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Conter une Amour

Chapitre 3

Ce dîner avec Elle - III

SM / Fétichisme
Quand tu reviens, buste entièrement nu comme je te l’ai demandé, je suis debout, bras croisés, les fesses appuyées contre la table du séjour. Sur la cheminée, le miroir du salon me fait face. A voir l’expression de mes sourcils, tu sais que j’attends de toi que tu te places entre la glace et moi, de manière que je puisse t’observer sous tous les angles sans avoir à bouger. D’un air de ne pas y toucher, je profite un moment de la vue.
Tes seins s’offrent docilement à mes yeux dans cette position. Les deux doux globes sont d’un blanc de porcelaine que seul vient perturber le rose de tes mamelons. Leurs contours ne se font pas nets mais semblent plutôt comme gommés, comme si je les avais effacés à force de les caresser sous mon pouce. Je les adore ainsi, tout comme j’adore les deux fines lignes courbes et dépigmentées qui les soulignent, résultat d’une croissance trop rapide de ta tendre poitrine…
Mon silence contemplatif dure deux, trois minutes au plus. Le temps que le goût du peu de dentifrice que tu auras utilisé se dissipe…Puis mon doigt te fait un signe, appuyé par ma voix.
— Viens là.
Tu obéis et te rapproches immédiatement, assez près pour que mon index et mon majeur puissent venir se poser sous ton menton. Mon pouce effleure ta bouche, caresse ta lèvre inférieure et l’abaisse avec douceur, sans forcer. Je suis sûr que tu peux sentir la saveur que mon doigt y dépose, sans même y passer ta langue.
— Est-ce que cette petite bouche comprend ce que j’attends d’elle à ce moment précis ?— Hummm… Oui, mon Homme.— Alors tu vas me le prouver. Tu vas me montrer ce sur quoi repose notre couple…— Et tu crois que l’amour ça peut se faire apparaître, comme ça...?— Je crois que je sais très bien le lire sur ton visage quand la situation s’y prête… comme ici. A genoux, salope.
Ton corps semble s’activer tout seul, comme mû par des réflexes profondément gravés en lui. Tes genoux se plient délicatement et embrassent le sol. Dociles, tes mains viennent se croiser dans ton dos. Ton menton se relève, afin que tes yeux ne quittent pas un instant les miens. Alors, ta bouche s’ouvre en un ovale parfait, et tes lèvres s’ourlent pour laisser sortir une langue rose qui vient s’installer à plat.
La plus belle réclamation qui soit. Une image dont je ne me lasserai jamais, même en la voyant tous les jours pour les décennies à venir.
Tu es sublime.
— Je préfère ça. Maintenant, tu vas m’énumérer tout ce qui a mérité que je m’occupe de ton cas ce soir. En commençant par le début…
Mes longs doigts s’affairent à déboucler ma ceinture pendant que je prononce cet ordre, et je sens, je sais, que tu dois faire un gros effort pour ne pas baisser ton regard, ne pas te laisser déconcentrer par ce son que tu aimes tant : le métal qui tinte contre le métal, l’ardillon qui se libère de son orifice, le cuir qui frotte doucement en glissant le long de la boucle… Tu sembles déjà à deux doigts de baver d’envie et d’anticipation.
— J’attends, Azilis.— Euh, je… Au restaurant, j’ai fait exprès d’envoyer l’odeur de ta semence autour de moi avec mon éventail.— Pourquoi t’as fait ça ? Ça te plaît que les hommes autour de toi sachent que tu es une salope ?— Ça me plaît que les hommes autour de moi sachent que je suis ta salope…
Je perds un instant ma répartie. En une phrase, tu reçois et assumes l’insulte, tout en me réaffirmant l’exclusivité de ton appartenance pleine et entière. Comment continuer à te blâmer après ça ?
Malgré tout, je te fais poursuivre le décompte de tes fautes de la soirée. Tu t’exécutes docilement, sans te presser, comme j’aime, en docile petite allumeuse. Sous tes yeux qui ne quittent pas les miens, mon pantalon s’est ouvert, que mes jambes légèrement écartées veillent à maintenir en place. Mon boxer s’est abaissé, révélant ma queue dure comme un roc qui se dresse bien droit, à moins de trois centimètres de ton nez.
Au bout de ce gland que mon prépuce tendu n’arrive plus à recouvrir complètement, je peux voir briller un amas de mouille masculine, et je sais que ton odorat si développé parvient distinctement à en détecter l’odeur. Dans tes yeux qui ne brillent pas moins, je lis combien tu arrives à tout sentir, à dissocier en toi cette senteur de mon excitation présente et celle de mes précédentes branlettes, dont mon membre porte le souvenir odorant.
