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Coopération au Sénégal

Chapitre 1

Hétéro
Chapitre unique

Agé de 35 ans, j’étais professeur des écoles dans la banlieue nord de Paris... J’en avais un peu assez de la vie en banlieue, des élèves difficiles, des classes surchargées d’enfants et de préadolescents à problèmes. Aussi, ai-je répondu à une demande de volontaires pour la coopération technique avec des pays d’Afrique. Je savais qu’il y avait pas mal de volontaires pour ces missions de deux ans, mais à tout hasard, j’avais mis le Sénégal en tête de mes préférences...

Peu de temps avant les vacances de printemps, j’avais reçu une réponse positive avec tout un tas de recommandations vis-à-vis de la population autochtone, des maladies endémiques dans ces pays. Nous devions nous retrouver en stage avec une dizaine d’autres collègues qui feraient partie de la relève de cette année... C’était l’occasion de faire connaissance, car nous étions originaires d’académies différentes. Celle d’Aix-Marseille organisait le même stage pour les professeurs du sud de la France.

Au cours du stage, nous avions eu la projection d’un film assez long sur les conditions d’enseignement dans ces pays et nous découvrions que notre future mission ne serait pas de tout repos, notamment pour ceux qui iraient dans des bourgades un peu retirées ou en brousse...
Personnellement, j’avais hâte d’être à la fin du mois d’août pour prendre l’avion en direction de Dakar, la capitale du Sénégal. Les affaires que je n’avais pas emmenées avec moi avaient été déposées chez mes parents, j’ai attendu chez eux le jour de l’embarquement...

Quelques heures plus tard, je débarquais sur l’aéroport dans la chaleur humide et étouffante de la fin d’après-midi. En cours de vol, j’avais eu la possibilité de faire la connaissance de plusieurs collègues qui faisaient partie de la relève de l’année. En plus de moi, il y avait quatre hommes et deux femmes et au moment du débarquement, nous étions devenus des amis : même métier, même envie de dépaysement, même tranche d’âge, cela facilitait les choses...

Après avoir franchi la douane, nous avons été accueillis par un correspondant du ministère de l’éducation sénégalaise qui nous a conduits à notre hôtel. Nous devions y passer quelques jours avant d’être envoyés dans nos affectations respectives.

Nous en avons profité pour visiter un peu la ville dont, le quartier de la Médina et le célèbre Musée Théodore Monot qui expose des œuvres de l’art africain (elles y sont mieux que dans les musées européens).

Le second soir Wilfrid, notre hôte sénégalais nous a emmenés pour une virée nocturne et nous fait découvrir avec des fortes commentaires, la musique M’Balbax : Beaucoup de percussions et d’instruments typiquement locaux...

Au cours de cette soirée, Ludivine, une collègue venue de Perpignan, s’est beaucoup rapprochée de moi... Elle vibrait à l’unisson de la musique et m’a attirée dans les danses. Je la voyais se balancer et se déhancher sous mes yeux; petit bout de femme d’à peine un mètre soixante, aux yeux marron rieurs et aux cheveux presque ras, imitant en cela pas mal de Sénégalaises...

Je la trouvais attirante et son manège pour toujours être au plus près de moi, me faisait penser que cela pouvait être réciproque.

Le lendemain en fin de matinée, nous avions rendez-vous au ministère où nous devions connaître nos affectations dans différents établissements : quelle chance, j’étais affecté dans le même secteur que Ludivine en Casamance ! Et en plus, nous devions enseigner à des grands élèves de deux écoles différentes de la capitale provinciale de Ziguinchor.
Nous avions encore une journée complète à passer à Dakar avant de reprendre un avion vers notre destination finale où une fois de plus, nous avions droit à un comité d’accueil : un couple fait d’un sénégalais immense (proche des deux mètres) et d’une compatriote d’une cinquantaine d’années, brune et très bronzée aux formes plus que replètes.
Cette dernière nous a accueillis avec les mots suivants auxquels sur le coup nous n’avons pas prêté attention !

— Chouette, un couple... C’est génial... Soyez les bienvenus... Comme cela, les choses seront plus faciles !

Samantha a continué en disant :

— Ce soir, je vous installe et demain, on fait un peu de tourisme. La rentrée n’est que lundi prochain.

En faute d’installation, nous avons dû nous contenter d’un appartement commun qui jusqu’à l’été, était occupé par un couple de coopérants... Il se trouvait au premier étage avec deux studios occupés par la collègue qui nous avait accueillis et un célibataire. Les deux devaient nous quitter à la fin de la prochaine année scolaire.

Il y avait une grande chambre et une autre plus petite, une salle commune avec cuisine ouverte et une salle de bains avec baignoire et cabine de douche. Tout était meublé d’une manière assez confortable... Bien évidemment, j’ai laissé la plus grande chambre à Ludivine (quelle idée avaient eu ses parents pour la prénommer ainsi?) et je me suis installé dans la mienne.

