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Contre toute attente

Chapitre 1

Premiers contact avec Laurent et ses collègues

Avec plusieurs hommes
Annick était partie sur un coup de tête, elle n’avait donc pas eu le temps de faire de réservation. Et maintenant elle se retrouve là, assise sur sa valise, sur la plateforme d’un wagon-lit, seul endroit qu’elle a trouvé pour se poser.
Pour ne pas gêner le passage, ses longues jambes sont repliées sur le côté dans une position très inconfortable. Elle a fermé les yeux, mais elle ne dort pas… impossible. La nuit va être longue, et elle est crevée. Elle a envie de pleurer, se sentant complètement perdue.
***
Laurent, Marc et Nicolas sont trois collègues qui se rendent à un symposium à Milan. Ils ont décidé de faire le voyage en train de nuit pour avoir le temps de mieux se connaître. Ils occupent une cabine de quatre assez spacieuse et Marc, le plus âgé, a pris plusieurs bouteilles de vin pour leur permettre de passer une bonne soirée.
Laurent est allé au wagon-restaurant pour prendre quelques trucs à grignoter pour le groupe, et c’est en revenant à leur cabine qu’il remarque la jeune fille assise sur sa valise. Elle a l’air si fragile ainsi recroquevillée sur sa valise que ça lui fait de la peine.
***
Lorsqu’elle sent une main la secouer doucement par l’épaule, Annick ouvre les yeux, prête à se débarrasser du gêneur. Elle voit un grand type, plutôt baraqué debout à côté d’elle.
— Bonsoir, dit-il.
Annick lui renvoie un regard glacial, espérant qu’il comprenne qu’elle n’a pas envie de causer.
— Vous comptez passer tout le voyage sur votre valise ? continue-t-il sans se démonter.— Oui, je n’ai pas de réservation et il n’y a plus de place, répond-elle sèchement.— Nous sommes à trois dans une cabine de quatre. Si ça vous dit, vous pouvez vous joindre à nous.— « Nous »… tous des mecs, j’imagine ?— Ben oui. Mais on est bien élevés, on ne va pas vous manger, répond-il avec un sourire chaleureux.— …— Enfin, bon. Je vous laisse y penser. Nous avons la dernière cabine tout au fond du prochain wagon. Vous êtes la bienvenue si ça vous dit.

