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Le copain de faculté

Chapitre 4

Petite concession ou légère prise en main?

Hétéro
Cela faisait presque un an qu’ils travaillaient ensemble, leur situation sentimentale avait elle aussi bien évoluée. Même si elle avait été longue à l’avouer, Cécilia lui avait tout de même parlé de ses sentiments à son égard. C’est à partir de ce jour là qu’elle était venue s’installer chez lui. Au niveau sexuel, ils fonctionnaient plutôt bien, malgré qu’elle lui refuse toujours ce fruit réservé. En s’éveillant ce matin-là, Sébastien se demandait pourquoi elle avait tenu, exigé de faire chambre à part. Il émit un petit rire en se disant que ce n’était certainement pas pour une raison de pudeur. Cela faisait longtemps qu’il connaissait la totalité de l’anatomie de la jeune femme. Il connaissait tout d’elle, en partant de la courbe des seins, la forme et la couleur des aréoles, en passant par le dessin ourlé du sexe. De la tête aux pieds, il en connaissait les détails ainsi que les odeurs subtiles de la peau de Cécilia. Avec ses exigences, ses élans brusques, ses refus et sa façon de lui accorder une faveur, elle l’avait rendu amoureux. En s’étirant, il rit de plus belle, oui, il était dingue d’elle, mais la sauvageonne s’était prise dans les filets qu’elle avait tendus. Il entendit la voix de la jeune femme venir de la chambre voisine, seulement séparée par une porte de communication.
— Mon minou qu’est ce qui te fait rire de bon matin ?— Juste de savoir que tu m’aimes me met de bonne humeur.
Après s’être levé rapidement il franchit la distance qui le séparait de son amante. En passant la tête dans l’ouverture, il découvrit la jeune femme allongée nue sur le lit. Il souriait en la regardant, il la trouvait magnifique, elle lui rendit son sourire. Il lui fallut cependant quelques secondes pour remarquer qu’il y avait quelque chose dans son apparence qui avait changé.
— Ha ha ha ! Tu es de plus en plus belle ma coquine. J’adore ce léger changement, tu as maintenant un bel abricot tout lisse. Je sens que je vais mordre dedans.— Hi hi ! Je savais que cela te plairait. C’est un petit cadeau de ma part. Viens donc y goûter. Gare à toi si tu me mords !
En imitant un fauve, il venait de sauter sur le lit en montrant ses dents. Il se disait qu’il n’y avait aucune raison de refuser de goûter à ce qu’elle avait si gentiment rendu lisse. En se plaçant entre les jambes de Cécilia, il put découvrir qu’elle avait soigneusement supprimé le moindre poil.
— Hum ! Ma petite femme, je suis sous le charme de ce coquillage. Hé hé ! À en voir l’humidité qu’il y a déjà cela doit vraiment t’émoustiller ma toute belle.
Tout en parlant, il venait de passer son index sur la fente entrouverte pour en recueillir le nectar qui y perlait.
— Ah oui ! Ce miel est vraiment délicieux. J’adore commencer ma journée de cette manière. Tu sais que je t’aime. Accepte de m’épouser !
Sans attendre la réponse, il apposa ses lèvres contre la vulve pour commencer à lécher et aspirer ce sexe qu’elle lui offrait. Il la sentit frémir au contact un peu brutal de ses lèvres et de sa langue fouineuse. Dès le premier instant, il la sentit réagir, le mont de vénus lisse venait à la rencontre des caresses buccales. Rapidement, elle se mit à gémir en réponse à ce qu’il lui faisait. Il lui avait remonté les jambes sur le ventre en les tenant écartées. Cécilia était totalement offerte et ne lui résistait pas le moins du monde. La bouche et la langue avaient élargi le périmètre d’action passant de la vulve à l’anus. La jeune femme gémissait fort et rapidement il obtint un orgasme fulgurant qui la fit crier de plaisir. Tout en la mignotant, il se disait qu’elle avait eu une excellente idée. Le mélange de sécrétions lui plaisait. Il l’entendait haleter, peinant à retrouver son souffle, elle lui tenait pourtant fermement la tête. Comme elle ne lui demandait pas grâce, il s’évertua à prolonger les caresses. Sans surprise, le corps de Cécilia répondait à nouveau à ses sollicitations et en quelques minutes, il entendit son amante gémir à nouveau. Cette fois pour accélérer le processus il lui introduisit un doigt dans l’anus et commença à l’agiter. La conjugaison de la bouche de la langue et du doigt la fit se cabrer. Elle criait en jouissant, un jet de cyprine lui aspergea le visage.