— Ça fait donc sept… sept fautes. Autrement dit, beaucoup, beaucoup d’insolences en une seule soirée il me semble, pour une fille qui devrait être correctement soumise à son Homme.— Pardon, mon Mâle.— Ne fais pas semblant d’être désolée... C’est vraiment à se demander si t’as encore envie d’être ma copine… C’est le cas ?— Bien sûr !— Alors continue de me regarder dans les yeux, et réclame ta punition… Convaincs-moi.
— Hummm… S’il te plaît mon Homme, tu veux bien punir ta...— Oui...?— ... Tu veux bien punir ta pute, pour lui faire à nouveau mériter d’être ta copine…?— Développe... Cherche tes mots dans ce que tu sens, petite.— Tu veux bien imprimer ton odeur sur mon visage, pour me rappeler que je suis ta propriété, et que c’est une chance…?— Et de quelle façon ?— Avec des... bifles.— Et le mot magique ?— S’il te plait...— S’il te plait qui ?— Bah... s’il te plait toi ?— Très drôle.— S’il te plaît, mon Mâle.— Hummm...
J’ouvre un instant la bouche pour te répondre, satisfait de tes mots, puis je me ravise, décidant de récompenser ta tirade avec cette forme de mépris sexuel que tu adores autant que moi. Le crachat sonne doucement en s’expulsant de ma bouche, et s’abat maladroitement sur ta lèvre supérieure, d’où il dégouline ensuite sur ta langue, ressortie comme il se doit à chaque fois que tu finis de me répondre.
— T’as pas intérêt à bouger, salope. Reste immobile tant que je ne te dirai pas que c’est fini.
Tu m’obéis avec une adoration visible. Tu ne bronches pas quand ma queue tendue vient gifler de manière appuyée ta joue gauche une première fois. Tu ne cilles pas quand les bifles suivantes frappent ta joue droite, ta langue, tes pommettes. Je devine même le plaisir de recevoir ce traitement, dans les micro-expressions de ton visage. Je bande encore plus dur de percevoir combien tu aimes ça…
De la main gauche, je te détache les cheveux et les serre dans mon poing, sans tirer dessus. Je te fixe droit dans les yeux, et je suis certain que sous la façade d’autorité qu’ils affichent, tu peux y lire comme dans un livre à quel point je te trouve sublime, à quel point je te veux, à quel point je t’aime.
La gifle sonne joliment sur ta joue, sous ma main droite. Elle ne te fait pas mal, elle n’a nullement cet objectif. Elle rend seulement ton visage un peu plus sensible à la caresse que je lui prodigue juste après, en y déposant doucement ma queue luisante de désir et en l’y faisant glisser sensuellement.
— Voilà...Tu es pardonnée.— Merci, mon Maître…— Et maintenant... qu’est-ce que tu veux, maintenant, Azilis ?— Comment ça ?— As-tu d’autres réclamations à me faire ?— Euh... Seulement tout ce que tu veux toi…— Ne fais pas semblant, salope. Assume ce que tu es avec moi… Qu’est-ce que tu veux ?— Je veux... Je veux déguster ta bite.— Encore.— Je veux déguster ta bite, mon Homme. — Encore !— Je veux déguster ta bite, Nicolas…— Je sais. Et tu as de la chance, parce que c’est ce que je veux aussi. Alors, tu vas commencer par me la nettoyer comme il faut, lentement, et de partout. Tu n’auras droit à mon gland nu qu’après t’être soigneusement occupée du reste. Là seulement, tu pourras déguster ce qu’il recèle…Et quand ce sera bien propre, je me servirai de ta bouche pour me faire jouir. C’est compris ?— Oh ! putain. Oui, c’est tout à fait compris, oui... Merci, mon Mâle…
Sans bouger de ta position, à laquelle tu es si bien habituée, le visage sous ma queue, tes ciels résolument plongés dans mes océans, tu viens déposer des baisers à la base du sexe qui te fait face. Je ne peux retenir une contraction de plaisir quand tes lèvres s’y appliquent enfin, après ces longues heures où l’on n’a eu de cesse de se faire désirer l’une à l’autre. Heureusement que j’ai déjà joui aujourd’hui, sans ça j’aurais peut-être déjà explosé avant d’avoir eu le temps de te nourrir…
Ta bouche fait son œuvre avec délice et amour pendant de longues minutes sur mon pieu de chair, une envie et un plaisir palpables que ton visage ne peut cacher… Tes lèvres serrent juste ce qu’il faut pour que ta langue vienne lécher consciencieusement la peau de ma hampe, qu’elles enrobent. J’admire le spectacle de cette queue dressée, légèrement tordue, à la pilosité brune très fournie sur sa base, barrant ton beau visage d’ange que ce contraste rend aussi infiniment obscène que désirable.
