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Le copain de faculté

Chapitre 2

Sortie au restaurant

Hétéro
Le reste de la journée s’écoula sans heurt avec les échanges habituels. Par moment, Sébastien sifflotait, il était vraiment content d’avoir enfin pu franchir cette étape. À plus d’une reprise, ils se croisèrent, se frôlèrent entre les rayonnages chargés de livres. Bien qu’il n’y ait pas eu une grande évolution dans leur relation, il avait toutefois l’impression que Cécilia le regardait un peu différemment. Il se dit qu’il avait peut-être lui aussi une autre façon de la regarder. Tout en rangeant quelques livres récemment acquis sur une étagère, il se disait qu’il avait eu un peu de chance. Elle avait accepté l’idée du repas et ils s’étaient mis d’accord pour le lundi suivant, jour de fermeture. Il ne lui restait qu’à sélectionner le bon restaurant, un établissement digne de ce nom pour fêter ce recrutement. Pour le moment, il hésitait entre l’auberge du moulin située à une quinzaine de kilomètres de la ville et un restaurant un peu moins coté dans les vieux quartiers. Il finit par choisir la seconde option, parce qu’il ne voulait pas qu’elle se méprenne sur ses intentions. Oui, l’auberge était située dans un joli cadre. En dehors de sa réputation culinaire, de son accueil, de ses chambres et la discrétion du personnel en faisait un endroit recherché. Après avoir soigneusement rangé le dernier livre, il se dit que pour cette première sortie, un déjeuner conviendrait.
En se préparant, ce matin-là, Sébastien se sentait un peu fébrile. Après s’être rasé le visage de près et s’être fait une grimace dans la glace il retourna dans sa chambre. « Costume et cravate sont de rigueur. Mince ! Je ne suis pas en retard. Je me conduis comme un minot. » En regardant sa montre, il s’était rendu compte qu’il avait largement le temps. Il émit un petit rire en se disant qu’il se conduisait vraiment comme un adolescent boutonneux. Il avait l’impression que le temps s’écoulait lentement. Lambiner, ce n’était pas son fort ; puis il réalisa brusquement qu’à force de rêvasser il était maintenant légèrement en retard. Ce qui devait se passer calmement se déroula dans l’urgence. Malgré ce début de dérapage, il réussit à stationner son véhicule au bas de l’immeuble de Cécilia au moment où elle franchissait la porte. En le voyant se garer, elle lui fit un petit signe de la main. Il lui rendit le geste amical tout en souriant. La jeune femme portait une jolie robe s’arrêtant au-dessus des genoux. Il en aimait sa couleur bleue, la taille cintrée, le bas évasé, le décolleté sage, le corsage laissant les épaules nues. Il sortit rapidement pour faire le tour de la voiture et accueillir son invitée. Le sourire qu’elle lui adressa quand elle le vit à l’extérieur du véhicule lui confirma qu’il avait choisi la bonne tenue. En tendant la main à la jeune femme, il émit un petit rire de contentement.
— Bonjour Cécilia...— Bonjour Sébastien, pourquoi riez-vous ?— Je ris tout simplement parce que j’ai le sentiment que tous les deux nous sommes satisfaits de la tenue vestimentaire de notre partenaire. Oui, je dois avouer, ma chère Cécilia, que je vous trouve très belle dans cette magnifique robe. Elle vous sied à merveille, on la dirait faite exprès pour vous.— Oui, vous avez raison, vous être très séduisant, dans ce costume. Vous portez une cravate, ce qui est le summum du raffinement. Surtout de nos jours où certains pensent pouvoir faire n’importe quoi en matière d’habillement.
En souriant, il lui avait ouvert la porte du véhicule et attendu qu’elle arrange le tissu de sa robe avant de la refermer. Pendant tout le trajet, ils n’échangèrent pas une parole, ils souriaient. Tout en conduisant, il jetait un coup d’œil discret en direction de la jeune femme. Il cherchait un sujet à aborder et il n’en trouvait pas. D’être enfermé dans la voiture lui permettait d’apprécier le léger parfum qui emplissait l’habitacle. Il respira de soulagement quand il put enfin sortir du véhicule. Ils ne s’étaient rien dit, ce qui l’inquiétait un peu, pourtant le sourire de Cécilia le rassurait.
