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Ma copine prise sous mes yeux

Chapitre 1

Impossible

Voyeur / Exhibition
Je m’appelle Léo et j’ai 30ans, je suis un grand brun, les cheveux longs, pas très musclé mais quelque peu sportif tout de même. Je suis en couple depuis sept ans avec Sarah, une magnifique brune d’1 mètre 66, les yeux marron, un 85C à croquer et mon petit pêché mignon: son petit cul rebondi de folie. Sarah est responsable marketing dans une grande enseigne de prêt-à-porter. Quant à moi, je suis vendeur dans un magasin de jeux vidéo. Nous sommes ma foi très heureux en ménage et en couple, malgré quelques passages à vide, mais qui n’en a jamais eu ?
Une chose ne fonctionne pas entre nous... Le sexe. Sarah est très peu portée sur la chose, elle pourrait vivre sans, son tempérament assez timide y est aussi pour quelque chose. J’en souffre énormément même si elle fait des efforts. Nous avons, en gros, un rapport par mois. Pourtant lorsqu’elle est bien excitée, elle sait se montrer coquine. Elle adore par exemple la sodomie, mais par contre, rebute la fellation. Moi, j’adorerais qu’elle se débloque et je suis assez ouvert sexuellement, j’aimerais tester de nouvelles choses avec elle. Mais bon, je l’aime et je sais que c’est la femme de ma vie, donc je fais avec.
Nous sommes au mois de février et nous décidons de réserver des vacances dans le sud de la France pour cet été. Nous habitons dans une grande ville du Nord-Est et nous avons besoin de soleil. Nous optons pour une maison d’hôte près de Bordeaux: les avis sont très bons, la chambre a l’air magnifique (avec tout le confort de luxe dont un jacuzzi !) et le lieu également. Il apparaît que c’est une ancienne ferme viticole transformée pour accueillir des vacanciers. On réserve et le rendez-vous est pris au mois d’août.

Les mois passent vite et nous voilà sur le chemin de la gare. On attrape notre train et arrivons à Bordeaux où le propriétaire de la chambre que nous louons est censé venir nous récupérer. Dans la gare, je repère nos noms sur une pancarte tenue par un homme de grande stature. Nous faisons les présentations et il nous invite à nous rendre à sa voiture. Il s’appelle Jean, c’est un homme élégant et extrêmement séduisant, la cinquantaine, cheveux grisonnants. J’ai tout de suite vu son regard se poser sur ma chérie à qui il a fait une bise appuyée. Jean est un homme plein de charisme, sa voix est grave et il est bâti comme une armoire à glace. Sarah sourit timidement à chacune de ses paroles, notamment dans la voiture qui nous emmène à destination. Elle est installée à l’avant côté passager et moi à l’arrière. Là encore, je surpris plusieurs regards du chauffeur vers les cuisses et les seins de ma moitié.
Après tout, il a bien le droit de se rincer l’œil, me dis-je, Sarah est une belle femme, rien de plus normal. Je sens qu’elle est très impressionnée par ce personnage.
Nous arrivons à destination après une petite heure de route et le cadre n’est pas décevant du tout. Des vignes à perte de vue et une grande bâtisse quasiment neuve. Jean nous explique que lui et sa femme Sylvie se sont reconvertis dans les maisons d’hôte après un passé de viticulteurs, le métier étant devenu trop dur. Son affaire marche bien, surtout lors de la saison estivale, cela va de soi. Nous rencontrons Sylvie, une très belle femme de 58 ans, minuscule comparée à son mari, 1m55, mais de très gros seins et un fessier tout aussi développé sans être disgracieux ou laid. J’avoue l’avoir reluqué de la tête au pied lorsqu’elle nous a emmenés à notre chambre. Sarah m’a d’ailleurs fait la remarque:
— Ca va ? Je ne te gêne pas ? Tu veux une paire de jumelles ?— Oh ça va chérie ! Y a pas mort d’hommes. Et il n’y a pas que moi qui mate ici !— Moi ??? N’importe quoi.— Non pas toi, Jean n’arrête pas de te reluquer !— Arrête tes bêtises. Il pourrait être mon père.— Je vois bien qu’il t’impressionne.— Tu dis n’importe quoi, comme souvent. Je vais à la douche.
