Julien est un retraité de la petite soixantaine, ancien conducteur de métro. C’est un homme de taille moyenne, aux cheveux poivre et sel, de plus en plus sel. Souvent trop longs et trop sales. Un look négligé à base de jeans mals coupés et de t-shirts tachés et distendus à la gloire de groupes de rocks bruyants. Il s’imagine avoir une dégaine d’écrivain alcoolique, mais il n’en a ni le talent, ni l’aura.Il passe l’essentiel de ses journées sur internet, à s’inventer des vies sur des chats de cul. Une fois par an, il part en vacances quelques semaines à l’autre bout du monde pour se vider les couilles dans des putes exotiques.Ce mardi matin de juin, à court de clopes, il doit sortir de chez lui plus tôt que d’habitude pour aller se ravitailler au PMU du coin. Sur le chemin du retour, son regard est attiré par Jessica.Jessica, jeune femme de 18 ans, n’a rien d’une intellectuelle, ni d’une femme élégante ou raffinée. Brune aux cheveux longs, 1m70, lèvres boursouflées, maquillage outrancier, legging et petit haut croppé qui moule une poitrine un peu plus grosse que la moyenne, elle a toutes les apparences de la pétasse de base. De retour de la crèche où elle a déposé son bébé, elle pousse une poussette vide en regardant sur son portable les comptes Instagram des influenceurs et autres vedettes de téléréalité qu’elle idolâtre.Julien la voit arriver vers lui. Il remarque que son legging lui rentre un peu dans la fente. "Cette connasse a dû se faire engrosser quand elle était encore ado" se dit-il. Il la croise. Elle ne le calcule pas. Il se retourne sur son cul. Un peu gras et gélatineux, on ne peut pas dire si elle porte un string ou si elle ne porte rien du tout, mais c’est clairement l’un ou l’autre. Julien rebrousse chemin et commence à la suivre.Les yeux rivés sur son fion, il regarde son gros cul bouger à chacun de ses pas. Il observe ses bourrelets entre sa taille et son débardeur. Il se rince l’oeil comme un vieux vicieux,la main dans la poche a se peloter sa vieille pine rabougrie et molle, jusqu’à ce qu’elle arrive a son immeuble.Alors qu’il passe à sa hauteur, pendant qu’elle cherche ses clés, il susurre "salope!" entre ses dents. Elle se retourne et le toise avec mépris. Elle est habituée à se faire injurier dans la rue, mais d’ordinaire c’est plutôt par des arabes qu’elle envoie chier sans ménagements.Ça fait quelques jours qu’elle ne s’est pas faite sauter, elle est un peu en manque et pas très regardante sur la qualité. "Dis donc vieille merde... T’es même pas foutu d’avoir la trique je suis sûre, vu ta gueule de poivrot impuissant""Pouffiasse! Laisse moi rentrer avec toi et tu vas voir c’que je vais te mettre!"Elle laisse échapper un petit rire narquois."Viens me montrer ça qu’on rigole!"Il la suit dans le local à poussettes de l’immeuble, ouvre sa ceinture, baisse son futal et colle sa petite bite brune et flasque contre le cul généreux de Jess’.Péniblement, sa pine durcit un peu."Suce-moi la bite grognasse!"Elle pouffe de rire:"Grognasse? Vas-y tu parles comme du temps de Napoléon papy! Allez tu fais trop tiep’"Elle s’accroupit par terre, en appuie sur ses deux pieds, cuisses ouvertes. "Allez fais voir ta teub!"Julien approche sa demi-molle de Jess’, qui tire sur son prépuce pour la décalotter. Une odeur d’urinoir vient lui chatouiller les narines."Putain ça sent la marée ! Les douches, tu connais?""Ferme ta grande gueule morue!" lui répond-t-il en l’agrippant par les oreilles et en tirant dessus pour écraser sa bite contre son visage. Elle le repousse un peu, et ouvre la bouche en grand en se pinçant le nez. Julien jette un coup d’oeil à ses plombages avant d’enfourner sa bite entièrement. Aussitôt il sent la langue de la jeune femme s’activer autours de son membre. "Putain d’salope, t’aimes ça bouffer d’la queue!"Il bouge un peu ses hanches pour accentuer les sensations. Jessica le sent grossir un peu dans sa bouche. Elle arrête de le pomper, baisse son legging au niveau des genoux et se met à 4 pattes, son gros cul tourné vers Julien. Comme il l’avait pressenti elle ne s’est pas mise de culotte en se levant le matin. Peut-être même a-t-elle dormi avec ce legging, une trace marron au niveau de l’entrejambe lui laisse penser qu’elle le porte depuis un moment sans s’être changée."J’espère que tu bandes assez, on va pas y passer la journée !"Julien lui écarte un peu les fesses d’une main, se branlouillant la queue de l’autre. Il cale son gland contre le vagin de Jess et rentre sa bite d’un mouvement du bassin brutal. "JE VAIS TE DEGLINGUER GROSSE PUTE!!!" lui hurle-t-il en allant et venant dans sa chatte aussi vite qu’il peut.Elle pouffe encore de rire "nan sans déconner t’es dedans là ? Vas y j’sens rien gros bouffon !"Il lui claque me cul en l’injuriant "SALOPE! PUTE! CHIENNASSE DE MERDE!!!"Il éjacule en elle dans un grognement bestial "HAAAaan! HAAAaaan! Haaan !"Elle se dégage et se relève aussitôt "putain j’y crois pas à ce gros batard! Vas y casse-toi enculé de ta race! Mange tes morts!"Elle remonte son legging et se barre, non sans avoir craché en direction de Julien. Elle remonte à son appartement, le sperme commençant déjà à couler de son con. Elle sonne à la porte de chez elle pour que sa mère vienne lui ouvrir. Pendant ce temps, au rez-de-chaussée, Julien pisse copieusement sur la poussette de Jessica en ricanant.
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
