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Contact coquin

Chapitre 3

Erotique
On se « connaissait » maintenant depuis environ deux mois, elle et moi, et on était arrivé à devenir de très bons amis. Nous parlions de nos vies respectives à l’autre sans avoir à nous soucier de nos sentiments. Je savais qu’elle était mariée, et elle savait que je ne cherchais pas à la séparer de son mari. Nous vivions vraiment une idylle, elle et moi. Un soir, alors que nous discutions, elle me surprend par une demande franche que je n’aurais jamais cru recevoir de sa part :
– Dis-moi, tu fais quelque chose, ce mois-ci ?– Hm... Non, rien de spécial, pourquoi ?– Parce que j’aimerais venir te voir pour une semaine...– Hein ?– Ça ne te convient pas? =,(– Non, c’est pas ça ; c’est juste que tu m’as surpris avec cette demande...
Je laissai un blanc pendant que je rassemblais mes idées. Ça m’enchantait qu’elle veuille venir me voir, mais j’avoue que je ne m’y attendais pas du tout, sachant que les billets d’avion coûtent tout de même ce qu’ils coûtent, et qu’elle viendrait de loin...
Je ne savais pas quoi lui répondre, alors j’ai bêtement dit ce que mon cœur lui aurait dit si j’avais été amoureux d’elle :
– Viens quand tu veux : je t’accueillerais à bras ouverts.– Quand je veux ?– Et aussi longtemps que tu veux aussi, oui !– Chouette, je passerai vers la mi-août ; alors, j’arrive le lundi. ^^– Allez, va pour cette date. ^^
Le jour prévu, j’allai l’attendre à l’aéroport. Nous nous reconnûmes de suite, nous dirigeâmes l’un vers l’autre et, comme un couple normal, nous nous embrassâmes, heureux d’enfin nous voir en vrai. Elle portait un simple T-shirt moulant et un jean.
– Tu as fait bon voyage ?– Très bon, oui ; merci.– Alors voilà, je te souhaite la bienvenue à Toulouse !– C’est gentil à toi.
– Viens, je te prends ta valise...
Je pris ses bagages et nous conduisis vers l’arrêt de bus. Sur le trajet vers chez moi, nous nous échangions des regards allant de simplement amicaux à complices ; elle me fascinait vraiment... Arrivés chez moi, je lui fis faire le tour rapide de mon petit appartement.
– Alors voici le salon ; là-bas, c’est le petit espace cuisine, et par là, tu peux aller vers la chambre qui donne aussi sur la salle de bain.– C’est sympa, chez toi.– Merci.
Je vis son regard aller de mon canapé dépliable et des draps posés dessus vers la chambre.
– Je te dépose tes affaires dans la chambre, si tu veux.
Sans attendre de réponse, je pris sa valise et la déposai au pied du lit. Elle alla regarder par la fenêtre et profita un instant de la vue. Après un instant, elle se retourna et s’assit sur le lit.
– Et donc, c’est ici que tu dors...– D’habitude, oui.
Elle me regarda un instant, d’un air interrogateur, puis elle alla vers mon armoire dont elle ouvrit les portes en grand. Je pris cela pour un signe qu’elle voulait ranger ses affaires, et décidai de la laisser tranquille. Je sortis de la chambre et refermai la porte derrière moi. L’instant d’après, la porte se rouvrit et elle en sortit, direction le canapé. Elle prit les draps posés dessus et les amena vers ma chambre. J’étais étonné...
– Euh... Il y a un souci avec les draps que je t’ai mis ?– Non, je veux juste que tu gardes tes habitudes...
Ouch ! C’était presque comme une claque, directe et d’un air naturel, comme si c’était normal... J’en étais bouche bée.
– Euh... d’accord, si tu veux...
D’entrée de jeu elle m’avait bien surpris. Je la vis ranger les draps dans l’armoire et la refermer. Puis elle s’approcha directement de moi, en souriant. Mon air hébété semblait l’amuser, et elle ne put retenir un petit rire. Pas un de ces rires aigus, ou gamine, non ; plus adulte, modéré, intime. J’aimais ça... Ça m’a immédiatement fait sourire, et je me surpris à rire un peu moi-même. Nous nous dévisageâmes un instant ainsi tous les deux, en souriant sagement. Pour ma part, j’étais fasciné par cette beauté qu’elle dégageait. Non pas celle qu’impose la société, les médias, ces images de maigres retouchées chirurgicalement, ces femmes-plastique, ces femmes exultant le « Je suis belle et je le sais, pas besoin de résister ». Non ; chez elle, c’était une beauté naturelle, un charme inné, jouant savamment de ses atouts physiques et de l’esprit : une femme ressemblant à une humaine, et non une créature sortie d’un moule. Elle était parfaite à mes yeux. Juste parfaite. Tout jouait en sa faveur : son sourire, son regard...
– Euh... Pardon, j’oublie mes bonnes manières à cause de ton charme ; tu veux boire quelque chose ?