— Qu’est-ce que t’es bonne quand tu respectes une bite comme ça… N’oublie pas les couilles, salope. Lèche… Prends-les dans ta bouche… Mmmmh, putain, voilà, c’est ça…
Une grosse goutte de pré-sperme est à deux doigts de couler de mon méat. Je prends alors ton menton dans ma main et te fais tourner la tête légèrement sur le côté. De l’autre main, je pointe ma queue sur ta joue et l’y frotte ostensiblement d’arrière en avant, en dessinant une longue trace de ce liquide poisseux, goûteux et odorant sur cette joue. Je me penche alors sur ton visage, à quelques centimètres, comme pour t’embrasser, mais je n’en fais rien. Je préfère me perdre un court instant dans tes pupilles de chat, que l’opium dilate encore à fond, et qui te donnent un air presque surnaturel.
J’inspire…
— Tu pues la bite, Azilis. Ça te plaît ? Dis-le moi… Explique-le moi…— Tu sais que ça me plaît… C’est pas une vraie question, c’est une évidence… L’odeur naturelle de la peau de ta salope est incomplète, si je ne porte pas celle de ta queue... de ta queue sale. C’est comme ça que tu m’as voulue…— Tu es parfaite. Allez, tu vas pouvoir sucer… Qu’est-ce qu’on dit ?— Merci, mon Homme…
Je t’enlève ma queue et place moi-même ma main à la base de mon gland, sur le prépuce.
— Regarde-moi dans les yeux et sors-moi bien ta langue, salope.
Posant le bout de mon sexe sur ta langue qui se met à le porter sans bouger, je tire tout doucement sur mon prépuce, pour révéler l’objet de ton désir. L’odeur, chaude, prononcée, se fait immédiatement très forte, virile, intense, indécente, obscène. Et je sens qu’elle m’excite encore un peu plus, autant qu’elle te fait saliver maintenant abondamment. Ta petite langue scintille d’appétit, et je cesse tout mouvement, pour graver ce tableau sensoriel en moi. Je vois la supplication amoureuse dans tes yeux... Tu es suspendue. Tu n’attends que ma permission…
— Tète.
Des ”Ttt…Ttt…Ttt…”, se mettent alors rapidement à se faire entendre de ta bouche. Je ne peux absolument pas retenir les soupirs de plaisir qui suivent, alors que tes lèvres molles enveloppent enfin mon gland de leur douce chaleur moite. Tu laisses toi-même échapper de délicieux miaulements de plaisir gustatif, et je me mets à te caresser la joue du pouce pour t’y encourager. J’aime tellement que tu me montres le plaisir que tu as avec moi, sous toutes ses formes…
Je reprends d’une voix dans laquelle tu dois sentir que je peine à parfaitement reprendre une contenance… dans des mots que je ne prononçais pas il y a encore six mois, et dont tu sais qu’il me faut encore les chercher parfois. Une vulnérabilité dans la domination que tu m’as dit adorer chez moi… Pourtant, ces mots, je ne les apprends pas, je n’ai pas à les chercher vraiment. Ton comportement ne peut pas m’en inspirer d’autres : à voir la façon dont ma copine est en train de me déguster le bout de la bite, à voir l’excitation profonde dans tes yeux tandis que ta petite bouche amoureuse avance et recule lentement sur mon gland maculé de dépôt…
— C’est bon, petite salope ? Non, ne t’arrête pas pour me répondre…— Oui, V’abore, f‘est cro bon… Mmh… Merfi…— C’est bien… Tu es une très bonne suceuse, on t’a bien appris ton métier. Maintenant je vais jouir, et ta bouche va me servir à ça.— Oh ’on ! Encore...— Encore quoi...?— Encore un peu, f’il peu plait... Pon gland a encore gu goût là...— Petite pute…— Hummmm…
Je reprends alors tes cheveux en mains et commence à imprimer moi-même des va-et-vient avec ta tête le long de ma queue. Je peine à trouver les mots, seules quelques insultes continuent à fuser régulièrement entre mes soupirs de plaisir, tant il est clair que c’est vraiment pour le goût que tu aimes sucer. Mes hanches finissent par se joindre au mouvement, toujours sans brutalité. Mon regard alterne entre les allers-retours de ma pine dans ta bouche et ta vulve que je vois clairement dans le miroir. Je suis certain de la voir luire et couler d’ici…
— Tu mouilles vraiment autant de te faire traiter comme ça ? T’es vraiment une salope, putain… Regarde-moi ça, comment tu te régales... Ohhh, tu m’excites trop… Allez, viens là.
