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Convalescence

Chapitre 6

6ème jour

Gay
6ème jour. Cette fois, au petit matin, je sens Bruce bouger quand il veut se lever.— Reste…— Non, il faut que j’y aille… Et je ne viendrai pas non plus ce soir, je dois rentrer chez moi pour la nuit. Tu vas devoir tenir deux jours sans moi…— Deux jours… Impossible… A moins que… Il me faut un souvenir…Je me décale et viens me placer tête bêche au-dessus de lui. Mes lèvres se saisissent joyeusement de sa verge moite, odorante et semi-flaccide en même temps que les siennes attrapent la mienne. C’est harmonieusement que nous nous suçons mutuellement pour nous faire durcir, malgré le goût désagréable de nos sécrétions nocturnes. C’est à qui fera jouir l’autre en premier. Nos bouches avides ne laissent aucun répit à nos pénis en parfait épanouissement matinal. C’est moi qui perds le combat après un imparable coup bas : au moment où ce cochon se met à me doigter le fion je ne peux plus me retenir d’éjaculer abondamment. Est-ce le goût de mon sperme qui déclenche sa jouissance ? Toujours est-il qu’il ne tarde pas à jouir à son tour, emplissant ma bouche d’une liqueur mâle d’une extrême finesse. Une liqueur que, comme lui, je m’empresse d’avaler avec bonheur.Il me fait choir à ses côtés et se jette sur mon corps pour m’embrasser, partageant ainsi les derniers relents de nos semences de mâles amoureux. Nous restons un bon moment à nous remercier buccalement de tant de générosité. Puis, la verge pendante, allongée mais pas raide, délicieusement gonflée et courbe, nous partons sous la douche pour nous laver.Je le laisse me quitter après un dernier baiser et une dernière caresse insistante de sa part sur ma virilité. Et je retourne au lit pour replonger aussi vite dans le sommeil. J’émerge péniblement deux heures plus tard. Il n’y a plus personne dans la salle de restaurant. Annie me fait gentiment un sandwich pour le déjeuner agrémenté de quelques gourmandises. En me poussant dehors elle ajoute :— Reviens-moi en pleine forme : ce n’est pas cette nuit que tu vas te reposer !Je lui pince un sein avant de filer dans la montagne. Le temps est revenu au beau fixe : froid sec, soleil étincelant et neige fraiche. Le bonheur. J’attaque une longue randonnée de près de sept heures de marche. Je me sens en pleine forme. Les douleurs musculaires découlant de mon accident ne sont plus qu’un lointain souvenir. L’exercice au grand air, le repos et les heures de renforcement musculaire m’ont remis d’aplomb. Je réalise que j’ai atteint en six jours l’objectif que je m’étais fixé en quinze. Donc que je pourrais parfaitement repartir maintenant. Mais je n’en ai aucune envie. D’abord parce que la fougue sexuelle d’Annie me ravit. Ensuite parce que je m’attache à Bruce, si doux et brutal à la fois, si réservé et si débridé quand il est chauffé, si chaud et sensuel, si jouissif quand il me lime la rondelle… Et puis j’ai une envie irrésistible de l’initier au plaisir anal. Je sens bien qu’il résiste. Mais qu’il est tout entier attiré par cette découverte. Comme il a résisté avant de céder au plaisir de la fellation, au bonheur de me sodomiser.Mes pensées ne cessent de vagabonder entre mes amants du moment, mon boulot qu’il faudra bien reprendre, ma vie d’avant dont je ne veux plus, mes projets qui peinent à prendre forme…Je rentre à la nuit tombée. Annie commençait à s’inquiéter. Elle m’envoie immédiatement me réchauffer au spa. Je me contente de poser sac et veste dans ma chambre et pars libérer mon corps de tous ces vêtements devenus inutiles. Je reste un moment sous la douche bouillante avant de passer au sauna. Quand j’y sors je tombe nez à nez avec Annie, tout sourire. Elle caresse mon