Le lendemain matin, Samantha et le sénégalais qui l’accompagnait hier sont venus nous chercher et nous sommes partis pour une expédition de la journée qui devait nous amener sur la côte atlantique après deux heures d’un trajet routier dans un SUV japonais, heureusement, climatisé conduit par Ahmed.

En cours de route, il nous expliqua qu’il faisait partie de l’ethnie locale ‘les Diolas’ et qu’il avait fait ses études universitaires à Strasbourg. Il nous expliqua aussi avec une certaine fierté que la Casamance était en quelque sorte le grenier de son pays, grâce à un climat favorable qui autorisait plusieurs récoltes chaque année.

Lorsque nous sommes arrivés au Cap Skirring, il a continué ses explications en nous disant que ce n’était pas la saison la plus favorable pour se baigner à cause des rouleaux qui étaient très dangereux. Nous apprécierions les magnifiques plages dans quelques mois à la haute saison balnéaire qui allait d’octobre à janvier...

Samantha et lui semblaient très proches... elle le couvait littéralement des yeux... mais ce n’est qu’un peu plus tard que j’ai découvert le fin mot de l’histoire avec l’indiscrétion de Camille, une collègue sénégalaise :

— Ne t’étonne pas... Samantha en est à son quatrième séjour... elle a trouvé avec Ahmed ce qu’elle était venue chercher ici, des blacks hyper-bien membrés ! Et Ahmed n’est pas le premier ! Chaque année scolaire, elle change de partenaire !
— Cela ne m’étonne plus... J’avais remarqué son manège quand nous sommes allés au Cap Skirring. Elle ne lâchait pas Ahmed d’une semelle !
— Oui et ta copine a intérêt à se méfier de lui... Toutes, mariées ou pas, se sont fait défoncer par son pieu ! Et s’il n’y avait que les Européennes...
— Je suis sûr que tu y as goûté !
— Oui... mais il ne faut pas le dire à Sam... Elle m’arracherait les yeux... Lors de la fête de fin d’année, j’ai passé plusieurs heures en compagnie d’Ahmed... Il m’a baisée à plusieurs reprises comme d’autres avant moi... Cette nuit-là, Sam le cherchait partout !
— Si je comprends bien, vous n’êtes pas très farouches ?
— Non... nous sommes dans un milieu relativement fermé et les Sénégalaises ont le sang aussi chaud que les mecs... J’ai baisé à 13 ans avec le mari de ma sœur qui en avait le double !
— Je vois... ça ne m’étonne plus qu’il y ait autant de jeunes enfants !
— Oui... les familles nombreuses ne sont pas rares et les pères élèvent souvent des enfants qu’ils n’ont pas conçus... Ils font des gosses à d’autres femmes pendant ce temps. Ça ne choque personne ! Et toi ? Ta copine baise bien ?
— Non, ce n’est pas parce que nous sommes arrivés ensemble que nous sommes ensemble... Nous sommes célibataires tous les deux et, nous faisons chambre séparée !
— Ne me dis pas que tu n’as pas envie de la sauter... elle est si mignonne... on dirait une poupée !
— Certes... on s’entend bien, mais pour l’instant ça ne va pas plus loin.
— Et je suppose que tu as les couilles pleines... presque un mois que vous êtes arrivés ! Après les cours, raccompagne-moi à la maison... j’ai envie de me taper un blanc ce soir !
— OK... si tu veux... je suis ton homme !

J’ai passé un week-end torride avec Camille... Lorsque je suis revenu à l’appartement, j’étais lessivé et j’avais les couilles douloureuses et... vides ! Je ne sais pas ce qu’elle avait pu mettre comme épices dans le premier repas, mais une heure après, j’avais un véritable manche de pioche à la place du sexe et je n’ai débandé que le dimanche matin !
Je ne me souviens plus combien de fois j’ai pu baiser Camille au cours de ce week-end, je me souviens simplement l’avoir sodomisée une fois à sa demande après qu’elle m’ait copieusement sucé pour le remettre en forme après une joute particulièrement bien réussie quand je l’avais prise en levrette.
Après, elle m’avait avoué qu’elle n’aimait guère cette position que ses compatriotes prisaient beaucoup, ils se vidaient littéralement les couilles sans penser à leur partenaire ! Mais là, j’avais su l’agrémenter des caresses bienvenues et j’avais pris soin de faire monter son plaisir...

Ma liaison avec Camille a duré quelques mois puis, un jour, elle m’a dit qu’elle avait trouvé un mec qu’elle allait épouser... à presque 30 ans, il était temps, selon elle, de se ranger et, de faire des enfants...
J’avais passé de bons moments avec Camille qui m’avait fait découvrir son pays... Nous partions presque chaque week-end en balade dans la brousse ou sur les plages où je lui faisais l’amour dans les vagues ou sur le sable...