Deux heures plus tard, ils ressortaient du restaurant en riant. Même s’ils avaient échangé des banalités, Sébastien était content. Ce côté très agréable lui confirmait que la jeune femme lui plaisait énormément. Les regards et les sourires échangés lui confirmaient qu’elle n’était pas indifférente.
— Merci beaucoup pour cet excellent repas. C’était une idée très gentille de ta part de vouloir fêter mon contrat de cette manière.
Sébastien laissa passer quelques secondes avant de répondre. Il avait bien entendu le tutoiement, mais il préférait ne pas le relever, cela pouvait être un lapsus. C’était la première fois que cela se produisait.
— Oups ! Pardon je ne voulais pas...— C’est sans aucune importance, mais si vous le voulez nous pouvons nous tutoyer. Je pense au contraire que cela va resserrer les liens de notre jeune équipe.
Il lui avait répondu en se disant que supprimer une autre petite barrière, cela lui faciliterait les choses. Plus il la regardait et plus elle l’attirait. Cela faisait quelque temps qu’il se posait la question sur ce qu’il ressentait pour la jeune femme. Il avait beau retourner le problème dans sa tête, il devait se rendre à l’évidence, elle comptait de plus en plus pour lui. Au début, il s’était dit que c’était dû au plaisir de travailler avec elle. Ce sentiment grandissant, le partageait-elle ? Même si jusque là il n’avait perçu aucun signal négatif il se dit qu’il devait rester prudent pour ne pas tout gâcher.
— Hi hi ! Pourquoi pas, l’idée est plaisante, du point de vue du travail nous nous entendons bien, alors faisons-le. Oui, même si tu fais sérieux en costume cravate, cela sera beaucoup moins guindé et plus jeune.— D’accord ! Je suis ravi que ce petit repas entre amis t’ait plu. Je vais te raccompagner chez toi, belle demoiselle. À moins qu’une petite balade dans la forêt domaniale te tente. La température est douce.— Oui, je préfère que nous marchions un peu, cela ne me dit trop rien de m’enfermer, sans aller aussi loin le grand parc à côté est tout aussi joli.

En souriant, elle lui montrait la grille du parc l’autre côté de la rue. Alors qu’il se dirigeait vers l’entrée, il frissonna au contact de la main de la jeune femme. Spontanément, elle lui avait pris la main pour l’entraîner vers les arbres. C’était à la fois inattendu, inespéré et très agréable. Il lui adressa un sourire tout en marchant vers les frondaisons toutes proches. Il inspira profondément, très satisfait de ce début de promenade.
— Qu’y a-t-il Sébastien ?— Euh... rien, je me sens bien, c’est tout. Nous entamons une promenade, je suis en bonne compagnie. Je ne pouvais rêver mieux.— Hi hi ! Cela veut-il dire que je te plais ?
Ils avaient à peine franchi une centaine de mètres et ils étaient au début du sentier. Il s’arrêta pour la regarder, il se sentait rougir, la chaleur envahissait ses joues, il respira amplement pour essayer de cacher ce trouble qui le gagnait.
— C’est que..., je mentirais si je disais le contraire, tu es très jolie. Oui, bien sûr tu me plais.— Ho ho ! Ne t’en fais pas, c’est réciproque. Pourtant, il n’est pas question de brûler les étapes. De ce côté-là, je suis vraiment vieux jeu.
L’entendre, la voir réagir eut pour effet d’apaiser ses craintes. Tout ce qui comptait, elle venait de le lui dire. Elle ne lui avait pas lâché la main et ils reprirent leur marche dans l’ombre fraîche du parc. De déambuler sur les chemins empierrés avec une jeune femme lui faisait plaisir. Il sentait confusément qu’il y avait encore beaucoup de chemin à parcourir. La chaleur et la douceur de la main de la jeune femme l’incitaient à la patience. Au détour d’un chemin Cécilia lui déposa un baiser rapide sur la joue.
