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Contact coquin

Chapitre 1

Erotique
C’était un de ces nombreux soirs en début d’été, l’un de ceux ou il fait juste trop chaud pour dormir... Trop chaud pour rester allongé trop longtemps dans une position... Trop chaud pour avoir l’esprit calme et reposé... Ça faisait maintenant 3 heures que je pensais à vraiment tout et n’importe quoi, à commencer par mes études d’allemand, en passant par mes projets d’avenir, en tout domaine, autant Professionnel qu’émotionnel, ou plutôt privé, pour finalement en arriver à penser au sexe.
D’habitude, ça ne me déplaît pas tant que ça de penser au sexe, je dirais même que j’aime y penser, parfois plusieurs fois par jour, spécialement les jours ou j’ai une envie...
Je m’adonne alors à la branlette en surfant sur le web, furetant à droite à gauche à la recherche de ce qui me fera finalement éjaculer. Enfin, d’habitude quoi. Mais là, rien à faire...
J’avais passé le temps libre de ma journée à jouer à un de ces MMO, surfer sur divers forums et discuter avec diverses personnes que je connaissais soit personnellement, soit de manière furtive, en vrai ou par le biais du net, interrompu de temps en temps par des pensées excitantes sans pour autant en rapport avec ce que je faisais, et donc je m’étais déjà masturbé 3 fois aujourd’hui... J’avais du passer en gros environ 3 heures et demi à ne rien faire d’autre que de m’occuper de moi...
Lorsque mes envies me prennent, je ne compte pas vraiment en général... Pas si je suis tranquille chez moi, seul, et que je n’ai rien de prévu de la journée. En temps normal donc, rien ne m’aurait dérangé en cette 4e fois, mais ce soir là, je n’avais pas vraiment l’esprit à l’ouvrage... L’envie m’avait pris, et j’étais bien en train de me satisfaire, mais je ne ressentais rien de plus que le geste mécanique, ni plaisir, ni véritable envie de conclure le rituel, alors que je me travaillais tout de même depuis trois bons quarts d’heure... J’avais machinalement regardé sur l’heure, comme je le fais toujours quand je ne trouve pas le sommeil, et estimé un peu le temps passé.
J’ai alors décidé de laisser tomber, suis retourné à des pensées moins en rapport avec le sexe et plus... Réalistes... labellées « normales », comme j’aime à le dire... J’ai finalement trouvé le sommeil vers 4 heures du matin, entre deux pensées concernant la politique et mon dîner de demain soir. Le réveil le lendemain fut cependant assez désagréable. Certes, je n’avais pas cours ce jour là, mais je dois dire que je n’avais pas grande envie de me lever tout de même, surtout en voyant que j’avais raté toute la matinée de cette journée, ce qui me fit enrager en pensant à tout ce que j’aurais pu faire. Mais transpirant comme j’étais, je me suis forcé à me diriger vers la salle de bain pour ne plus me sentir si sale.
C’était agréable de ressortir propre, mais c’était désagréable d’avoir fini de se réveiller, parce que les idées du soir précédent m’assaillirent de nouveau. Les dissertations à rendre, les recherches à faire sur cet auteur allemand, les traductions, les révisions pour les partiels... Je savais que c’était du travail facile pour la plupart, spécialement pour les traductions, étant donné que je suis bilingue, mais en soit, ce jour là, j’avais juste envie de, pour ainsi dire, sauter ce jour, me recoucher juste pour me réveiller au jour suivant, mais l’idée de gâcher ce qui restait de celui-ci et de finalement en être au même point le lendemain m’en dissuada.
Et le fait de ne pas avoir « terminé » la veille me travaillait aussi encore... Merde, c’était pas la première fois que ça m’arrivait, mais ça me faisait toujours autant rager d’avoir une telle expérience. Je finissais par me sortir ça de l’esprit en me disant qu’au moins, c’était arrivé en solitaire, pas avec une fille, alors c’était moins grave. Tout ça me mit finalement l’idée en tête qu’il serait peut-être temps pour moi de de nouveau me trouver une copine.