corps trempé de sueur. Je la laisse faire. Elle constate avec ravissement que ma verge grossie et s’élève. Elle masse mes testicules pour finir de me faire durcir, me décalotte d’un doux geste coquin et se penche pour mettre mon sexe en bouche. Elle pousse des petits râles de satisfaction tout en me suçant et me pompant. Ses mains pétrissent mes fesses sans ménagement. Ses yeux sont noyés dans les miens.A regret ses lèvres libèrent ma queue. Elle se redresse et me roule un palot du diable. Quand nos bouches se séparent, ses yeux lancent des flammes de désir.— Tu ne veux pas faire quelques exercices d’étirement, là, devant moi ? Je veux te voir nu. Je veux voir ton anatomie en action ; tes fesses, tes cuisses, tes épaules… Humm, que j’aime regarder les beaux mâles nus !— A votre service madame ! M’exhiber devant vous est un grand bonheur !Pendant un bon quart d’heure je multiplie les mouvements dans les positions les plus indécentes. Elle ne résiste que quelques secondes avant d’accompagner les mouvements de mon corps de caresses très impudiques sur ma peau.Une dernière mise en bouche de mon pénis qu’elle fait durcir. Elle ne me quitte pour aller préparer le diner. Pendant toute cette séance, une idée salace m’a torturée. Aussi, au moment où elle sort du spa, je l’informe que je viendrai diner vers 21h30, après tout le monde. Une lueur perverse lui traverse le regard. Je lui réponds pourtant avec un sourire d’ange, enjôleur et naïf. Elle rit. Et me donne son accord.Je poursuis encore un bon moment mes exercices en tâchant de ne pas penser à la nuit qui s’annonce. Puis je retourne dans ma chambre prendre une nouvelle douche et me mettre à mon ordinateur. Quelques mails de mes clients et amis expriment leur satisfaction de constater que je me suis remis à dessiner. Mon principal mécène remarque que je suis particulièrement inspiré tant mes dessins suintent d’érotisme torride. Je lui réponds par mail que quand un dessin représente une verge bandée dans un vagin trempé, c’est plus que de l’érotisme : cela s’appelle de la pornographie, et je l’assume très bien !
Je m’excite tout seul à produire rapidement des œuvres que je trouve très réussies. Je regarde ma queue décalottée et tendue et lui dit, en guise de confidence :— décidément, tu es en pleine forme mon gars !Suis-je le seul mâle sur terre qui, par moment, parle à son sexe comme s’il était une personne ? Je m’interromps brutalement en constatant qu’il est presque dix heures moins le quart. Annie doit bouillir d’impatience. J’attrape un peignoir et l’enfile avant de sortir. Je ne porte aucun vêtement dessous.De toute évidence les autres clients sont partis se coucher. La salle de restaurant est déserte. Seule une table est dressée avec deux couverts. J’entends Annie s’affairer dans la cuisine. Je prends les assiettes et les couverts, passe derrière la banque d’accueil puis dans le bureau de l’office. Je pousse les quelques papiers qui trônent et dresse la table. Annie me regarde ressortir, étonnée, pour aller prendre les verres et revenir les poser dans le bureau. Je ferme la porte à clef. J’ôte mon peignoir et me campe, nu, excité, devant elle. — Chère Annie tu vas te laisser faire. Ce soir, c’est moi qui fais le service. C’est toi la cliente. Et c’est service naturiste !Ses yeux brillent d’excitation. Elle s’approche de moi pour saisir fermement ma verge tendue d’une main, ma fesse de l’autre et me rouler un patin.— Je suis tout à toi pendant le repas... lui dis-je. Tu fais ce que tu veux de moi. Quand tu seras rassasiée nous irons ensemble au spa. Là nous partagerons un coït dans des saillies mémorables. Quand nous aurons bien jouis, tu viendras passer la nuit dans mon lit. Et là, ce sera moi le maître du jeu : tu feras tout ce que je voudrai… Je suis un gentleman : c’est une fois que tu m’auras vidé les bourses que tu seras toute à moi. C’est cool, non ?Elle éclate de rire.