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Le copain de faculté

Chapitre 7

Idées fausses et découverte étonnante.

Hétéro
Cela faisait trois semaines que Jérôme occupait la chambre d’amis et qu’il travaillait sur l’ouvrage dans le bureau. Cécilia en minaudant avait réussi à convaincre Sébastien de lui permettre d’assister son copain archéologue. Les retrouvailles du couple dès le premier jour furent toujours très sexuellement chaudes. Lors des premières journées, en se retrouvant seul au magasin il s’était senti un peu déboussolé. Quelques doutes avaient effleuré son esprit, pourtant en rentrant chez lui, l’accueil et tous les gestes de sa femme les avaient effacés. À chacun de ses retours, Cécilia avait réussi à encore agrémenter leurs parties de jambes en l’air. Elle lui avait fait découvrir et utiliser quelques petits jouets pour adultes et les retrouvailles étaient devenues de plus en plus torrides. En dehors des repas, Jérôme était discret au point que Sébastien par moment en oubliait sa présence. Cécilia profitait toujours du moment des repas pour lui faire des comptes rendus détaillés sur l’avancement du travail et des résultats qu’ils obtenaient. Chaque fois, il se rendait compte qu’elle participait avec enthousiasme à ces travaux. Ce jour là en entrant dans le domicile familial il avait trouvé Cécilia plus enjouée et mutine que d’ordinaire. Ce qui l’avait incité à la questionner sans toutefois pouvoir obtenir autre chose qu’un « tu verras bien mon amour ». Le repas s’était déroulé dans une bonne ambiance, après avoir participé au rangement de la cuisine Jérôme s’était retiré dans ce qu’il appelait pompeusement ses appartements.
— Mon amour, me fais-tu confiance ? Es-tu prêt à jouer le jeu ?— Ha ha ha ! Que me réserves-tu ma jolie coquine ?— Ne réponds pas en me posant une question. Quand je t’ai fait utiliser une esthéticienne, tu as reconnu que j’avais eu raison et que le petit changement était bien.
Il la regardait en souriant, se demandant ce que cette fois elle allait lui demander de faire. Depuis qu’ils étaient ensemble, ils ne s’étaient jamais rien refusé. Au fils des mois des jouets et des pratiques étaient apparus. Sébastien pensait qu’ils avaient fait le tour de ce qu’ils pouvaient faire. Tout en parlant, ils se dirigeaient vers sa chambre, lieu habituel de leurs ébats.
— Tu pourrais au moins me donner un petit indice. Oui, bon ne me regarde pas comme ça. Je te fais confiance et je jouerai le jeu.— C’est tout ce que je voulais entendre, à partir de cet instant tu fais tout ce que je dis.
En riant, elle fit entrer son mari dans la chambre, puis entrepris de le déshabiller entièrement. Elle joua pendant quelques secondes avec son sexe mou en lui faisant remarquer qu’il ne tarderait pas à être beaucoup plus excité. En souriant, il la regardait agir, se laissant manipuler comme une poupée. Il se disait que jusque là il n’y avait rien de nouveau. Sans arrêter de parler elle lui occulta la vue en avec un bandeau noir en s’assurant qu’il ne pouvait rien distinguer.
— Hé ! Tu triches ! Je ne vais pas pouvoir profiter du paysage. J’aime bien te voir bouger toute nue. J’adore voir tes petits seins bouger et ton abricot montrer ses secrets. Je veux savoir quand ton plaisir arrive et commence à bien humidifier ces petites lèvres.— Chut ! Ce n’est pas fini patiente !
Le prenant par la main elle le conduisit jusqu’à son lit où elle le fit s’allonger sur le dos. Il resta dans cette position pendant une minute. Il écoutait les petits bruits, devinant qu’elle se débarrassait rapidement de ses vêtements. Il sourit quand il sentit qu’elle s’installait à califourchon sur son ventre et en sentant que sa vulve était humide.
— Hum ! Ma coquine tu mouille déjà, ce que tu me prépares t’excite beaucoup.