Donc, avec ça de « réglé », je me suis mis à surfer à droite à gauche sur les divers forums que je fréquente habituellement. Rien de spécial, les sujets habituels, les disputes habituelles, les blagues habituelles, bref, la routine d’un lundi. Je poste un message pour la forme, ou comme je le dis parfois, pour le coté « social », même si il ne s’agit que de trois mots, et je fais une dernière fois le tour, voir si on me répond, ou si on réagit juste à mes messages, histoire de démarrer une conversation, sait-on jamais, avec, dans le cas contraire, l’intention de me déconnecter et d’aller faire une promenade avant d’aller revoir ces même forums le soir pour prendre les nouvelles de la journée.
Un de mes messages sur l’un des forums allemands à suscité une réponse, de la part d’un utilisateur que je connais de réputation, et avec qui j’aime à déconner, ce qui se résume à parler de sexe de manière tellement cachée que c’en devient un jeu, et le premier qui perd est celui qui avoue être émoustillé... Je réponds pour la forme, et parce que je veux pas être impoli envers quelqu’un que j’apprécie, en répliquant que je partais faire un tour.
Pendant la marche, j’avais mis mes écouteurs sur les oreilles, pour m’isoler du bruit alentour. Les bons vieux sons Hard Rock me faisaient du bien, et j’ai passé 4 heures de marche en alternant les réflexions sur des sujets divers d’un point de vue joyeux et le « chant » de quelques grands classiques Rock.
En rentrant, je me suis remis devant le PC pour refaire ma ronde des forums. En tombant sur le message de l’utilisateur de tout à l’heure, je me suis immédiatement remis à notre jeu habituel. Très rapidement nous avons entamé le sujet d’un point de vue artistique technique... On s’attardait pas mal sur la mine de crayon à papier. On savait pertinemment de quoi on parlait, le reste du Forum le savait aussi, et les blagues diverses ont commencées à fuser. Je sais que du haut de mes 25 ans, je devrais avoir un comportement un peu plus mature, mais je ne pouvais vraiment pas m’empêcher de rire et de surenchérir aux blagues des autres pendant que je continuais parallèlement le jeu avec cet utilisateur.
Je savais que c’était une femme à l’autre bout, mais je pratiquais encore la règle de base des utilisateurs avertis d’internet: « il n’y à pas de Femme sur le net. ». Je la traitais donc comme j’aurais traité un pote quelconque. Du coup, lorsque j’ai reçu un message privé de sa part, je fus étonné: elle me proposait de continuer la discussion par Skype. J’ai hésité, mais j’ai rapidement pris ma décision: elle n’a que mon Pseudo, je n’ai pas plus d’infos sur elle, et après tout, avoir quelqu’un dans ses contacts parce qu’on a envie de faire sa connaissance ne signifie pas qu’on est obligé de lui parler constamment une fois intégré à sa liste... Donc je lui ai donné mon pseudo Skype, et me suis connecté. En attendant qu’elle m’accoste, j’ai continué la discussion sur le Forum comme si de rien n’était, en partie pour patienter, en partie pour ne pas placer d’idées dans la tête des gens, donc pour ne pas en placer dans la mienne non plus.

Je commençais a croire qu’elle ne se connecterait jamais, mais voilà que je reçois une demande d’ajout à mes contacts de la part d’un pseudo totalement inconnu, avec le message « c’est moi, celle qui sait pas dans quel sens tourner le crayon pour tailler sa mine XD ». Un premier message original, j’ai sourit. J’ai accepté après avoir lu le message et l’ai accosté par son pseudo du forum.
— Oui ^^
C’est elle, donc, pas d’erreur. Je continue sur un ton neutre:
— Eh bien enchanté et honoré de t’avoir parmi mes contacts désormais. On pourra déconner plus librement et plus crûment comme-ça. ^^
Je ne pensais pas un mot de ce que je disais concernant le cru, mais je me suis dit qu’après tout, donner le déconnard, ça se fait entièrement ou pas du tout...
