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Le copain de ma meilleure amie

Chapitre 2

pendaison de crémaillère

Hétéro
Cela fait plusieurs semaines que je n’ai pas revu Hypolite. On s’était croisé peu de temps après le déménagement, « par hasard » bien sûr, dans une rue pas très loin de son nouveau chez lui. On avait pris un verre ensemble, c’était sympa. Je n’en ai pas informé Chloé, que je revois souvent en ce moment.
Quand on s’est revu avec Hypolite, aucun de nous n’a vraiment osé draguer l’autre. Il m’a bien fait quelques allusions et deux trois compliments bien tournés, mais je n’ai pas passé le pas. Puis il m’a raccompagnée jusque chez moi, mais sans plus. En fait, on ne savait pas bien si ce que l’on faisait était correct... Mais aujourd’hui, je m’en fiche ! Je lui ai envoyé un message pour que l’on se voie ce soir. En plus, je n’ai pas encore visité son nouvel appartement. Il n’a pas osé m’inviter à sa pendaison de crémaillère, alors il m’offre une session de rattrapage ce soir, en tête à tête.
J’enfile un vêtement léger et direction le coiffeur. Mes cheveux longs m’encombrent, j’ai l’habitude d’en faire un chignon, mais ça me vieillit, et ce n’est pas l’objectif.
— On coupe au-dessus des épaules s’il vous plaît. Dis-je à la coiffeuse sur un ton décidé.
Celle-ci s’exécute. Pendant qu’elle me coiffe, on se sourit. Beaucoup de gens me sourient en ce moment. Plus qu’avant ! J’aime bien ça. La coiffeuse me surplombe et de temps en temps, je sens son regard dans mon décolleté. Je ne suis pas habillé très sexy, mais c’est vrai qu’une poitrine comme la mienne est difficile à dissimuler, surtout en cette saison estivale. Habituellement, les coiffeuses nous drapent, mais celle-ci de coiffeuse avait estimé que nous n’en aurions pas besoin... la coquine !
Je paye, un grand sourire presque complice en direction de celle qui s’est occupée de moi, et je m’en vais. Mes boucles qui avaient disparu, écrasées sous leur propre poids sont réapparues. Elles rebondissent comme des ressorts au-dessus de mes épaules et caressent mes oreilles. Je marche dans la rue en souriant bêtement.
Chez moi maintenant, il est temps que j’effectue quelques essayages. J’ai reçu hier la lingerie que j’avais commandée, je ne l’ai pas encore portée et j’aimerais bien le faire ce soir. Pas question de porter mes sous-vêtements gainant habituels ! L’objectif est tout autre.
J’ai reçu plusieurs tenues, mais une en particulier attire mon attention. Un soutien-gorge noir en dentelle, c’est rare que je trouve ce type de modèle à ma taille, j’ai dû mettre le prix ! Pour le bas, j’hésite ; j’ai le choix entre un string à lanières, très sexy, trop peut-être ? Ou une culotte brésilienne tout en dentelle, noire aussi.
Bon, sinon pour la tenue, j’ai choisi une blouse blanche, brodée, mais simple. Elle est trop grande pour moi, alors je l’utilise comme une robe qui m’arrive à mi-cuisse. Des baskets, et me voilà partie en direction de l’appartement d’Hypolite.
Je sonne...Hypolite met quelques minutes à m’ouvrir. Je l’entends se dépêcher.
— Désolé ! Entre, je t’en prie. Dit-il en ouvrant brusquement la porte. Il est un peu essoufflé, ses cheveux courts sont encore humides, il replace ses poignets de chemise.
Une chemise blanche, col mao, flotte autour de sa taille et se tend autour de sa ceinture scapulaire. J’entame la conversation.

