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Ma copine baisée sous mes yeux... par ses propres frères !

Chapitre 2

Gang Bang familial

Avec plusieurs hommes
Alors que je suis en week-end avec ma copine dans sa famille, je la surprends le soir dans des jeux plus qu’interdits avec ses frères. Incapable de réagir, je les regarde dans l’ombre...

Sophie a lâché un long gémissement de plaisir en s’empalant sur la grosse bite de son frère. Matthieu n’était pas en reste : il lui a attrapé de nouveau les seins, puis il a commencé à les malaxer tandis que sa sœur allait et venait sur son membre viril.
— Waouh t’es trop bonne sœurette ! a-t-il commenté. Ta chatte est douce et toute serrée, c’est génial !— Flo ne doit pas trop l’élargir ! a ricané Léon.
Et les deux frères ont rigolé à mes dépens, sans se douter que j’étais là à les observer. En même temps, comment auraient-ils pu s’en douter ? N’importe qui interviendrait pour faire un scandale, s’il surprenait sa copine avec un autre homme. Alors avec trois, qui plus est ses propres frères ! Pourtant je n’ai non seulement rien fait, mais encore j’ai continué à me masturber en les observant. Je vivais un des moments les plus douloureux et les plus excitants de ma vie !
— Je sais pas comment elle baise, mais si c’est aussi bon que quand elle suce, tu dois pas t’ennuyer ! a soudain lâché Léon à l’intention de son frère aîné.— Tu verras bien quand on échangera !
Et ils se sont encore tapés dans la main, comme deux potes complices.
— Elle suce si bien que ça ? a demandé Théo d’une voix timide, en s’approchant légèrement.
Ses deux grands frères ont éclaté de rire.
— C’est vrai frangin, on avait failli t’oublier avec tout ça. Manifeste-toi ! lui a lancé Matthieu.— Putain si tu savais… a ajouté Léon pour répondre à sa question. Sa bouche est douce et chaude et elle est super douée avec sa langue. On voit qu’elle est habituée !
Alors là, j’étais scotché. Sophie n’aimait pas sucer, elle ne me le faisait que très rarement, et encore assez timidement et pas très longtemps. Rien à voir, en tout cas, avec la pipe profonde qu’elle était en train d’offrir à son frère !
— Ralenti un peu ou je vais tout lâcher ! a ordonné Matthieu à ma copine, qui se déhanchait sur lui comme une furie.

Elle a obéi, soumise et docile.
— T’aime la bite, hein ? lui a demandé Léon, tout en sachant qu’elle ne pourrait pas répondre.
Pourtant, elle a quand même pris la peine de hocher la tête de manière affirmative.
— Et c’est encore meilleur quand c’est tes frangins, non ?
Là encore, elle a acquiescé.
— Salope… a-t-il conclu.
Soudain, Matthieu l’a fait se redresser, puis il s’est retiré d’elle pour se lever. Un peu surpris, Léon a arrêté la fellation qu’il imposait à sa sœur.
— Tu veux qu’on échange ? a-t-il demandé.— Pas encore, a répondu son aîné. Il faut qu’elle goûte la bite du petit frère d’abord !
Ils se sont tous tournés vers Théo, le cadet, qui tremblait comme une feuille. Il arborait une demi-molle, ce qui trahissait sans doute une forte excitation, mais tempérée par la pression.
— Viens Théo, lui a dit Sophie d’une voix douce.
Théo a obéi, clairement pas à l’aise. Il a même sursauté quand sa sœur a pris sa bite entre ses doigts.
— Ne t’inquiète pas, c’est moi… a-t-elle murmuré en le masturbant doucement. Tu n’as pas de pression à avoir, je suis ta grande sœur…
Sa voix était douce, rassurante, mais en même temps très lubrique. Je ne reconnaissais pas ma copine, qui est normalement timide et pas du tout à l’aise avec le sexe !
— Je vais te prendre dans ma bouche, a continué Sophie. Comme ça, tu vas pouvoir bander tranquillement, sans te mettre la pression. On a tout notre temps…
Elle a pris la main de son frère, puis elle l’a posée sur ses seins.
— Tu aimes mes seins ? a-t-elle demandé.
Théo a fait "oui" de la tête.
— Tu vas les caresser pendant que je te suce, d’accord ?
Il ne s’est pas fait prier : tandis qu’elle se penchait pour prendre en bouche la verge de Théo, qui avait entre-temps déjà bien grandie (il n’avait rien à envier à ses frères !), il s’est mis à lui malaxer les nichons à pleines mains.
— Hmmmm… a gémi Sophie en suçant son petit frère de plus en plus profondément.
