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Un copain d'internet

Chapitre 1

L'envie de partager mon aventure de la semaine dernière...

Hétéro
Romain, c’est un gars que j’ai rencontré sur le Net, par hasard. Je m’étais inscrite sur une plateforme d’aide en ligne, le genre d’occupation pour les longues journées ennuyeuses au boulot, où, sous prétexte d’aider les gens, on peut discuter un peu, et, à l’occasion, se faire draguer.Il était venu sur le site pour une question sur une taille de pantalon. Puis on avait discuté longuement, et on se retrouvait régulièrement pour papoter. Romain, il vivait en Belgique, il était étudiant en médecine. Fan de basket, il pratiquait en club. Je l’imaginais grand, mince, mon style, en somme. Moi, j’habitais à Lyon, c’était suffisamment loin pour que notre petit jeu de séduction au clavier ne prête pas à conséquences. Ça me plaisait de me laisser séduire, ça lui plaisait de croire que ça marchait.On avait eu une longue discussion sur notre situation ; il était célibataire par manque de temps, moi par manque d’envie de m’engager.Un jour, la discussion changea. Pas au début, toujours les petites blagues habituelles, les petits compliments. Mais je sentais un ton différent. Puis il en vint au fait :
— Tu sais, je dois faire un stage dans un hôpital étranger, et j’ai choisi Lyon— Ah bon ? Répondis-je sans savoir quoi dire d’autre— Il faut absolument qu’on se voie, depuis le temps que je dois juste m’imaginer comment tu es !
Curieuse et aventureuse, j’acceptais le rendez-vous qu’il m’avait proposé. Je me retrouvais donc sur la terrasse d’un bar de la place des Terreaux, attendant le message fatidique sur mon téléphone.
— Salut, c’est Romain, je suis sur la table à l’angle de la terrasse vers la statue.
Je regardais et voyais Romain, pas comme je l’imaginais. Plus petit, un peu gros, les joues rouges et les cheveux frisés, une tête de poupon, bien loin du basketteur élancé et sûr de lui que j’imaginais.Je m’approchais.
— Salut, alors moi c’est Émilie
Je tendais la joue en me penchant vers lui. Je notais un coup d’œil furtif vers mon décolleté.
— Salut, moi c’est Romain.
Il me fit la bise en m’empoignant le bras, sa main effleura mon sein.Je m’asseyais en face de lui, on se commanda une bière chacun, et on reprit la discussion là où on l’avait laissée sur le site. Puis habilement, il en vint à notre discussion sur le célibat, et fut direct.
— Tu sais, depuis que j’ai attaqué en médecine, j’ai pas eu une seule aventure.— Quoi, t’as pas couché depuis trois ans ?— Non, dit-il mi-piteux mi-fier de son effet.— Ça doit être dur... enfin, les études, je veux dire !— Oh oui... Bon, on se connaît un peu, tu me rendrais ce petit service ?— Quel service ?— Ben... tu vois, quoi... j’ai très envie de coucher avec une fille, et toi, t’es là...
Un peu interloquée, je le regardai, le dévisageai. Non, il n’était pas l’homme de mes rêves, ni même celui que je choisirais si j’avais vraiment envie. Mais là, la proposition, posée comme ça, pas le temps de réfléchir, d’esquiver...
— OK, on le fait, si tu veux.
J’ajoutais un sourire pour faire croire que j’étais à l’aise.
— Je suis à l’hôtel juste à côté, on y va ?
Et nous partons, côte à côte, vers son hôtel. Nous ne parlons même pas sur le chemin.Arrivés à l’entrée, il me guide vers la réception de cet hôtel d’un autre âge, où il faut demander sa clé au concierge, aux tapisseries pas encore à la mode vintage, aux odeurs indescriptibles.Nous montons sous le regard complice du concierge qui a dû en voir d’autres, et à qui c’était inutile de dire « ce n’est pas ce que vous croyez ». Après tout, ce n’en était pas très loin.Romain ferme la porte derrière moi, j’observe la chambre et croise son regard.
— Bon, on y est.— Oui, répondis-je.
Il s’approche de moi, met la main sur ma hanche, l’autre sur mon cou, son visage s’approche du mien. Il entrouvre sa bouche et avant même que je comprenne ce que je faisais là, sa langue se presse contre mes lèvres. Par réflexe plus que par attirance, mes lèvres s’écartent et sa langue maintenant cherche la mienne. Il me tient fermement la nuque et m’embrasse longuement, humidement, son autre main empoignant mon sein.Je restais pantoise, les bras figés le long du corps. Quand il en eut assez, il relâcha l’étreinte et me dit :