— Hé ! Ça suffit ! J’ai eu l’impression que mon cœur allait exploser.— Ha ha ha ! Je veux bien te croire. Ma petite cochonne vient de me badigeonner le visage avec son nectar. Je n’ai pas la langue assez longue pour tout récupérer.
Sébastien, en souriant, le visage maculé des sécrétions se pencha vers la jeune femme pour l’embrasser sur la bouche.
— Attends, je vais te nettoyer un peu le groin. Hi hi ! Entre cochons, il faut bien s’entraider et ne rien laisser perdre.
Elle l’embrassa goulûment après avoir soigneusement nettoyé les traces sur le visage. Il la serra tendrement dans ses bras pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’elle manifeste le désir de se lever.
— Je dois aller faire pipi. Tu m’as tellement fait jouir, que j’ai eu peur de ne pas pouvoir me retenir.
Cela fit sourire Sébastien, il se disait que quelques fois elle exagérait un peu. Il se souvient pourtant que la deuxième fois la jouissance lui avait paru abondante. En haussant les épaules, il la rejoignit dans la salle de bain. « Après tout, je ne sais pas trop comment le corps des filles fonctionne. Les couilles une fois vidées, tu jouis à sec. »
— Que dis-tu mon chéri ?— Que les filles sont différentes des hommes, c’est tout.— Hou là ! Mais il est très fort mon petit chéri ce matin. À propos, c’est oui. J’ai peut-être lâché un peu de pipi ce matin. Ma mouille avait un goût différent.— Ah bon ? D’accord, ce n’est pas bien grave, nous n’en mourrons pas.
Assise sur la cuvette des toilettes, elle se leva d’un bon pour venir lui taper sur le bout de sa verge molle. En la voyant se lever pendant une seconde, il avait cru qu’elle lui cédait simplement la place. Le petit coup sec sur le prépuce le fit gémir.
— Je te dis, OUI ! Et tu me réponds que ce n’est pas grave. Tu es vraiment un mec gonflé tout de même. Non ! Je ne te parle pas de ton vermicelle qui lui est en berne.— Aïe ! Mais qu’est ce que j’ai dit ? Je te réponds simplement, un peu de pipi ce n’est pas important.— Alors quand je te dis OUI, ce n’est pas important ?
Il la regardait d’un air étonné, il ne savait pas à quoi était due cette réaction. Elle avait joui deux fois et il avait obtenu une tape sur sa verge. Il lui fallut quelques secondes pour réfléchir et comprendre ce à quoi elle venait d’acquiescer.
— Alors, c’est OUI ! Tu viens bien de moi comme mari. Mais c’est formidable !
Pour montrer sa satisfaction, il sauta en l’air en faisant taper ses talons. Ce qui déclencha l’hilarité de sa compagne.
— Ha ha ha ! Je regrette de n’avoir pas eu quelque chose pour te filmer. Voir ton vermicelle s’agiter dans tous les sens c’était mimi.
En haussant les épaules, il la prit entre ses bras pour l’embrasser langoureusement. Elle pouvait se gausser de son appendice, il s’en moquait, il était aux anges. Elle venait d’accepter de l’épouser, il n’y avait que ça qui comptait. Ensuite pendant quelques secondes, il lui bécota le visage, les yeux et les lèvres. La tenir entre ses bras, la sentir gigoter, frotter ses tétons contre son torse lui plaisait.
— Ma petite chérie, je suis aux anges. Ce matin, j’ai eu droit à deux cadeaux, un prochain mariage et ton joli corps entièrement lisse.— Hum ! Oui, c’est certainement pour cela que tu es en train de m’étouffer. J’ai l’impression que tu essaies d’aplatir mes seins. Quant à la disparition des poils, j’y pensais depuis longtemps. J’hésitais parce que j’avais peur que cela fasse trop petite fille.— Ha ha ha ! Non pas du tout ! Ton minou est fin et bien dessiné. Je dois dire que sans poil c’est très appétissant.
En souriant, tout en parlant il venait de la délivrer de son étreinte. Elle lui mit une tape assez forte sur son prépuce ce qui le fit gémir.