En riant, elle lui saisit un poignet qu’elle fixa au dossier du lit, quelques secondes plus tard il était attaché les bras en croix. Au moment où il allait parler, il sentit que Cécilia lui insérait un objet dans la bouche. Il émit un rire étouffé en se disant que la bougresse venait de le museler. Il ne s’attendait pas à cette innovation.
— Mon amour je vais te faire découvrir quelque chose de nouveau. Oui, je sais, mais si je t’en dis plus cela gâcherait la découverte de ce que je te réserve. Je suis certaine que passé le petit moment de la surprise, tu vas aimer.— ... mmm...
Sébastien venait d’essayer d’exprimer son étonnement, la main de sa femme venait de lui lier la cheville et d’élever sa jambe gauche avec un angle bien ouvert. La même manipulation s’opéra avec le membre restant. Il entendit le rire cristallin de son épouse quand il se retrouva les jambes écartées, totalement offert.
— Mon amour, j’adore te voir ainsi, tu es bien lisse, tout ce que je vois est très mignon.
Il renonça à tenter de s’exprimer, le bâillon lui remplissant la bouche faisait bien son office. Il frémissait de plaisir en sentant les doigts agiles parcourir son corps et le caresser. C’était la première fois qu’il se retrouvait ainsi entièrement à la merci de sa jeune épouse. Il l’entendait rire chaque fois qu’elle le faisait gémir en le caressant. Il se demandait jusqu’où elle avait l’intention d’aller, elle lui avait déjà fait goûter à divers objets. Ce qui changeait par rapport aux fois précédentes, c’était qu’il était attaché, les yeux bandés et un bâillon. Il se sentait excité et pourtant il ne se sentait pas en érection. Les caresses qu’elle lui faisait le faisaient se tortiller sur le lit. Il la sentait se déplacer autour de lui, il se dit que cette coquine avait bien préparé cette soirée. Il sursauta quand il sentit le contact froid sur son anus et les doigts de sa femme. Quelques secondes avant elle lui avait pincé les tétons avant de lui malmener un peu le sexe. Il émit un petit rire étouffé par le lien dans sa bouche. Il se disait qu’elle allait comme les fois précédentes lui titiller la prostate jusqu’à le faire éjaculer. Il essayait de deviner lequel des deux objets connus Cécilia allait utiliser en plus de ses doigts. La jeune femme pour l’instant lui travaillait soigneusement l’anus tout en lui administrant de petites tapes sur le sexe. Chaque fois, il l’entendait rire et se moquer gentiment de la mollesse de sa verge. Une flaccidité qu’elle s’efforçait visiblement de conserver.
— Ton oiseau commence à pleurer et ton petit trou est vraiment bien souple. Tu sais, j’adore te voir ainsi complètement soumis à ma volonté. Hi hi !
Tout en parlant, elle venait de lui presser les testicules, par réflexe il bascula son bassin pour y échapper. En riant, elle lui introduisit un troisième doigt dans l’ouverture béante.
— Hum ! Mon joli coquin de mari, je sens que tu es prêt à m’accueillir.
Les doigts qui lui fouillaient l’intérieur lui titillaient la prostate ce qui le fit gémir de plaisir. Presque aussitôt, les doigts furent remplacés par quelque chose de plus gros et large que les jouets habituels. Il se sentit pénétré et rempli d’un seul coup et pourtant sans douleur. Cécilia venait de le sodomiser pour la première fois, oui, bien sûr le sujet avait été abordé, mais sans plus. Il n’avait pas eu le temps de réagir ou d’anticiper, elle l’avait pénétré profondément avant de commencer à bouger. Au début, elle bougeait lentement, puis se rendant compte qu’il ne ressentait pas de douleur, elle accéléra les mouvements. Elle le sodomisait tout en le caressant, petit à petit il y trouva le plaisir annoncé et en même temps il s’entendait gémir. Leurs petits cris se répondaient pendant que des sons humides s’y ajoutaient. Sébastien l’entendait réagir aussi fort que lui. Le plaisir qu’il ressentait augmentait rapidement. Cécilia lui claquait régulièrement les fesses sans oublier son sexe.Grâce à ce mélange, en quelques minutes il s’était rapproché de l’orgasme. Ils crièrent leur jouissance en même temps et avec la même force. Au même moment alors qu’il la sentait complètement en lui il perçut de fortes giclées tièdes dans son rectum. S’il n’avait pas senti les mains de sa femme lui tenir fermement les cuisses, il aurait douté. La petite main qui était revenue sur son sexe lui confirma que c’était bien son épouse qui venait de le sodomiser.