— Merci ^^
Cinq bonnes minutes de silence sans indice qu’elle était en train d’écrire plus tard:
— Alors comme-ça, tu vis en France?— Oui.
Court silence de nouveau...
— Près de quelle ville?
J’ai attendu 30 secondes avant de taper le nom de la fameuse ville rose
— Ah ouais, quand-même... ça fait une trotte. Mais comment tu as fait pour arriver là bas?
C’est alors que je lui ai parlé de l’histoire qui faisait que j’étais Bilingue, en version courte.
— Ça doit être pratique de parler les deux langues couramment...— Ma foi, je n’ai pas de mal à acheter mes baguettes chez le boulanger... ^^
On à déconné comme ça encore pendant un bon quart d’heure en s’échangeant des informations personnelles sans trop en dévoiler, chacun de notre coté. C’était le fameux jeux du « qui fera parler l’autre en premier et le plus »...
Après un nouveau petit silence, je lui envoie donc:
— Alors, concernant notre petit jeu, je crois que c’était à toi de répliquer, non? =)
J’en restais encore à l’utilisation régulière des Smileys, ne voulant pas faire passer de mauvais message, comme je savais d’expérience que l’écrit peut être mal interprété si on ne connaît pas les intentions de la personne d’en face.
— De quoi parlait-on déjà?— De crayons...— Tu veux pas changer de sujet?— À ta guise, je te laisse le choix...— Pourquoi moi?— Ben... ne dit-on pas les dames d’abord?— Ah, un gentleman...— À mes heures perdues...— Quand ça t’arrange quoi...— Ça m’arrange toujours. D’ailleurs, sur moi, tout est rangé pour l’instant...— Ah parce que tu allais sortir quelque-chose?— Mais non voyons =D— Coquin ^^
Ça restait assez soft, amical, et surtout sage. Pendant au moins une bonne heure, on s’est ainsi balancé des sous entendu et des blagues foireuses, découvrant ainsi les affinités sexuelles de l’autre. J’en fus surpris, le Ton de la conversation me poussait effectivement à répondre de mon plein gré et sans sous entendu à ses questions, à parler de Sexe sans véritables tabous ni sans arrières pensées majeures. Je me sentais bien quoi, comme si on se connaissait en vrai depuis longtemps, on se parlait de nos préférences et de nos expériences, sans omettre les détails... Pourquoi elle préférait les hommes à sexe tondu, pourquoi j’aimais mieux les femmes non épilées en bas, qu’elle est bi, et quelle aimerait voire deux hommes se faire plaisir mutuellement et n’être que spectatrice, que je n’ai jamais essayé la sodomie, que je n’en suis pas désolé, mais que je ne refuserais pas si la Fille en a envie, bref, des choses qu’on ne se raconte pas habituellement à la première discussion pour faire connaissance. En tout cas pas selon mes habitudes quoi...
Tout naturellement, elle m’a dit qu’il faudrait qu’on fasse plus ample connaissance, étant donné qu’elle avait l’impression qu’on s’entendait bien. Encore une fois, je me suis modéré sur l’expression de mes sentiments, et lui ai répondu qu’il serait effectivement cool de se voir en vrai et de parler en tête à tête, autour d’un verre, ou un truc du genre...
