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Le conseil de famille

Chapitre 1

Hétéro
Je suis follement amoureuse d’Igor. C’est un jeune homme érudit, d’une incroyable beauté, et ce qui ne gâche rien, se trouve être l’héritier d’une fortune colossale.
Seulement... Il y a le conseil de famille !
Sans son aval pour notre relation, nous ne sommes que des amoureux transis, constamment sous surveillance, et seuls quelques baisers nous sont permis.
Voilà maintenant deux ans que je vis quasiment recluse dans le magnifique château. Bien sûr, je suis libre de mes mouvements, mais je ne peux quitter, seule, les limites du domaine. Le conseil de famille a chargé une préceptrice de m’instruire des us et coutumes et surtout de parfaire mes connaissances générales, afin que je puisse discourir avec aisance lors des nombreuses réceptions. Si je n’aimais pas tant Igor... je me serais enfuie. Une fois, une seule, je me suis demandé ce qui me retenait vraiment. Lui ou son immense fortune ? Car lorsque nous aurons obtenu l’aval du conseil, je deviendrai la princesse Ivanovska... Riche. Très riche !Mais il faut l’aval du conseil ! Ce matin, sans s’annoncer, ma préceptrice fit irruption dans ma chambre.
— Vous allez être présentée au conseil en fin de matinée, m’informa-t-elle sans préambule.
Je n’eus pas trop le temps de réfléchir, car peu après, les servantes m’entraînèrent pour ma toilette. Je fus confiée à la coiffeuse... à la manucure... à l’esthéticienne. Mon angoisse croissait au fil des heures.A onze heures, je fus revêtue d’une longue tunique blanche puis je suivis ma préceptrice dans les sous-sols du château. Elle s’arrêta devant une porte capitonnée et sonna. Après quelques minutes, un voyant vert s’alluma et elle entra. Il me fallut attendre encore au moins dix minutes, les tripes nouées.Ma préceptrice ressortit enfin.
— Je leur ai assuré que vous étiez prête, alors ne me faites pas mentir. — Non madame.— Une dernière chose. Quoi qu’il vous soit demandé, appliquez-vous. Un seul véto, et vous ne serez jamais la princesse Ivanovska. Un seul ! Comprenez-vous ?— Oui, madame.
Elle se retourna et attendit la lumière verte pour me pousser devant elle. Je me retrouvai alors dans une petite pièce tendue de velours rouge. Quatre hommes et deux femmes étaient assis dans des fauteuils de même texture. Aucun d’entre eux ne me sembla en dessous de la soixantaine. Ma préceptrice me poussa au centre de la pièce sur un damier en carrelage qui se mit aussitôt à tourner très lentement tandis qu’un puissant projecteur m’éclaboussait de sa lumière jaune. Mon cœur battait la chamade. Lorsque le plateau eut accompli un tour complet, il s’arrêta. Ma préceptrice s’approcha et défit les pressions de ma tunique qui tomba au sol. Le damier se remit en mouvement et je tournai, entièrement nue devant ces vieillards. Après deux tours, le plateau s’arrêta puis je vis une des femmes se lever. Elle attrapa mes seins à pleines mains et les malaxa avant de retourner s’asseoir et d’échanger à voix basse avec les autres membres du conseil. J’entendis alors la voix de ma préceptrice s’élever :