— On est assortie ! — Je vois ça, haha ! Jolie robe d’ailleurs.
J’exagère un hochement de tête en guise de remerciement.
— Mais ? Tu t’es coupé les cheveux ! Ça te va super-bien !— Olala, mais à peine arrivée, tant de compliments, tu vas me mettre mal à l’aise ! Bon, fais-moi visiter plutôt !
Je l’écoute me faire la visite de son appartement. Je mate ses épaules presque aussi larges que les portes que l’on franchit, son cul rebondi, mis en valeur par un pantalon chino, et ses mains ; longues, fines mais puissantes, je commence déjà à les imaginer sur mon corps. Un « tu veux boire quelque chose ? » me ramène à ses yeux.
— Euh oui bien sûr ! Comme toi !
On s’installe autour d’une table basse, plus loin dans la salle à manger, se trouve une table en bois massif qui dénote avec le reste de la décoration IKEA.
— Dis donc, elle doit peser une tonne cette table-là ! Vous étiez combien pour monter ça au troisième étage ?— Haha, mais voyez-vous, je l’ai portée seul Mademoiselle. Répond Hypolite sur un ton romanesque.— Ooh... À la seule force de vos petits bras musclés ! Provocante, je tâte son biceps, qu’il contracte pour se faire mousser.— Je t’avoue qu’en fait, elle entrait pile-poil dans l’ascenseur alors bon...— Ah bah d’accord, tu casses le mythe.
J’attrape le verre qu’il vient de me servir, et j’en bois une gorgée tout en le regardant. Il fait de même. Un sourire en coin sur chacun de nos visages.Il s’adosse sur le canapé. Son pantalon est bossu au niveau de la braguette, bosse qui semble naturelle, je me demande ce que ça doit donner une fois excitée.Il m’a vue baisser les yeux. Je l’ai vu baisser les siens. Ma lingerie noire se distingue au travers de ma robe blanche, encore plus avec la lumière jaune de son appartement. J’ai chaud et je n’aime pas faire l’amour après un repas.
— Les toilettes c’est par là, c’est ça ?
Je lui tourne les talons, dans un reflet, je le vois me déshabiller du regard. Dans la salle de bain, j’attrape un gant, la fraîcheur du tissu me donne des frissons quand je le passe sur mes lèvres vaginales déjà humides.
Un coup d’œil de vérification dans le miroir et je retourne avec Hypolite. Je délaisse mon siège pour venir m’asseoir à côté de lui dans le canapé. Surpris, il se replace pendant que je me mets à l’aise.
Un silence. On se regarde. « Tu sais très bien ce que je fais là. » Ces mots, je ne les dis pas, mais c’est tout comme. J’agrippe sa chemise et ma bouche court vers la sienne. Il attrape ma cuisse et remonte jusqu’à l’aine. Je me hisse sur son torse que je dénude de mes doigts. Les siens de doigts, glissent déjà sous ma robe, robe qu’il jette au sol pour embrasser mes seins.
Mes seins ; la raison de ma présence. Tu as déjà écarté mon soutif et léché ma peau. Sans doute un fétichisme commun à tous les hommes. Je me place debout devant lui, il se redresse, je le repousse. Incrédule, tu as cru que j’allais te sucer ? Je réajuste ma lingerie et recule. Tu vas me regarder entièrement ; la poitrine je n’en doute pas. Mais le ventre, ses plis ? Regarde mon cul maintenant. Mon dos potelé, il te plaît ?
Je m’éloigne d’Hypolite jusqu’à heurter la table du salon. De l’autre côté de la pièce, Hypolite s’avance. Regarde-toi. Tu es beau et tu le sais, sûr de toi tu t’es mis nu, ou presque. Mais bordel, tu as encore tes chaussettes ! La ceinture abdominale rattrapera cette vision. Après tout, moi aussi j’ai mes obsessions.
Viens me baiser. Ces mots-là non plus je ne les prononce pas, et pourtant tu t’exécutes. Ma chute de reins ne vaut pas celle de ton ex, mais c’est bien moi qui maintenant ponce cette table avec mon visage.
Ton sexe me pénètre sans préservatif, je pensais que tu y penserais, bref. Je préfère savourer ; chaque coup de bassin s’écrasant sur mes fesses, chaque claque remuant ma graisse. Chacun des râles que je t’entends pousser.
Tu tires sur mon bras donc je me retourne brusquement. Mes seins suivent le mouvement avec un temps de retard, tu les suis des yeux. Assise sur la table, je t’offre une vue imprenable, ils te captivent, mon ex ne faisait pas mieux.
Ma poitrine se plisse sous ses mains, il en oublie de me baiser. Je le rappelle à l’ordre en poussant mes talons sur ses fesses. Son sexe glisse dans mon vagin sans ménagement. Il se tient à mes poignets d’amour pour mieux s’enfoncer.
La cadence soutenue finit par perdre sa vigueur. Je n’ai pas eu ma dose. « Baise-moi ! » Je lui ordonne une nouvelle fois, « baise-moi fort putain... » Ses fesses se contractent, projetant sa bite au fond de moi. Ses abdominaux se coordonnent pour me donner du plaisir. De la sueur se forme sous ses clavicules et coule le long de son torse. Je finis par me laisser aller, la tête penchée en arrière, les yeux au plafond.
*

Restée sur la table, j’essuie mes lèvres de quelques gouttes de sperme. Sur mes jambes apparaît de la chair de poule, mes tétons pointent. Hypolite sort de la salle de bain un peignoir à la main et me le tend. « Tu peux prendre une douche si tu veux. » Le gentleman est de retour. Vêtu lui-même d’un peignoir, il se dirige vers la cuisine pour finir de préparer le repas. Tout ça nous a donné faim.
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