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Contrôle de gendarmerie musclé

Chapitre 2

Lesbienne
Je suis à présent hystérique. Je lui demande comment ça se fait. Mais aucune réponse. L’adjudant-chef décide alors de procéder à la fouille du véhicule. Martin est tenu en retrait par Monsieur Rodrigue et moi par Madame Paola.
Monsieur Durand regarde dans le coffre, dans les portières puis dans la boîte à gants, il y trouve deux petits sachets contenant une poudre blanche. Lorsque, je vois ceci, je rentre de nouveau dans une colère incontrôlable au point que le gendarme adjoint n’arrive pas à me retenir.
J’administre une claque monumentale à Martin qui ne réagit pas, et je me retrouve à présent menotté.
Maintenant, à cause de ça, nous nous faisons fouiller manuellement par les forces de l’ordre. Mon compagnon semble habituer à ce genre de chose, moi pas du tout. Madame Paola m’emmène à l’arrière de la voiture, me fait poser les mains sur le coffre et me fouille.
Avec le peu de vêtements que j’ai sur moi, ça ne va pas durer longtemps de toute manière, mais cette dernière ne se prive pas de mettre sa main dans mon décolleté et dans mon string poisseux. Elle sent d’ailleurs une matière visqueuse et me demande ce que c’est, je lui réponds que c’est du sperme, car j’ai couché avec le meilleur ami de ma sœur durant la soirée.
Elle plonge alors deux doigts dans mon vagin afin de confirmer mes propos, les portent à son nez, puis à sa bouche. Me traite de petite salope. Je lui demande alors d’être polie avec moi, puisque je le suis avec elle. Je reçois alors une magistrale fessée. Cette action m’électrise, mais j’en cris de colère.
Monsieur Durand vient voir ce qu’il se passe. Sa collègue lui explique la situation, il se retourne vers Martin et lui dit qu’en plus, d’aller en garde à vue, il est cocu. Il se met alors dans une colère noire, mais ne peut rien faire à cause des menottes, puis il est emmené dans le fourgon.
De mon côté, j’ai l’adjointe qui me demande si j’ai la possibilité de rentrer chez moi, je lui réponds par la négation, et elle me propose de les suivre à la gendarmerie pour appeler un taxi puis rentrer. J’accepte cette proposition. Mais cette dernière est très avenante avec moi.
Puisqu’elle m’ordonne d’enlever mon sous-vêtement. Je refuse dans un premier temps, me disant que je suis sorti de cette situation, mais je n’avais pas pensé que j’étais encore menotté. Je reçois alors une deuxième fessée.
Cette dernière m’électrise complètement. J’accepte donc de lui donner mon string qu’elle s’empresse d’arracher. Elle le porte à son nez, et me dit que j’ai une odeur assez sensuelle. Elle m’indique par la même occasion, que ce dernier sera accroché à son tableau de chasse.
A présent, elle me retourne, je suis face à elle, c’est une femme plutôt jolie, la quarantaine certainement, et ayant une paire de seins généreuse. Elle essaye de m’embrasser, je recule dans un premier temps, elle me retourne alors une troisième fois pour me claquer les fesses.
Je suis de nouveau électrisé par ce geste. Je lui fais de nouveau face, et cette fois-ci, je décide de ne pas refuser ce baiser. Notre échange est généreux à tel point que j’ai la salive qui coule dans le creux de ma poitrine. Ça me procure même quelques frissons. Elle me complimente sur la douceur et le goût de mes lèvres. Puis, m’invite à monter dans le camion. À l’arrière de ce dernier, nous sommes positionnés sur des bancs. Martin est accompagné de Monsieur Rodrigue, et Monsieur Durand conduit le véhicule.
Mon compagnon ne cesse de m’insulter de tous les noms, essaye de me taper avec ses pieds, action qui a le don de mettre Madame Paola dans tous ses états, puisqu’elle se lève, lui administre un coup-de-poing dans le ventre, puis attache ses pieds.