Et avec un léger sourire, Laurent repart vers sa cabine.
En le regardant partir, Annick se dit que ce serait trop dingue d’aller, comme ça, dans la cabine de trois hommes qu’elle ne connaît pas. Mais elle commence déjà à avoir mal partout tant sa situation est inconfortable alors que le voyage ne fait que commencer. Rester là sur sa valise, tout le trajet, va être un enfer. Et puis, le mec a l’air sympa et gentil. Si ses collègues sont comme lui, elle ne risque rien. Finalement, après avoir hésité pendant un quart d’heure, Annick se lève, met sa valise dans le compartiment à bagages et se dirige vers le bout du wagon. Arrivée devant la dernière porte, elle frappe un petit coup.
Marc qui est assis à côté de la porte, l’ouvre lorsqu’il entend frapper. La jeune fille dont Laurent vient juste de leur parler se trouve sur le pas de la porte, hésitante.
— Bonsoir, Mademoiselle. Entrez et installez-vous, dit-il en désignant la place vide à côté de la fenêtre.
Annick entre dans la cabine, un peu raide, serrant son manteau autour d’elle comme une protection et prend place sur le confortable fauteuil.
— Je m’appelle Marc. En face de vous c’est Nicolas, notre stagiaire. Et vous reconnaissez Laurent, qui vous a invitée.— Comment vous appelez-vous ? demande-t-il en posant un verre de vin en face d’elle sur la tablette.— Je m’appelle Annick. Merci pour votre invitation, dit-elle simplement.
Annick prend le verre de vin et commence à le siroter pour se donner une contenance. Après un petit silence, les hommes reprennent leur conversation sans plus s’occuper d’elle, lui permettant ainsi de les observer à son aise.
Celui qui l’a accueillie, Marc, a facilement la cinquantaine. Il est trapu, un peu bedonnant, pas vraiment beau avec un visage très carré et un regard bleu, direct et perçant. On remarque tout de suite qu’il a l’habitude de diriger et d’être obéi. Annick le trouve impressionnant.En face de lui, Laurent a environ la trentaine. Grand, athlétique, bronzé, il se dégage de lui une sorte de force tranquille. Quand son regard sombre croise celui d’Annick, elle sent des papillons dans son ventre qui lui font baisser les yeux sur son verre en rougissant un peu.Enfin, en face d’elle, il y a Nicolas qui semble très timide et baisse les yeux chaque fois que leurs regards se croisent. Et même s’il semble très grand avec des épaules bien dessinées, il est tout fin avec un peu d’acné, ce qui lui donne un air juvénile. Il ne doit pas avoir plus de vingt ans.
Depuis une heure, Annick écoute les hommes discuter sans participer à leur conversation. Elle sirote le vin que Marc lui ressert à chaque fois que son verre est à moitié vide. Après quelques verres, totalement détendue, Annick se dit qu’elle ne risque rien et se détend. Il fait plutôt chaud dans la cabine ; les hommes ont enlevé leur veston, fait tomber la cravate, et Laurent a remonté ses manches de chemise sur ses bras aux muscles bien dessinés. Finalement, Annick enlève son manteau et s’installe de travers, appuyée contre la paroi de la fenêtre, les genoux ramenés contre elle serrés dans ses bras.
La fatigue, le vin, la chaleur, le balancement du train… Annick s’endort rapidement, bercée par la conversation calme des hommes.
***
Lorsque Laurent remarque qu’Annick s’est endormie, il se permet de la détailler à son aise.Elle n’est pas spécialement jolie, mais elle a du charme avec ses grands yeux en amande, une bouche généreuse et une longue chevelure châtain clair qui ondule sur ses épaules. Elle porte un petit pull blanc court et large à manches courtes. Ses bras sont fins et musclés, et il s’imagine que ses jambes, cachées sous sa longue jupe en jean, doivent être pareillement longues, fines et musclées. Il la trouve très attirante. Peut-être à cause du vin, il se rend compte qu’il commence à bander ferme, et par réflexe il porte ses mains jointes sur son entrejambe pour le cacher. Mais Marc a remarqué et sourit.
***
Un peu plus tard, alors qu’un silence s’est installé dans le groupe, Annick se met à remuer dans son sommeil. La position en boule ne doit pas être si confortable car elle glisse pour s’allonger de tout son long sur la banquette. Dans le mouvement, la longue jupe portefeuille s’est ouverte et les pans tombent de chaque côté des jambes d’Annick, les dénudant pratiquement jusqu’en haut des cuisses. Une jambe s’est posée sur les genoux de Marc, l’autre retombant sur le côté de la banquette, son pied nu posé le sol. Ses jambes sont maintenant légèrement écartées, laissant voir une petite culotte de coton blanc toute simple. Dans le glissement, son pull s’est légèrement relevé et a découvert le bas d’un joli ventre tout plat.
Les trois hommes, figés, regardent le magnifique corps maintenant dévoilé, impudique, offert.Marc pose sa main sur le bas de la cuisse, près du genou et attend une réaction qui ne vient pas. Puis il remonte doucement la main à l’intérieur de la cuisse dénudée, légèrement, lentement, toujours plus haut en direction de la petite culotte. Sous la chaude caresse, Annick soupire profondément.Arrivé à la petite culotte fine qui laisse voir les reliefs du sexe de la jeune fille, Marc commence à lui caresser les grandes lèvres dans un va-et-vient léger mais ferme. Puis l’autre main se pose sur le pubis et les doigts frottent le clitoris d’un léger mouvement en rond. Ça fait gémir la jeune fille qui bascule son bassin comme pour venir à la rencontre des doigts de Marc. Annick a toujours les yeux fermés, et si sa respiration s’est accélérée, elle semble toujours endormie.
Marc ordonne à voix basse à Nicolas : « Occupe-toi de ses seins. En douceur et avec délicatesse. » Sans se faire prier, Nicolas s’agenouille sur le sol à côté d’Annick et soulève doucement son pull. En dessous, elle porte une brassière blanche qui lui comprime les seins, mais on voit déjà les tétons pointer au travers du tissu. Nicolas titille les tétons par-dessus la brassière jusqu’à ce qu’Annick se cambre et pousse ses seins en avant de plaisir, comme une invitation à aller plus loin. Alors, des deux mains il lui soulève la brassière et la fait glisser vers le haut, libérant ainsi deux seins magnifiques, de la taille de gros pamplemousses, bien fermes avec les tétons bien érigés.
Nicolas caresse les seins à pleines mains comme pour en sculpter les contours, en reconnaître la forme, puis il prend en bouche le téton le plus proche de lui et se met à l’exciter, alternant caresses avec la langue et succions ; en même temps, il s’occupe de l’autre téton en le roulant entre le pouce et l’index. Avec sa main libre, il commence à se caresser la queue par-dessus son pantalon.
Laurent attrape le couteau suisse qui avait servi à déboucher les bouteilles de vin, dégage la lame et s’approche pour couper les côtés de la petite culotte. Le tissu cède facilement, laissant enfin apparaître la chatte d’Annick, nature, couverte d’une fine toison et totalement ouverte, mouillée et luisante. Marc écarte les poils, pose la paume de sa main gauche sur le clitoris dégagé et le masse d’un mouvement en rond en ouvrant les grandes lèvres avec ses doigts, exposant ainsi aux yeux de tous le sexe encore plus ouvert de la jeune fille. Avec les doigts de l’autre main, il commence à caresser l’intérieur chaud et humide de la chatte de bas en haut, de haut en bas, s’aventurant en tournoyant à l’entrée du vagin.
Sans quitter ce spectacle des yeux, Laurent rejoint son siège, fourrant ce qu’il reste de la petite culotte dans sa poche. Une fois assis, il libère sa queue imposante, longue, large, et déjà fièrement érigée. Il commence à la caresser sans précipitation pour faire durer le plaisir.
Le spectacle est torride. Annick gémit d’un plaisir qui semble de plus en plus fort ; ses jambes s’écartent de plus en plus, comme une invitation à l’intention de ses assaillants pour qu’ils continuent.
Marc et Nicolas caressent intimement cette jeune fille endormie qu’ils ne connaissent que depuis quelques heures, et les trois hommes, très excités, sont prêts à pousser bien plus loin la découverte de ce corps offert et magnifique.Mais Annick dort-elle vraiment, ou a-t-elle juste les yeux fermés ?En tout cas, son corps ondule sous les caresses, sa chatte dégouline et elle gémit de plus en plus fort, signe qu’endormie ou non, elle prend un plaisir réel sous cet assaut.

(À suivre)
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