— Ai-je mon mot à dire ?— Non. Je peux me rhabiller si tu n’es pas d’accord…— Hors de question ! Va chercher les entrées dans le frigo de droite…Je reviens avec deux assiettes, la queue toujours tendue.— Voyons voir cela…Je fais mine de poser les assiettes mais elle m’arrête.— Tsstt, tsstt, tsstt… Je sais bien ce que j’ai préparé. Mais ces petites couilles, sont-elles bien pleines ?A nouveau elle joue à me masser adroitement les testicules, déclenchant des vagues de plaisir qui fécondent mon corps. Elle attrape mes deux fesses et m’attire à elle.— Pose donc ces assiettes avant qu’elles ne tombent !Pendant que je m’exécute elle recule sa chaise et me cale entre la table et elle. Elle relève ma verge avec le nez et commence à me lécher les bourses. Un délice ! Sa langue parcourt ma hampe avant de la mettre en bouche. Elle me pompe savamment pendant un petit moment avant de se relever. Elle repousse les assiettes et me couche sur la table. Elle approche sa chaise pour y poser mes jambes bien écartées. Alors la cochonne attrape son assiette et la déverse savamment sur mon pubis, mon nombril, ma poitrine. Elle grimpe sur la table et vient, tête bêche, s’assoir sur mon visage.— Mange ma culotte, beau mâle, pendant que je déguste ton corps !J’ai sa culotte trempée de foutre sur le nez. Je commence à la mâchonner. Elle a un délicieux goût de femelle en chaleur. Je sursaute à de multiples reprises quand sa langue s’acharne sur mon épiderme pour attraper les aliments. Je suis ivre de sa saveur. Ivre de ses tendresses linguales.Mes dents réussissent enfin à décaler le tissu de sa culotte sur le côté. J’ai plein de poils pubiens entre les dents. Peu m’importe, ma langue s’enfonce dans son vagin ruisselant de foutre. Je manque de bondir quand sa bouche avale ma verge et se met à la pomper. Son entrée est finie. La gâterie mutuelle démarre. Ce soixante-neuf gourmand nous occupe un bon moment. Mais l’effort physique est trop intense pour elle. Elle redescend maladroitement, reprend consistance et se met à butiner les rares restes posés sur mon anatomie. Elle finit par attraper une serviette et essuie mon corps tout en me branlant. Elle s’approche enfin de mon visage et me demande d’un air sévère :— Lequel de nous deux est le plus cochon ?— C’est trop tôt pour le dire… poursuivons ce repas… réponds-je en me disant que, décidément, entre Bruce, elle et moi, les cochonneries sont légion !— Humm… J’ai l’élastique de ma culotte qui me gêne. Un malotru l’a déplacé. Sauras-tu la retirer, juste avec les dents, sans me mordre ?— Difficile… Avec tes lèvres intimes grandes ouvertes, ta vulve gorgée de plaisir, ton clito qui sort de sa cachette… Difficile… Mais jouable !Je me redresse d’un bond et m’agenouille devant elle. Elle pose ses mains sur ma tête, la fait passer sous sa jupe déjà bien maltraitée et me frotte le visage contre sa vulve.— Oui… Les hommes sont des cochons… Et les femmes aiment les cochons… Et je suis une cochonne qui adore les cochons ! Arrache-moi cette culotte !La tâche est ardue. Mon menton, mon nez, mes paupières, mes joues sont maculées de foutre. Je ne peux retenir de grands coups de langue bien large tout le long de sa fente. Mes lèvres pincent le tissu en tentant de le tirer vers le bas. Aux caresses sporadiques des mains d’Annie sur ma tête, je devine qu’elle adore. Enfin, laborieusement, je réussis à faire glisser ce qui n’est en fait qu’un string, le long de ses cuisses. Elle n’attend pas le passage des genoux pour, d’un coup sec, l’arracher et jeter à terre ce qu’il en reste. Je suis déçu pour ce petit morceau de tissu blanc qui m’avait l’air très mignon…Elle se rassoit sur le bord de sa chaise, écarte grand les cuisses, soulève sa jupe et m’invite à venir la lécher sans retenue. A peine ai-je commencé qu’elle referme la jupe autour de ma tête, la tenant prisonnière tout en l’attirant contre sa chatte en feu. Je la dévore goulûment ; elle suinte d’un puissant nectar dont je raffole.Et brusquement elle me rejette. Je roule à terre. Elle se campe au-dessus de moi, exhibant sa moule gluante.