Elle rougit un peu :
– Tu es très franc, dis-donc...– Peut-être... J’ai l’impression que je peux me le permettre avec toi...
Elle se tut un bref instant et me répondit « Juste de l’eau, s’il te plaît ».
Bien, si elle voulait de l’eau, alors elle aurait de l’eau... Après lui avoir servi son verre, je m’en pris un moi-même. Je déposai les deux verres sur un tabouret devant mon canapé. Elle s’assit et prit le sien.
– Alors, voilà à quoi tu ressembles en vrai.– Ma foi... Oui... Je sais ; sur les photos, on fait toujours plus plat : mais les trois dimensions ont un prix... Bafouillai-je, ne sachant pas quoi lui répondre d’autre, encore un peu sous l’effet de ses charmes naturels...
– Oh, mais tu sais : je te préfère comme ça, à vrai dire...
Les compliments... Je déteste en recevoir, je ne sais pas quoi en faire, je me retrouve toujours à dire bêtement « merci » sans savoir quoi dire en échange, et gêné.
– C’est réciproque.
Je pris la décision de m’asseoir sur le canapé à mon tour et de boire mon verre d’un trait.
– C’est vrai, ça ? me demanda-t-elle en me souriant. Elle aimait apparemment me torturer. Je la regardai donc dans les yeux et finis par lui dire :
– J’avoue que je me le demande ; tu me retournes un peu dans tous les sens depuis cinq minutes... Je sais que vous êtes fortes pour ça, les femmes ; mais toi, tu sembles avoir porté cet art à sa perfection...
Elle prit une gorgée et posa son verre, les joues légèrement rouges, mais sans plus... Avais-je réussi à lui renvoyer l’ascenseur ? J’en doutais. Un petit silence s’installa, et je me sentis un poil mal à l’aise. Je tournai ma tête vers elle et vis qu’elle me dévisageait. Elle se mordait les lèvres. En la voyant comme ça, je n’ai pas pu résister ; je me suis mis à rire. Apparemment, ce fut communicatif, car elle réagit pareillement.
Après m’être calmé, je tournai de nouveau mon regard vers elle. Elle aussi me regardait. Je ne pus m’empêcher de sourire. Elle prit cela comme le signal que j’allais recommencer à rire, et s’y remit un peu. Je lui pris alors la main et la lui baisai doucement en lui disant en français :
– « Bienvenue en France, Mademoiselle... »– Je suis mariée : on dit Madame.– Oui, mais je n’appelle pas une femme Mademoiselle ou Madame par rapport à son statut conjugal ou social ; je l’appelle selon mes préférences. Prends-le comme un compliment...
Elle rougit encore. Je ne sais pas pourquoi, je me suis tout naturellement rapproché d’elle, j’ai fermé mes yeux, et je l’ai embrassée. Elle ne s’y attendait peut-être pas, mais ne se déroba pas.
– Ah, eh bien, si tu l’entends de cette façon, je vais le prendre comme un gage d’affection, alors...– Tu as tout compris.
Son sourire me fit sourire de nouveau. Je la pris dans mes bras et nous nous embrassâmes longuement cette fois-ci. Tendrement, sans que l’un ou l’autre ne place les mains de façon à donner des envies à l’autre. On se laissa tomber contre le fauteuil, elle cala sa tête contre mon torse et je posai la mienne sur la sienne. Je ne sais pas à quel moment, ni pourquoi précisément, mais nous nous sommes endormis ainsi, enlacés, chacun respirant lentement et régulièrement. Lorsque je me réveillai, il était vingt heures...
Doucement, sans gestes brusques, pour ne pas la réveiller, je regardai par la fenêtre : le soleil se couchait. Je rabaissai ma tête et lui fis un bisou sur la sienne. Elle se réveilla.
– Hmmm... Je me sens bien contre toi...– Merci, Mademoiselle.
Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux. Je pensais y lire le bonheur et la satisfaction du moment passé dans mes bras... Nous nous embrassâmes de nouveau ; c’était elle qui avait mis en marche le mouvement cette fois. Elle mit ses bras autour de mon cou et se serra contre moi. Je la serrai quant à moi également contre moi. Nous avons commencé à doucement nous caresser, elle mes joues et mon cou, moi son dos et ses épaules...
– Je t’ai déjà dit merci, au fait, pour m’héberger pendant une semaine ?
Je mentis :
– Je me souviens que oui...– Je crois que tu mens...
Mince, elle savait en fait...
– C’est pas bien de mentir. Je vais devoir te punir pour ça...
Pendant qu’elle parlait, elle glissa une de ses mains entre mes jambes pour la mettre sur ma braguette. Elle l’ouvrit, défit mon slip et alla chercher ce qu’elle pensait bien y trouver. Pendant ce temps, je lui massais la poitrine. Nos langues se cherchèrent et se trouvèrent sauvagement. Elle descendit du canapé et s’agenouilla entre mes jambes ; je ne pouvais que la laisser faire, car elle me tenait fermement.
– J’ai envie de te remercier.– Euh... si tu...
