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Le Contrôleur

Chapitre unique

Voyeur / Exhibition
Il y a déjà quelques minutes que je suis assise dans ce RER. Mon sac sur mes genoux ne laisse rien deviner. Pourtant, ceux qui me connaissent savent... Je suis une libertine, et parfois même, dans les meilleures circonstances, une belle salope. Et justement, en cette fin d’après-midi, j’ai envie de jouer, de montrer à mon homme comment je peux m’amuser avec un inconnu.
Enfin un inconnu, OK, mais un inconnu que je choisis.
Le jeune homme devant moi ? Il pourrait être un amant vigoureux, mais il dort à moitié et ses baskets troués lui donnent un aspect négligé. Suivant.
Le grand en costume, debout ? Classe, bien coiffé, propre sur lui, la fin de trentaine coincée, trop peut-être. Et puis il a les yeux et les mains occupés sur son smartphone. Suivant
Le RER se vide au fur et à mesure qu’il s’éloigne du cœur de la capitale. Mon choix se restreint, le wagon devient moins dense, moins impersonnel, les regards peuvent se croiser, des sourires peuvent s’échanger...
Celui-là peut-être ? Il est assis de dos, mais présente bien. Il faudrait que je me déplace, sans, bien sûr, m’installer juste devant lui. Il ne me reste plus beaucoup de temps, allons-y.Ah zut, c’est une femme ! Cheveux courts et veste, je ne pouvais pas deviner. Je me suis déplacée pour rien ! Maintenant, si je rechange de place, ça va paraitre...
— Bonsoir, contrôle des titres de transport s’il vous plaît.
Alors, là c’est mort ! J’ai mon passe Navigo, je n’ai rien à craindre. Mais ce genre d’intrusion, pire que les musiciens ou les mendiants, court-circuite l’attention des voyageurs, et réduit à néant toutes tentatives d’exhib. Zut !
— Non madame, c’est un ticket de métro. Il ne permet pas de voyager en dehors de Paris.
Elle ne conteste pas, n’oppose aucune résistance et le contrôleur rédige son amende. Et moi, je vais rentrer bredouille. J’écarte tout de même un peu les cuisses, histoire de faire pendre l’aire à ma chatoune. Personne ne peut voir, tant pis, mais c’est tout de même agréable de sentir le frais à cet endroit.

Oups, redevenons sage, c’est mon tour. Et je suis la dernière du wagon à être contrôlée. Fin de service ? Simple pause ? Au lieu de changer de compartiment, le contrôleur s’assied. Et si c’était ma chance ? Ce n’est pas un pompier, ou un CRS à grosse matraque, mais il est tout de même en uniforme. Et moi, j’aime voir à l’entrejambe, un uniforme qui se déforme ; cette petite forme non conforme ; est-elle dans la norme ou carrément énorme ?
Oulà... je mouille, rien que d’y penser. J’écarte un peu plus, pas pour l’exhib, mais pour sécher un peu. J’ai posé mon sac à côté de moi, et j’ai légèrement glissé dans mon siège. Ma jupe laisse ainsi voir le haut de mes bas. Mais le bougre n’est pas en face, il ne peut donc pas en découvrir plus.

Je ferme les yeux et j’ai une grosse envie de me toucher. Ou plutôt, d’être touchée. Dans 7 minutes, je devrai descendre, et je n’aurai rien à raconter à mon chéri ce soir.
— Madame ? Madame, vous avez laissé tomber votre Navigo.
Le contrôleur me sort de ma douce torpeur. Effectivement, je l’avais gardé à la main lorsqu’il me l’avait rendu et en me laissant aller, je l’avais lâché. « Oh merci ». Il est maintenant assis en face de moi. Je réfléchis alors plus vite que mes hormones, et le laisse à nouveau tomber, juste devant moi. Il le ramasse encore, mais sans regarder. Je suis tombée sur un idiot, ou est-ce ce vendredi 13 qui me porte la poisse ? Tu ne comprends pas que je le fais exprès ! Dernière chance. Un bref tour d’horizon, tout le monde est occupé ou dans ses pensées. Je relève ma jupe un peu plus haut, ce qui libère encore un peu plus le compas de mes jambes, et je lâche à nouveau ma carte plastifiée.

