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La convalescence

Chapitre 2

Inceste
Bien que le médecin ait décidé d’enlever ses bandages et son plâtre, il lui recommanda un soutien pendant la journée, jusqu’à ce que les muscles se fortifient et deviennent plus forts. Maintenant qu’elle savait qu’elle pourrait se débrouiller seule dans les toilettes. Elle pria son fils de la ramener chez elle, mais comme elle avait toujours besoin d’aide chaque matin et chaque soir pour s’habiller et se déshabiller, elle lui demanda s’il était d’accord pour rester encore quelque temps avec elle. Comprenant que sa mère avait besoin de retrouver ses repères, il accepta sans aucun problème.
Heureusement, elle se sentait beaucoup plus à l’aise lorsque son fils la voyant nue et un jour, elle trouvât même le courage de lui poser des questions sur ses érections constantes. C’était en milieu d’après-midi, alors qu’il était allongé à côté d’elle sur le lit après l’avoir juste aidée à se doucher, puis lui avoir séché les cheveux. Comme d’habitude, il n’arrivait plus à maîtriser son érection pendant qu’il la lavait, c’était quelque chose qui était devenu un peu une plaisanterie entre eux.
— Chéri ! Tu as encore une érection.
Adam se référant de son sexe comme si c’était à la troisième personne.
— Il a un esprit bien à lui, lui dit-il, cela disparaîtra si nous l’ignorons.— Je ne comprends pas pourquoi tu as une érection. Je suis ta mère et il n’y a vraiment rien de sexy en moi.
D’un air désinvolte, il essaya de lui donner une réponse, plus une plaisanterie qu’un fait.
— Je suppose qu’une fois déshabillée, le fait que tu sois ma mère est éclipsé par le fait que tu es une belle femme et alors l’inévitable se produit.
Amelia le regarda d’un air interrogateur.
— C’est la partie que je ne comprends pas, tu ne peux sûrement pas me trouver attirante. Surtout avec toutes les nanas que tu as connues ou celles qui te courent après.
Il la regarda surpris :
— Bien sûr que tu es séduisante ! Maman, tu es aussi belle et sexy que n’importe quelle femme que je connaisse.
Autant lui qu’elle, sa déclaration soudaine les prit tous les deux par surprise, ce qui le fit se taire et qu’il refusât de la regarder. Le silence sembla interminable, alors qu’elle se stabilisait pour poser la question qui l’avait intriguée.
— Est-ce que tu veux dire...... tu sais...... — Quoi !— Zut, fais un effort toi aussi, ce n’est pas facile pour moi de parler de telles choses avec mon fils. — Je t’écoute ! — Je m’explique : quand tu me déshabilles, que tu as une érection, penses-tu à ce genre de chose....... — Explique-toi mieux.— As-tu envie de ... Zut à la fin. J’ai besoin de comprendre certaines choses, et tu ne fais vraiment rien pour m’aider, je sais que tu comprends très bien ce que je veux dire.
Adam eut soudain l’air très embarrassé, alors il sautât de son lit.
— Tu es ma mère !
dit-il en se précipitant dans sa chambre, la laissant seule. Deux secondes après, elle entendit la porte d’entrée claquer.Qu’avait-elle fait, qu’avait-elle dit d’aussi grave qu’il puisse le contrarier autant ! D’accord il m’avait vue complètement nue, se disait-elle. D’accord il m’avait fait entièrement ma toilette intime et comme il l’avait si bien dit « Tu es ma mère », elle ne pouvait comprendre ce qu’il y avait chez elle qui puisse autant exciter son fils, au point de le faire bander autant. De la petite érection du début, c’était carrément passé à la bandaison digne de ce nom.
Elle était triste qu’il soit parti avant qu’elle n’ait pu avoir de réponses aux questions posées, mais elle se sentait bien et surtout fière d’avoir osé les poser. Étant seule avec lui depuis sa naissance, à sa préadolescence, cela avait été son rôle de lui expliquer certaines choses le concernant et concernant les filles. Elle se rappelait à quel point il était studieux lorsqu’elle lui parlait. Elle était même allée jusqu’à lui parler d’érections diurnes ou nocturnes qu’il allait avoir et qu’il était tout à fait normal pour lui qu’il ait envie parfois de se masturber. Un jour elle lui avait osé lui demander :
— As-tu déjà eu des érections, t’es-tu déjà masturbé ?