— Voyez, elle a des mamelles pleines et fermes qui pourront nourrir de nombreux enfants. Si vos seigneuries veulent bien juger par elles-mêmes.
Après quelques minutes, un homme, stabilisé par une canne s’approcha. Il me pelota longuement, joua avec mes tétons, puis retourna s’asseoir en hochant la tête. Tous se succédèrent, puis, revenus à leur place, ils basculèrent un interrupteur fixé sur l’accoudoir et sept lumières vertes s’allumèrent. Ma préceptrice me glissa à l’oreille :
— Bon, on peut continuer.
Elle poussa jusqu’à moi un fauteuil d’examen gynécologique.
— Installez-vous, les pieds dans les étriers, souffla-t-elle.
Je me demandai à quoi rimait tout ceci et j’hésitai.
— Obéissez, vous ne devez jamais hésiter.
Je m’installai, et me trouvai bien vite les jambes écartées. Ma préceptrice dirigea un spot sur mon entrejambe avant d’ordonner :
— Masturbez-vous doucement.
Soudain, une voix de femme s’éleva :
— Mettez-lui le casque. Nous devons être sûrs qu’elle ne simule pas.
Ma préceptrice m’expliqua en l’installant.
— Ils auront la courbe de votre plaisir sur leur écran de contrôle. Pas de tricherie possible.
Je commençai à me caresser très lentement, et mon clitoris, très développé, ne tarda pas à se gorger de sang. La situation m’excitait terriblement. Je mouillais comme une folle à m’exhiber devant ces vieillards. Je jouis deux fois, puis ma préceptrice me libéra et repoussa le fauteuil à sa place. Après quelques minutes, sept voyants verts s’allumèrent. Elle approuva :
— On peut passer à l’étape suivante.
Elle me prit le bras et m’attira vers les membres du conseil. Puis elle murmura :
— Vous devez tous les sucer. Complètement.
J’eus un haut-le-cœur et ma préceptrice tenta de masquer mon hésitation.
— Ne réfléchissez pas, allez-y !
Je m’approchai de l’homme à la canne, m’accroupis devant lui, et écartai le pan de sa toge. Il bandait. Je commençai à le pomper vigoureusement lorsque ma préceptrice me glissa à l’oreille :
— N’allez pas trop vite, il doit avoir un maximum de plaisir.
Sa queue grossit encore dans ma bouche où je le laissai décharger... avant de passer au suivant qui était pourvu d’un sexe de petite taille, mais incroyablement dur. J’avais l’impression de glisser mes lèvres autour d’un pieu de marbre. Il éjacula très vite dans un grognement. La suivante avait une chatte aux lèvres épaisses. Je n’en avais encore jamais léché, mais je me lançai. Et cela me plut. Malgré mon inexpérience, je parvins à la faire jouir. L’homme qui suivit avait une bite aux dimensions impressionnantes, mais malgré tous mes efforts, je ne pus le faire bander correctement, ce qui m’inquiéta. Il posa la main sur ma tête.
— Ne vous en faites pas mon enfant, sucez-moi encore un peu et ça ira. La seconde femme... passa son tour et le dernier homme, celui qui me paraissait le plus âgé montra une vigueur inattendue. J’avais à peine refermé les lèvres sur son gland qu’il me bloqua la tête pour me baiser vigoureusement. J’eus quelques difficultés à avaler son abondante semence. Le silence qui suivit m’inquiéta, mais bientôt toutes les lampes vertes s’allumèrent. Le conseil se leva pour venir prendre place autour d’une table sur laquelle je fus allongée sur le dos. Ma préceptrice bascula un interrupteur et un piston, terminé par un énorme phallus glissa vers moi. Elle précisa :— Le prince est pourvu d’un très gros appendice et le conseil veut être certain que vous pourrez l’accueillir sans difficulté. Ce phallus a été moulé sur son sexe.
Sur ces paroles, elle positionna l’engin sur ma vulve et appuya sur « on ». Piloté par l’ordinateur, le piston s’enfonça... se retira... varia profondeur et vitesse. J’avais le ventre en feu et je me trémoussai comme une folle. Je criai... je hurlai...
— Assez... assez !
C’est seulement à ce moment-là que je m’aperçus, en voulant les bouger que j’avais les poignets et les chevilles bloqués. Je murmurai encore :
— Assez, assez, je n’en peux plus !
Mais les membres du conseil attendirent mon quatrième orgasme pour faire signe à ma préceptrice.
— C’est parfait, le prince va être ravi. Déclara-t-elle. Il ne vous reste plus qu’une épreuve. La même chose, mais dans les fesses.
Elle devança mes protestations. Je ne voulais pas de cet engin démesuré dans mes fesses.
— Ne craquez pas maintenant. Ça serait trop bête et cette épreuve est incontournable. Le conseil veut être certain que vous pourrez recevoir le prince dans tous vos orifices. Allez, mettez-vous à quatre pattes.
J’obéis et ma préceptrice approcha lentement le piston. Soudain, une voix se fit entendre.
— Attendez. Je réclame le privilège de remplacer la machine.
Je reconnus aussitôt la voix. C’était l’homme à la grosse bite qui bandait mou. Pourtant, lorsqu’il laissa tomber sa toge au sol, son sexe était déployé. Il me parut plus volumineux encore que celui du piston. Je me raidis lorsqu’il se positionna.
— Détendez-vous ou ça va faire encore plus mal, me prévint ma préceptrice en écartant mes fesses.
Je sentis l’énorme gland forcer le passage de mon anneau puis s’enfoncer. Je poussai un cri de douleur qui déclencha la fureur de l’homme qui se mit à me pilonner bestialement. Je surfais bientôt entre douleur et plaisir. Puis la douleur s’estompa et je me délectais de cette énorme bite qui glissait sauvagement dans mon étroit fourreau. L’homme intensifia encore ses coups de boutoir et je perdis la conscience du temps... et du lieu. Je jouis encore une fois, puis je sentis un puissant jet se répandre dans mes fesses et je m’évanouis.Une heure plus tard, je m’éveillai dans mon lit. Ma préceptrice me souriait.
— Le prince a eu l’autorisation de lancer les préparatifs du mariage, déclara-t-elle, tout heureuse. Puis elle baissa la voix pour ajouter : vous devez savoir encore une chose importante. Désormais vous êtes la propriété sexuelle des membres du conseil et comme le protocole l’exige, vous êtes dans l’obligation de répondre à toutes leurs demandes. Quelles qu’elles soient.
Elle me prit le menton pour répéter :
— Quelles qu’elles soient. Vous comprenez ce que ça veut dire ?
Je baissai les yeux pour répondre :
— Oui, madame.
Puis soudain d’un geste violent, elle rabattit les draps et plongea la main entre mes cuisses en murmurant :
— Tu m’as excitée tout à l’heure petite salope. Je veux t’entendre encore jouir. Sur ces mots, elle plongea la tête et d’une langue habile lécha goulûment ma chatte qui se mit à couler abondamment. Alors que j’étais proche de l’orgasme, elle m’abandonna, se mit nue, puis s’allongea sur moi, plaquant sa chatte imberbe sur ma bouche, et reprenant possession de la mienne. Je ne me fis pas prier pour lui donner satisfaction et je l’entendis bientôt hurler. J’intensifiai encore les succions sur son clito lorsqu’elle sauta du lit.— Mets-toi à quatre pattes.
J’obéis aussitôt et je la vis se ceindre d’une large lanière supportant un double gode. Elle introduisit le premier dans sa chatte puis s’enfonça d’un coup dans mes fesses. Je hurlai et elle me claqua mes globes rebondis.
— Tais-toi et profite, j’ai bien vu tout à l’heure que tu aimes te faire enculer petite cochonne.
J’avais le cul encore en feu, pourtant ce ne fut pas la douleur qui s’imposa, mais le plaisir et je ne fus pas longue à jouir. Ma préceptrice se retira puis me caressa les fesses.
— Le prince a de la chance, tu es vraiment une grosse salope.
Elle m’embrassa sur les lèvres et sortit.
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