En la regardant faire, j’ai réalisé que ma copine, que je pensais prude, en était déjà à sa troisième bite de la soirée… et c’étaient celles de ses frères !
— Je t’aime Sophie, a murmuré Théo, ce qui a bien fait rire ses frères.— Calme-toi, frangin ! s’est esclaffé Matthieu en lui donnant une tape dans le dos. C’est ta sœur, pas ta copine !
Mais il était évident que Théo regardait sa sœur avec des étoiles dans les yeux. La douce gâterie qu’elle lui prodiguait avait dû mélanger les choses dans son esprit…À moins qu’il ne ressente réellement quelque chose pour sa sœur ?Sophie a bientôt arrêté de la sucer, parce que ses soupirs de plaisir devenaient de plus en plus longs et rapprochés, signe d’un orgasme imminent.
— Pourquoi tu arrêtes ? a-t-il demandé. J’en veux encore…— Je sais, mon chéri, a répondu Sophie d’une voix douce, maternelle. Mais maintenant il faut que tu deviennes un homme…
Elle a pris la main de son frère, puis elle l’a posée sur sa chatte luisante de mouille.
— C’est ici que tu vas la mettre maintenant. Tu sens comme c’est doux et chaud ?
Théo a fait "oui" de la tête, mais il tremblait de nouveau comme une feuille.
— Comment je devrais faire ? a-t-il demandé d’une voix chevrotante.— Comme tu veux mon chéri, tu peux me baiser absolument comme tu en as envie. Vas au rythme que tu veux, et prends-moi dans la position que tu veux.
Son petit frère a réfléchi quelques secondes, puis il a seulement murmuré :
— Comme ça, c’est bien.
Sophie était assise dans une chaise longue, les jambes écartées, sa vulve bien ouverte. C’est vrai que l’invitation était difficile à refuser ! Ma copine a alors attiré mon petit frère à elle, puis elle a elle-même guidé sa bite vers l’entrée de sa chatte trempée de mouille. Le gland de Théo s’est posé tout contre, près à écarter les chairs que je pensais naïvement n’appartenir qu’à moi.Je croyais même Sophie quand elle me disait qu’elle n’avait connue qu’une seule bite dans sa vie : la mienne ! Pourtant, il me semblait évident maintenant que c’était très loin d’être le cas…
— C’est bien mon cœur, l’a-t-elle encouragée. Maintenant, rentre-la-moi doucement.
J’ai vu le gland de Théo disparaître lentement dans le vagin de sa sœur, puis le reste de sa queue suivre pour se loger bien profond dans son ventre. Pendant ce temps, Sophie gémissait et l’encourageait à "la défoncer".Pourquoi elle ne me parle jamais comme ça à moi ? J’aimerais tellement pourtant !Théo semblait aimer aussi d’ailleurs. Il a attrapé sa sœur par les hanches, puis il a commencé à la besogner de plus en plus fort. Léon et Matthieu se sont placés chacun d’un côté de son fauteuil, la verge au niveau du visage de Sophie. L’invitation était évidente, alors elle a saisi les deux bites avec chacune de ses mains et, tandis qu’elle en branlait une doucement, elle a porté l’autre à ses lèvres pour la sucer. Puis elle a échangé.
— T’arrive à t’occuper de tes trois frères en même temps, si ça c’est pas de la grosse salope… a commenté Léon.— Pendant que son mec est endormi à côté ! a renchéri Matthieu, ce qui les a fait éclater de rire tous les deux.
Et moi je fulminais… en continuant à me branler !Quel looser…Soudain, Théo m’a arraché à mes pensées en gémissant de plaisir. Sophie, qui savait ce que ça voulait dire, s’est mise à crier à son tour :
— Oh oui mon chéri, remplie-moi bien ! Je sens ton sperme bien chaud dans ma chatte, il y en a tellement… Vide-toi mon amour, donne-moi tout…
J’étais abasourdi : pourquoi ne me disait-elle jamais des choses de ce genre ? J’aimerais tellement les entendre ! Pour le coup, ce genre de propos en plein acte, et c’était la promesse d’une jouissance presque immédiate.Les deux grands frères de Sophie et Théo ont rigolé de nouveau, puis Matthieu à jeté un coup d’œil rapide en direction de la maison, comme pour s’assurer que les cris de jouissance n’avaient réveillé personne. Il a eu l’air surpris, l’espace d’une demi-seconde, en regardant dans ma direction, si bien que mon cœur a raté un battement : j’ai bien cru qu’il m’avait vu !Mais non : il a reporté son attention sur sa sœur, en lui demandant de garder les jambes en l’air pour conserver tout le sperme de Théo à l’intérieur.
