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La convalescence

Chapitre 1

Handicapée de ses deux mains, elle allait devoir compter sur son fils...

Inceste
Amelia était assise parfaitement immobile à cause de la douleur émanant de différentes parties de son corps et craignait que tout mouvement de sa part ne fasse qu’exacerber ses blessures et causer encore plus de dégâts. À l’extérieur de sa voiture, la pluie continuait de tomber, et bien que le moteur était maintenant silencieux, les phares éclairaient toujours une partie de la bordure d’herbe et du grand bosquet d’arbres dans lequel elle avait fini sa trajectoire. De la vapeur s’échappait de sous le capot.
Les derniers instants de son trajet restaient flous...
Elle était sur le chemin du retour, la pluie était si forte qu’elle avait du mal à voir à travers le pare-brise et ne s’en était rendu compte que lorsqu’en appuyant sur le frein alors qu’elle tournait le volant la voiture, celle-ci continuât tout droit, déviant légèrement en glissant. Elle ferma les yeux, alors que les arbres se dirigeaient vers elle et que le volant lui était arraché des mains.
Elle se souvenait avoir tournoyé et cogné. Des bruits forts de craquement lorsqu’elle avait heurté plusieurs obstacles, puis l’explosion de l’airbag la projetant littéralement à l’intérieur de la cabine, avant que le véhicule ne s’arrête brusquement et que le moteur rugissait toujours, parce que son pied était coincé contre l’accélérateur. Elle ne pouvait pas bouger et avait crié de peur, se demandant si la voiture allait prendre feu et si elle allait brûler vive dedans. Elle s’était enfin calmée, assez pour se rendre compte qu’elle devait couper le contact.
Et les grondements du tonnerre qui n’arrêtaient pas, suivi d’un éclair de lumière vive qui avait illuminé le ciel, puis quelques secondes plus tard, un autre coup de tonnerre qui explosa au-dessus de sa tête.
Amelia pouvait voir les feux arrière d’un autre véhicule clignoter vivement, puis quelqu’un a commencé à lui parler, mais avec le son des sirènes et le bruit du tonnerre, elle ne pouvait comprendre ce qu’il disait. En quelques minutes, il semblait que des centaines de personnes entouraient son véhicule, juste avant qu’elle ne s’évanouisse.
Quand elle s’est réveillée, elle était à l’hôpital, sa tête battait, sa jambe gauche palpitait et ses deux poignets envoyaient des douleurs aiguës dans son système nerveux lorsqu’elle tentait de les utiliser pour bouger.
Le lendemain, alors qu’elle était plus en mesure de comprendre ce qui s’était passé, elle apprit qu’elle avait une commotion cérébrale due au coup du lapin, plusieurs côtes fracturées, un poignet cassé et l’autre fracturé. La totale quoi !
Ils l’avaient gardée à l’hôpital près d’un mois pendant qu’ils la rafistolaient et la gardaient sous observation, commençant lentement la voie de la guérison avant de finalement la laisser rentrer chez elle en fauteuil roulant.
— Salut, maman, prête à partir ! — Oui mon chéri, j’ai hâte de rentrer chez nous.
Son fils Adam venait de rentrer dans sa chambre, attendant patiemment que l’infirmière revienne avec les papiers de sortie et les ordonnances pour les médicaments. Il avait 29 ans et habitait seul dans une ville à une vingtaine de kilomètres de la clinique, et comme il était enfant unique, pas un jour ne s’est passé sans qu’il vienne voir sa mère, soit dans la journée si son emploi du temps le permettait ou le soir après la fermeture des bureaux où il travaillait. Quand le professeur qui s’occupait de sa mère lui avait dit qu’elle pouvait rentrer chez elle, mais qu’il fallait surtout qu’elle fasse attention, il avait décidé d’un commun accord avec elle, qu’elle aménagerait chez lui. Cela n’avait pas été facile de la persuader, mais il lui fit comprendre que l’appartement moderne qu’il occupait, avec porte accès aux nouvelles normes pour handicapés, toilettes et salle de bains au même étage, serait beaucoup plus agréable pour elle, et beaucoup plus facile pour lui pour l’aider.