A ses questions, il était devenu tout rouge et avait baissé la tête sans répondre.
— J’ai compris mon chéri et c’est tout à fait normal. Bien que je sois ta mère, tu peux tout me confier mon chéri, ne l’oublie pas.
Relevant la tête, il lui avait demandé :
— Est-ce que pour les filles c’est pareil !
Elle se rappelle lui avoir répondu :
— Pour les filles, ce n’est pas tout à fait pareil. Elles n’ont pas d’érections proprement parler, mais elles ont aussi des envies comme les garçons. — Et pour les mamans ?— Bien entendu, les mamans aussi mon trésor.
Et plus jamais ils n’en avaient reparlé.
Elle était dans ses souvenirs, lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir. A peine entré, il vint s’asseoir au côté sa mère.
— Je suis désolé maman, c’était plutôt puéril de ma part. — Tout est ma faute mon chéri, je n’avais pas à te poser ces questions.— C’est juste que tu m’as pris par surprise, mais je vais répondre aux questions qui te perturbaient depuis un certain temps et que tu m’as posées.
C’est assez évident l’effet que tu as sur moi Maman quand je te vois nue et que je fais ta toilette. Je pense que, jusqu’à présent, j’avais mis ma réaction embarrassante sur le fait que tu sois attirante et nue. J’avais refusé aussi d’admettre que peut-être mes pensées étaient allées au-delà de ce qui pouvait être considéré comme approprié avec toi. Mais aujourd’hui, je dois t’avouer que tu me fais bander parce que tu es belle, tu es sexy et bien entendu, je regrette que tu sois ma mère.
— Je te remercie pour ta franchise, je n’en attendais pas moins de toi. Je sais ce que je voulais savoir, on en parle plus tu veux bien...— Au contraire, parlons-en. Puisque tu as abordé le sujet, à mon tour maintenant de te poser des questions. Tu veux bien ?

S’attendant au pire, Amelia le regarda en espérant que les questions qu’ils allaient lui poser ne seraient pas trop indiscrètes.
— Bien sûr chéri !— Quand je te lavais et que je touchais tes seins et ton... — Tu veux parler de mon sexe !— Exactement.— Alors, dis-le !— Excuse-moi maman, ça me fait un peu drôle de te parler de ça. Lorsque je lavais ton sexe, tes jambes, ton dos, tes fesses, tes seins, est-ce que tu aimais, est-ce que tu ressentais des sensations comme celles que j’ai envers toi ?

Plein dans le mille. Ce sont exactement les questions auxquelles elle s’attendait. Son corps s’était mis à battre la chamade et elle rencontrait maintenant des difficultés à se maîtriser et des sensations nouvelles commençaient à irradier son corps, sensations jusqu’à ce jour inconnues.
— Quand tu me touchais, disons plutôt que tu me lavais, je devais me concentrer, essayer de maîtriser mon corps pour ne pas penser à tes mains qui couraient sur mon corps. Heureusement, jusqu’à ce jour, tu as toujours terminé avant que quelque chose ne se produise, mais c’était toujours très proche et parfois j’aurais voulu que ne tu t’arrêtes jamais. C’est bon on a fini !— Encore une question !
Amélia se sentait de plus en plus mal à l’aise, elle sentait des picotements langoureux dans le bas de son ventre, il fallait vraiment qu’elle mette fin à tout ça et vite.
— Vas-y, je t’écoute.— Une fois, alors que je rinçais ton corps, je t’ai senti trembler. A ma question tu m’avais répondu : c’est la fatigue... Je ne t’ai pas cru une seule seconde, maintenant je veux une réponse franche.
Il avait donc compris qu’elle avait joui, alors qu’il rinçait son corps. Elle se sentit complètement perdue.