Il me regarde, mais ne bouge pas. Ses yeux me dévisagent, puis descendent sur mes cuisses ouvertes, mais il reste immobile cet idiot ! Le porte-jarretelles n’est pas de la bonne couleur ? C’est quoi le problème ? Le voilà maintenant qu’il regarde partout ailleurs. Mais non, il n’y a pas de caméra, pas de piège, bobonne n’en saura rien, vas-y, mate, c’est gratuit !
Enfin, lentement, il se baisse. D’abord la main, puis la tête, et cette fois plus que nécessaire. Ramasse ma carte et me la tend lentement. Eh bien, il était temps. Le RER commence à ralentir, annonçant la fin de mon voyage.
— C’est...
Il n’arrive pas à en dire plus. C’est joli ? C’est humide ? C’est appétissant ? Je n’en saurai pas plus. Un timide peut-être. Puisque la parole lui manque, il pourrait avoir un geste, une main baladeuse, me toucher le genou, m’effleurer le mollet. Mais non, il reste bouche bée, les yeux fixés sur ma jupe presque entièrement relevée.

Le train ralentit. Les passagers se lèvent et commencent à se diriger vers les portes. A regret, je dois mettre un terme à mon exhib et renoncer à toute caresse de sa part. Tant pis, j’aurais au moins pu lui montrer un beau paysage.
Je me lève aussi, réajuste ma jupe et range enfin mon navigo complice. Les portes s’ouvrent et je sors à mon tour. Le temps de refermer mon sac, et de nouer mon manteau, le quai s’est vidé. Je suis la dernière à me diriger vers la sortie. La dernière ? Pas tout à fait. Mon contrôleur préféré a quitté la rame également. Il est là, 5 pas derrière moi et me suit lentement. Encore un petit jeu ? Allez, soyons folle.
Ce soir, l’escalator qui mène au hall de la gare fonctionne. Profitons-en. Je m’engage, rouvre mon manteau, et me place de profil, tout en feignant de ne pas le voir. Je dégage alors ma hanche et remonte ma jupe au plus haut que je puisse. Pendant presque 10 secondes, mon timide a une superbe vue en contre-plongée sur mon joli fessier. Pendant presque 10 secondes, mon intimité savoure le petit vent frais qui passe entre mes cuisses. Ca y est, je mouille à nouveau. Vivement la maison, que j’attrape mes jouets pour prolonger cette excitation.
Voilà le haut des marches, je me rhabille, traverse le hall, et jette un dernier regard à mon voyeur...
— Madame, vous êtes pressée ?
Je m’arrête et me retourne. Aurait-il enfin retrouvé la parole ?
— Pourquoi cette question ? — C’est-à-dire que... J’ai aperçu... Enfin j’ai cru... Mais peut-être qu’on vous attend.
Qu’est-ce que c’est pénible les gens qui ne finissent pas leurs phrases ! J’aimerais l’aider, mais la gare est sous surveillance vidéo. Pourtant, la chaleur qui me prend le bas-ventre et l’humidité qui suintent de mon minou ne demande que ça.
— Eh bien oui, je suis attendu chez moi, mais j’ai le temps de vous renseigner si vous arrivez à formuler une phrase cohérente.
Oh je suis vilaine de me moquer, mais bon, il faut qu’il se ressaisisse le grand garçon là !
Ma remarque sarcastique lui fait reprendre un peu de lucidité. Il se racle alors la gorge et me sort une proposition tout à fait inattendue : « Est-ce que vous avez déjà visité notre salle de pause »Ahhh voilà un projet extrêmement intéressant. Mais qui comporte quelques risques. Cet inconnu aux apparences réservées peut se révéler violent.
— J’avoue que non. Mais dans ce cas, j’aimerais en faire profiter mon mari. Je suis sûr que l’endroit l’intéresse aussi...
Il ne répond pas, mais ce n’est pas négociable. Il sort alors un trousseau de clés, ouvre une porte au fond du hall qui donne sur un couloir. Je le suis, le cœur battant, le téléphone à l’oreille.
— Allo chéri ? Je suis à la gare. Tout va bien. Je suis avec un gentil contrôleur qui me propose de visiter la salle de pause. J’ai pensé que tu pourrais profiter aussi de ce moment en vidéo.
Au bout du petit couloir, il ouvre à nouveau une porte sur une petite pièce qui ressemble plus à une cuisine qu’une salle de repos. Il y a un évier bas de gamme en inox, des meubles en formica, un plan de travail avec une cafetière Nespresso, et what else ? Une table en bois et 4 chaises dépareillées.
— C’est ici qu’on prend notre service le matin et qu’on mange aussi parfois.— C’est... charmant, c’est le mot ‘kitch’ qui devait sortir de ma bouche, mais je ne souhaite pas le vexer.— Chéri, je pose le téléphone pour que tu aies une vue d’ensemble, ça te va ? — Votre mari regarde ? — Oui, il aime savoir où est sa femme, c’est normal, non ? Et il aime savoir ce qu’elle fait. Surtout lorsqu’elle est seule avec un inconnu.
Tout en parlant, je retire mon manteau et le pose sur le dossier d’une chaise.
— Vous souhaitez un café ? — Non merci, pas à cette heure-ci.— Dommage, je n’ai que ça à vous proposer.
C’est ta crème que je veux voir couler, pas un café. Mais je ne lui fournirai pas cette réponse. Le pauvre est déjà assez mal à l’aise. Je reprends les choses en mains parce qu’on ne va pas y passer la nuit.
— Encore merci pour mon Navigo, j’ai failli le perdre sans vous. — Oui, mais c’est normal. Et puis... comment dire... j’ai été récompensé. — Et vous avez aimé cette récompense ? — Oui, beaucoup.— Vous aimeriez la revoir.— Oui beaucoup.— Ca vous excite de me voir presque nue.— Oui beaucoup.
Décidément, il manque de vocabulaire. Mais bon s’il bande bien, c’est tout ce que je demande.
Alors lentement, je soulève de nouveau ma jupe, et entreprends une petite déambulation pour lui faire admirer toutes les facettes de mon anatomie.
— Je peux toucher ? — J’allais vous le proposer, mais avant, lavez-vous les mains.
Et je lui sors mon flacon de gel hydroalcoolique. J’en profite pour laver les miennes aussi.