— Bon, on le fait ?— Ah oui, c’est vrai.
Il fouilla sa poche, en sortit quelques préservatifs qu’il lança sur le lit. Je pris ça pour le signal, je commençai à retirer mon top. Il avait arrêté de bouger pour me regarder. Je desserrai ma ceinture, défis les boutons de mon jean, et me tortillais pour m’extraire de ce modèle extra-slim. Voyant l’effet que ce début de strip-tease avait eu sur lui, j’enlevais coup sur coup mon soutien-gorge et ma culotte, et me retrouvai nue devant lui. Devant son manque de réaction, du moins apparente, je m’allongeai sur le lit. Ça le ramena de l’hébétude et il commença à se déshabiller à son tour.Pendant ce temps, je glissais un doit le long de mon sexe pour en vérifier l’état. Quelques caresses appuyées et l’image du basketteur que j’imaginais avant de le rencontrer réussirent à me faire mouiller et rendre mon sexe accueillant.Il tomba le caleçon et découvrit un sexe en pleine forme, certainement qu’il bandait depuis le bar. Un corps plutôt flasque, un visage quelconque, une bite bien dure mais courbée vers le bas et avec un gland tout petit... et moi, nue, allongée, offerte, humide. Il n’avait pas perdu de dextérité pour habiller son sexe d’un préservatif, en trois ans d’abstinence ! Il vint sur moi et me pénétra délicatement, puis s’allongea franchement sur moi pour commencer ses va-et-vient. Il me prit comme ça, en missionnaire, avec une cadence régulière, machinale. Son souffle était celui d’un joggeur, sa transpiration aussi. Son visage à côté du mien, j’entendais ses râles, pendant que je sentais les ondulations de son corps emmener son sexe dans le mien.Je n’avais jamais couché avec un gars qui avait ce genre de courbure sur le pénis, ça donnait des sensations nouvelles. J’essayais d’en profiter.Il se remit à m’embrasser tout en me faisant l’amour. J’avais l’impression que sa salive coulait dans ma bouche. Puis, sentant peut-être l’ennui chez moi, il se releva, me contempla un long moment avec son sexe encore planté dans mon corps. Il finit par l’enlever et, me tapant sur les fesses, me fit comprendre qu’il souhaitait un peu de levrette.
J’obéis, je me mis à quatre pattes, la croupe fière et offerte, le sexe accueillant. Il me prit par les hanches, me ramena plus près du bord du lit et, debout, appuya sur son sexe pour le guider vers l’entrée de mon vagin. Il s’y engloutit, et la machinerie repartit de plus belle. Ses mains crispées sur mes hanches, à me faire mal, il me prenait comme un jouet. Je sentais qu’il n’en pouvait plus.
— Mmmm... vas-y... fais-toi plaisir...— Putain, t’es trop bonne, je vais pas tenir...
Sur ce, il sortit son sexe, m’agrippa par les cheveux et me força à me retourner. Je me retrouvai avec son sexe en face de mon visage, il avait enlevé la capote. Il eut à peine à le secouer, le jet de sperme heurta mon visage et me remplit la bouche. Je contemplai ce sexe qui déchargeait trois ans de frustration, par giclées rapides et fluettes. Il eut au moins dix secousses, dix giclées, qui toutes atterrir impeccablement sur ma langue. Ma bouche pleine de son sperme, je le regardais en levant les yeux vers lui. Il avait la tête penchée en arrière pendant son plaisir. Quand il eut fini de décharger sa semence, il me regarda comme pour me supplier de ne pas gâcher son précieux hommage. Je l’avalai tout entier, et, d’un doigt, je rassemblai le peu qui avait raté ma bouche, pour tout finir. Le spectacle lui plut.Encore à genoux au pied du lit miteux, je regardais son sexe revenir au repos. Il m’invita à me lever.
— Merci, c’était trop bon.— Oh oui, répondis-je faussement alors que je réalisais que je n’avais même pas pensé à essayer de jouir pendant tout ce temps.
J’étais contente de lui avoir fait plaisir, de lui avoir servi de défouloir sexuel et d’avoir récolté son sperme pour ne pas le gâcher. Bêtement, je m’étais sentie utile.On se quittait comme ça, pressé qu’il était d’aller retrouver ses collègues pour une soirée, il m’avait presque mise à la porte. Pour le romantisme, on ira voir ailleurs...
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