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La copine de ma mère

Chapitre 1

Coincée dans la cuisine

Hétéro
Une copine de ma mère, la quarantaine bien portante, jolie brune et sexy dans son peignoir en satin bleu, elle semble finir la vaisselle de son petit-déjeuner quand tout à coup, elle fait tomber son alliance dans le fond de l’évier. Mauvais présage, pense-t-elle.
Elle commence par démonter la grille du siphon dans le fond de l’évier, avec un tournevis qu’elle a récupéré dans ma caisse à outils, car elle pense récupérer son alliance avec facilité, puis elle met la main dans le siphon et parvient à la toucher du bout du doigt. Mais sa main, chose improbable, reste coincée irrémédiablement. Malgré plusieurs tentatives, elle n’arrive pas à se décoincer la main toute seule. Un peu paniquée, elle parvient, en appelant à l’aide, à m’extirper de mon sommeil (ce n’est pas chose facile) et de mon rêve érotique matinal.
Etant toujours réveillé longtemps après elle, je n’avais jamais remarqué qu’elle était aussi sexy et jolie au réveil, dans son peignoir.Même si la situation me paraît assez ridicule, devant son désarroi, nous essayons tous deux de la tirer de ce mauvais pas. Tout d’abord en faisant couler de l’eau puis en ajoutant du liquide vaisselle pour lubrifier.
Rien n’y fait, et elle reste belle et bien en mauvaise posture. Je prends alors l’initiative de me mettre derrière elle pour pouvoir l’aider à tirer. Sous nos efforts conjugués et répétés, son peignoir s’ouvre peu à peu, laissant deviner qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, puis s’ouvre un peu plus, laissant apparaître un sein puis les deux.
La vue de cette magnifique poitrine avec ces seins lourds, mais naturels, notre position pas très confortable, mais tellement agréable avec son parfum me parvenant en direct dans les narines, ne tardent pas à faire réapparaître chez moi cette érection oubliée 5 minutes plus tôt lors de mon réveil.
Elle ne tarde pas à remarquer qu’une certaine raideur a tendance à se frotter contre ses fesses, mais ne sait pas trop comment réagir, la situation étant assez incongrue.Nos tentatives pour la dégager semblent bien infructueuses, mais je dois reconnaître que ma position est très très agréable.C’est alors qu’elle décide de mettre fin à la petite séance de frottage et se retourne très précipitamment pour mettre sa main libre contre mes pectoraux musclés et me repousser gentiment en me disant qu’il faut trouver une autre solution.
En se tournant, son peignoir s’ouvre définitivement, laissant apparaître sa formidable et aguichante poitrine, en plus d’une vision assez délicate de sa petite culotte en dentelle noire.Sa gêne est perceptible quand elle remarque la grosse bosse déformant mon caleçon.Elle se retourne alors pour essayer d’extirper enfin cette foutue main coincée dans l’évier.Je me décide alors d’en savoir un peu plus sur sa vulnérabilité, car dans ses efforts et ses gestes répétés, elle a réussi à faire tomber définitivement son peignoir de ses épaules (même si sans qu’elle s’en aperçoive, je l’ai un peu aidée) et maintenant, il n’est plus suspendu que par son bras emprisonné, laissant son corps très dénudé.
J’en profite pour retirer mon tee-shirt et mon caleçon de nuit pour laisser mon membre turgescent prendre l’air et respirer.Je m’approche à nouveau d’elle, et au lieu de lui tirer le bras pour l’aider et la libérer, je lui descends la culotte jusqu’aux chevilles et dans un geste rapide, me colle à nouveau contre ses fesses pour ne pas lui laisser le temps de réagir, puis je m’agrippe à ses seins pour joindre l’envie au désir.
Là, elle le sent bien, il va se passer quelque chose d’autant que je me frotte de plus en plus précisément dans la raie de ses fesses en ayant des mouvements assez appuyés. Elle ne résiste pas à ces lents va-et-vient, mais proteste mollement, pour la forme, tout en souhaitant que cela ne s’arrête pas.