Ses mains sur mes mollets sont comme un électro-choque. Mon corps attendait ça depuis des heures. Il remonte sur mes cuisses et approche son visage de mon ventre. Ses doigts viennent jouer avec l’élastique de mon porte-jarretelles. C’est terriblement excitant. L’odeur de ma mouille parvient jusqu’à moi. J’ai envie de lui crier ‘bouffe-la’. Je tourne la tête vers mon téléphone, posé. Tu es là, dans le petit écran, souriant, je ne vois que ton visage, mais je suis sûre que tu as déjà une main dans le slip, mon cochon de mari. Je vais t’exciter encore plus. Pendant que mon contrôleur hésite toujours : la langue ou le doigt ? Le doigt ou la langue ? Je déboutonne mon chemisier et te montre ma poitrine. Et comme si ça ne suffisait pas, je dégrafe mon soutien-gorge et libère mes seins qui commençaient à se sentir à l’étroit. Je les sens fermes, et gonflés par le désir d’être caressés. Ton large sourire me confirme l’effet que je te fais.
J’aimerais que tu sois là pour t’occuper d’eux pendant que mon timide s’éternise à regarder ma chatoune toute lisse sans rien lui proposer de concret.
Enfin, je sens sa main sur mon coquillage. « Mets un doigt, vas-y ». C’est plus fort que moi, il faut que je l’encourage sinon... Enfin, je sens qu’il écarte mes lèvres et commence à me fouiller. Je suis tellement demandeuse que ce n’est pas son doigt qui s’enfonce, mais ma chatte qui lui gobe le doigt. J’écarte un peu plus, plie légèrement les genoux, « Mets-en 2 ». Sur mes conseils, il s’exécute et enfin le feu qui couvait en moi démarre. Mon bassin ondule et mon corps se penche sur lui. Il lève alors la tête et découvre mes seins qui se balancent. Sa seconde main vient en soupeser un, puis l’autre. Le contact chaleureux de sa paume est divin. En plus des va-et-vient dans ma chatte, son pouce arrive à frotter mon petit bouton. Finalement, il se débrouille pas mal pour un timide, mais il va m’en falloir plus pour décoller.
Après quelques instants à savourer ses caresses, je reprends l’initiative. Je m’assois sur une chaise et relève mon contrôleur debout, devant moi. J’entreprends de lui ouvrir son pantalon. Pour une fois, il ne se fait pas prier pour m’aider et sortir sa verge. Je l’attrape à pleine main et je l’évalue. Elle est droite, d’une taille tout à fait raisonnable, et surtout bien ferme. Elle est déjà prête. « Doucement ! je... je ne veux pas... enfin il y a longtemps que je... » Oh non, voilà que ça lui reprend de ne pas finir ses phrases. Et ne me dites pas que je suis tombée sur un éjaculateur précoce. Au royaume des Cieux, on dit que ce sont les meilleurs qui partent les premiers, mais au royaume des pieux, non ! C’est plus que frustrant. « Je n’ai plus l’habitude de... » Tu m’étonnes ! J’avais deviné que tu n’étais pas à la fête du slip récemment avec cette touffe de poil dans laquelle je pourrais perdre mes dix doigts, et cette grosse paire de couilles qui pend dans le vide affectif.
Mais bon, maintenant qu’on est là, je ne vais pas faire la fine bouche. « Vous avez un préservatif ? » « Euh... non ». Merde les gars ! Alors 3 conseils d’une salope expérimentée comme moi : 1\ L’hygiène. Ayez un service 3 pièces propre et sain. Et même légèrement parfumé, serait un plus. 2\ Passez régulièrement chez le coiffeur. Les buissons ardents, trop peu pour moi. Et 3\ Ayez toujours du matos sur vous, merde ! Un préservatif, un kleenex, c’est le minimum.
— Heureusement que moi... je vais faire comme lui, et ne pas finir ma phrase. J’attrape mon sac, trouve un préservatif rapidement et le lui tends. Pendant qu’il se bat à déchirer l’emballage, une idée me vient en voyant le flacon de gel resté sur la table. J’en verse dans le creux de ma main, et l’étale consciencieusement sur la verge dressée devant mes yeux. « Ohlà... ça chauffe : Ohlà... c’est chaud... Mais ça brule...». « Ca va ? » « Oui, ça va mieux maintenant, mais c’était... chaud ». Eh oui, mon garçon. J’ai découvert les propriétés du gel hydroalcoolique avec mon mari en 2009, avec la grippe H1N1. C’est impressionnant comme sensation, ça chauffe fort, mais ça ne dure pas. Il adore. Et en plus, ça désinfecte.