— J’ai ma voiture aussi près que possible, mais je vais devoir te laisser un moment devant les portes principales pendant que je la ramène.
Amelia était heureuse de rentrer chez elle, enfin chez son fils. Comme beaucoup de personnes, elle n’avait jamais aimé les hôpitaux et se sentirait beaucoup mieux une fois chez lui. Adam la fit sortir, passa ses bras autour d’elle et l’aida à monter dans sa voiture avant de mettre le fauteuil roulant dans le coffre. Le trajet de retour fut assez rapide, et bientôt il tournait dans l’allée de son immeuble. Avant qu’elle ne sorte de l’auto, alors il lui demanda où se trouvait son véhicule.
— Ton véhicule a été jugé bon pour la casse complète Maman. En fait tu as eu une chance incroyable que la voiture soit entrée dans les arbres en dérapant sur le côté, au lieu de les prendre de face, sinon, cela aurait pu être beaucoup plus grave.
En l’écoutant parler, Amélia nota l’angoisse sur le visage et la voix de son fils.Il l’aidât à monter dans le fauteuil roulant et après avoir lutté avec le "sas" de la porte d’entrée, il réussit à la faire entrer à l’intérieur de son appartement
— J’ai vidé la salle à manger et mis un grand lit pour que tu sois bien à l’aise. La grande porte à droite est celle des toilettes et l’autre de la salle de bain. J’ai aussi ajouté une petite table pour poser des livres et aussi tes médicaments. Avoue quand même que tu es quand même mieux ici que dans ta maison avec des escaliers.— Oui c’est vrai mon chéri, mais je pense que j’aurais été beaucoup mieux chez moi. — Je te comprends Maman, mais comprends aussi que je ne suis qu’à dix minutes de mon travail et que je ne pourrais pas toujours être près de toi.
Avoir son enfant près d’elle, même si c’étaient dans des conditions assez douloureuses pour elle, il ne lui en fallut pas plus pour que son visage se mette à rayonner de bonheur et de plaisir. Elle était fière de lui et surtout très fière de l’avoir élevé dignement.
— Oui mon bébé, comme d’habitude, tu as toujours raison.
Il se pencha vers sa mère et lui posa un baiser sur le front.
— Maman, au cas où tu ne t’en serais pas aperçue, je ne suis plus un bébé.— Mais tu seras toujours mon bébé, celui qui me criait dessus parce que je n’allais pas assez vite pour lui donner le sein.— Dommage que tu ne puisses plus m’allaiter ! lui dit-il en riant.— Tu plaisantes j’espère ! — Mais pas du tout maman chérie. Dans l’état où tu es, ce ne serait pas trop évident, mais je trouverai bien le moyen.
Puis prenant sa mère dans ses bras, il l’installa sur le canapé, posa une couverture sur ses jambes et après lui avoir allumé la télévision, lui apporta une tasse de thé...
— Je dois juste m’absenter pendant dix minutes, je reviens bientôt, lui dit-il, s’assurant qu’elle était à l’aise avant de partir.
Elle avait bu sa tasse de thé et essayé de s’intéresser à plusieurs programmes, mais ses yeux étaient trop lourds, sûrement dus à l’effet des calmants qu’elle avait pris avant de quitter la clinique. Elle ferma les paupières et une minute après elle dormait. C’est une folle envie d’aller aux toilettes qui la réveillât. Elle entendait son fils bricoler dans la cuisine, alors elle l’appelât et lui demandât de lui donner un coup de main pour y arriver.Ce fut malheureusement le début d’un dilemme qui ne fit que s’aggraver au fur et à mesure que la journée avançait.