Je ne pus sortir « veux » : elle venait de me prendre en bouche d’une manière si sensuelle, subite et sauvage que j’en ressentis immédiatement l’effet. Elle allait et venait sur mon membre d’une manière si douce, mais si ferme… J’en retombai dans le canapé.
– T’as pas... besoin... de...
J’en perdais les mots. Je me tus. Elle me regarda droit dans les yeux. On pouvait certainement lire sur tout mon visage que j’étais très affecté par ce qu’elle me faisait, et surtout la manière dont elle me le faisait. Elle commença à me lécher sur tout le long ; j’étais raide depuis un petit moment déjà, mais elle ne s’arrêtait pas...
– Si... tu...– Mmmh ?– ...continues... comme... ça... je... vais...
Elle se défit un instant de moi, juste pour me dire :
– Continuer ? D’accord !
Puis elle reprit son œuvre.
– Non !!! C’est... pas...
Mince, je n’allais pas m’en sortir, là... je ne voulais pas paraître goujat dès la première fois... En y réfléchissant bien maintenant, après coup, je ne pensais pas du tout que notre première fois, dût-elle avoir lieu, ne se passerait ainsi, aussi sauvagement, aussi centrée sur moi... J’avais du mal à me contenir...
– Attends !!!
Je réussis in extremis à me sortir de sa bouche. Pfiou ! Encore un peu et j’allais vraiment exploser... Elle m’avait vraiment mis le feu. Dans le même mouvement, je la renversai par terre, sur le parquet, la couchai sur le dos et allai directement vers son entrejambe. Là, je décidai de lui rendre la pareille en allant directement avec main, bouche et langue vers son organe à elle. Je lui retirai énergiquement son jeans jusqu’en dessous des genoux, et ne fis que glisser son string vers le coté. Je faisais vraiment tout travailler en même temps, et sans la ménager. Elle n’allait pas s’en tirer comme ça, pensais-je ; et c’est avec cette mentalité et une grande excitation que je me mis à lui faire tout ce que je savais faire chez une femme dans cette région, alternant fréquemment les différentes techniques, ne me fiant qu’à ses messages corporels pour savoir ce qui la faisait – ou non – vibrer.
– Ah... Non... pas... AH !!!
Elle râlait sous mes coups de langue et mes doigts. Je ne voulais pas la lâcher ; j’allais lui faire ce qu’elle avait voulu me faire.
– Non... C’est pas... NAOH !!!
Touché. Je lui avais fait avoir son premier orgasme. Pas un orgasme monumental, mais apparemment suffisamment efficace pour qu’elle serre ma tête contre elle et referme ses jambes sur moi, pour que je n’en sorte pas...
– NAH !!! MMMH !!!
Je cessai de lui prodiguer mes attentions. Elle libéra son étreinte et je pus retirer ma tête. Elle s’enleva rapidement les vêtements du corps. Je fis de même. Pas assez vite, à son goût, puisqu’une fois terminé – avant moi – elle m’enleva, m’arracha presque, mon sweat et mes sous-vêtements.
Elle me plaqua au sol, sur le dos, la respiration courte, et me guida frénétiquement à son entrée de plaisir. Elle s’empala d’un coup sec, sans ménage, et poussa un long râle lorsque je fus tout au fond d’elle. Elle ne prit presque pas de pause et entama immédiatement la chevauchée. Je n’arrivais pas à y croire. Un orgasme déjà de subi, et elle était encore aussi sauvage qu’avant ; plus, même... Elle n’y allait pas de main morte : chaque remontée était suivie d’une rapide descente. Elle ne paraissait vraiment pas un poil fatiguée de ce que je lui avais fait précédemment, non. Elle était plus plaisir qu’autre chose.
– Attends... On devrait... peut-...
Elle filait un train d’enfer ; pas moyen de l’arrêter. Je ne pus la prévenir à temps, et ne pus non plus me retenir. Je déversai tout en elle.
– AHAAAARH !!!– AAAAH !!!
Ne cessant de me chevaucher, elle me fit avoir des convulsions au niveau du bassin, ce qui lui provoqua son second orgasme, qui lui donna des convulsions également, n’arrangeant pas les miennes... Elle se laissa tomber sur moi. Je la pris dans mes bras, la serrai très fort contre moi, la bouche ouverte, cherchant ma respiration... Nos convulsions respectives se calmèrent peu à peu. Nous étions tous deux haletants, cherchant notre respiration et nous serrant l’un contre l’autre. Sa tête était sur mon épaule ; je lui caressais les cheveux. Doucement, nos respirations reprirent leur rythme normal. Elle leva sa tête vers la mienne et me donna un fougueux baiser.
– Vous... n’avez... vraiment pas... volé... votre réputation,... les Français...– Je sais... pas... mais... tu corresponds aussi... à l’image... que nous nous faisons des... Allemandes...– Ah... bon ? Il faut... que... tu m’expliques... ça... un peu... mieux... Cette nuit...
La nuit fut mouvementée et peu reposante. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre vers cinq heures du matin...
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