ce jour. Elle me racontait avec force détails et une grande excitation tous ses fantasmes, tout ce qu’elle avait imaginé.Je lui ordonnais de passer une main entre ses cuisses et de se masturber tout en me racontant ces turpitudes.
Ça me faisait un effet bœuf de voir cette sexagénaire se branler lentement comme une gamine. De temps en temps je lui tripotais les fesses et elle soupirait profondément en fermant les yeux.Je lui ordonnais de garder les yeux ouverts.A la fin je l’absolvais de tous ses péchés, mais en pénitence, elle devait ouvrir la bouche et prendre ma queue raide et dure bien au fond de sa gueule : elle suçait divinement bien, qu’est-ce qu’elle s’appliquait, la petite garce !
Elle aimait bien entendu être fessée, à plat ventre et à poil en travers de mes genoux et sur mon canapé, ou à genoux sur ce dernier. Elle savait que je ne fessais pas très fort, que je ne voulais pas lui laisser de marques visibles, et je la touchais, la pelotais entre deux, sa chatte bavait, je lui branlais les seins, lui roulais des pelles, mais les claques on les entendait bien, dans mon salon !
Ça se terminait bien évidemment pas une vigoureuse levrette, mais je lui faisais bien comprendre qu’il ne fallait pas qu’elle abuse, qu’il ne fallait pas qu’elle fasse semblant d’être une vilaine fille, qu’elle ne m’invente pas des fautes morales ou qu’elle ne feigne pas d’être désobligeante, désagréable ou incorrecte pour que je lui donne ce que je n’avais pas envie de lui donner.
Bien que peu diserte sur sa vie intime, elle m’avait lâché un jour, tandis que nous partagions notre café, que son mari ne la possédait plus que très rarement parce qu’il ne la trouvait plus franchement désirable. Ça m’avait provoqué un petit pincement au cœur, mais je ne lui en avais rien dit.Bien entendu qu’à son âge son corps commençait à être un peu avachi, sous l’effet de l’outrage des ans, mais son enthousiasme et son côté un peu salope compensaient largement le déclin de son sex appeal. Les situations et les jeux de rôles avaient pour moi plus d’attrait sexuel que la beauté et la jeunesse des corps.

Pour résumer, Marcia, comme ma voisine d’en face, m’avaient redonné goût à la vie, et y avaient même apporté du piquant. Ces petites parties de baise étaient désormais le sel et le piment de ma vie, et ma vie sexuelle était des plus riches.Je n’aurais jamais cru avant de les rencontrer qu’il y avait des femmes aussi vicieuses et aussi affamées, et je n’aurais jamais pensé trouver un jour des femmes de cet âge qui mettent autant mes sens en émoi, et réveillent pareillement mes fantasmes de domination !
Elles m’avaient non seulement redonné la joie et le plaisir de vivre, mais avaient aussi boosté ma libido, et m’avaient décontracté dans mes rapports avec les femmes.
Sans être un séducteur, je m’affichais serein et décomplexé, et je m’étonnais de plus en plus de mon naturel pour draguer les femelles, celles de mon âge et d’un âge plus avancé.
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