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Constance et ses parents

Chapitre 2

Mere et fille

Voyeur / Exhibition
7h15Constance rentre dans sa chambre. Pour le dire crûment, elle a une grosse envie de bite. Mais elle va devoir faire sans. Elle repense à son anniversaire, il y a deux mois. Ses parents avaient trouvé marrant de lui offrir un vibromasseur.... Elle avait trouvé ca super lourdingue, et elle ne s’était pas gênée pour leur dire! Elle ne l’avait même pas déballé et l’avait foutu dans son vieux coffre a jouets, "dans sextoy il y a toy" avait elle pensé. Elle ne l’avait pas regardé depuis. Elle ouvre le coffre, pour y jeter un petit coup d’oeil. Il n’a pas bougé, toujours sous plastique, posé sur les vieilles Barbies dont elle n’a pas encore eu le coeur de se débarrasser. "Vibe Therapy Mini P". Le packaging est plutôt sobre, presque élégant pour un objet de cette nature... Elle ouvre la boîte et découpe le blister avec ses vieux ciseaux à bouts ronds pour en sortir le vibromasseur. Elle le prend en main. Il n’est pas trop gros, pas trop effrayant, d’une taille voisine de celle de la bite d’Antonin. Il est en silicone, d’une couleur violette un peu pastel. Il a une forme plutôt abstraite même si un léger renflement à son extrémité rappelle un peu la forme d’un gland. Elle est assez fébrile, impatiente. Elle a besoin d’une pile. Elle regarde autours d’elle, ouvre la télécommande de sa mini chaîne. Ouf, c’est le bon modèle! Elle la met en place, referme le compartiment de la pile et appuie sur le bouton. La vibration ressemble un peu à celle du rasoir éléctrique de son père. Pas très sexy, pense t elle un peu dépitée. Elle se recouche néanmoins vibro à la main. Sous la couette, le bruit de l’engin est un peu moins perceptible. Elle le met dans son pyjama, contre son pubis. Elle n’a pas la liberté de mouvement qu’elle souhaiterait. Elle enlève le pantalon de pyjama, place le bout du vibro contre son clitoris, et appuie sur le bouton. La sensation est violente, trop violente. Elle a un mouvement de recul et l’éteint. Elle préfère s’occuper de son clito a la main. Elle pose le majeur de sa main gauche contre son clitoris, et appuie le bout du vibro contre son vagin, sans l’allumer. Elle fait entrer et sortir le bout du vibro, juste les premiers centimètres. Elle pense a la bite d’Antonin. Elle aime quand il fait ca pour l’exciter, entrer et sortir son gland sans véritablement s’enfoncer en elle, comme un massage intime et obscene.Tout en continuant les mouvements de vas et viens, elle exerce une légère pression du doigt sur son clito. Elle bouge très légèrement la pulpe de son majeur sur son clitoris, et enfonce un peu plus loin le sextoy., Elle le rallume. La sensation est plus agréable. Elle le ressort, il s’est lubrifié au contact de sa mouille et elle le fait glisser vers son clito. Putain elle sent qu’elle commence à jouir! Elle s’attendait pas à ce que ca vienne aussi vite! Elle se branle le clito a la main, fort, et prend le vibro par l’arrière, du bout des doigts, pour se l’enfoncer presque entièrement dans la chatte. Elle donne des petits coups de bassins vers le haut, comme si elle se faisait baiser, en poussant des petits gémissements, avant de se cambrer violemment, les fesses au dessus du matelas, son corps ne reposant que par la nuque et par les pieds.Elle retombe sur le matelas, sors le jouet de son vagin, se recroqueville... avant de réaliser qu’elle est sérieusement a la bourre!Elle saute hors du lit, enfile une culotte, un soutif, une petite robe, ses Kickers, prends son sac et file en cours. Son père l’attend dans la voiture, il remarque aussitôt ses joues roses, qui lui rappellent celles de sa femme quand elle vient d’avoir un orgasme particulièrement intense.— "T’as des couleurs dis donc!"Elle détourne le regard,— "J’ai couru!"Il démarre.
9hSoazig, la mère de Constance, rentre dans la chambre de sa fille pour passer un coup d’aspirateur. On voit que Constance est partie précipitamment: elle a laissé son lit défait, son pyjama traîne par terre, son gode est sur sa table de nuit... son gode? Celui qu’ils lui ont offert pour ses 18 ans et auquel elle n’a pas touché depuis? Armelle est un peu étonnée. Elle voit la télécommande ouverte sur le bureau, et l’emballage découpé dans la corbeille a papier. Elle va chercher son téléphone, prend une photo de la table de nuit de sa fille avec le vibro posé dessus et l’envoie à son mari. "Je crois qu’elle a enfin essayé!" lui écrit elle.La réponse du papa ne tarde pas "ah tu vas pouvoir le tester aussi!"Elle sourit. C’est vrai que l’idée lui a traversé l’esprit. Quand ils l’ont acheté, son mari l’a laissée choisir, et elle a pris un modèle qu’elle pensait adapté a une jeune fille, mais qui lui plaisait aussi à elle: petit, sobre, évoquant un peu une bite dans ses proportions mais sans le côté vulgaire des godes hyperréalistes.
Soazig est une femme de la quarantaine, très brune, la peau très claire, assez grande, la silhouette fine. Elle a un look simple et décontracté: souvent en jean et t shirt, une paire de Converse ou d’Adidas aux pieds. Elle n’a pas besoin d’en rajouter, son élégance naturelle suffit à la rendre séduisante, et elle le sait. Elle est graphiste free lance, ses revenus sont un peu irrégulier et son mode de vie un peu trop bohème aux yeux de la famille bourgeoise dont elle est issue, mais ca lui donne le luxe de pouvoir travailler de chez elle. De toutes façons, son mari gagne assez pour faire vivre la famille, son job à elle c’est avant tout pour s’occuper et garder un pied dans la vie active.
