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ma copine et moi aux mains de ses copines sadiques

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Joignant le geste à la parole, les furies se saisissent de moi, et m’attachent à une croix de St André qui se trouve au mur, bras et jambes largement écartés.Celle qui semble mener le groupe me fourre un ball-gag dans la bouche, puis prend un lourd cockring (il doit faire au moins 600 grammes !) et m’enserre les couilles qui se retrouvent tirées vers le bas, entraînant ma queue qui reste pourtant toujours à moitié en érection.Elle s’éloigne quelques instants et revient avec un tube métallique qui doit faire au moins 10 mm de diamètre et 15 cm de long, arrondi sur le dessus, et dont l’autre extrémité est ornée d’un anneau dont le diamètre est légèrement inférieur à celui de ma queue.J’ai déjà vu cet engin sur des sites internet spécialisés, ils appellent ça un "penis plug", le plus gros que j’ai vu faisait 12mm et 10 cm, mais je n’avais jamais pensé que ...Elle saisit ma queue, enduit la sonde de gel et la présente à l’entrée de mon méat ... "Elle est folle, elle ne va quand même pas ?? ... mmmmmppppffffffffff"La salope vient de pousser d’un coup et la sonde s’est enfoncée de 2 cm dans ma queue, m’arrachant des larmes de douleur.Elle me regarde d’un oeil vicieux "ça fait du bien, hein lopette ?! ... Attends, tu vas voir !"Elle pousse à nouveau, la sonde s’enfonce à peine d’un 1/2 cm, elle la retire et repousse à nouveau, ça s’enfonce, j’en suis le premier surpris.Elle recommence quelques fois son mouvement de va-et-vient, la sonde est bien enfoncée de 4 cm, mais ça résiste toujours, elle la ressort, remet un peu de gel, puis, me tordant le téton gauche de sa main, elle pousse de toutes ses forces ...Je sens quelque chose qui cède dans ma queue, 5 cm sont passés, je hurle malgré la boule, je bave, je pleure, elle pousse toujours, la sonde s’enfonce encore, je sens ma queue qui bande à nouveau, et elle pousse ... La sonde est maintenant quasi enfoncée jusqu’au bout, elle fait difficilement passer l’anneau autour de mon gland et finit d’enfoncer le plug dont on ne voit plus que le bout écartant mon méat.Elle me saisit alors les 2 tétons et les serre puis les tord aussi fort qu’elle peut, en me disant droit dans les yeux : "Voilà, ta queue est bien dressée, l’anneau du plug va t’empêcher de débander, et on va te laisser comme ça pendant qu’on s’occupe de cette garce.Elle me frappe la bite plusieurs fois, tire un peu plus fort sur mes couilles et m’envoie un coup de poing dans l’estomac pour terminer.
A elle maintenant !
Pendant tout ce temps, j’ai vu le visage effrayé de ma copine qui assistait à la scène, essayant à plusieurs reprises de leur demander d’arrêter, mais recevant des baffes sur ses joues et des coups de poings dans le ventre à chaque fois.
Les 4 autres filles décrochent Anne des anneaux qui la tenaient suspendue et la remettent sur ses pieds, non sans la pincer ou la frapper au passage, sur les seins ou les fesses.
On lui tire ses longs cheveux en tresse pour y fixer une corde qu’on relie à ses bras, pliés et ramenés en arrière, ce qui projette automatiquement ses seins vers l’avant.A chaque téton, on lui fixe une pince à seins, puis un poids de 100 g à chaque, puis un deuxième, ses tétines sont tirées vers le bas, ses seins se déforment.Anne a cessé d’hurler, elle comprend que cela ne sert à rien, mais elle pleure et gémit."On va voir si elle est aussi souple qu’elle ne le dit !" ... Je sais qu’elle l’est, Anne a fait de la danse classique, et malgré ses 38 ans, est toujours capable de faire le grand écart, mais je me rends compte que ce qui l’attend est autre chose ...On lui fixe des bracelets de cuir aux chevilles et au-dessus des genoux, des cordes sont passées dans les anneaux des bracelets et reliées aux anneaux du plafond, puis la plus costaude des filles lui fait une espèce de "prise de l’ours", mais c’est pour l’empêcher de tomber, car les autres tirent sur les extrémités des cordes et Anne s’élève dans les airs, ses jambes s’écartent au fur et à mesure, jusqu’à ce qu’elle le fasse, ce fameux grand écart !Une des filles grimpe sur une grande escabelle, et finit le tableau en attachant la tresse de ses cheveux à un autre anneau, puis on la lâche, elle est suspendue dans une position très douloureuse, jambes totalement écartées, à l’horizontale, incapable de se défendre, sa moule et son anus ouverts ...

Les filles rigolent, viennent lui pincer les lèvres, ou lui enfoncer un ou deux doigts dans le cul, la plus vicieuse lui saisit le clitoris et commence à le tordre.
"Aaaaaahhhhhhhh" Anne ne peut plus se retenir et laisse éclater sa douleur.
"Allez chercher les godes !" dit la chef
Les filles s’éclipsent un instant et reviennent avec une série de godes, en caoutchouc ou en métal, de toutes les couleurs et toutes les formes, et avec une série de vibros.
"Que la fête commence !"