— Qu’on en finisse, que veux-tu savoir.— Tu penses bien que je n’ai jamais rien oublié des cours d’éducation sexuelle que tu me donnais et suis certain que toi non plus. Un jour je t’ai posé une question sur les érections des femmes et des mamans. Tu te rappelles ? — Une mère n’oublie jamais rien mon chéri.— Si mes souvenirs sont exacts et crois-moi ils le sont, tu m’avais répondu : elles ont aussi des envies comme les garçons. — Oui c’est vrai.— Alors ma question ! Ce jour-là, avais-tu envie et as-tu joui ?
Depuis qu’il avait commencé à lui parler de ça, elle avait revécu la scène et cette fois, elle ne pouvait nier qu’elle s’était mise à mouiller. Relavant la tête et fixant son fils, elle lui répondit :
— Oui j’ai joui. Ça va tu es content.— Content n’est pas le mot adéquat, disons plutôt que je suis l’homme le plus heureux des hommes. Bien que je ne pense pas y être pour quelque chose, j’ai réussi à te faire jouir Maman.— Contrairement à ce que tu penses chéri, tu y étais vraiment pour quelque chose.— Alors Maman, maintenant on fait quoi ! — Nous devons l’ignorer bien sûr. Je pense que bientôt je serais capable de me débrouiller seule et nous pourrons garder cela derrière nous.
Il hocha la tête avant de lui répondre :
— Oui tu as raison. Aucun de nous ne devrait imaginer de telles choses, peut-être que ce sera plus facile une fois que tu n’auras plus besoin de moi et que je ne te verrai plus nue.

Maintenant que la vérité avait été étalée au grand jour, il gardât ses distances avec elle, mais à chaque fois qu’elle avait besoin de lui ou qu’il était près d’elle, il ne pouvait s’empêcher de la revoir nue et il se mettait à bander.A 29 ans, il n’avait jamais manqué de copines, sa mère lui répétait sans cesse qu’il était un beau jeune homme, mais aujourd’hui, c’était à elle qu’il pensait. Jusqu’à cette première fois, la pensée de ce qu’il aimerait faire avec elle ne lui était jamais venue à l’esprit, ce n’est qu’au fil des jours, qu’il s’était rendu compte à quel point elle était sacrément sexy et c’était là le problème. Il éprouvait un conflit mental à la voir comme sa mère et aussi comme une femme.
Seule chez elle, Amelia se mit à repenser à sa vie d’avant d’être maman et à la dernière fois où elle avait eu des relations sexuelles. Elle avait vingt ans la première fois où elle avait couché avec un homme. Elle était vierge et quelques mois après, elle était tombée enceinte. L’homme à qui elle avait donné sa virginité, avait rapidement fait un acte de disparition quand Adam est né. Elle ne lui en avait aucunement voulu de l’avoir abandonnée, en couchant avec lui, c’est un enfant qu’elle voulait, un enfant à elle, rien qu’à elle. Au début, elle avait été trop occupée et trop fatiguée pour penser à un autre homme et le temps passant, elle se considérait trop vieille et s’était habituée à son style de vie monastique.
Depuis quelque temps, elle avait remarqué la distance que son fils avait établie avec elle et elle en souffrait beaucoup. Bien qu’elle essayât de rejeter les pensées qui continuaient d’envahir son esprit, certaines d’entre elles avaient pris racine. Ce n’était pas facile pour une mère d’avouer à son propre fils qu’elle le désirait autant que lui la désirait. Elle avait cinquante-deux ans, lui vingt-neuf et elle savait qu’il était beaucoup plus expérimenté qu’elle, ce qui la laissait convaincue que dans tous les cas, elle le décevrait et qu’elle avait bien fait de mettre un « hola » avant qu’il ne soit trop tard.
À l’heure du coucher, ils suivirent leur routine habituelle, seulement ce soir il y eut une légère différence. Alors qu’il se tenait devant elle pour boutonner la chemise de nuit, il s’arrêta et pour la première fois, il regarda sa mère de haut en bas et lui dit timidement.
— Mon Dieu comme tu es belle...