— Regarde dans quel état tu me mets !— Un état… long… calmerait cette irritation !— Etalon, étalon… Vantard ! Viens plutôt manger ton entrée. Et pour te punir, je supprime les couverts !Elle pose sur le bord de la table mon assiette qui a miraculeusement survécu à nos galipettes. Je me penche en avant, fessier bien rebondi en arrière, la queue raide ballant, et je commence à laper ma nourriture. La coquine en profite pour me pétrir les fesses, caresser mes couilles pendantes, bisouter mon dos et mes épaules. J’ai presque fini l’entrée quand je sens ses lèvres descendre plus bas que le bas de mon dos. Elles déposent des bisous sur l’entrée de mon défilé anal et, tout en me léchouillant, descendent jusque devant mon petit trou. Instinctivement j’écarte un peu plus les jambes. Elle ne peut pas ne pas l’avoir remarqué. Elle donne de grands coups de langue sur ma rondelle en joie. Je bande comme jamais. Et c’est au moment où sa main attrape ma queue pour la serrer très fort qu’une de ses phalanges, bien humectée, s’enfonce dans mon anus. Je pousse un gémissement sourd tout en affalant complètement mon visage sur la table. Elle s’approche de mon oreille et, tout en baladant son doigt dans mon rectum, me demande :— C’est cela que vous faites avec Bruce ?Comment diable sait-elle ?— Oui…— Tu le sodomises ?— Non… Il ne veut pas… Elle est trop grosse… Il a peur de souffrir…— Trop grosse… décidément tu es un vantard ! Alors c’est lui qui te sodomise ?— Oui…— Et tu aimes cela ?— J’adore ! Surtout son sexe : il est long et fin. C’est hyper jouissif !— Long et fin… Moi je préfère les belles et grosses… Comme la tienne… Je te laisse la queue de Bruce. Mais ne me l’abime pas ! Je tiens à lui ! Il est si… parfait…— Jamais je ne lui ferai du mal ! Je tiens aussi à lui ! Il est si… mignon…— C’est très sexuel entre vous ?— Non… Sensuel, surtout… Être nus ensemble. S’exhiber, se reluquer, se caresser, se sucer… jouir…— Humm. Deux beaux garçons nus dans mon hôtel à s’envoyer en l’air… Je le savais ! Mais je te le laisse… Jamais dans ma basse-cour… Pas avec mon employé…— Deux gars qui se besognent… Cela ne te gêne pas ?— Pourquoi veux-tu que cela me gêne ? J’aime autant caresser un corps de mâle que vous. Sucer une belle queue… Avant d‘être prise par elle… Vous voir éjaculer… Et qu’est-ce qui te dit que je n’aime pas m’ébrouer avec une fille ?— Je n’en sais rien… Mais pour l’instant c’est toi qui a un doigt dans mon anus…— Veux-tu plus gros ?— Avec plaisir !La coquine lâche ma queue et attrape un couteau au long manche bien arrondi. Elle retire son doigt et, immédiatement, me l’introduit dans le rectum. Le contact froid de l’inox contre la chaleur de mon conduit me fait sursauter. Elle s’amuse un instant à me goder avant de me demander :— Serais-tu capable d’aller dans la cuisine chercher le plat avec ce manche de couteau planté dans ton joli petit cul ?— Pourquoi pas…Elle rit. Elle me libère. Je me redresse et fais trois pas vers la cuisine. Mais le poids du couvert est trop important et le couteau sort rapidement de mon conduit pour tomber à terre.