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La copine de ma sœur s'occupe de moi

Chapitre 1

Hétéro
Petite présentation: je suis un jeune homme de 18 ans, brun aux yeux verts, fin et sec avec un pénis de 16 cm de longueur pour 6 cm de largeur, 15 cm de circonférence).Il y a quelques jours je me suis cassé les avant-bras dans un accident de scooter, je ne pouvais plus faire grand-chose. Pour manger, on me mettait des gros livres de chaque côté pour soutenir les bras, ce qui me permettait de porter ma bouche à ma fourchette ; pour l’ordinateur, deux doigts suffisaient, et pour la télé « le temps de cerveau disponible » n’était pas endommagé. Par contre, pour ce qui est de faire ma toilette, c’était impossible. Même pour prendre une douche où il fallait orienter le jet afin d’éviter de mouiller les plâtres.C’est Alix, ma sœur jumelle, qui se résolut à faire ma toilette. Elle avait l’habitude, ayant travaillé à l’hôpital dans le but d’être infirmière avant de changer de branche pour s’orienter dans les services d’aide à l’enfance. Cette fois, c’était moi, mais ni l’un ni l’autre n’y voyons un quelconque problème. Il faut dire que nous pratiquons le naturisme avec nos parents depuis notre plus tendre âge. Notre mère disait même : « Vous faisiez du nudisme avant même votre naissance, puisqu’avec papa, mon ventre s’arrondissant, nous passions nos journées, tout nus, sur les plages de l’océan Atlantique. Dire que je n’osais pas montrer mon gros ventre et mes seins lourds alors qu’il n’y a rien de plus naturel qu’être enceinte. Lorsque je vois aujourd’hui des personnes handicapées dans les centres naturistes qui assument leur différence, je me trouve bien idiote a posteriori. »Alix connaissait parfaitement mon corps et inversement. La pudeur n’avait aucune prise entre nous, d’autant plus que notre gémellité nous rendait encore plus proches. Aussi le premier jour de cette toilette, elle arriva dans ma chambre et dit :
— Je t’aide à prendre ta douche ?— Oui, merci sœurette.
J’ai alors rejeté les jambes de ma couette de lit et me suis retrouvé rut nu comme à ma naissance, puisque je dors toujours sans pyjama. Alix ne s’en émut pas, m’ayant surpris plus d’une fois a pratiquer certaines activités nocturnes... L’inverse était vrai, car nos chambres sont accessibles l’une à l’autre depuis toujours et les portes en étaient rarement closes. De plus, il était fréquent, lors des vacances, que nous dormions dans la même pièce ou sous la même tente et elle ne cachait pas le fait qu’elle se donnait du plaisir.Seule la vie amoureuse et sexuelle de chacun de nous deux nous éloignait épisodiquement et momentanément. M’apercevant à poil devant elle ce matin-là, je crus voir son regard s’arrêter un instant sur mon membre. Une fois dans la salle de bain, elle mouilla mon dos. Constatant qu’elle allait être trempée, elle se résolut à ôter son long tee-shirt qui lui servait de nuisette, ne portant alors pour seul vêtement qu’un string. Elle savonna mon dos, mes fesses et mes jambes, puis rinça le tout.
— Demi-tour, maintenant, le côté face.
Je vis alors clairement son regard vers mon entrejambe qui avait pris du volume. Elle l’avait déjà vu bander ainsi, et cela ne l’avait jamais choquée. Cependant, ici les érections matinales du réveil ou l’apparition de jolies nanas n’en étaient pas la cause.
— Tu bandes pourquoi ?— Les circonstances, et puis le manque.— Le manque de quoi ? Dit-elle en le savonnant.— De sexe, pardi. Avec mon plâtre, je ne peux même pas me toucher la queue. Oh, tu as dû en voir des mecs ayant la trique lorsque tu les nettoyais ?— Un, non deux ; sur la quantité, ce n’est pas énorme. Mais je crois qu’ils étaient chauds à cause de l’infirmière qui s’occupait d’eux avant mon arrivée. Il faut dire qu’elle avait tout ce qu’il fallait où il fallait, et sous sa blouse on voyait des dentelles avec plein de choses à découvrir. Et en plus comme elle se trémoussait, ça excitait ces messieurs.
Elle ne dit rien, tout en continuant à me laver, évitant tout de même mon membre érectile qui restait toujours aussi tendu. Le fait qu’Alix soit seins nus et ne porte qu’un string arachnéen n’était pas pour calmer mon excitation : une sœur reste avant tout une femme désirable, même s’il est hors de question de la toucher. Puis elle finit par savonner le plus rapidement possible la tige avec le gant de toilette.
— Oh, dit-il, tu ne peux pas continuer ?
