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Contact virtuel qui dérape

Chapitre 2

Première rencontre avec un homme

Gay
Le lendemain dans la journée, je reçois un email de Christophe, qui ne veut pas m’obliger, mais me propose de me rencontrer dans une forêt non loin de nos domiciles respectifs, c’est-à-dire pour moi à une quinzaine de kilomètres. Reconnaissant mon manque de courage pour aller plus loin, je lui réponds qu’il n’est pas nécessaire qu’il continue à m’écrire et que je préfère maintenant arrêter cette expérience.
Je reçois une quinzaine de minutes plus tard un nouveau email de sa part, me proposant d’en discuter sur Skype. Voulant être courtois vis-à-vis de lui devant son insistance, je finis par accepter une discussion à 23 heures, lorsque je serais seul dans la maison, mais uniquement une conversation sans caméra.
A 23 heures 30, me retrouvant seul, mon épouse étant couchée, je me connecte sur Skype, Christophe est déjà connecté et il m’attend. Nous discutons uniquement à l’aide du micro et parfois par écrit, nous échangeons brièvement quelques banalités et il réitère sa demande pour que nous nous rencontrions, je lui confirme une nouvelle fois mon refus.
Devant ma décision, il me dit alors :
— Si tu veux pas qu’on se voit discrètement en forêt, je vais venir alors chez toi.
Je lui réponds qu’il n’en est pas question et de toute façon, je ne lui donnerai pas mon adresse, car nous savions lors de notre précédente conversation les communes où nous habitions.Christophe me répond alors :
— Inutile de me la donner, je l’ai déjà.
Je suis surpris de cette réponse et lui demande des explications afin qu’il me donne alors mon adresse s’il la connaît vraiment. Sans attendre, je reçois par écrit ma véritable adresse et même mon numéro de téléphone. Je sens mon estomac se nouer et deviens fébrile en sachant que cet homme détient ces renseignements sur moi, je lui demande alors des explications sur la provenance de ses informations. Il me répond :
— Tout simplement sur les emails que tu m’as envoyés.
Quel idiot que je fais, je lui avais donné ma véritable adresse internet et effectivement, il figure dessus mon adresse et mon numéro de téléphone chaque fois que j’envoie un email. Un long silence s’en suit et je ne sais pas quoi dire, à ce moment-là Christophe reprend la conversation :
— Je suis passé devant ta maison avant hier, je vois très bien comment elle est, alors je te propose de venir maintenant, tu m’ouvres le portail, je te promets de ne pas faire de bruit et nous nous retrouvons dans ton garage pour plus de discrétion.
Ma main tremble sur ma souris et commence à regretter d’avoir voulu réaliser ce fantasme avec un homme, je sens que si je refuse, il va me harceler tant que je n’aurais pas cédé à une rencontre, alors étant dos au mur, je lui fais une proposition.