Je vais assister pendant des heures à une horreur sans nom ...La chef prend un premier vibro et l’approche du clitoris de mon amie, puis le met en mouvement, Anne essaie de résister, mais les vibrations commencent à la faire réagir, des ondes de plaisir et de douleur parcourent son bas-ventre, mais ainsi attachée, elle ne peut se soustraire, elle sent la jouissance arriver et finit par se laisser aller "oooohhhhh, mmmmmm, aaaahhhh, stoooooopppppp ,aaaaaaaaaahh" Elle jouit, mais l’autre n’arrête pas pour autant et continue à promener le vibro sur son clitoris, lui arrachant de nouveaux cris de plaisir et de nouvelles jouissances, l’une après l’autre ... au bout d’une 1/2 heure, Anne a jouï une bonne dizaine de fois, la sueur dégouline sur son visage et sur ses seins, elle a les yeux hagards, le plaisir que lui ont procuré les premières vibrations s’est peu à peu transformé en douleur intense. La fille le sait bien et après avoir arrêté son vibro, prend une plume qu’elle promène sur le clito d’Anne, lui arrachant cette fois des cris de douleur.
La chef se recule et dit en ricanant à une autre "A toi, j’ai le bras qui fatigue ! ..."La fille s’approche, avec dans les mains un gode noir qui doit faire 5 cm à la tête mais 7 cm de diamètre à la base, et une trentaine de cm de long.Elle passe l’engin sur le corps d’Anne ("très bon lubrifiant, la sueur !", dit-elle) présente l’extrêmité au bord du vagin de mon amie, et puis pousse d’un seul coup .. .10 centimètres s’enfoncent en une fois, le corps de mon amie se tétanise et s’arc-boute, mais l’autre continue sa poussée, et je vois disparaître l’engin, cm par cm, jusqu’à la base ... Les yeux d’Anne sont révulsés, son hurlement emplit la pièce "noooooonnnnnnnnn, pitié, arrêtez c’est trop gros !" mais l’autre ne s’en soucie pas et commence un mouvement de va-et-vient
En même temps, une autre des filles s’est munie d’un martinet et fouette allègrement les fesses de ma copine, jusqu’à ce que son cul devienne écarlate.
La fille finit par retirer l’engin, tout poisseux de mouille " tu vois bien qu’elle aime ça cette salope, regarde comme elle a joui !" dit-elle en rigolant.
Ce n’est pas encore fini, une 3ème fille arrive avec des pinces électriques, elle en fixe une à chaque pince à seins, une autre à chaque lèvre de son vagin et la dernière à son clitoris, lui arrachant au passage un autre gémissement.
Les pinces sont reliées par des fils à un boîtier que la fille se met à manipuler, tout en se retournant vers moi et en me disant "tu vois ce bouton ? c’est l’intensité électrique, au début, ça picote et puis ça commence devenir insupportable au fur et à mesure qu’on augmente, elle va adorer ça, cette pouffiasse !"
Et joignant le geste à la parole, elle tourne le bouton ... Anne ouvre les yeux, car elle sent les picotements gagner peu à peu l’intérieur de ses seins, de son ventre et de son vagin ... mmmmm, mmmmmm ... AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH ! ... la fille vient de tourner le bouton aux 3/4 de l’intensité et son corps, malgré les liens serrés, s’est arc-bouté sous la douleur.L’autre n’en a cure, redescend un peu le niveau puis le remonte jusqu’au maximum ... le corps de mon amie gesticule, ses yeux semblent vouloir sortir de ses orbites, ses hurlements n’arrêtent plus ...
Elle croit comme moi qu’il n’est pas possible d’aller plus loin dans la douleur, mais les filles ne sont pas encore à court d’idées.
L’une d’elles arrive avec un plug d’anus, qui ne fait qu’une vingtaine de cm de long mais qui est large d’au moins 8 cm au milieu
Elle le présente au bord du petit trou, inviolé jusque là, car Anne s’est toujours refusée à moi de ce côté-là, et pendant que l’autre continue sn va-et-vient de décharges électriques, l’enfonce de 2 cm
Anne ne réagit pas encore, les décharges lui ont fait perdre toute perception de la réalité ... la fille pousse, l’engin commence à disparaître, et Anne commence à se rendre compte de ce qui lui arrive, mais entre la douleur causée par les ondes électriques, et celle de son anus qui se déchire, son corps ne sais plus comment réagir ... Le plug pénètre peu à peu, ça bloque un moment mais la fille pousse encore, et le sphincter cède d’un coup !Elle continue à pousser jusqu’à ce que seule la base du plug soit encore visible, Anne a le cul complètement défoncé, un petit filet de sang coule à terre.
La fille qui manipule le boîtier remet le bouton en position initiale, puis enlève les pinces, prend un autre plug aussi gros que le premier et l’introduit cette fois dans le vagin de mon amie, qui ne réagit presque plus ...
Puis la chef dit "descendez-là !"
On laisse aller les cordes du plafond de façon synchronisée et Anne descend, toujours écartelée, jusqu’à ce que ses jambes touchent le sol.Les filles reprennent les cordes et les attachent cette fois à des anneaux dans le mur, de façon à maintenir le grand écart.Anne a toujours les bras dans le dos, reliés à ses cheveux, la position doit être très douloureuse, mais elle a tellement souffert jusque là qu’elle ne semble plus réagir, même quand la chef vient lui rajouter un 3ème poids de 200 g à chaque pince à seins.
Je suis abasourdi de ce qui s’est passé, vont-elles enfin nous laisser tranquilles ?
Je déchante vite ... "alors lopette, tu as bien profité du spectacle ? ... en tout cas, ça t’a réussi, dit-elle insidieusement, sachant très bien que je ne pouvais faire autrement, regarde, tu bandes toujours ! ahah !!!"
Maintenant c’est à ton tour ...
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