Cette dernière me demande si tout va bien, mais je ne peux retenir des sanglots de tristesse en voyant mon couple se détruire à cause de l’alcool. Elle essaye de me réconforter en me prenant dans ses bras, je me calme petit à petit. Le sentiment de sécurité me donne même la sensation d’en sortir plus forte.
Elle invective Martin, lui disant qu’en agissant ainsi, on ne peut qu’avoir une petite bite, que l’on ne doit pas être courageux. Joignant le geste à la parole, elle enlève l’une des bretelles de ma robe, en disant qu’avec une paire de seins pareille, on oublie très vite le besoin de s’alcooliser.
Monsieur Rodrigue qui paraît timide, ne manque pas une seule seconde du spectacle qui lui est offert. Elle continue d’ailleurs ses mouvements au point de faire dresser mes tétons. J’ai l’impression d’être son jouet, puisqu’à présent, elle m’a relevé, m’a penché en avant disant qu’avec un fessier de ce type, il y a autre chose à faire que de sniffer de la poudre.
Elle glisse même deux doigts dans mon puits d’amour qui est trempé de désir. Elle ne se prive pas de faire la remarque, mais aussi les faire sentir à Martin. Je suis à la fois estomaquée par ce comportement, et excitée à la fois. Ce double sentiment est assez surprenant. Madame Paola me fait rasseoir et m’embrasse sur la bouche. Elle prend une pause, et dit à Martin qu’elle va lui montrer comment on s’occupe correctement d’une femme.
Elle me caresse la cuisse droite avec douceur, enlève le haut de ma robe, commence à déguster mon sein gauche. Cela provoque en moi des palpitations dans le bas de mon ventre. Elle continue avec le droit. Elle me les pince, les malaxe. C’est la première fois de ma vie que j’ai une relation lesbienne. Et pour l’instant, cela ne me déplaît pas. Bien au contraire. Elle continue sa manœuvre en me mettant à quatre pattes sur le sol du fourgon. Elle soulève le bas de ma robe et me caresse la vulve.
Elle me doigte à nouveau. Ce qui me provoque un plaisir immense. Elle ne tarde pas à plonger sa tête entre mes fesses. Elle me titille le clitoris, joue avec mes lèvres de bas en haut. J’essaye de relever un peu la tête, et je vois clairement Monsieur Rodrigue se masturber à travers son pantalon.
Madame Paola le voit faire, et lui demande de se tenir, qu’il aura dans tous les cas sa récompense, un peu plus tard. Je lui fais remarquer tout de même que je ne suis pas le jouet de toute la brigade, malgré le plaisir qu’elle me procure. Je reçois une fessée puissante qui augmente encore plus mon excitation. Elle m’indique dans le même temps que je ne vais pas avoir le choix.
Après tout, je n’ai pas de compte à rendre, car à la fin de cette histoire, je vais me séparer de Martin. Elle reprend donc son cunnilingus dans les règles de l’art puis enlève son uniforme. Elle est à présent nue, et je confirme mes propos précédents. C’est effectivement une belle femme. Un peu carré des épaules, une poitrine généreuse, cent F, je pense et un fessier musclé qui tient bien dans la main. Elle positionne ses deux jambes de part et d’autre de ma tête. Et nous faisons alors un soixante-neuf.
Je parcours l’ensemble de son sillon. Je lui lèche les lèvres, plonge ma langue dans son vagin, titille son anus, glisse deux doigts dans ses entrailles pour la faire faillir. Elle fait de même avec moi. Cette action me procure beaucoup de plaisir. Sauf qu’elle met trois doigts dans mon puits d’amour qui ne cesse de s’élargir.
Je sens que mon bassin convulse, Madame Paola s’arrête, et laisse jaillir des jets de cyprine. Nous nous redressons, puis nous nous câlinons un instant quand soudain, nous entendons le bruit d’une fermeture éclair. Monsieur Rodrigue se lève, et sa collègue l’invite à obtenir sa récompense.
Je comprends très vite où il veut en venir puisqu’il présente son membre devant ma bouche. J’ouvre la bouche timidement, et dans le même temps, je reçois une fessée de plus de la part de Madame Paola. Forcément en criant, j’ouvre mes lèvres, et il entre sans aucun souci.
Je lui fais alors une fellation, il ne se prive pas de me palper les seins, par la même occasion. D’ailleurs, il ne tarde pas à me faire une branlette espagnole. Sa collègue me dit qu’il fantasme beaucoup sur les poitrines. Ce que je constate assez rapidement puisqu’il jouit abondamment.
Madame Paola n’en manque pas une goutte puisqu’elle lèche le sperme avec gourmandise. Nous sommes tous les trois en sueur et on se rhabille. Nous sommes à présent arrivés à la brigade.
Martin est emmené en cellule de dégrisement et est officiellement en garde à vue. De mon côté, je découvre la brigade et le bureau des trois officiers. Et je confirme les propos de Madame, puisqu’il y a des sous-vêtements d’accrocher au-dessus d’un tableau…
Je leur demande à présent si je peux appeler un taxi. Les trois compères me répondent par l’affirmative, celui-ci sera sur place dans trois-quarts d’heure puisqu’il vient depuis Bordeaux…
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