— Très bien écoute, il est maintenant trop tard, tu as une heure de route et ma femme va trouver bizarre que je ne sois pas couché, je ne peux pas accepter pour ce soir. Alors d’accord, on se retrouve en forêt demain vers 17 heures 30, mais ça reste une simple rencontre et on ne fait rien d’autre. De plus, promets-moi qu’après cette rencontre, cette histoire s’arrête là.— D’accord, demain 17 heures 30, sur le parking de la forêt pour une simple rencontre, en ce qui concerne notre histoire, elle n’a pas réellement commencé, donc tu n’as aucune crainte à avoir. Je préfère te dire que si tu n’es pas au rendez-vous, je vais chez toi, alors ne me pose pas un lapin.— Promis, je serais présent, maintenant je dois quitter, bonne nuit.— Bonne nuit à demain.
Je me rends dans ma chambre, ma femme dort, pour moi, impossible de m’endormir et cette rencontre du lendemain m’angoisse. Je ne sais pas vraiment comment arrêter cette relation, mais demain, je vais le convaincre que je ne suis pas du tout intéressé.
Toute la journée du lendemain, je ne pense qu’à cette rencontre et j’envisage même de ne pas y aller. Mais il a l’air déterminé, et je pense qu’il est capable de venir chez moi, alors la ma vie est foutue, je ne préfère même pas y penser, il faut absolument que je mette un terme à cette relation avec Christophe.
Je quitte mon travail à 16h50 et me rends directement au rendez-vous, j’ai prévenu ma femme d’un peu de retard en raison d’une réunion de travail. Pendant tout le trajet, je m’invente des scénarios et l’angoisse monte au fur et à mesure que j’approche du parking de la forêt.
A mon arrivée, il n’y a personne, je suis la seule voiture sur le parking, il me vient alors à l’idée qu’il ne va peut-être pas venir. J’ attends l’horaire prévu et je m’en vais. Je descends de la voiture et regarde dans les chemins qui s’enfoncent dans la forêt s’il n’y a personne, mais je suis vraiment seul. Lorsque tout à coup, je vois un véhicule noir arriver au loin, c’est lui, c’est sa voiture. Mon stress est à son comble, il sa gare à quelques mètres de ma voiture et descend.
Il a le visage mal rasé, une barbe de quatre ou cinq jours. Un ventre assez proéminent, légèrement plus grand que moi et surtout beaucoup plus costaud, je pense dans les cent kilos. Il s’avance près de moi et en le regardant, je lui tends la main, il me regarde avec un sourire et me dit :
— On peut quand même se faire la bise, on est assez intime ?— Oui d’accord, si tu veux.
Nous échangeons alors une bise sur les joues, alors qu’en même temps, il me tient par les épaules, j’ai mon estomac qui est noué.
— N’aie pas peur, j’ai jamais tué personne, on va un peu marcher en discutant si ça te dérange pas.— Non, pas du tout d’accord marchons.
Le temps étant assez clément, nous marchons tranquillement et échangeons des choses de la vie courante. Au bout d’une quinzaine de minutes de marche, il me dit :
— Ca te dérange pas, on va prendre ce petit chemin, j’ai envie de pisser.
Il m’accompagne par l’épaule pour le suivre et au bout d’une dizaine de mètres dans le petit chemin s’arrête et ouvre sa braguette pour uriner, je vois entre ses jambes son puissant jet d’urine, il avait une grosse envie. Mais alors que je m’apprête à repartir, il se retourne et me dit :
— Elle te plaît pas, approche un peu.
Il tient sa grosse bite dans sa main qui est à moitié en érection, tout en me disant ça, il s’approche de moi, je suis désemparé et j’ai peur de sa réaction. Il s’arrête devant moi, je suis paralysé d’angoisse et de peur, je ne me contrôle plus. Il prend ma main droite et me fait toucher sa queue. Je lui dis immédiatement :
— Non, on avait dit juste une discussion.— Tu vas me branler, salope tu m’excites...— Non, je ne fais pas ça.
Il me regarde d’un ton sévère et je sens que ça peut dégénérer, je ne veux pas en venir à la violence et il me fait franchement peur.
— Allez... branle-moi, j’ai envie que tu le fasses.
Il me tient par le poignet et amène ma main sur sa queue qui est en partie en érection, je suis piégé et je pense être dans un état second. Tout le haut de son pantalon est ouvert et son boxer baissé, dégage sa bite et ses énormes couilles poilues. Ma main se ferme sur sa queue et je la vois rapidement grossir et durcir.
— Oui, c’est bien branle-moi, tu fais ça bien, vas-y salope, dis-moi que tu aimes ça.
Je ne réponds plus, pour la première fois de ma vie, je suis en train de branler un homme, et il prend beaucoup de plaisir.Au bout de deux ou trois minutes, il me tient la tête et approche violemment ses lèvres pour m’embrasser sur la bouche, je sens sa langue sur mes lèvres et garde ma bouche fermée en tentant de le repousser. Mais il est beaucoup plus fort que moi et je finis par céder. Je sens sa langue dans ma bouche, je suis dégoûté. Sa langue s’enroule sur la mienne et fouille toute ma bouche alors que je continue à le branler. Je pense que notre pelle dure moins d’une minute, mais je trouve ce moment très long.
— Tu vas me faire jouir salope, continue...— Je dois partir.— Accélère ça vient... ça t’excite aussi, reconnais.
Je ne réponds pas bien que je ne sache pas vraiment, ce que je ressens si c’est du dégoût ou de l’excitation, je me sens vraiment bizarre.
— Je vais jouir, t’arrête pas ça vient... hummmm... Oh oui !!!
Un énorme jet de sperme sort de sa grosse queue, je lâche immédiatement son engin, qu’il reprend avec sa main pour faire ressortir un nouveau jet de sperme, m’étant écarté, le sperme finit sur le sol. Pour ma part, je me sens humilié alors que lui est très satisfait et a pris du plaisir.
— Tu vois, c’est pas dur de me faire plaisir.— C’est terminé maintenant, on ne doit plus se voir.— C’est moi qui déciderai ça, avec ce que tu viens de faire, je pense qu’on va encore s’amuser tous les deux.— Je suis marié, je ne peux pas continuer, j’ai fait ce que tu voulais maintenant, on arrête.
Sur un ton un peu plus haut, je le sens très en colère par rapport à mon comportement, et tout en remontant son boxer et son pantalon, il me dit alors :
— Dégage salope, t’es une bonne pute, pour aujourd’hui ça suffit, mais je ne t’oublie pas...
A peine a-t-il terminé sa phrase que je pars d’un pas rapide rejoindre ma voiture, en me retournant, je vois qu’il rejoint aussi le parking, mais avant son arrivée, je suis déjà monté dans ma voiture et repars rapidement.
Quelques jours plus tard, je reconnais m’être masturbé plusieurs fois en pensant à ce moment, mais ces faits se sont passés au début du mois de juin 2021, et depuis, plus de nouvelles de Christophe, j’angoisse qu’un jour il se manifeste, voire pire, vienne chez moi. Etant sans doute parti en vacances, j’attends le mois de septembre pour voir s’il me contactera.
Si cela devait se produire, je raconterais ici mes démêlés avec Christophe, mais c’est une autre histoire.
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