— On va te baiser à tour de rôle, je veux que tu aies nos trois spermes dans la chatte ! a-t-il lancé d’une voix forte.
Puis il s’est penché vers Léon pour lui dire quelque chose, mais je n’ai pas entendu quoi. J’ai juste vu Léon acquiescer d’un signe de tête.Qu’est-ce qu’ils peuvent bien manigancer encore ?Je ne me suis pas trop attardé sur la question, puisque Matthieu présentait déjà sa bite à l’entrée de la chatte juteuse de sa petite sœur.
— Prête à encore te faire baiser ? a-t-il demandé.— Oh oui, j’en veux encore ! a répondu celle que je croyais être ma prude petite amie, avec un sourire jusqu’aux oreilles.
Matthieu s’est inséré en elle d’un coup sec, puis il a commencé à la pilonner sans tendresse. Il tenait ses cuisses tout en la baisant, j’ai trouvé qu’il y avait un côté animal dans ce coït. Pas forcément ce à quoi on se serait attendu en pensant à une partie de jambes en l’air entre frère et sœur !En même temps, en général on ne pense pas trop à une partie de jambes en l’air entre frère et sœur…
— Ça te dérange pas de te faire baiser par tes propres frères ? lui a demandé Matthieu.— Peu importe, j’aime trop la bite… a répondu Sophie.
Une pointe de colère m’a submergée de nouveau. Mais alors pourquoi est-elle si innocente avec moi ? Moi aussi je rêverais de la baiser de cette manière-là !
— Et ton mec ? Ça te dérange pas de tromper Florent ?
Elle a haussé les épaules.
— Il ne comprendrait pas, c’est un garçon gentil. Je crois que le sexe c’est pas trop son truc.
Quoi ?! Bien sûr que si !Je crois qu’à force d’être gentil avec elle, j’avais fini par ne plus la satisfaire. On dit souvent que les femmes préfèrent les connards… et c’est souvent vrai !Ça a bien fait rire Matthieu, qui continuait à la besogner comme un animal en rut. Chacun de ses coups de rein donnait un "clac" contre les cuisses de Sophie, à tel point que je me demandais si ce n’était pas audible dans toute la maison.Il n’a pas tenu très longtemps à ce rythme, comme il fallait s’y attendre : il a bientôt commencé à crier son plaisir, il n’était pas difficile de deviner qu’il se vidait en elle en de grands jets de sperme bien chaud. Quand il a fini, Sophie s’est légèrement redressée pour garder son sperme à l’intérieur (elle devait commencer à être bien remplie), puis Léon est venu presque aussitôt prendre sa place. Son gland s’est enfoncé sans attendre dans la chatte trempée, puis il a commencé à la baiser à son tour en lui malaxant les seins à pleines mains.
— Oh putain ! T’es trop bonne, petite sœur... a-t-il gémi.
Matthieu lui a donné une petite tape sur l’épaule, puis il s’est dirigé vers l’arrière de la maison avec Théo.
— Qu’est-ce que tu fais ? lui a demandé Sophie.— Occupe-toi de la bite qui te défonce ! a rétorqué son frère.
Ce qu’elle a fait sans rechigner. J’étais vaguement curieux moi aussi, mais à vrai dire j’étais trop fasciné par la scène surréaliste qui se jouait sous mes yeux pour m’inquiéter de Matthieu. Voir ma copine se prendre sa troisième bite de la soirée avait quelque chose d’humiliant, de révoltant, de dégoûtant… et d’excitant ! Soudain, Théo est revenu avec un masque en tissu noir, le genre de masques dont on se sert pour dormir dans les avions. Il s’est approché de sa sœur, puis il lui a mis devant les yeux.
— Qu’est-ce que tu fais ? a-t-elle demandé.— Matthieu dit que c’est mieux de se faire baiser dans le noir… a-t-il répondu.
C’était étrange, mais je n’ai pas eu le temps de réfléchir davantage puisque quelqu’un m’a soudain attrapé par derrière en me plaquant une main devant la bouche. Mon premier réflexe fut de crier, mais avec la main que j’avais devant la bouche, je ne pouvais pas. Et de toute façon, ce ne serait certainement pas une bonne idée vu le contexte…
— Alors, on aime mater pendant que sa copine se fait baiser ? m’a demandé la personne qui me tenait.
C’était Matthieu, j’ai reconnu sa voix tout de suite.Alors comme ça il m’avait vu ? Mais alors pourquoi il n’avait rien dit ? Qu’est-ce qu’il manigançait encore ?
— Elle est bonne, hein ? m’a-t-il demandé.