— Hi hi ! Mon amour, le nouveau jouet que j’ai acheté est excellent. Tu as senti, je viens de remplir ton petit trou. En plus, il est double, je te fais plaisir et en même temps j’en ai tout autant.— Mmm !— Ah oui ! C’est vrai ! Attends, je vais retirer ton bâillon et te libérer les yeux.
En riant, elle lui retira la boule et le bandeau, Sébastien remua longuement sa mâchoire avant de lui répondre. Il se découvrait dans la position où elle l’avait installé. En souriant, Cécilia lui montrait le harnais avec un sexe nettement plus gros que le sien. Au bout du gland, il vit l’orifice où perlait encore un liquide blanc.
— Tu es une sorcière ! Tu as su une fois encore me conduire là où tu voulais.— Tss, tss ! N’essaie pas de faire les gros yeux. Je sais que tu as aimé, la petite traînée sur ton ventre en est la preuve.— Bon ! D’accord, je le reconnais, j’ai aimé, c’était très excitant. J’espère que nous n’avons pas trop fait de bruit et que ton ami n’a pas été dérangé. Je me demande où tu vas chercher toutes ces idées.— Je suis ravie d’entendre que mon seigneur et maître apprécie ma façon de pimenter notre vie sexuelle.
Sébastien la regardait en souriant, puis il commença à tirer sur les liens. La situation n’était pas désagréable ou inconfortable, il aspirait simplement à retrouver toute sa liberté de mouvement. Il se demandait pourquoi ce genre d’idée venait toujours de sa femme.
— Oui mon gros loup, je vais te détacher, même si j’adore te voir ainsi offert. Hi hi ! Simplement parce que tu aimes les surprises et pour ça je suis la reine.
Il eut la sale impression qu’elle venait de s’introduire dans son esprit, il frissonna. Elle riait en le détachant, il soupira d’aise en détendant ses membres inférieurs.
— Tu es vraiment une sorcière. Je ne sais pas comment tu as pu deviner ce que j’avais en tête.— Je vais aller prendre une bonne douche et ensuite au dodo, le petit jeu nous a entraînés loin dans la nuit.
Il la vit sortir en courant de la pièce le ventre encore ceint du harnais. Le sexe artificiel bougeant au rythme de ses enjambées. Il sourit de satisfaction, il avait bien joui, il se dit qu’il pouvait attendre quelques minutes avant de se rendre dans la salle de bain. En soupirant d’aise, il se laissa aller sur le dos. Cécilia n’avait pas menti, cela avait été surprenant et très agréable. Il se dit que la prochaine fois, il s’arrangerait pour avoir un peu plus de liberté.