— Tant pis ! Ce n’est pas grave… Mais tu étais mignon emmanché comme cela !Je ramène tranquillement le plat principal. Ma verge allongée pend entre mes jambes. Elle sourit en me voyant approcher. Une fois les assiettes chaudes posées, elle met mon sexe en bouche et le fait durcir.— J’aime ton épieu bien dur…Et comme d’autres mangent leur plat en s’arrêtant toutes les deux bouchées pour avaler une gorgée de vin, elle s’arrête à chaque bouchée pour me sucer, me pomper, me lécher… Ce n’est qu’à la moitié du plat que je réalise qu’elle a largement dégrafé son soutien-gorge. Mon regard tombe sur sa poitrine généreuse. — Enfin… Enlève-moi ce soutif au lieu de te laisser aller passivement à te faire sucer ! me dit-elle en gloussant.Je m’exécute et réussit sans mal à libérer sa magnifique poitrine. De beaux seins lourds et fermes ! Que je me mets aussitôt à téter. Elle m’arrête pour m’inviter à manger à mon tour. Alors se succèdent des bouchées, des tétées, des sucées délicieuses. Chacun dévore son plat autant que le corps amant.Quand nos assiettes sont vides, elle attrape ma nuque et vient frotter ses seins bouillants sur mon visage avant de l’enfouir en son centre. Sa main n’a pas lâché mon sexe. Je la tète puis m’enfonce dans sa poitrine moelleuse tandis qu’elle me branle doucement. Insensiblement elle fait pression sur ma tête pour que je m’abaisse. Alors, très lentement, je descends en lui léchant le ventre, le nombril, le pubis. Elle enlève son chemisier devenu inutile. Elle soulève son bassin. Je lui ôte sa jupe. Elle est enfin nue devant moi, gracieuse dans son corps généreux de femme mûre qui a encore tant de plaisir à donner. Bientôt je suis de retour entre ses cuisses et je lui offre le plus suave des cunnis tout en pétrissant sa poitrine. Elle gigote de plus en plus tout en gémissant. Et finit par m’offrir son orgasme comme dessert. Un orgasme géant qui déverse un flot de foutre dans ma bouche, sur mes lèvres, sur mon visage. Je me repais de sa liqueur abondante. Pourtant, en bonne amazone farouche, elle se relève d’un bond en me disant :— Prends-moi ! Là ! Debout ! Besogne-moi comme une bête et jouis ! Jouis comme une bête ! Pas dans ma chatte. Sur mon ventre… Tu arriveras à te contrôler ?Je hoche la tête. Je l’assois sur le rebord de la table et, sans faux semblant, la pénètre d’un grand coup de queue que l’odeur et le goût du foutre a mis en complet émoi. Elle crie en sentant mon sexe s’enfoncer dans son vagin jusqu’à la garde. Le temps s’arrête. Le souffle court, elle noie son regard dans le mien. Et exprime son insatisfaction.— Qu’est-ce que tu attends ? Vas-y, lutine-moi !Alors, par de grands coups de reins, je la bourrine comme un fou, entrant et sortant d’elle sans ménagement. La table subit mes assauts en reculant, ce qui nous fait sourire mais n’interrompt pas notre coït. La table enfin calée contre le mur, je peux la culbuter à loisir en pétrissant ses seins même si je me rends bien compte du bruit sourd que font les cognements contre la cloison. Cinq bonnes minutes de fornication en règle avant que je sente jaillir la lave. Il est moins une quand je me retire et éjacule de tout mon saoul sur son ventre, encouragé par ses paroles qui n’impriment pas mon cerveau. Elle bascule en arrière sur la table en m’entrainant avec elle. Ses lèvres cherchent les miennes. Ses yeux rieurs me jettent :— Ça c’est une saillie, mon gars ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas été prise avec une telle bestialité. Divin ! Mais tu m’as tellement échauffée…— On se demande bien qui a échauffé l’autre !Elle glousse de bonheur. Elle m’enserre avec ses jambes en faisant pression sur mes fesse. Nous restons un bon moment enlacés à nous embrasser. Quand nous nous relevons nous constatons que nos ventres et nos torses sont maculés de sperme. Elle en ramasse de sa main droite et s’en enduit la poitrine. — J’adore les massages de sperme. Cela raffermit mes seins… Mais tu m’en as mis partout mon cochon !Ses doigts en récolte sur ma peu avant de s’approcher de mon visage et de s’engouffrer entre mes lèvres.