— Aïe ! Cela devient une habitude.— N’es-tu pas en train de me dire que ma chatte couverte de poils n’était pas appétissante ? Voire pas ragoûtante ?— Bien sûr que non, ma petite chérie. Je trouve que ton abricot est plus joli et agréable bien lisse, comme tout le reste.— Bon ! D’accord, je te pardonne ! Tu dis vrai, c’est mieux tout lisse, tu vas donc faire comme moi. Ainsi, nous serons à égalité.
Sébastien ouvrit la bouche pour répliquer, mais il se dit que ce n’était pas le moment de contrarier sa future épouse. En regardant la pendule murale, il se rendit compte qu’ils avaient suffisamment perdu de temps et qu’ils allaient devoir se remuer pour pouvoir ouvrir leur commerce à l’heure. Quelques minutes plus tard, main dans la main ils marchaient d’un pas rapide en direction du magasin. Alors qu’ils passaient devant un salon de beauté, Cécilia lui tira sur la main pour lui imposer une halte.
— Attends mon chou, cet endroit est exactement ce qu’il te faut. Ils pratiquent l’épilation définitive. Enfin, quelques séances seront nécessaires, mais ensuite, tu seras bien lisse partout.— Mais !...
Le tenant fermement par la main elle l’entraîna dans la boutique où une jeune femme se tenait derrière un comptoir. En quelques mots, elle lui expliqua ce qu’elle voulait. L’employée très souriante se contentait de hocher affirmativement de la tête.
— Bien, mon gros bébé, je te laisse entre ses mains expertes. Elle travaille vite et bien, tu as pu apprécier son travail. Ne t’en fais pas mon chéri, je vais de ce pas ouvrir notre coffre aux trésors.
Après l’avoir poussé en direction de la jeune femme, Cécilia sortit du salon en riant. Sébastien n’en revenait pas, puis il comprit qu’elle avait tout manigancé. Il s’expliquait maintenant la dernière absence de sa compagne. Cela ne l’enchantait pas trop, il s’était dit qu’un coup de rasoir aurait satisfait Cécilia et qu’avec le temps ce qui n’était qu’un jeu serait oublié. Elle avait accepté de l’épouser et il se dit que cela valait un petit sacrifice. Il se contenta de suivre la jeune femme dans ce qu’elle appelait le laboratoire. Jusqu’à cet instant, il pensait qu’il n’était pas pudique, il était pourtant très gêné de se dévêtir devant une inconnue. Il se retrouva uniquement vêtu que d’une serviette éponge fixée autour de la taille. L’esthéticienne commença par les aisselles et les jambes en faisant ce qu’elle appelait en riant un débroussaillage.
— Votre femme a raison, vous n’avez pas beaucoup de poils, le résultat sera parfait. Je vais utiliser une tête large pour détruire les racines. En quatre ou cinq séances, nous aurons un résultat parfait.
Il entendait la femme parler sans l’écouter, il était presque détendu quand elle enleva la serviette qui le couvrait. D’être totalement nu sous le regard de la jeune femme le faisait rougir. Il sentait les mains appuyer sur son bas ventre ce qui augmentait sa gêne. La femme semblait intarissable, elle décrivait ce qu’elle faisait, les multiples contacts le faisaient frissonner. Les petites vibrations de l’appareil se faisaient sentir sur sa peau, il essayait malgré tout de se détendre. Il avait l’impression que la séance d’épilation s’éternisait. La femme finit pourtant par lui dire qu’elle avait terminé, d’autorité elle lui communiqua les dates des prochaines séances. Sébastien en se rhabillant frissonna à plusieurs reprises ? Il venait de découvrir des sensations nouvelles. Le contact de la peau avec le tissu lui parut totalement différent, auparavant il avait ressenti l’air à des endroits inhabituels. Après avoir payé, il se dit que ce n’était tout de même pas donné ce genre de soins. Après être sorti, alors qu’il marchait, il émit un petit rire. « Mince, cela fait bizarre de sentir le tissu de mon slip à cet endroit. » Il allongea le pas en regardant autour de lui, il se disait que les gens croisés devaient penser qu’il avait un comportement bizarre. Quelques minutes plus tard, il poussait la porte de son magasin, le tintement de la clochette fit apparaître Cécilia en haut de l’escalier.