Enfin, il enfile son costume de latex. Je ne le laisse même pas finir et je commence déjà à lui lechouiller le gland. Il se tend plus encore. Je passe ma main sous sa bourse et la soupèse, la caresse. Il ronronne de plaisir. Et puis je lui fais ma spéciale gâterie experte. Des années d’entraînement acharné pour arriver à cette maîtrise complète de la fellation. Je serais sur le podium tous les 4 ans si la discipline était olympique ! Je ne peux en dire plus. Le mieux c’est de le vivre pour comprendre. Mon contrôleur ne me contredira pas, il ne contrôle plus rien et soupire de bonheur.
Bon, j’arrête, il ne faudrait pas que son train déraille en bouche. J’aimerais que sa locomotive reste sur sa lancée pour la rentrée dans mon tunnel. Je le repousse gentiment et me lève. La table ne me parait pas solide, alors je tourne le téléphone vers le mur du fond, et je vais me planter, jambes écartées, devant la fenêtre. Mon timide me suit maladroitement, avec son pantalon sur les pieds, mais l’étendard fièrement dressé. Je prends alors appui sur l’allège de la fenêtre, et je lui offre ma croupe avec ma meilleure cambrure.
Enfin, je le sens bien. Il n’a pas hésité et m’a rempli le con d’un seul coup de reins. Hummm que c’est bon de se faire fourrer, surtout trempée comme je le suis. Plus ça glisse, plus je mouille. J’entends son ventre claquer et rebondir sur mes fesses à chaque va-et-vient. Je jette un coup d’œil au téléphone. Tu vois chéri, comment il m’honore bien ? Tu aimes me voir baisée, hein ? Tu aimes que ta cochonne soit prise en levrette ? Tu aimes que je fasse ta pute ? Tu dois être en train de te branler. Attends que je rentre, on va rejouer au petit train tous les deux.
Je lâche lentement le rebord de la fenêtre, place mes mains sur mes 2 globes charnus pour les écarter. Et je lui montre ma raie bien ouverte. Ca ne te donne pas des idées ? Tu ne voudrais pas changer l’aiguillage et prendre l’autre tunnel ? Oui... voilà ... un doigt c’est bien. Mais c’est ta queue que je veux. Mais le temps que mon coincé se décide, je préfère le lui dire sans détour : « Prends-moi le cul, maintenant ! » « Comment ? » Pffff. J‘espère que ce n’est pas encore une hésitation. Je répète alors de 3 manières différentes. Il y en a bien une que son cerveau reptilien va assimiler ! « Prends-moi le cul ! Encule-moi ! J’ai envie d’une sodomie ! ».
Il se retire alors de ma chatte ruisselante, et présente sa rame de RER à l’entrée de mon tunnel le plus étroit. Je respire lentement, me dilate, et le feu passe au vert. Le train s’engouffre lentement mais sûrement. Je reprends appui sur le rebord de la fenêtre pour m’ouvrir encore plus. Et il me rentre son braquemart jusqu’à la garde mettant encore plus le feu à mes entrailles. Ô putain que c’est bon !
La chaleur du radiateur me caresse divinement les seins ; j’ai le cul à l’air, offert au regard lubrique de mon homme ; par la fenêtre, je vois passer les trains ; et dans mon arrière-train, j’ai coincé la queue d’un contrôleur coincé. Que je suis bien ! Il commence à me ramoner, je peux maintenant crier mon plaisir...
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