— Ah ! Merci, à quoi dois je.. ?— Hi hi ! J’en avais envie, tu es mignon et gentil. Tu m’as offert une excellente journée. Je me sens bien, heureuse même.— Non ! C’est moi qui te remercie, pour cette journée merveilleuse et l’amitié que tu me donnes si généreusement.— Bien monsieur, si mon gentil chauffeur pouvait me ramener à la maison, cela me ferait énormément plaisir. Il se fait tard et mon patron n’aimerait pas que je sois en retard demain matin.
En riant et sans se lâcher la main, ils regagnèrent le véhicule stationné devant le restaurant. Tout en conduisant et en échangeant avec Cécilia il souriait. Finalement, cette journée lui avait paru très courte et il se sentait de plus en plus amoureux. Pendant tout le trajet du retour, la main de Cécilia resta posée sur sa cuisse. Sentir le poids et la douce chaleur au travers du tissu cela avait augmenté la sensation de bien être qu’il ressentait. Cette première sortie ensemble lui confirmait qu’ils s’entendaient bien et qu’il y avait réciprocité dans leurs sentiments à l’égard l’un de l’autre. Il gara son véhicule sur l’emplacement libre au pied de l’immeuble et en bon chevalier servant il en fit le tour pour ouvrir la porte côté passager. En riant, la jeune femme prit la main qu’il lui tendait.
— Merci, mon bon seigneur, cette journée sera mémorable. J’en ai goûté chaque instant.
Se prenant au jeu, après qu’elle se soit extraite du véhicule, Sébastien lui fit un baise-main. Ce qui fit rire aux éclats la jeune femme.
— Mon bon sire, vous êtes très galant, puis-je me permettre de vous convier à monter dans mes appartements ? J’aimerais vous offrir un petit verre de liqueur avant que vous ne regagniez vos terres.
La réponse fit sourire Sébastien qui s’attendait à recevoir une bise sur la joue en guise de remerciement. Il ne pouvait refuser cette invitation, il avait hâte de découvrir ce qu’elle venait de désigner comme ses appartements.
— Oui gente dame, j’en serais très honoré.
Par jeu, il avait placé son poing sous la main de Cécilia à la manière des usages à la cour. Il se dit que si quelqu’un les voyait agir de la sorte ils passeraient pour des timbrés. Pour parfaire la scène, la jeune femme avait pris le côté de sa robe et le soutenait comme s’il avait traîné sur le sol. Ils avaient franchi en riant l’entrée et rejoint l’ascenseur. Quelques minutes plus tard, ils pénétraient dans l’appartement de la jeune femme.
— C’est très joli chez toi, c’est arrangé avec goût.— Merci, entre donc le salon c’est par là.
En souriant, elle lui montrait la direction à prendre. Il entra dans la pièce et alla s’asseoir sur le grand canapé en cuir qui lui faisait face. Il était ravi de se trouver là, il la regardait en souriant s’affairer auprès du bar.
— Je pensais avoir un alcool un peu plus fort, mais je n’ai que des trucs de filles.— Ne t’en fais pas, peu importe, je suis très content d’être en ta compagnie. Tu as parlé de liqueur, ce n’est pas obligatoirement fort.— Hi hi ! Que voudras-tu ? Un xérès, de la chartreuse, du jurançon ?— Va pour un verre de chartreuse, c’est à base de plantes cueillies dans les alpes.
Elle vint s’asseoir à côté de lui après avoir déposé le plateau sur la table basse. Sébastien la regardait bouger en se disant qu’elle était vraiment gracieuse et élancée. Il prit en main le verre qu’elle lui tendait en souriant.
— À nous, à cette journée tellement bonne que je ne voudrais pas qu’elle se termine.
Il avait levé son verre en direction de Cécilia et leurs mains s’étaient frôlées, ce contact l’avait fait frissonner. Il avait parlé sans réfléchir et il se demandait pourquoi il s’était laissé aller à le dire. Le petit sourire qu’il voyait lui indiquait qu’elle était dans le même état d’esprit. En la regardant, il but une gorgée et fit une grimace. Il ne se souvenait pas de ce goût prononcé mélangeant le sucré et l’amertume. Il la vit écarquiller les yeux.
— Elle n’est pas bonne ?— Oui, j’en avais oublié le goût. Ce n’est pas du tout désagréable, bien au contraire.— En veux-tu encore, tu as vidé ton verre d’un trait, il faut laisser le temps aux papilles gustatives de faire leur travail.— Oui, bien sûr, tu as raison.