— Mais... Tu déconnes. Je suis ta sœur.— Je sais, mais par humanité... Tu ne peux pas me laisser comme ça.— Tu voudrais que je te branle ? Même pas dans tes rêves ! Tu n’as qu’à demander à ta copine Solange.— Ah, Solange, parlons-en. Elle était hyper-coincée, et malgré mes efforts elle l’est toujours autant. On ne baise pratiquement jamais car elle étroite et ma bite lui fait mal. Heureusement que je peux lui baiser les nichons qui sont ravissants et terriblement sensibles. Mais elle ne veut pas que je voie sa petite rondelle même si je lui ai expliqué qu’avec un peu d’entraînement elle serait bien plus dilatée par là qu’avec son vagin.— C’est vrai que la sodomie pourrait être une solution mais tu ne peux pas l’obliger.— T’n’inquiètes pas je n’avais pas l’intention de la forcer. De toute façon je l’ai quittée la veille de mon accident.— Et tu n’avais personne en vue ? Tu n’as pas un plan B ?— Non. Enfin, il y a une nana que je kiffe, mais je ne l’ai pas encore draguée. Si tu lui disais « Mon frère s’intéresse à toi ; ça te dirait de lui faire une turlute ? », je ne crois pas que ça fonctionnerait.
Alix me rinça, me sécha avec deux serviettes éponge. Puis elle m’habilla, m’emballant comme elle put mon pénis toujours aussi tendu.
— Alix, je ne pourrai pas tenir tout le temps du plâtrage, excité comme je suis, sans une fille pour me soulager ou même me branler.— J’en ai conscience, frangin ; mais moi, je ne peux pas t’aider.
Toute la journée, l’idée que je n’aie pas la possibilité de me masturber du la préoccuper car elle revint quelques heures plus tard me parler de son idée : Sandrine. Une bonne copine élève infirmière comme elle. Elles s’étaient toujours parfaitement entendues. Sandrine était la première nue sur une plage ; elle bronzait indécemment en bonne vicieuse qu’elle était : « Il y a tous les mecs qui me matent les nichons et qui bandent », disait-elle. Je savais bien qu’Alix et elle, bien qu’aimant beaucoup les hommes, ne détestait pas partager de suaves moments avec des filles. Sandrine était ce qu’on peut qualifier de "fille facile " couchant avec n’importe quel garçon beau gosse et bien monté.Sandrine se présenta donc à notre domicile le lendemain matin:
— Merci de ton aide, lui dit Alix.— T’inquiète, ça me fait plaisir...
Sandrine se rendit dans ma chambre, je fus instantanément subjugué par la beauté de la jeune femme. Elle avait un visage régulier, des yeux entre marron et vert, comme s’il y avait des paillettes d’or. Son nez en trompette surmontait des lèvres sensuelles. Ses cheveux mi-longs entre châtain et roux tombaient en cascade sur ses épaules. De ce qu’il pouvait deviner de son corps sous ses habits, c’était une poitrine développée, une taille mince et un cul bien rebondi. Rien qu’à la voir ainsi il sentit son sexe se dresser. Je ne fis rien pour réprimer mon érection et Sandrine ne me laissa pas le temps de me reprendre. Elle ôta la couette qui me recouvrait. Elle regarda sans vergogne mon corps nu, et ses yeux s’arrêtèrent sur mon sexe bandé. Elle dit :
— Eh bien, tu me parais bien tendu...— Bah, ouais, je ne peux pas me soulager.— Oui, avec tes deux bras immobilisés. Tu voudrais que je te détende ?— Tu le ferais ?— Il paraît qu’il n’y a personne qui veut se dévouer : tu n’as pas de petite copine, ta sœur ne veut pas en entendre parler, et je la comprends ; si j’avais un frère, je n’accepterais pas de le branler... Même s’il en avait une belle comme la tienne.
Tout en parlant, Sandrine avait pris mon sexe en main et le caressait avant de le branler. Elle me prit ensuite en bouche, mais sachant que j’étais en manque et que je risquais de jouir vite, elle se plaça rapidement en Amazon sur mon torse en s’embrochant sur ma bite. Je sentais mon membre s’enfoncer dans son intimité alors qu’elle poussait un râle de plaisir elle continua par de lent vas et viens. Tenant plus, je me déchargeais alors sur son pubis. Sa langue vient alors le nettoyer ce qui me fit frissonner tant c’était bon. Elle me complimenta sur la largeur de mon chibre puis me fit ensuite ma toilette comme n’importe quelle infirmière l’aurait fait. Je n’osais rien dire, trop heureux de l’aubaine d’avoir trouvé en cette magnifique jeune femme une main ô combien secourable.
— À demain, dit-elle en me quittant.
A suivre...
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