Prenant un bras de sa mère, il le fit passer autour de son cou et passant un de ses propres bras autour de sa taille, tant bien que mal, il réussit à la soutenir et à la faire rentrer dans les toilettes et refermât la porte, Amelia essayât bien de soulever sa jupe, mais elle comprit très vite, qu’avec un plâtre sur un bras et un cerclage sur l’autre, elle n’avait pas la prise ou la flexibilité dans les deux mains pour la relever. Et si elle ne pouvait relever sa robe, comment allait-elle baisser sa culotte !!!!
Craignant désespérément de se faire pipi sur elle, elle réalisât rapidement qu’elle n’avait pas d’autre choix que d’appeler son fils.
— Adam !!!! Peux-tu entrer et remonter ma jupe, puis baisser ma culotte pour que je puisse faire pipi ?
Il attendait patiemment dehors et son visage devint tout rouge alors qu’elle lui parlait. Lui-même n’avait pas pensé à tous ces futurs problèmes liés au handicap de sa mère. Il n’avait que 29 ans et ne s’était jamais trouvé dans cette position et le pire, c’est que jamais au grand jamais, il n’avait vu le ventre nu de sa mère et aujourd’hui, il allait non seulement voir son ventre, mais aussi son sexe. Évitant de penser à la suite, il prit parti de la taquiner un peu en poussant la porte des toilettes.
— Que penseraient les voisins s’ils t’entendaient me demander ça ?
Cela avait été dit avec un sourire malicieux sur son visage.
Il lui demanda de lever ses deux bras pour qu’il puisse accéder à sa jupe et comme un gentleman, il ferma les yeux et tâtonnât alors qu’il soulevait sa jupe, avant de tirer sa culotte jusqu’à ses chevilles et l’aidât à s’asseoir sur la cuvette, puis ressortit en tirant la porte derrière lui. Elle allait enfin pouvoir se soulager, mais elle se sentait mal à l’aise en sachant que seule une porte en bois fragile les séparait et que se tenant juste à l’extérieur, il allait sûrement l’entendre uriner. Elle avait eu honte, mais ce n’était rien à comparer de ce qu’elle devait encore lui demander, car bien entendu elle ne pouvait s’essuyer.
— Chéri ! J’ai encore besoin de tes services...
Elle était au bord des larmes lorsqu’il prit un du papier toilette et glissa sa main entre ses jambes pour l’essuyer. Ce fut comme si elle reçût une décharge électrique de dix mille volts, lorsque sa main tenant le papier se posât sur ses lèvres vaginales et que doucement il commençât à essuyer, en remontant lentement.
— Je suis tellement désolée chéri ! dit-elle en larmes. J’ai vraiment honte de te demander tout ça, cela doit être affreux pour toi.
Il lui répondit de ne pas s’inquiéter, que cela ne le dérangeait pas, ce qui était parfaitement vrai. En fait, remonter la jupe et descendre la culotte de sa mère en fermant les yeux, ça, il avait pu le faire aisément, mais essuyer son sexe en tâtonnant, ce n’était pas quelque chose facile à faire, il avait dû regarder et il avait trouvé que sa mère avait une jolie petite chatte.Terminé, il jeta le mouchoir dans les toilettes, l’aida à se relever et remonta sa culotte sur ses fesses, soit dit en passant qu’il trouvait fort belles et laissât retomber la jupe avant de l’aider à se réinstaller sur le canapé.
En ce qui la concernait, à partir de l’instant où elle avait dû demander de l’aide à son fils, elle ressentit encore plus de honte.Bien sûr, il y eut de fréquents allers-retours pour uriner, chacun ponctué par cette secousse soudaine dans son ventre, alors qu’il essuyait le sexe. Le pire de son humiliation, ce fut quand elle eût besoin de faire la « grosse commission » et Adam dut lui essuyer les fesses. Elle crut mourir de honte quand elle sentit sa main passer entre ses fesses.
À la fin de la journée, il y avait vraiment très peu de choses de la partie inférieure de sa mère, qu’il ne connaisse pas et alors qu’elle était encore immensément embarrassée, lui se trouvait de moins en moins gêné et trouvait que sa mère était encore terriblement belle.