En ouvrant les yeux, Sébastien se rendit compte qu’il s’était rapidement endormi après leurs galipettes. En revoyant les liens, il émit un petit rire. « Sacrée petite femme ! Elle a su me faire grimper aux rideaux. » En bâillant et en s’étirant, il posa les pieds sur le sol. Il se dit qu’il était temps de passer sous la douche et d’aller prendre son petit déjeuner. Il était de très bonne humeur, le souvenir de cette soirée pleine de surprises et de plaisir y était pour quelque chose. Un regard sur la pendule lui indiqua qu’il était tout juste dans les temps. Il allait devoir se dépêcher pour ne pas être en retard. Avant de se rendre à la salle de bain, il fit pourtant un détour par la chambre de sa dulcinée. En passant la tête dans la pièce, il découvrit que Cécilia dormait encore, seul un de ses pieds était couvert par le drap. La découvrir ainsi, toujours aussi belle et abandonnée le ravissait. En voyant le léger sourire sur les lèvres de la jeune femme, il pensa que le rêve devait être très attrayant. En s’approchant sans bruit, il put voir que le coquillage finement ourlé brillait d’une humidité. Par réflexe, il se passa la langue sur les lèvres, ses mémoires olfactive et gustative faisaient le reste. Si le rythme de la respiration ne lui en indiquait pas le contraire, il aurait pu penser qu’elle le provoquait. Il resta ainsi pendant plusieurs minutes à admirer ce corps tant aimé. Il la trouvait sans défaut, de la tête aux pieds. L’ovale du visage, les petits seins, la courbe des hanches, la taille, le joli nombril et cette vulve avec un joli mont de vénus formaient un très bel ensemble. Voir cet ensemble évoquant tellement tellement de plaisir qu’il avait du mal à s’en détacher. Il la vit bouger et soupirer en même temps qu’une jambe s’écartait de l’autre découvrant un peu plus les lèvres roses humides. Cela le fit sourire, cela devenait de plus en plus tentant, presque aussitôt une main de la belle endormie vint dissimuler cet abricot qu’il envisageait maintenant de lécher un petit peu. C’était comme si Cécilia lui rappelait qu’il devait s’apprêter et aller travailler. Il émit un petit rire en quittant la pièce, ce n’était que partie remise. Il se rattraperait ce soir en rentrant, sa chérie aurait droit à ses hommages. Les minutes qui suivirent lui servirent à essayer de rattraper le temps perdu. Il dut courir la plupart du temps pour arriver presque à l’heure devant sa boutique. Déjà, il pensait à tout ce qu’il allait devoir faire au cours de cette journée. Ce qui ne l’empêchait pas de penser à diverses choses où venait se mêler le souvenir des galipettes dans sa chambre. Puis, il lui revint à l’esprit que l’archéologue lui avait dit que ses recherches avaient bien progressé. Le petit clin d’œil que Jérôme lui avait adressé l’avait un peu surpris. Il n’avait pas su comment l’interpréter, Cécilia avait ri et la conversation avait repris. Chaque fois, les commentaires étaient accompagnés de notes manuscrites et d’indications précises. À aucun moment, Sébastien n’avait pu mettre en doute la réalité des recherches effectuées. L’échéance approchant, il pensait à nouveau à la femme qui était venue le voir au magasin et à la possibilité de faire une bonne marge sur ce livre. En tournant au coin de la rue, il était légèrement essoufflé. En découvrant une silhouette féminine, il pensa aussitôt cette acheteuse potentielle. À peine fut-il à proximité qu’elle l’interpella aussitôt.
— Bonjour monsieur ! Je viens aux nouvelles !
Avant de répondre, Sébastien prit le temps de commander l’ouverture de la grille, il se tourna vers elle pendant que le moteur entraînait vers le haut le rideau métallique.
— Bonjour madame, oui, je me souviens parfaitement. Vous avez quatre jours d’avance, le livre n’est pas encore revenu. Je vous ai dit que...— Oui, oui, bien sûr, mais j’ai des sources sûres qui me disent que ce livre fait l’objet d’un examen très poussé de la part d’un jésuite.— Vous m’étonnez... un jésuite ? Bof ! Je ne sais pas qui travaille dans cette société spécialisée. Ils ont peut-être des prêtres parmi leurs membres.— Bon ! Nous vous en offrons trente-cinq mille. Quand pouvez-vous nous le livrer ?— Vous connaissez la réponse, madame.
Sébastien était abasourdi, Jérôme un jésuite étudiant le livre, il trouvait cela étonnant. Rien dans son attitude ou ses paroles ne pouvait laisser penser qu’il était prêtre. En lui faisant un petit signe de la main la femme tourna les talons et il la regarda s’éloigner le bruit de ses talons hauts martelant le sol. Il rit en se souvenant de l’offre d’achat, la proposition était encore meilleure que la fois précédente. Le bénéfice potentiel s’accroissait de façon notable et cela l’enchantait. Une question lui titillait l’esprit, de qui venaient les informations données à l’acheteuse ? Il haussa les épaules en se disant qu’il aurait peut-être une réponse un jour ou l’autre. Il se dit qu’il était temps de se mettre au travail. La journée s’écoula sur un régime habituel, il eut quelques clients intéressants avec qui il eut de bons échanges. Le tintement du vieux tiroir-caisse ponctua plusieurs fois des transactions fructueuses. Il était content des résultats obtenus et c’est le sourire aux lèvres qu’après avoir fermé la boutique qu’il regagnait d’un pas léger le domicile familial. Il avait hâte de retrouver sa chérie, il rit en revoyant les images matinales. « Hum ! Un joli coquillage m’attend ! » Tout en soliloquant, il venait de tapoter les chiffres sur le boîtier commandant l’ouverture de la porte. Quelques minutes plus tard, il franchissait la porte de l’appartement.