— Ah, je te vois venir, tu veux me soûler pour que je sois moins résistante, hm?— Tu boiras ce que tu voudras, je n’ai aucune intention de te toucher si tu est sous l’effet d’une drogue... pense au plaisir que tu pourrais avoir sans t’en rendre compte, même si c’est en pensant à un autre... Qui voudrait être groggy lors d’un rapport sexuel si il peut en tirer quelque-chose de positif?— Hm... pas bête. Dans le cas ou j’accepterais bien sur... Et si c’était moi qui te droguait?— Un conseil: élimine l’alcool de ta liste de drogues alors, je n’en bois jamais.— Quoi? Même pas de vin?— Même pas ça, je suis un rustre concernant la cuisine, alors ne gâche pas de bouteille de vin pour moi, même bon marcher... Aucun alcool, je n’aime pas le goût...— Pour un Français, c’est pas banal...— Tu crois peut-être que je vais aussi parler allemand avec cet accent Français?— Quoi? Tu l’as pas?— Point du tout...— Donc pas de prononciation érotique avec ton accent au creux de l’oreille pour moi? =,(— Sur demande express, si tu insiste, je m’entraîne avant que ça fasse pas trop cliché et plus naturel, j’ai assez d’exemples avec mes camarades de fac germanistes, mais je ne promets pas de ne pas perdre l’accent... XD— Oh, pas la peine de t’entraîner comme-ça va, quelques mots de temps en temps suffiront ^^
Je ne voyais pas vraiment le temps passer, mais on à continué comme-ça jusqu’à environ 11 heures du soir. Toujours dans une ambiance agréable. J’ai donc appris qu’elle avait 28 ans, qu’elle était mariée depuis l’âge de 19 ans, et qu’elle menait une relation libertine: Elle faisait ce qu’elle voulait, avec qui elle voulait et son mari le savait et était d’accord. Ça m’aurait choqué chez une personne quelconque, mais curieusement chez elle non, j’éprouvais plus de respect pour elle qu’autre-chose. Mère de 2 enfants en plus, ça m’impressionnait. Sur la fin elle me demande une Photo de moi, si possible avec mon sexe.
J’hésitais. C’était pas dans mes habitudes, ce genre de choses. D’un coté, elle et moi avions chamboulé pas mal de mes habitudes ce soit là: j’avais fait des « confessions »que je n’aurais jamais fait à une personne de mon propre chef à la première discussion en tête à tête, j’avais déplacé le mot Libertinage de ma catégorie « interdit », « non-conformiste » à la catégorie « style de vie pas plus condamnable qu’un autre », j’étais parti avec une femme mariée sur des délires sexuels alors que son mari, là bas en Allemagne, aurait pu mal le prendre... Bref, mes idées ont été ré-agencées ce soir là, mais j’hésitais encore tout de même fortement quant à céder à sa demande...
Je lui ai donc envoyé sans rien dire une Photo de ma tète, seulement.
— Hm... Mignon, mais je ne suis qu’à moitié satisfaite.— On va dire que je réfléchis encore pour l’autre moitié, il est un peu timide, le petit ^^— Ah, d’accord ^^— Ceci dit, je ne dirais pas non à une Photo de ta tête en échange de ma photo ^^— Hm... OK.
Peu de temps après, j’ai reçu la photo. Avant de l’ouvrir, elle m’envoya encore « mais tu la gardes pour toi ».
J’avoue qu’elle m’a déstabilisé avec sa Photo: C’était une femme qui ne paraissait pas du tout avoir 29 ans, mais 23-24, les cheveux attachés, le visage chaleureux, et une figure certes loin de celle d’un top modèle (elle venait d’accoucher de son premier enfant 4 mois auparavant à l’époque), des formes agréables à regarder, un peu comme les femmes sculptées de la Grèce antique au niveau de la taille, c’est à dire un beau bassin, un ventre qu’on ne demande qu’à caresser... Mais ça m’étonnait qu’elle accepte déjà de se montrer seins nu. Des seins en poire des auréoles magnifiques et des petits bouts hérissés... Le pantalon était certes ouvert, mais le slip cachait suffisamment sa féminité sous la ceinture pour faire de cette photo plus un gage de beauté qu’un support à branlette. J’étais sous le charme. Pas amoureux, mais bel et bien attiré.
« Ah, par contre, vaut mieux pas que je vienne, je risque de t’importuner souvent... » pensais-je. Mais je ne souhaitais pas lui écrire cela, alors je suis resté sobre:
— Je vois que tu prends donc une longueur d’avance... Ça m’oblige presque à accéder à ta demande... =) Attends juste quelques instants.
Je partis donc dans ma chambre me « dresser » pour lui faire une Photo... Pendant que je me travaillais, j’hésitais tout de même encore: Faire ou pas faire? Sans me poser de questions, je me suis Photographié une fois dans les « bonnes » conditions.