— Coucou mon chéri ! Alors ? Cela s’est bien passé ?— Oui, je ne vois pas pourquoi il en serait autrement. Cela me fait pourtant des sensations bizarres. Je sens le tissu sur mon pubis et sur le haut de ma...— Hi hi ! Oui, je sais, mais reconnais que c’est agréable non ?— Hé coquine ! Tu t’imagines peut-être que cela me fait bander. Et bien non pas du tout. Je me suis laissé épiler parce que je t’aime.
Il la vit descendre rapidement les marches en riant et venir vers lui. Une fois à la bonne distance, elle défit les attaches du pantalon qui descendit sur les chevilles de Sébastien.
— Ah oui, tes jambes sont bien lisses, elle a bien travaillé.
D’un geste rapide, elle venait de baisser le slip de son homme ? Elle émit un petit rire en découvrant le sexe nu et rabougri. Il ne mentait pas, ces nouvelles sensations ne provoquaient pas une érection. Le tenant par les fesses qu’elle caressait en même temps elle lui bécota le sexe.
— Hum ! J’adore ce que je vois, c’est mignon et tout doux.— Hé ! Mais, ma parole, tu es folle, un client peut à tout moment franchir la porte.
En riant, elle se déplaça vers la porte pour la verrouiller. Quelques secondes plus tard, elle était revenue vers lui. Sébastien les pieds empêtrés dans ses vêtements n’avait pas eu le temps de faire le moindre geste. Il essayait d’afficher un air désapprobateur, mais il n’y parvenait pas. Sentir les doigts de Cécilia courir sur sa peau cela l’émoustillait. Il finit par se dire qu’elle avait eu raison, la disparition des poils avait supprimé un obstacle. Il frémit et sursauta quand il sentit les lèvres de sa femme aspirer son sexe. Le contact de la bouche sur la peau de son pubis lui plut, instinctivement il avait basculé son bassin pour venir à sa rencontre. Il ne pensait plus à la venue éventuelle d’un acheteur. Ses mains étaient naturellement venues se poser sur la tête de Cécilia. Il lui caressait les cheveux pendant qu’elle commençait à lui faire une fellation. Il la regardait en souriant, la caresse buccale faisait son effet et il se sentait durcir rapidement dans la bouche qui le suçait. La jeune femme lui faisait subir une douce torture avec sa bouche pendant que ses mains fureteuses s’occupaient de ses bourses et de son anus. Au départ, elle n’avait introduit qu’un seul doigt, un second venait de rejoindre le premier. Il commençait à gémir fort, il ressentait une montée rapide de son plaisir. Il respirait rapidement, son bassin répondait aux multiples sollicitations. Il avait l’impression d’être une poupée entre les mains de son amante. Il se cramponnait maintenant à la tête de la jeune femme. Ses gémissements se joignaient aux bruits humides faits par la bouche de la jeune femme. Le plaisir arrivait par vagues successives, Sébastien ne put s’empêcher de crier pendant qu’il éjaculait dans cette bouche vorace. Il avait l’impression qu’elle le sodomisait en même temps qu’elle le suçait vigoureusement. La jouissance avait été brutale, très intense. Comme chaque fois, son gland devenu très sensible l’incitait à se libérer de la bouche qui l’enserrait. Pourtant, elle ne le lâcha pas, elle poursuivit sa fellation tout en faisant bouger rapidement ses doigts dans cet anus qui s’était élargi. Il sentait les doigts qui lui massaient la prostate. Pendant qu’il se sentait aspiré, dévoré par cette bouche affamée. Il gémissait de plus en plus fort, au départ, cette reprise de fellation était presque désagréable. Pourtant rapidement, le plaisir revint tout aussi fort. En gémissant, il ressentit les spasmes de l’éjaculation pendant qu’elle le suçait faisant des va-et-vient entre ses fesses. Il avait plaqué son pubis sur la bouche de Cécilia en criant.
— Ha ha ha ! Tu n’as déjà plus de lait ! Je reste sur ma faim. Cela me donne envie de mordre ton vermicelle.— Mais tu es une sacrée coquine. Tu es insatiable, je te rappelle que nous avons un commerce à faire fonctionner.— Oui, je sais rabat-joie. Tu es pourtant tellement joli avec les fesses à l’air. Bon ! D’accord ! Tu peux te rhabiller, je vais ouvrir.
Quelques secondes plus tard, le tintement de la clochette précédait l’entrée d’un client dans la boutique. Sébastien n’avait disposé que de quelques secondes pour remettre de l’ordre dans sa tenue.
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