— Tu aimes cela, le goût du sperme ?— Oh que oui !— Humm, tu es un gars dangereux au lit ! Plus d’ébat sans capote !— Promis !Mais mon air penaud ne la trompe pas. Elle m’envoie une grosse claque sur les fesses avant de m’ordonner de remettre la pièce en ordre. Ensemble, dans le plus simple appareil, nous rangeons et nettoyons le bureau et la cuisine. Onze heures ont sonné depuis un moment. Quand tout est prêt, elle se colle à moi amoureusement en m’enveloppant.— Un bain de minuit, amant véloce ?— Avec plaisir ! Allez, zou ! Dans le jacuzzi !Annie fait mine de se rhabiller. Je l’en empêche. Elle insiste. Je ne cède pas. C’est finalement tous les deux entièrement nus, nous tenant par la main, que nous sortons de l’office pour traverser tout le couloir en nous dirigeant vers le spa. Nous y entrons d’un air digne, comme si la situation était banale. Pourtant, à peine la porte refermée, Annie m’entraine dans la douche. A ma grande surprise elle s’accroupit légèrement et, sans me lâcher du regard, sourire aux lèvres, se met à évacuer un jet d’urine qui devait la chatouiller depuis un moment. Cette vision totalement impudique fait grossir mon pénis qui était en récupération depuis un moment. Elle tend la main, l’attrape et, dirigeant son extrémité vers la bonde, me dit :— A ton tour de te soulager. J’aime bien tenir le petit tuyau des mâles quand vous urinez…— Petit tuyau… Quelle infamie ! dis-je en vidant tranquillement ma vessie sous son regard intéressé. Elle fait ensuite couler l’eau. Nous nous rinçons succinctement avant de nous glisser dans le bassin du jacuzzi. Elle s’assied sur moi, collant sa poitrine contre la mienne pour mieux jouer avec mes lèvres accueillantes. A force de jeux buccaux et de tétées de ses chaudes mamelles, ma verge se remet à durcir. Elle ne tarde pas à l’insérer dans son puits d’amour puis à balancer légèrement son bassin de haut en bas. Sans demander la permission, ma main pelote son fessier et une phalange, puis deux,  viennent pénétrer son anus. La chaleur de l’eau détend les chairs. Mon doigt va et vient en toute liberté dans son étroit fion tandis que mon épieu lutine doucement son con. Nos lèvres sont insatiables qui suçotent le moindre morceau de chair qui passe. Je me repais de sa bouche mais plus encore de ses seins qui sont d’un moelleux absolu.Notre doux coït dure un très long moment. Quand nous nous rendons compte que nos souffles sont extrêmement raccourcis, nous comprenons que l’apothéose du feu d’artifice est proche.— Viens… Dans le sauna ! dit-elle.Elle se désimbrique et m’entraine dans la cage en bois. Elle s’assoit sur le plus haut banc, jambes écartées, accueillante. Je me place devant elle. C’est là que nous nous rendons compte qu’avec notre jeu naturiste, nous n’avons aucun préservatif à portée de main. — Pas grave… Tu te retiendras et m’éjaculera dessus ?— Je vais essayer. Pour être honnête, ce n’est pas gagné !— On verra !Posant ses mains sur mes hanches elle m’attire contre elle, guidant mon épieu pour qu’il pénètre directement son vagin grand ouvert. Une fois emmanchée jusqu’à la garde, elle me mordille l’oreille en repoussant puis attirant mon corps contre le sien. Le va et vient, lent au départ, s’accélère. C’est elle qui définit la cadence de la pénétration. Une pénétration qui s’accélère. Un coït de plus en plus acharné. Je me mets à râler sourdement. Elle se met à lâcher de petits cris de plaisir. La paroi du sauna vibre sous mes assauts. Je la fouraille de