Le vibro à la main, elle hésite... Ca fait longtemps qu’elle n’a pas profité de ces longs moments de solitude dans la maison pour se faire un petit plaisir. Elle desserre sa ceinture, déboutonne son jean, hésite encore un instant et le fait glisser à ses pieds, suivi de son petit top en lin comptoir des cotonniers et de son ensemble tanga/soutien gorge Ysé en voile transparent. Elle plie soigneusement ses affaires et les pose sur le bureau de Constance. Contrairement à ce que son look de maman cool pourrait laisser penser, c’est une femme très ordonnée, presque maniaque.
Elle regarde son reflet dans le miroir de la penderie, observe ses seins, son ventre, son cul... Elle fait très attention a sa ligne, depuis toujours. Elle a longtemps trouvé son 90B un peu juste, mais avec le temps elle a appris à l’apprécier. L’idée d’avoir un jour un gros cul la révulse, et elle fait tout ce qu’il faut pour que ca n’arrive pas: diététique, sport... et ca marche! Son pubis, soigneusement taillé, dessine un rectangle étroit. Les poils courts laissent entrevoir des lèvres longues et fines. Elle s’allonge sur le lit de sa fille, au dessus des draps. Elle arrange un peu l’oreiller pour être à l’aise, le buste légèrement incliné, et prend le vibro en main. Elle a déja utilisé ce genre d’objets, aussi n’ a-t-elle n’a pas la même appréhension teintée de maladresse qu’a pu avoir Constance un peu plus tôt.Faute de lubrifiant, elle l’approche de sa bouche. "J’espère que Constance l’a un peu rincé" pense-t-elle sans trop y croire. Peu lui importe au fond, rien chez sa fille adorée ne peut la dégoutter, et certainement pas ses sécrétions vaginales qui ont de toutes façons eu largement le temps de sécher . Elle lèche le bout du vibro d’une langue la plus baveuse possible et crache un peu sur le dessus pour bien l’humidifier.Elle appuie plusieurs fois sur le bouton, jusqu’à trouver le rythme qui lui convient. Elle n’aime pas trop les vibrations continues, elle préfère les rythmes un peu syncopées. Elle le pose contre son clito, qu’elle effleure à peine. Elle aime que la pression soit très légère, au début. Elle prend son téléphone pour faire un selfie pour son mari, elle sait qu’il appréciera. Elle tend le bras, s’assure que le sextoy est bien visible, fait un large sourire et appuie sur le bouton volume pour prendre la photo, qu’elle envoie immédiatement. Elle repose le téléphone, avec la satisfaction de l’épouse qui a accompli son devoir, et s’autorise à passer aux choses sérieuses.
De sa main libre, alors que les vibrations stimulent son clito, Soazig caresse longuement ses seins. Du bout des doigts tout d’abord, subtilement, la main légère comme une plume. Dans un premier temps, elle évite les tétons. Elle caresse le galbe de ses seins, en effleure les contours. Ses doigts décrivent ensuite des cercles qui suivent ses aréoles, dont elle perçoit la texture si particulière, avant de se poser sur ses tétons bien fermes, ses gros tétons de mère de famille... Elle appuie la pointe de ses doigts sur ses tétons, les fait bouger, presque à les tordre, puis ouvre sa main pour se saisir de son sein dans son entièreté, le pétrir, le malaxer.... elle passe d’un sein à l’autre, tout en commençant à bouger son bassin, à le faire aller vers le vibro comme si il était à la recherche d’une bite. Elle fait glisser le vibro vers l’intérieur de sa vulve et se l’enfonce tout entier, en appuyant avec sur les parois de son vagin. Elle le ressort, tout glissant, et le plaque sur sa chatte, la main appuyée sur la longueur du vibro pour le maintenir et en sentir les vibrations à la fois sur son clito et sur ses lèvres. Sa main gauche délaisse ses seins et se glisse sous ses fesses; elle redresse son majeur et l’enfonce en elle aussi profond qu’elle le peut. Elle le laisse en elle et le tourne, le plie et le déplie dans sa chatte en même temps qu’elle maintient le vibro en place de sa main droite. Elle bouge son cul de petits mouvements secs et rapprochés, comme si elle cherchait à l’enfoncer dans le matelas. Elle sent bien son doigt. Elle perd totalement pied. Elle ouvre la bouche, des cris en sortent, aussi sonores que les gémissements de sa fille étaient discrets. Elle mouille abondamment, elle va laisser des traces sur les draps mais elle s’en fout. Son corps se tend, son vagin se contracte violemment, elle sent les muscles de son sexe écraser son doigt. Elle enfonce une nouvelle fois le toy et le laisse vibrer en elle, le long de son majeur. Seuls quelques centimètres dépassent de son vagin. Elle le lâche, et de la main ainsi libérée elle se frotte le clitoris en gémissant. Peu à peu, les spasmes se calment, les mouvements de ses hanches ralentissent, ainsi que ceux de ses doigts sur son clito. Elle éteint le vibro, le ressort de sa chatte en dans un soupir et le repose sur la table de nuit. 
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