Arrivée à l’heure du coucher, Amelia se rendit compte qu’il y avait beaucoup de choses qu’elle ne pouvait pas faire ; se déshabiller en faisait partie. Elle se sentit à nouveau humiliée alors qu’il détachât son chemisier et le tirât de sa jupe avant de le faire glisser le long de ses bras. Elle se trouva de nouveau mal à l’aise en le voyant jeter un coup d’œil à son soutien-gorge et à ses seins. Alors qu’il se déplaçait derrière elle pour le dégrafer et le faire glisser de ses épaules, sa poitrine se trouva complètement nue et elle ne put voir le regard de son fils exposé au regard de son fils se poser sur ses mamelons érigés. Elle ne put s’empêcher de fermer les yeux tellement elle avait honte et surtout peur que son fils se rende compte que sa mère « bandait » des seins.
Ensuite, il ouvrit sa jupe, la fît glisser sur ses hanches, tirant ainsi sa culotte, la laissant complètement nue alors qu’il allait chercher la chemise de nuit qu’il lui avait achetée. Une fois qu’il eut fini, Amelia ouvrit enfin les yeux, se sentant immédiatement plus à l’aise maintenant qu’elle était habillée, mais alors qu’il l’aidait à monter sur le lit, par inadvertance, elle aperçût le renflement frémissant qui forçait le devant du jeans de son fils. Elle se sentit rougir de la tête aux pieds.
— Surtout n’hésite pas à m’appeler si tu as besoin de retourner aux toilettes ! Bonne nuit Maman, lui dit-il en l’embrassant sur le front.— Bonne nuit mon chéri.
Et il rejoignit sa chambre où il s’allongeât en repensant à ce qui s’était passé depuis qu’ils étaient rentrés et surtout à ce qui l’attendait dans les jours à venir. Il avait beau faire, il n’arrivait pas à trouver le sommeil, le corps nu de sa mère apparaissait aussitôt qu’il fermait les yeux.Jamais de sa vie il n’avait pensé à elle autrement que sa propre mère et malgré tous ses efforts, il la revoyait alors qu’elle était totalement nue devant lui et qu’il lui avait demandé de lever les bras pour qu’il puisse lui enfiler sa chemise de nuit, il n’avait pu s’empêcher de jeter un coup d’œil à son corps. Il avait admiré ses petits seins encore parfaitement formés, sa taille effilée et son ventre légèrement arrondi, le buisson soigneusement manucuré, ses hanches minces et ses jambes au galbe parfait, gêné. Bien malgré lui, il se rendit compte qu’il était en totale érection.

La même routine continuât au cours des jours suivants, et bien qu’Amélia fût toujours autant embarrassée, elle s’était habituée à ce que son fils la voie nue. Au fil des jours, elle se sentait sale et voulait désespérément prendre une douche, se demandant comment y parvenir sans mouiller ses plâtres et donc posa la question à son fils.
— Laisse-moi réfléchir une minute, dit-il en disparaissant dans la cuisine.
Il revint quelques minutes plus tard, avec une chaise du jardin en plastique et un rouleau de "film alimentaire" pour couvrir la nourriture.
— Je vais mettre la chaise dans la cabine de douche pour que tu puisses t’asseoir et je vais envelopper tes deux bras avec du film alimentaire.
Cela semblait facile, mais c’était beaucoup plus difficile qu’il ne l’avait prévu.
Ayant déshabillé complètement sa mère, il enroula le film alimentaire autour de ses plâtres et pansements avant de l’aider à entrer dans la cabine et de la laisser s’asseoir. Elle était toujours consciente d’être nue devant lui alors qu’il disparaissait momentanément, revenant quelques minutes plus tard, vêtu d’un short de bain.