Depuis notre arrivée, mes relations avec Ludivine étaient restées au stade de la franche camaraderie... Elle était sérieuse et ses collègues sénégalais vantaient son professionnalisme et sa gentillesse envers les élèves en difficultés.
Cela ne m’étonnait guère, car d’après nos échanges professionnels, elle avait véritablement la vocation d’enseigner, de faire partager son savoir et de faire découvrir à ses élèves un maximum de choses. C’était son professeur qui, avant qu’elle n’entre au collège, lui avait inculqué ce besoin et avait fait naître sa vocation...

Mais au printemps, je me rendis compte qu’elle n’avait plus le même allant... Les week-ends où j’étais là, elle se levait à peine, restant couchée dans la demi-pénombre, sans musique et sans livre sur sa table de chevet.

Quelque chose n’allait pas...
Quand même soucieux, je lui posais des questions... Si je pouvais l’aider, j’y étais prêt...
Tout d’abord, elle éluda mes questions puis finalement elle accepta de se confier...
Ahmed, qui enseignait dans la même école qu’elle, la poursuivait de ses assiduités... il insistait tellement en lui disant qu’il la rendrait heureuse comme il rendait heureuse Samantha... qu’il pouvait la partager, que Samantha repartirait bientôt en France... Il lui avait même envoyé sur son téléphone une série de photos pornographiques sur lesquelles il montrait son sexe gigantesque, où il faisait semblant de se masturber en disant qu’il pensait à elle...

Elle disait aussi que j’avais bien de la chance de bien m’entendre avec Camille... elle savait que j’avais une liaison avec elle... Mais ce qu’elle ignorait à ce moment-là, c’est que nous avions rompu, car Camille devait se marier prochainement !

— Oh... mais alors tu es libre !
— Que veux-tu dire ?
— Depuis que nous nous sommes rencontrés à l’aérogare d’Orly, je suis tombée raide amoureuse de toi...
— Waouh... je ne m’étais rendu compte de rien (pieux mensonge...). Viens dans mes bras, je vais te consoler !
— Oh oui et fais-moi l’amour... Je ne sais pas si c’est réciproque, mais j’en ai marre de me masturber... J’ai envie d’avoir ta bite en moi...

Nous sommes repassés dans la grande chambre où le lit défait nous a accueillis, bras et jambes emmêlés, nous nous sommes déshabillés tant bien que mal...
Je l’ai déjà écrit, Ludivine était un petit gabarit... à peine un mètre soixante, les cheveux presque ras à la mode locale, elle avait habituellement un visage avec des yeux rieurs... une bouche étroite aux lèvres minces complétait son portrait.
Elle avait une poitrine menue avec des seins à peine renflés et des hanches étroites... On aurait dit une gamine tout juste pubère alors qu’elle avait mon âge !
Nus tous les deux, je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser tendrement... Je n’étais pas pressé et je ne voulais pas la brusquer... en fait, c’est elle qui est venue au-devant de moi... elle m’a fait rouler sur le dos puis, sa bouche est descendue pour embrasser brièvement mes tétons avant d’aller emboucher ma bite qui était déjà bien dressée et sur lequel elle s’est empalée en me regardant droit dans les yeux et avec un sourire béat !

— Je me fais l’amour... ensuite, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux !

Ludivine a commencé à faire les mouvements sur mon sexe... Je n’avais même pas eu le temps de me couvrir et quand je lui ai dit que nous n’étions pas sérieux, elle m’a répondu avec un grand sourire :

— Je ne risque rien... mes règles sont pour demain et j’ai envie de te sentir me remplir la chatte... Gicle fort à l’intérieur !

Il n’en fallait pas plus pour m’encourager et elle a poursuivi ses mouvements alternatifs jusqu’au moment où je me suis épanché au fond de sa chatte, déclenchant par là même, sa jouissance.

— Merci... Tu ne peux pas savoir comme cela m’a fait du bien... ça m’a remis le moral à l’endroit !
— Mais moi aussi, je dois te remercier... Ce matin, je ne pensais pas que la journée se terminerait ainsi !
— Mais elle n’est pas terminée... Demain, c’est jour férié... donc pas de classe ! Viens! Fais-moi l’amour encore... encore...

J’ai fait rouler Ludivine sur le dos et je l’ai dominée en appui sur mes bras avant de la pénétrer, car je bandais encore... Notre jouissance a été plus longue à venir mais, elle a été aussi bonne que la première... Toujours imbriqués l’un dans l’autre, nous nous sommes endormis...
Au matin, nous avons remis ça... puis, encore après le petit-déjeuner... et à la sieste.

Au cours des dix-huit mois qui ont suivi, Ahmed a tenté à plusieurs reprises d’attirer Ludivine dans ses filets, mais à chaque fois, il a essuyé un refus ferme...
Puis les cours se sont arrêtés pour deux mois... Ludivine m’a présenté à ses parents, j’en ai fait autant et nous avons fêté nos fiançailles... car un heureux événement était prévu au printemps de l’année suivante !

Fin.
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