Je suis sur le point de jouir, tu me rends dingue. Je te fais reculer la tête en prenant ma queue de l’autre main et commence à me branler énergiquement.
— Ça vient… Appelle le foutre, petite traînée. Réclame… Montre-moi que tu en veux…— J’ai faim de ton sperme. Je t’en supplie, éjacule dans ma bouche, s’il te plaît... S’il te plait, mon Mâle...— Sors bien ta langue... comme ça... Ne bouge plus. Putain cette haleine de bite que t’as, Azilis... Tu me rends fou...— Haaaan... Haaaan.... Haaaan...— Oui, appelle comme ça… Oh, putain ça vient… mmmhhh tiens... mange, salope !
Une première goutte s’extrait sans force de mon méat et glisse sur le doigt de ma main branleuse… puis un jet puissant s’en expulse avec force et barre toute ta joue, très épais. Je redresse ma queue sur la gauche pour que le deuxième, tout aussi puissant, s’abatte cette fois droit dans ta bouche haletante, tapissant ton palais de sa texture épaisse et grasse. Trois autres, toujours épais, jaillissent avec moins de force et se répandent sur tes lèvres, sur ta langue… L’un d’eux coule et laisse une petite traînée sur ton menton. Tu ne bouges pas, tu reçois, véritablement et visiblement en adoration… Tu sais que chaque nouvelle étape à partir de maintenant dépend d’un ordre de ma part. Un ordre que tu espères…
— Vas-y, rentre ta langue et déguste, Azilis…
Ta langue ramène tout le sperme qui y est déposé dans ta bouche, qui se referme brièvement autour. Je t’admire alors que tu t’en délectes, le fais passer partout dans ta bouche, à l’intérieur de tes joues, sur, sous, au bout et au fond de ta langue, mais en prenant bien garde à ne pas l’avaler sans ma permission. Tu fais cette chose qui me rend fou, en bavant un peu de sperme sur ton menton, tes yeux plongés dans les miens. C’est évidemment une demande silencieuse pour que je le ramène moi-même dans ta bouche, ce que je fais sur la largeur d’un index. Je t’entends respirer lourdement par le nez : malgré sa violence, tu ne cherches pas à masquer ni à fuir le goût du foutre... mais à t’y soumettre.
Essoufflé et encore habité de plaisir, je saisis délicatement ton menton...
— Fais voir...
Tu ouvres ta petite bouche. Ta langue nage dans mon sperme, que ta salive est venue diluer en en décuplant la quantité de liquide, tout laiteux... Je ne lâche pas ton menton ni tes yeux.
— Touche-toi le clitoris.
La bouche toujours pleine et bien ouverte, un éclair de surprise malicieuse traverse tes iris, lorsque ta main constate l’état de ta vulve que rien n’avait pourtant touché jusque là. Au bout de six mois, je n’en reviens toujours pas qu’une fellation sale et soumise comme ça puisse t’amener au bord de l’explosion... mais de fait, je t’y sens... tu es suspendue à mes lèvres, à mes paroles... à ma voix...
— Ferme ta bouche et avale lentement, salope. Je t’autorise à jouir.
A peine ai-je le temps de terminer ma phrase, que tu obéis simultanément à ces deux ordres, tandis que je continue à te tenir le menton, pour contempler ta déglution et capturer ton orgasme dans tes yeux... C’est tellement beau.
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Ta main est à nouveau dans la mienne. Je t’aide à te remettre sur tes pieds, un peu groggy mais souriante. Je te regarde toujours de haut, de nos presque vingt centimètres d’écart. Délicatement, mon index ramène vers ta bouche les dernières traces de sperme sur ton visage. Avec amour, tu suces tendrement mon doigt à ses passages, et me le rends tout nettoyé.
Je t’embrasse alors à pleine bouche, avec le même amour, infini, que tu me rends dans ce baiser aussi puissamment sexuel que profondément romantique. Je t’aime. Je n’ai pas besoin de te le dire - même si tu sais que je ne pourrai pas m’empêcher de le faire bientôt - tu le sens dans la manière qu’ont mes lèvres d’épouser les tiennes.Et je t’aime encore plus quand ta bouche a l’odeur et le goût de mon sexe…
— C’est bien, mon Amour… Allez, au lit. Il se fait tard…
Une fois couchées, je te serre très fort dans mes bras. Juste pour te câliner, juste pour t’aimer. Mes lèvres ne cessent de s’emparer des tiennes, comme pour espérer m’endormir en les sentant encore…

Continuez la lecture au chapitre IV de Conter un Amour... chez Ardsy
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