plus en plus puissamment. Au point qu’elle exhale enfin un long gémissement orgasmique accompagné de secousses sismiques qui traversent son corps à coup de spasmes de jouissance. Je décide de ne pas stopper mon pinage. Tout en continuant mon besognage, je constate que son conduit regorge de foutre que mon phallus en feu fait ressortir par ses va et vient incessants. Elle semble d’abord gênée que je ne mette pas un terme à mon coït. Puis, très vite, elle semble apprécier les nouvelles sensations reçues. C’est une nouvelle saillie pour elle. C’est une conclusion proche pour moi. Elle se met à me pincer les tétons en m’encourageant à la fourailler. Je me mets à haleter. L’éruption est imminente. Par sa féminité débridée, par son expérience, elle le ressent. Elle me repousse. Elle pivote pour s’allonger sur le banc tout en m’attirant sur elle. Elle tente de saisir mon dard. Ses mains glissent sur ses moiteurs. Elle sourit, s’y reprend à deux mains et réussit enfin à démarrer la branlette finale. Elle glisse encore un peu sous moi. Elle lâche mon sexe pour le caler entre ses seins. Elle les serre contre mon vit, le recouvrant entièrement. Et dans cet étui mammaire, je reprends mes va et vient pour éjaculer enfin brusquement, pulvérisant ma semence sur son visage. Les derniers frottements entre ses seins libèrent mes dernières gouttes de semence. J’approche mon gland de ses lèvres au cas où une petite gâterie la tenterait, mais elle refuse et me repousse en arrière.Je suis au-dessus d’elle. Elle est tout sourire. Superbe aussi, avec mon sperme qui nappe son beau visage. J’approche mon visage du sien. D’un coup de langue je récolte la semence qui coule à la commissure de ses lèvres. Je lis un remerciement dans ses yeux. Alors j’entreprends de récolter toute ma production séminale en lui léchant la face. Je sens son corps en frémir de plaisir. Et je lèche, je lèche encore…— Tu es un vrai gourmand de sperme, hein, mon beau bi… susurre-t-elle sur un ton amusé.— De sperme et de foutre, ma belle !C’est elle qui me fait basculer sur le côté. Elle se saisit de ma verge semi flaccide et gluante et se met à jouer avec. Nos peaux commencent à suer abondamment. Nos mains se mettent à tripoter nos intimités gluantes. J’enfourne deux doigts dans son vagin toujours grand ouvert. Je les ressors nappés de cyprine que je m’empresse de mettre en bouche. Au bout de quelques minutes de ces tendresses épidermiques, je me décale pour venir lécher son minou. Elle se laisse faire sans hésitation, aussi heureuse de son offrande à ma gourmandise que des sensations que déclenchent mes assauts linguaux.Dix bonnes minutes ont passés. Nous ressortons du sauna pour prendre une douche froide revigorante et boire un grand verre d’eau. Puis nous retournons dans la fournaise, pour une seconde séance. Nous nous collons l’un contre l’autre, corps enlacés, lèvres en action. Très vite sa main libre vient se poser sur mes fesses, puis s’introduire dans mon anus. Je la laisse faire avant d’aller à mon tour égarer un doigt dans son petit trou. Et pendant quinze minutes, nous nous doigtons mutuellement le fion tout en nous bécotant, ravis de ces douceurs particulières.Nous finissons par ressortir pour aller directement dans le jacuzzi. Nous poursuivons un petit moment nos tendresses épidermiques et linguales jusqu’à ce que le premier bâillement surprenne la belle. Je comprends qu’il est temps de filer au lit.Le temps de nous rincer et de fermer le spa, nous voilà à nouveau nus à traverser le couloir pour entrer dans ma chambre. Nous nous mettons immédiatement sous la couette. Je veux poursuivre notre saillie.— Non… Je m’endors.— Voilà un coup classique : « je suis trop fatiguée… Demain… » Tu n’as pas mal à la tête non plus ?