Je ne me suis pas fini et suis allé brancher mon appareil Photo sur mon Ordinateur pour télécharger la photo. Une fois téléchargé, j’ai encore hésité un peu: LA photo est faite, certes, mais est-ce vraiment prudent de l’envoyer?
Bon, après tout, j’avais une Photo assez compromettante sur elle en ma possession, donc ça ne faisait que rééquilibrer la Balance... Alors je lui ai envoyé le photo de mon sexe.
— Houla, c’est pas un engin pour petites pucelles...— Euh... de bien grands mots pour le petit, non? Je n’ai pas encore eu de petites pucelles, et je n’ai pas encore reçu de plaintes à proprement parler de la part de mes ex non plus, mais de là à en tenir de tels propos...— Hm, je regrette presque que tu m’aies envoyé cette photo... Tu m’as toute émoustillée maintenant...— Ah, ma foi, que dois-je dire alors concernant la tienne?— Je titille donc ta Libido?— Un Gentleman ne dit pas de telles choses...— =,(— Il ne les dit pas, mais il est libre de penser ce qu’il veut ^^— X)— Dommage juste que nous devions régler ce souci chacun de notre coté...
C’est alors qu’un message me signifiant un appel entrant (vocal uniquement) s’afficha sur mon écran. J’acceptais l’apel, c’était elle
— Il y à une solution à tout, mon choux...
Sa voix sonnait espiègle et excitée à la fois. Comme guidé par une volonté autre que la mienne, je me mis à me branler devant l’ordinateur. Je me remis sa photo sur l’écran.
— Mmmmh, j’ai vraiment envie là...— Moi de même...— Tu fais quoi?— Je m’imagine que tu est ici avec moi, et que je te masses les seins.— Ça me plaît... moi je m’imagine que je te branle...
On s’excitait mutuellement. Nos halètements s’accélérèrent, et on s’entendait lentement augmenter la cadence.
— Tu me ferais quoi... si j’étais là?— Je ne saurais pas... par ou commencer... tellement je vois à faire avec toi... Tes seins... ton ventre... ta bouche... Je sais pas dans quel ordre... mais je te mettrais bien mon membre dans la bouche... te lécherais les seins jusqu’à en devenir fou... et je te baisserais ce Slip et ce pantalon pour te lécher là en bas aussi...— Avec toutes ces avances... je crois que je te prendrais bien dans ma bouche... oui... Je te mettrais bien un doigt... aussi...— J’en ai pas l’habitude... Mais... je crois que ça m’exciterait...
Comme possédé, j’ai exécuté ce qu’elle me suggérait, et j’ai enfoncé mon doigt dans mon cul. Je ne trouvais pas ça désagréable, sans plus, mais le fait de m’imaginer que c’était elle qui me faisait ça m’a stimulé.
— Je... sens... que je vais... jouir...— Moi... aussi...— Je voudrais... que tu sois là... en moi...— Et... moi donc...— Jouis pour moi...— Toi aussi...— Jouis pour moi...— Toi... aussi...— JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS...— AAAAaaaaarh...
On a joui tous les deux uniquement grâce aux sons de nos voix et de nos Fantasmes qu’on se suggérait. Je me suis senti vidé et satisfait comme après un véritable rapport sexuel à deux... Après deux minutes de silence, pendant lesquelles j’en ai profité pour tenter de me calmer et nettoyer tout le bazar que j’avais mis sur mon ventre, elle reprend la parole, encore un peu hors d’haleine aussi:
— J’ai beaucoup aimé faire ta connaissance...— Je dois dire que ce plaisir fut partagé...— Ça m’enchante.
Sa voix avait pris un ton chaleureux et heureux, malgré quelle n’était apparemment pas encore tout à fait calme...
— J’espère que cette expérience ne restera pas unique...— Je l’espère aussi...
Nous nous sommes souhaité la bonne nuit en nous appelant par des petits noms, et avons convenu de remettre ça à l’occasion.
Cette Nuit là, je me suis couché avec sa photo en tète, et je n’ai pas fermé l’œil... jusqu’à quatre heures du matin...
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