— Coucou ! Ma chérie, je suis rentré !
N’ayant pas entendu de réponse, Sébastien intrigué s’avança dans l’appartement. Cécilia devrait être là puisqu’elle lui avait dit qu’elle ne sortirait pas. Ce ne fut qu’en pénétrant dans la cuisine qu’il la découvrit, elle était assise sur un tabouret face au comptoir. La bouche ouverte elle écoutait Jérôme, elle l’apercevant elle lui adressa un sourire.
— Veux-tu du café mon chéri ?— Salut, Sébastien, installe-toi ! je te sers.
En prenant le tabouret libre, Sébastien se demandait pourquoi elle ne lui avait pas répondu. Il ne ressentait pourtant rien d’anormal, leurs comportements lui semblaient parfaitement naturels.
— Mon petit cœur, Jérôme a réussi, il a trouvé ? Mais je le laisse te donner les détails.
Pendant qu’elle parlait, Jérôme qui venait de remplir un mazagran le déposa devant Sébastien.
— Oui, c’est vrai, mes recherches ont abouti. Je vais bientôt partir en Israël et me rendre à Saint-Jean d’Acre. Il faut que je te dise, j’ai omis un petit détail qui peut avoir son importance. Je suis un ecclésiastique en mission.
Il n’était pas vraiment étonné d’entendre ça, il venait de vérifier que la femme disposait de bonnes informations. Il regardait Cécilia d’un air interrogateur.
— Je viens d’apprendre que mon copain de faculté est un jésuite. J’ai eu beaucoup de plaisir à collaborer à ses recherches. Nous avons la certitude qu’il y a un trésor important dissimulé dans les souterrains dans cette ville.— Dis-moi Jérôme, n’est-ce pas un genre de péché ? Mais bon, on s’en fout ! Tu aurais pu nous dire que tu es prêtre. J’ai une cliente très intéressée par cet ouvrage qui m’a dit qu’un jésuite étudiait l’ouvrage.— Ha ha ha ! Oui, je vois, j’ai annoncé ce matin à l’évêché que je touchais au but. Je viens de les prévenir que je venais de réussir. La fuite vient de là. Ces gens ont beaucoup d’argent, ils vont te faire un pont d’or.

Sébastien comprenait beaucoup mieux l’insistance de la femme. Il se dit qu’il accepterait l’offre sans discuter, le prix lui convenait.
— Bien, bien, comme convenu je remettrai cet incunable à cette femme le jour dit. Je pense que cela va te donner une légère avance bien utile pour accomplir ton travail.— Merci, je n’en demandais pas plus. Mon sac est prêt, j’ai mon billet d’avion en poche, je décolle ce soir. Merci encore pour ton aide ma chère Cécilia, merci à toi Sébastien pour avoir accueilli le vieux copain de faculté. Juste le temps de saisir mon sac et je me carapate.
Sébastien le regardait, il avait du mal à imaginer l’homme revêtu d’une soutane. Le café avait eu le temps de refroidir, l’invité venait de partir et ils étaient là tous les deux. Ils se regardaient en silence et lui se disait que parfois son esprit avait vagabondé dans de mauvaises directions. Il rit en se disant qu’il avait imaginé des situations scabreuses et que Cécilia était totalement innocente.
— Hum ! Ma petite chérie, j’ai vu un joli minou ce matin et je pense qu’il est grand temps que je m’en occupe un peu.
En guise de réponse, sa jeune femme quitta rapidement la pièce en riant.
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