Que pouvais-je répondre à ça ? Rien, déjà, dans la mesure où il m’empêchait de parler, mais en plus c’était ma copine : bien sûr qu’elle était bonne !
— Je suis sûr que tu adores la voir se faire baiser par d’autres. Tu te branlais même en nous regardant, gros porc…
Là encore, qu’aurais-je pu dire, même si j’en avais eu la possibilité ? J’avais encore la queue sortie et dressée, je ne pouvais pas nier !
— Allé continue, je veux te voir juter ! m’a encore lancé Matthieu.
Il a enlevé la main de devant ma bouche, comme s’il savait que je ne dirais rien de toute façon.
— Branle-toi ! a-t-il insisté.
Vaincu, je me suis exécuté : j’ai commencé à faire aller et venir ma main le long de ma verge encore bien raide, puis j’ai regardé en direction de Léon et Sophie qui baisaient encore avec entrain.
— Plus vite, et mets ta main devant. Je veux te voir juter !
Emporté par la scène qui se jouait sous mes yeux, je n’ai pas été très long à venir : j’ai étouffé un râle de plaisir et j’ai laissé les jets de sperme se déposer dans ma main, que j’ai gardée en coupe juste devant mon gland. À la fin, il y avait une bonne quantité de substance gluante et blanchâtre logée dans le creux de ma main…
— Maintenant, bois tout !— Quoi ?! Mais je…— Ta gueule et bois.
Que pouvais-je faire ? J’étais de toute façon trop excité par cette humiliation, alors je me suis exécuté : j’ai porté ma main à mes lèvres pour boire tout le jus de mes propres couilles. Ce n’était pas bon, mais la soumission que Matthieu me faisait subir me coupait toute volonté de résistance, même si elle me dégoûtait. J’ai eu un peu de mal à tout avaler, écœuré par le goût et la substance âpre et gluante, mais mon bourreau m’a bien fait me lécher les doigts après cela, pour ne pas en perdre une miette. À peine avais-je terminé que j’ai entendu Léon crier, tandis qu’il se répandait à l’intérieur de sa sœur.
C’est déjà le troisième qui se vide les couilles dans la chatte de ma copine ce soir…Matthieu m’a alors tiré par le bras, puis il m’a amené vers ses frères. Heureusement, Sophie avait toujours les yeux bandés, je n’aurais pas survécu à cette humiliation dans le cas contraire. En arrivant auprès d’elle, il a posé un doigt devant ses lèvres pour m’indiquer de ne pas parler, alors que son frère était toujours planté en elle. Il me regardait en souriant, l’air encore plus mauvais que son aîné.
— Maintenant, Théo va te lécher la chatte pour te faire jouir ! a lancé Matthieu à la cantonade. Ça fait partie de son apprentissage.
Sauf que Théo n’a pas bougé, mais c’est moi qu’il a poussé vers ma copine. Je ne comprenais pas pourquoi il tenait tant à ce que je lèche Sophie, mais l’évidence m’a bientôt frappée comme un coup de tonnerre : il y avait tout le sperme qu’ils venaient de gicler à l’intérieur, soit le produit de six grosses couilles bien remplies ! Ils veulent que je boive la fertile semence qu’ils ont mis dans la matrice de leur propre sœur, quels enfoirés ! Pourtant, qu’est-ce que je pouvais faire d’autre ?
Alors je me suis agenouillé devant elle, entre ses cuisses, tandis que Léon se retirait en maintenant les jambes de sa sœur en l’air.
— Je ne voudrais pas que ça coule ailleurs que dans ta petite bouche de pute… m’a-t-il glissé à voix basse.
J’étais anéanti. Ok, Léon n’avait jamais été mon beau-frère préféré, mais on avait quand même toujours eu des relations cordiales. Pourquoi tant de haine, soudainement ? Ou n’était-ce dû qu’au contexte ? J’essayais de me dire que ce n’était pas personnel, tout en posant mes lèvres sur la chatte pleine de foutre de ma copine. Léon a relâché les jambes de Sophie, libérant un épais filet de sperme qui est venu se réfugier presque immédiatement dans ma bouche. J’ai essayé de l’avaler petit à petit, en prenant bien garde à ne pas en faire tomber (quelque chose me disait qu’ils auraient été capables de me faire lécher le sol). Pourtant, la quantité était si imposante que j’ai bien failli vomir. Le goût, l’odeur, la texture… le sperme n’est pas fait pour être ingurgité en de telles quantités ! Pendant ce temps, la colère, la peur et l’humiliation se mêlaient dans ma tête et me faisaient voir rouge. Comment avais-je pu en arriver là, surtout en aussi peu de temps ?
Heureusement, à ce moment-là, je ne savais pas encore que le pire était à venir…
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