Elle me fit un bisou sur la bouche puis disparut dans la salle de bain. On toqua à la porte. C’était Jean:
— Ce soir, comme vous venez d’arriver, on vous invite à manger, Sylvie est une excellente cuisinière vous verrez ! Et aucun refus n’est accepté!— Bon et bien c’est très gentil de votre part en tout cas.
— 20h à la cuisine. Vous êtes les premiers vacanciers de l’été, les autres arrivent seulement la semaine prochaine, la table du salon est trop grande pour juste nous quatre. Vous n’y voyez pas d’inconvénient ?— Aucun, va pour 20H, à toute à l’heure.
J’avais perçu plusieurs regards à l’intérieur de la chambre cherchant Sarah de sa part. Ça me faisait bien rire (plus pour très longtemps...)
Quand elle fut sortie de la douche, j’expliquai la suite du programme à ma chérie, nue devant son miroir. Elle m’excitait terriblement, je tentai une approche, mais comme souvent, je finis sur les roses. Je pris donc à mon tour une douche et m’habillai d’un bermuda et un tee-shirt léger, en effet la chaleur était étouffante en cette saison. Je sortis de la salle de bain et Sarah était encore en train de se préparer: maquillage, robe noire légère et plutôt courte. Ce n’était pas pour me déplaire, mais ce n’était pas dans ses habitudes, surtout que nous allions dîner avec de quasi-inconnus.
19h55, nous sommes prêts, je l’embrasse, la complimente sur sa beauté et nous voilà sortis de la chambre. Nous descendons de grands escaliers et nous retrouvons dans un immense salon avec au milieu une tout aussi immense table. Effectivement pour quatre, cela aurait fait bizarre me dis-je. La cuisine est juste à côté et j’aperçois Sylvie s’affairer par le passe-plat qui se trouve entre les deux pièces. Jean vient à notre rencontre, on s’assoit à la table, prenons l’apéro tout en discutant de nos vies, de tout et de rien. L’ambiance est bonne, Sarah rit à chaque intervention de notre grand gaillard, ce qui a tendance a un peu m’énerver, mais bon je ne dis rien, je ne vais pas gâcher nos vacances.
Lors du repas, Jean nous sert du vin de la région qui - ma foi - n’est pas mauvais du tout. Nous buvons tous sauf Sylvie. Jean nous ressert souvent et je vois que cela commence à avoir des effets sur ma chère et tendre. Elle et Jean parlent de voyages, car Sarah adore cela et Jean paraît en avoir fait des milliers. Elle boit littéralement ses paroles.
Vers 23h30, Sylvie nous annonce qu’elle monte se coucher, nous la remercions pour son repas et elle prend donc congé. Je commence à sentir les effets de l’alcool et le voyage m’a fatigué. Je me lève donc une petite demi-heure plus tard:
— Je vais me coucher moi, je suis exténué.
Je pensais que Sarah me suivrait, mais au lieu de ça, sa réponse me surprit.
— Je ne suis pas fatiguée chéri, je vais rester encore un peu discuter.
Jean en entendant cela, sourit. Je voyais bien qu’elle était soûle, mais je n’ai rien dit de peur de la mettre en rogne et je ne voulais pas m’afficher devant notre hôte.
— Très bien, ne tarde pas trop mon cœur. Bonne nuit Jean.— Bonne nuit mon cher Léo. Je ne vais pas tarder non plus, me lança-t-il comme pour me rassurer.
J’embrassai Sarah et quittai la pièce.
Une fois au lit, malgré mon état de fatigue, impossible de dormir. Je pianotai sur mon téléphone portable, et surtout je m’impatientais. Cela faisait maintenant 45 minutes et elle n’était toujours pas au lit. Une envie pressante me poussa à me lever. Je longeai la mezzanine au-dessus du salon et je fus rassuré par les rires francs qui s’échappaient de la cuisine. Ils étaient encore en train de discuter. Mon pauvre Léo, tu te fais des films, me dis-je. Cependant en repassant après avoir fait mon affaire pour me rendre dans la chambre, je ne perçus plus aucun bruit venant de la cuisine.
