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Copains Coquins

Chapitre 4

Zoophilie
Copains coquins 4
Pierre arrive le soir, je lui fais visiter mon étable, les veaux, cela ne semble pas trop l’intéresser, je veux dire qu’il ne porte pas une attention particulière, par contre vers les vaches, il regarde tout, il me félicite pour la propreté de mes bêtes, pas de fumier, il remarque que le poil de chaque animal est propre, lisse, nous passons dans le couloir derrière chacune, il me fait une remarque :    - Elles ont de grosses vulves, c’est la race qui veut cela ?    - Oui les charolaises sont bien pourvues.Pierre regarde le sexe de mes vaches avec beaucoup d’intérêt, il me confie qu’il n’a pas vu de vulve de si près depuis des années.La traite faite, je termine comme chaque soir par le brossage de mes animaux, pendant ce temps Pierre balaie dans le couloir central au cul des vaches.C’est la dernière, il me regarde le menton posé sur ses mains au bout du manche à balai, je brosse le dos de ma belle, j’arrive sur les reins, sa queue se lève dégageant sa vulve et son anus, j’insiste, elle s’arc boute, les yeux de Pierre sont grands ouverts, je vois que la vulve est légèrement ouverte, la chair intérieure rose est perceptible.Un coup d’œil sous la ceinture de Pierre, pas de doute, il se met en érection, je vois le déplacement de sa bite au niveau de sa braguette, il ne bouge pas, il ne fera rien, je vais procéder autrement. J’offre un café et rendez-vous est pris pour le lendemain.Avant que Pierre arrive, j’ai mis un bac en plastique qui sert d’abreuvoir dans les prés, proche de la vache, j’imagine un scénario pour le laisser seul.Même travail que la veille, je brosse le dos, il en reste 6 à faire, je lui propose de me remplacer évoquant que je dois nettoyer la machine à traire, il me faut 1 heure alors que cela est automatique. Je vais jouer au voyeur. Je regarde à travers d’un joint de parpaing dans la salle de traite à deux mètres du cul de ma belle, pourvu qu’il la choisisse. Pierre est à la dernière, même scénario qu’hier, il se place derrière en continuant de la brosser, une de ses mains vient se poser sur la vulve, j’assiste à des caresses multiples, ses doigts parcourent chaque pli de sa vulve, la deuxième main en fait autant, je pense que sa bite doit raidir, je ne peux pas voir, il écarte les lèvres, plonge sa bouche à l’intérieur, sa langue se pose sur les côtés internes de la vulve, il entre littéralement son visage dedans. Sa main gauche défait le pantalon qui tombe à ses pieds, il dégage la veste de ses épaules, il est à poil. Toujours autant de tendresse avec le sexe de ma vache.Il disparaît un instant, je devine qu’il cherche un rehausseur, exact, mon bac est le bienvenu. Pierre est en bonne position, sa bite bien droite, il pose ses mains sur les hanches de la vache, il avance, sa trique bute l’anus, petits mouvements de sa part pour se pencher un peu, trouve la belle masse de la vulve. Il avance et direct dedans, un petit cri de sa part indique qu’il trouve du plaisir.Pierre va entrer et sortir entièrement de nombreuses fois, il découvre la grandeur du vagin, mais son gland doit être au bord de l’explosion, il se met à limer avec beaucoup d’intensité, Pierre se colle contre la vulve, il ne bouge plus, un coup de reins de sa part indique qu’il vient de déverser sa jute dans le vagin de la belle.Il va rester encore quelques instants, recule légèrement, sa verge sort pleine de mouille, semi pendante, Pierre descend du bac, il pose sa poitrine sur la vulve qui rejette son sperme, il se frotte dessus.Ses lèvres jouent avec la fente, sa langue entre et farfouille, suce.Pierre se déplace sur le côté de la vache et se colle à elle, belle aventure, de la tendresse aussi. J’entre, il me regarde et son pouce levé donne sa réponse pour ce moment de complicité.Je lui prépose une douche, il accepte, il remet que sa veste jusqu’au départ, j’ai un peu de mal à me faire à ceci, ce n’est pas de voir un mec les couilles dehors, c’est de vivre tout le temps comme cela.J’offre le café. Je remarque sa position sur la chaise, elle est la même que moi, assis sur le bord, le sexe pendant, sauf que moi, j’ai le pantalon. Ce qui indique que nos couilles aiment la liberté. Pierre se confie :    - Ce que j’ai apprécié avec ta vache c’est de lui lécher le sexe et dire que je bouffais celui de ma femme chaque soir elle aimait tellement cela avant de la prendre. Heureusement qu’il y avait un bac pour me trouver à la hauteur, remarque, j’aurai pris des bottes de paille, j’avais tellement envie de la pénétrer. Ce qui est bien avec la vache, tu peux le faire quand tu veux, elle accepte, enfin si nous sommes doux avec elle.Je ne pensais pas que mon collègue eu des relations avec son bétail, nous devons garder ce secret, si nos autres voisins se doutaient, nous ne serions pas fréquentable.    - Max, je souhaite que ceci ne soit pas un passage, mais un partage à notre guise, pour moi continuer je le souhaite ?— Pierre je partage ton analyse, vient quand tu veux et fait comme ton corps demande, notre attirance est pour les animaux, alors ok.    .- Max pour moi les veaux je ne veux pas, je n’aime pas être sucé, chacun ses goûts Pendant l’hiver nous avons continué, presque pas d’insémination de porcs, dommage, par contre nous avons comblé ce manque avec les vaches.En ce qui me concerne, je m’aperçois que mon sexe en veut toujours plus, j’ai des envies journalières, chaque soir après le brossage la bite est en action, je change de partenaire, ceci me permet de découvrir d’autres vulves, aucune ne se ressemble, par contre les parcourir avec sa queue pour trouver les différences, c’est un jeu qui en vaut la chandelle.Les femmes sont dans le même cas, c’est la pensée qui met tout en désordre.Que ce soit chez Pierre ou chez moi, lors d’une relation, l’autre laisse le champ libre, s’occupe de son travail, sachant bien ce qui se passe, nous nous retrouvons après pour boire le café ou casser la croûte en principe le dimanche soir le travail étant moins contraignant, plus de temps pour discuter, échanger, finalement mieux qu’en couple.Depuis plusieurs mois, l’aventure se poursuit. Une suite aura peut-être lieu, suivant les demandes.
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