— Tu es de mauvaise foi. Avec toutes les galipettes que nous avons faites, il est normal que nous ayons un coup de pompe !— Mouais…— Laisse-moi piquer un petit roupillon. Mais promis, si l’un de nous se réveille en pleine nuit, on remet cela !— Je ne vais pas fermer l’œil alors…En quelques secondes je la vois sombrer dans le sommeil. Sa poitrine soulève ses beaux seins nus à un rythme régulier. Je tente de passer la nuit à admirer ces merveilles mammaires, mais le sommeil me prend à son tour.  Quelle heure est-il ? Aucune idée. Je suis sorti des limbes par une main qui caresse ma verge au repos puis, l’ayant fait durcir, se met à la branler doucement. Ma main à moi vient saluer la mamelle qui est toute proche, avant de glisser sur son ventre et, aidée par l’écartement de ses cuisses, venir loger contre, puis dans, sa fente. Très vite une chaude humidité envahit son vagin. Nos lèvres mènent quelques escarmouches buccales. Les sangs totalement échauffés, elle murmure à mon oreille :— Prends-moi en levrette ! Je veux me soumettre à tes pulsions… Je suis ta soumise… Amuse-toi !Elle n’attend pas ma réponse pour se mettre à quatre pattes, croupe bien relevée, cuisse écartées, et allumer la lumière. L’éblouissement s’estompe. Elle est superbe avec ses chairs charnues, ses seins pendants, ses fesses toutes rondes, son abricot charnu qui luit tellement il est poisseux. Je prends un préservatif et ouvre l’étui. Mais avant de le dérouler je me place face à elle et lui intime de me sucer. Ce qu’elle fait immédiatement avec gloutonnerie. Je ne peux m’empêcher de masser son dos, puis son fessier. Pris d’une inexorable pulsion bestiale, j’entame une fessée d’une intensité croissante. Il me semble que plus je la claque, plus elle me suce avec avidité. La cochonne aime !Je finis par retirer ma verge de sa bouche pour y enfourner mon majeur. Comprenant immédiatement, elle l’humecte abondamment avant de me laisser lui offrir un doigté anal tandis qu’elle a réembouché ma virilité. Nous nous échauffons fortement jusqu’à ce que je me dégage, enfile le préservatif et me place derrière elle. Sans ménagement je la percute et entame dans son vagin dégorgeant de sève une chevauchée fantastique. Je me plais à alterner les trots et les galops, à la fesser par moment quand, au pas, je contemple la beauté galbée de sa croupe, à me coucher sur elle pour pétrir ses seins tandis que je la trombone comme un fou. Notre cavalcade sauvage est intense. Nos corps déjà repus de jouissance la font durer. Mais cela ne m’empêche pas de tringler sans discontinuer, encouragé par les gémissements de plus en plus rauques de ma belle qui, entre deux couinements, m’ordonne de continuer. Je finis par libérer les dernières gouttes de ma testiculaire réserve de sperme dans un orgasme profond. Et je m’effondre sur le lit, le corps en nage.La coquine me retire la capote usagée et la jette au sol. Elle me couche sur le dos, grimpe sur moi, approche son ventre de mon visage pour collet sa vulve éreintée contre ma bouche. Le bonheur !Je m’abreuve alors dans son puits d’amour que j’ai si fortement maltraité en tentant d’abord de le soulager puis de le faire exulter. Mon alternance de jeux de langue entre le fonds de son puits, son défilé et son clito érigé ne tarde pas à faire gesticuler l’impétueuse amante. Et c’est au moment où je commence à craindre que je n’y arrive pas, qu’un nouvel orgasme secoue Annie de pied en cap.A son tour elle s’effondre sur le lit. J’éteins la lampe. Je me colle contre elle en l’embrassant. Nous nous enlaçons. Nous nous lovons l’un contre l’autre. Et une seconde nuit démarre enfin pour nos corps épuisés.
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