Peut-être était-ce son commentaire ou les pensées tourbillonnant dans sa tête, à ce moment précis, elle savait qu’elle le désirait ardemment et qu’elle ne tiendrait pas compte de la décision qu’ils avaient prise an commun.
— Est-ce que ce soir, au lieu de dormir dans ta chambre, tu ne me voudrais pas dormir près de moi, dans la mienne !!! Rien d’inapproprié chéri, c’est juste que comme je prends encore des médicaments pour la douleur et que si j’avais besoin d’aller aux toilettes, je crains de faire un faux pas et de tomber.— Bien sûr Maman, si cela peut te rassurer, il faut juste que je trouve un bas de pyjama, car vois-tu depuis belle lurette, je dors tout nu quand je suis seul.
Il l’aida à se coucher et dans sa propre chambre, dans une armoire, il réussit enfin à trouver un vieux bas de pyjama qui lui allait encore. De retour dans la chambre où se trouvait sa mère, il éprouva des sensations des plus étranges alors qu’il s’allongeât auprès d’elle. L’allonger sur les couvertures et l’habiller étaient une chose, mais qu’il soit presque nu et sous les couvertures avec elle, c’était quelque chose qu’il n’aurait pas pensé un seul instant.
Tous deux restant de leur côté respectif du lit, ils discutèrent un moment, avant d’éteindre la lumière. Adam s’était vite endormi, mais bien qu’Amelia soit très fatiguée, elle ne se sentait pas à l’aise à côté de son fils à moitié nu. Elle essayait de trouver une position confortable pour dormir, mais le sommeil refusait de venir.
Enfin, elle s’assoupit avec dans sa tête l’image du sexe de son fils comme s’il était réel. Elle se voyait allongée complètement nue sur son lit, les cuisses écartées, ses doigts jouant avec sa chatte. Toujours dans ses pensées, entendant un bruit, elle avait levé les yeux et avait vu son fils qui se tenait dans l’embrasure de la porte et la regardait. Maintenant il s’était décollé de la porte et alors qu’il marchait vers elle, elle pouvait voir le renflement substantiel de son pantalon, espérant au-delà de tout espoir de le voir dans sa chair. Quand il se pencha et l’embrassa, elle put le goûter, son excitation montant en flèche. Elle le regarda se déshabiller, sa bite semblant formidable alors qu’il la rejoignait sur le lit, puis sa main s’éloigna alors que ses doigts caressaient sa chatte.
Les sensations qui soudainement avaient inondé son corps la réveillèrent.
— Jésus Christ, non ce n’est pas possible !!!
Elle était chaude, humide et ne s’était jamais sentie aussi excitée. Pourquoi, juste au moment où vous arrivez à la partie la plus excitante, vous ne pouvez jamais vous abandonner et y revenir.
Amelia soupira à haute voix et réussit à se retourner pour faire face à son fils. Elle se sentit parfaitement à l’aise, alors qu’elle posait involontairement sa main sur la poitrine de son enfant. La chaleur et la sensation de sa peau nue ne faisant rien pour atténuer la frustration qu’elle ressentait. Sa chair était lisse et ferme, sa poitrine se soulevait et s’abaissait lentement pendant son sommeil. Elle trouva cela apaisant et très excitant, ignorant que sa propre main avait commencé à le caresser jusqu’à ce qu’elle rencontre la ceinture de son bas de pyjama. Elle s’arrêta brusquement, réalisant ce qu’elle faisait.Elle l’écouta respirer et lui se dit en le regardant :
— Sauras-tu un jour à quel point je t’aime et que j’ai envie de toi !!!
C’était son haut niveau d’excitation qui la tentait et elle se trouva à glisser ses doigts le long de la ceinture de son bas de pyjama, jusqu’à ce qu’elle entre soudainement en contact avec son pénis flasque.Ouvrant les yeux, elle se figea. Elle distinguait vaguement le visage de son fils, persuadée qu’il dormait encore. Quelque chose bougeait, se mît à bouger en dessous et ce n’était pas sa main. Elle resta immobile, alors qu’elle sentait sa hampe commencer à grandir, sa circonférence et sa longueur à augmenter. Elle ne put s’empêcher de faire courir sa main sur la longueur, sentant le léger battement entre ses doigts, alors qu’il continuait à se dilater.