Ma main gauche s’occupant toujours de son sein en le caressant très délicatement pour s’amuser de son téton durci, ma main droite glisse lentement du sein vers le ventre, puis le bas-ventre, puis son minou.
D’un doigt, je parviens à m’assurer qu’elle apprécie et que sa chatte est suffisamment humide. Moi mon souffle est court dans sa nuque et j’émets déjà de tout petits râles de plaisir.Ma main gauche maintenant quitte son sein et se dirige vers mon membre raide et dur comme rarement, ce qui montre ma grande excitation. Ma main saisit mon membre, dont le gland est déjà tout humide d’envie, puis le dirige vers le Graal.
Elle a senti la dureté de ma queue et ne proteste plus, réclamant maintenant de l’avoir en elle. Elle m’offre son cul et moi j’accepte l’offrande. Je la pénètre assez vigoureusement et l’accueil de sa chatte douce, humide et chaude me comble de bonheur. Elle a l’air aussi d’apprécier, car elle m’encourage à continuer et surtout de ne pas m’arrêter.
Je ne me fais pas prier et tente d’accélérer le mouvement avec le bassin pour aller plus vite et plus profondément. J’y parviens et suis déjà au bord de l’extase.Alors je m’arrête, car je ne veux pas venir trop tôt. Elle se retourne et s’accroupit devant moi pour prendre mon sexe dans sa bouche. Ce qu’elle fait avec sa langue et avec ses lèvres est inconnu pour moi et me fait tressaillir de plaisir. Elle aime mes pectoraux, car elle ne cesse de s’y agripper de sa main valide, sa bouche sur ma queue faisant le reste.
Comme je ne veux jouir que sur elle, je l’invite à se relever et à se retourner dans notre position initiale. Cette fois-ci, la pénétration est aisée, car ma queue a trouvé son chemin toute seule, comme une grande. Il faut dire que ma compagne est une experte et sait adopter les bonnes positions. Ses petits soupirs ont sur moi un effet dévastateur et ses encouragements me font monter vers l’extase. Elle jouit avant moi et je ressens sur mon dard la générosité de son orgasme.
Celui-ci m’achève et je ne peux retenir mes jets puissants de sperme sur ses fesses. C’est une inondation, je n’ai pas souvenir d’avoir eu une éjaculation aussi puissante de toute ma jeune vie.Ce ne sera pas la dernière. La copine de ma mère entreprend alors de me sucer de nouveau. Je crois bien qu’elle trouve ma queue à son goût. Toujours est-il qu’elle parvient à relancer mon érection sans trop de difficulté. Quelle experte, mon gland est tout gonflé de désir ! En plus, de voir son si joli minois au bout de mon sexe me remplit de bonheur. Je lui attrape la tête pour la guider dans ses mouvements, mais elle ne veut pas en rester là et gâcher ce qu’elle a de nouveau obtenu.
Elle se relève alors et m’invite à s’approcher d’elle : ce sera par-derrière. Toujours experte, elle facilite le passage en lubrifiant ma queue avec du savon pris sur l’évier. J’y vais lentement, mais ça rentre aisément. Elle apprécie au plus haut point et je dois dire que moi, la position m’excite follement. Les mouvements réguliers dans son cul au passage étroit sont un ravissement. Elle, elle crie, hurle son bonheur. Quel orgasme, je n’ai jamais vu ça !
Pour finir, elle s’agenouille une dernière fois et me caresse les couilles et le jonc pour prendre tout mon foutre sur son joli visage jusque-là immaculé.Cette émission est moins puissante que la première fois, mais c’est une nouvelle jouissance. Deux fois de suite, ce n’est pas toujours courant !Voilà mon histoire, au fait, ma mère a été obligée de faire venir un plombier, je ne sais pas s’il en a profité autant que moi ...Depuis, je continue de voir les copines de ma mère, mais ce sont d’autres histoires.Et vous, vous connaissez ma mère ?
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