Amelia ne put s’empêcher de rire alors qu’il la rejoignît dans l’espace restreint. Il prit l’accessoire de douche et testa la température de l’eau avant de commencer à la projeter sur le corps de sa mère. Il ajouta du shampoing puis lava ses cheveux avant de les rincer plusieurs fois. Aussi drôle que cela pût paraître, tout allait bien jusqu’à ce qu’il doive commencer à laver sa poitrine.
Prenant un gant de toilette, il le savonna et commençant par ses épaules, il se mit à lui frotter le dos en montant et descendant jusqu’au bas de son dos, à la limite de ses fesses. Se connaissant parfaitement, elle savait qu’au moment où il aurait fini de savonner son dos, il allait devoir passer le gant sur ses seins et son ventre et elle se mit à redouter du pire. Lorsqu’il lui demanda de se retourner, ses mamelons étaient déjà durs rien que d’avoir pensé à ce qui allait arriver et elle sentit un picotement de plus en plus lourd entre ses jambes. Alors elle essaya de contrôler sa respiration et les battements de son cœur afin qu’il ne puisse rien remarquer.
Tout en continuant à lui laver la poitrine, il regarda sa mère et lui dit :
— Je suis désolé maman, j’ai beau essayé, je n’ai aucun contrôle là-dessus.
Le visage de son fils était rouge comme une pivoine et avant qu’il ne se baisse pour lui savonner les jambes et les cuisses, elle vit le renflement très proéminent à l’avant de son short.
— Mon Dieu, pensa-t-elle, je fais bander mon fils...
Elle ne sût quoi faire ni quoi répondre. D’un côté elle se sentait gênée et mortifiée que sa nudité puisse exciter son fils, mais d’un autre côté, elle trouvait la chose assez excitante qu’à cinquante-deux ans, elle puisse encore exciter sexuellement quelqu’un qui avait la moitié de son âge ; qui plus est son propre fils.
Maintenant le plus dur lui restait à venir. Elle savait ce qui allait suivre et avant qu’elle puise se préparer mentalement, il lui dit :
— S’il te plaît, écarte un peu les jambes pour me permettre de mieux faire ta toilette.
Il était aussi rapide et doux qu’il pouvait l’être, mais de sentir sa main passer entre ses jambes et sa chatte pour bien savonner ses fesses, elle sentit ses jambes se transformer en gelée et un bourdonnement instantané de ses parties génitales lorsqu’il le gant passa sur son clitoris qui bien malgré elle, était devenu très sensible.
Depuis les derniers attouchements avec le père de son enfant, elle n’avait jamais plus ressenti un tel plaisir et une telle envie. Secrètement, elle ne voulait pas qu’il s’arrête, mais sa respiration devenait de plus en plus saccadée et s’il n’arrêtait pas, elle n’osait imaginer la suite.
Il s’arrêta de la laver et se mit mis à lui rincer le corps. Le contact de l’eau dégoulinant le long de son ventre et entre ses jambes, excitée comme elle l’était, elle ne put retenir plus longtemps la jouissance qui lui vrillait le ventre. Alors fermant les yeux de plaisir, elle se mit à jouir en silence et en serrant les dents.
Son fils la voyant trembler lui demanda :
— Tu as froid ?
Elle n’était pas dupe, elle savait bien qu’il l’avait sentie trembler et se crisper, mais elle n’allait quand même pas lui avouer qu’elle venait de jouir.
— Ça va mon chéri, c’est surtout la fatigue. Arête l’eau et essuie-moi, j’ai besoin d’aller m’allonger.
Une fois allongée sous le plaid, elle continua à penser à ce qui venait de se produire. Sous les mains de son fils, elle avait senti son corps de 52 ans recommencer à vivre, elle se sentait redevenir femme. Elle ferma les yeux et se rendit compte avec effroi qu’elle n’arrivait plus à maîtriser son corps et qu’elle avait encore envie de jouir. La seule chose qui pouvait l’empêcher de le faire, c’était qu’elle ne pouvait toujours pas se servir de ses mains et de ses doigts.
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