Après avoir à nouveau rempli son verre, elle lui déposa un baiser sur la bouche.
— Oups ! Pardon ! Je voulais te faire un bisou sur la joue.— Ha ha ha ! Ce qui n’est pas grave du tout. J’ai aimé. J’aime ce genre d’erreur et je ne ferai rien pour l’empêcher.
En guise de réponse, elle l’embrassa à nouveau sur la bouche, une première fois furtivement. Il avait toujours son verre à la main et il ne pouvait s’en défaire. Elle lui avait pris le visage entre ses mains et l’embrassait goulûment. Le temps qu’il puisse se débarrasser du verre, elle s’était installée à califourchon sur lui en le basculant en arrière. Maintenant, ils s’embrassaient à pleine bouche, elle avait l’avantage parce qu’il se sentait engoncé dans sa veste. Sa tenue vestimentaire qui jusque là était appropriée l’était maintenant beaucoup moins. Il faut dire qu’il ne cherchait pas à lutter contre la jeune femme. Il trouvait agréable de sentir ce corps féminin peser sur le sien. C’était leur premier baiser et il aimait cet échange inattendu et pourtant prévisible. En s’appuyant sur ses épaules, elle se redressa en souriant. Sébastien sentit le poids de l’entre-jambes de Cécilia peser sur son pubis.
— Hé ! Tu m’as pris en traître. En plus, la veste limite mes mouvements.— C’est ça ! Allez dis moi que tu n’as pas aimé que je t’embrasse. Mais c’est vrai, le petit chéri ne pouvait pas se défendre. La méchante fille a sauvagement agressé le gentil garçon.
En riant, elle entreprit de l’aider à retirer le vêtement gênant. Elle ne se limita pas à la veste, la chemise et la cravate suivirent le même chemin. Il ne pouvait que rire tout en se pliant aux désirs de la dame.
— Hi hi ! Je suis contente de voir que ton torse ne ressemble pas à celui d’un singe. Je trouve que c’est beaucoup plus beau quand les poils sont absents. Oui, c’est nettement plus joli et plus doux.
Tout en parlant, elle lui caressait le torse, puis elle tira sur les tétons avant de les pincer. Sébastien qui n’avait pas réagi lui fit tout de même une grimace.
— Hé ! Vas-y doucement, la marchandise est fragile.— Mais il fait un peu la chochotte, tout ce que je vois c’est que tes tétons pointent bien.— Oui, bon d’accord, j’exagère, il n’y a pas de quoi en faire un plat. Je trouve que les filles ne doivent pas essayer de diriger les hommes. C’est le contraire qui doit se passer.— Oh ! Toi !
Tout en lui malaxant la poitrine, elle l’empêcha de continuer de parler en l’embrassant. Il sentit qu’en même temps elle frottait son bassin contre son bas ventre. Sa verge qui déjà auparavant se manifestait devenait de plus en plus présente malgré le carcan de tissu. Les mains de Sébastien qui étaient venues tout naturellement se placer sous la robe caressaient le bas du corps de la jeune. Le baiser langoureux durait et les caresses s’amplifiaient. Il ne pouvait voir ce qu’il touchait, mais il appréciait ces courbes. De sentir ces mouvements répétitifs sur sa verge provoquait une excitation grandissante. Il avait gémi plusieurs fois et Cécilia qui avait bien perçu le signal avait encore augmenté ses caresses sur les tétons. Bien qu’il ait fait tout son possible pour résister, Sébastien ne put empêcher le plaisir de déferler. Son gémissement contenu par la bouche gourmande qui l’embrassait et sa crispation déclenchèrent le rire de Cécilia qui lui libéra la bouche.
— Tss tss ! Le petit coquin vient de jouir.— Hé ! Mais tu as tout fait pour ça, c’est toi la coquine. Je ne te connaissais pas sous cet angle.— Tu as fait ça dans ton slip, beurk !— Comment sais-tu que je porte des slips ? Ce n’est pas gentil, tu m’as fait jouir comme un collégien boutonneux. Maintenant, je dois me changer.
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