— Oh mon Dieu !!!
Elle se répétait silencieusement la phrase encore et encore, cela faisait si longtemps qu’elle n’avait pas touché le pénis d’un homme. Sa chatte n’était pas humide, elle était trempée et elle sentait son propre jus couler entre ses lèvres et entre ses fesses.
Alors qu’il se dilatait encore et encore, elle encercla ses doigts autour de sa tête dodue, sentant la peau tendue et lisse avant de les faire passer juste sous son bord et d’entendre le plus doux des gémissements s’échapper des lèvres de son fils. Enhardie qu’il soit encore endormi, elle glissa sa main, toujours plus bas, enroulant le sexe de ses doigts, cette fois elle le tenait à pleine main et elle pouvait sentir à quel point il était dur et chaud.
Le désespoir d’Amelia lui avait fait jeter au vent la décision de ne pas aller plus loin avec son fils et alors qu’elle le branlait, son autre main dérivait entre ses jambes et elle glissa un doigt le long de sa fente.
Elle était si préoccupée à caresser son fils et à glisser un doigt entre ses lèvres vaginales, que jusqu’à ce qu’il parle et la fasse sursauter, elle ne s’était pas rendu compte que son fils était réveillé.
— Ce n’est pas juste ! dit-il d’une voix ensommeillée et pleine d’excitation.— Oh mon Dieu, je suis désolée chéri, je ne sais pas ce qui m’a pris.
Elle tenta aussitôt de retirer aussitôt sa main, mais elle dut lutter pour essayer de la dégager, ses bandages l’empêchaient de le faire.Il y avait un silence dans la pièce, son visage brûlait, à présent elle était bien trop embarrassée pour dire quoi que ce soit. Elle sentit son fils bouger... Allait-il la laisser seule, se demanda-t-elle.
— Ce n’est pas aussi grave que ça Maman, je ne vais pas me plaindre, c’était plutôt agréable. Je voulais juste dire qu’il semblait anormal que tu me donnes du plaisir et que tu luttes autant pour te satisfaire toi-même. Me laisserais-tu t’aider ! demanda-t-il alors qu’elle sentait sa main se poser soudainement sur son ventre. Sa respiration se fit haletante, courte et irrégulière, alors que la main glissait sur son pubis et se courbait entre ses jambes toujours écartées. Elle sentit un doigt se glisser entre ses lèvres ouvertes, tandis qu’il caressait doucement son fessier. Pleurant presque quand son doigt pénétra sa chatte et quand il le tordit à l’intérieur de son vagin, elle ne pouvait croire ce qu’elle lui permettait de faire. Elle était incapable de résister aux exigences que son corps commençait à avoir : elle avait faim de caresses et d’amour.
— Tu es tellement gros Adam ! murmura-t-elle alors que sa propre main s’était de nouveau enroulée autour de la verge de son fils.— Attends, laisse-moi enlever ce pyjama de malheur.
Elle s’arrêta une seconde alors qu’il poussait son bas de pyjama vers le bas, puis elle se remit à le masturber doucement, tandis qu’il réinsérait de nouveau un doigt dans sa chatte inondée.
— J’aimerais tellement te faire l’amour, mais ça ne va pas être facile avec tes bras encore endoloris, je ne voudrais pas que par mon impatience tu doives retourner à la clinique.
Les sensations qui émanaient maintenant de sa chatte, ainsi que les paroles promettant de futurs accouplements, la ravissaient par leur intensité.
— Moi aussi j’ai envie que tu me fasses l’amour mon chéri.
Cette fois c’était dit !!!! Elle fut elle-même étonnée des propos qu’elle venait de tenir.Ils se sont débrouillés cette nuit-là comme ils le pouvaient. Adam descendit et mangea la chatte de sa mère, pendant qu’elle réussissait lentement à le faire jouir, ravie quand son sperme chaud giclât sur sa main et sur son ventre.Ce fût comme ça pendant deux semaines, jusqu’à la guérison finale, toutes les nuits, ils continuèrent à s’aimer et à se faire jouir.
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