Je décidai donc de descendre sans faire de bruit regarder par le passe-plat ce qu’il s’y passait. Sans me faire remarquer, je me faufilai donc devant la petite ouverture. Jean et Sarah discutaient encore, mais je sentais une certaine tension entre eux. Sarah était rouge pivoine, sûrement dû à l’alcool qu’elle avait ingurgité et faisait le geste de l’éventail avec sa main devant son visage pour s’aérer. Jean lui dit alors:
— Ma pauvre, vous n’êtes pas habituée à une telle température, n’est-ce pas ?— Non malheureusement, et je crois que j’ai trop bu. Je ne vais pas tarder à aller me coucher.— Déjà? Tu vas m’abandonner comme ça ? (C’était la première fois qu’il la tutoyait, je sentais que quelque chose allait se passer).— Je crois que j’ai abusé de votre bon vin, dit-elle en rigolant.
Jean posa alors sa main sur la cuisse de Sarah
— Tu sais ma belle, ma femme est au lit, ton copain également. On pourrait continuer nos petites discussions encore un peu.
Je sentis tout de suite que Sarah était perdue. Elle essaya timidement de retirer l’énorme paluche de cet homme de sa cuisse, mais c’était peine perdue.
— Jean, soyez raisonnable...— Ma petite, je sais très bien que tu as remarqué que tu me plais. Et je n’ai pas pour habitude de ne pas obtenir gain de cause.
Sarah ne dit rien et rougit encore plus, j’étais certain que cette caresse sur la cuisse l’avait assommée.
— Tu as chaud, tu pourrais peut-être retirer cette robe, dit-il d’une voix autoritaire.— Non... Je... Ce n’est pas bien...
Jean remonta sa main entre les cuisses de ma chérie qui poussa un long soupir. La bataille était perdue. Je regardai cette scène, effaré de voir l’absence de réaction de ma compagne. J’allais intervenir, mais je me rendis compte que je bandais comme un ours. Cette scène me rendait profondément jaloux, mais m’excitait tout autant. Ma jolie brune en robe allait céder aux avances de cette armoire à glace.
— Depuis que tu es arrivée à la gare ma petite, je n’ai qu’une idée en tête: te baiser.
Son langage avait changé, Jean savait qu’il avait gagné. Les gémissements de Sarah continuaient sous ses caresses.
— Maintenant, lève-toi et retire cette robe ma belle.— Jean... s’il vous plaît, il ne faut pas...— Ne te fais pas prier ma belle.
Sarah s’exécuta après un petit moment d’hésitation. Elle se retrouva en talons compensés et en culotte devant lui. Il se recula sur sa chaise pour l’admirer. Elle était ultra-bandante.
— Fais un tour sur toi même ma jolie. Mon Dieu, ce que tu peux être bandante. Tu veux que je te dise ? En rentrant de la gare tout à l’heure, tu m’as fait tellement d’effet que j’ai sauté sur ma femme et que je l’ai prise bien fort.
Sarah ne dit toujours rien. Moi j’avais sorti ma queue et me masturbais comme un malade.Jean se leva et se mit dos à Sarah et passa une de ses mains dans sa culotte. Elle poussa un long râle de plaisir, et il en profita pour lui rouler une pelle.
— Maintenant, on va passer aux choses sérieuses, mets-toi à genoux devant moi.
Je pensais qu’elle refuserait, mais non ! Elle qui refusait les pipes se mit à genoux bien docilement devant cet homme. Il se déshabilla à son tour et une énorme verge jaillit de son boxer. Il la frotta sur le visage de ma Sarah...
— Elle te plaît ma bite ?— Oui... dit-elle timidement. — Suce-moi.
Sans rechigner, elle prit la queue dans sa main et commença à le branler puis passa timidement sa langue sur le gland qui avait encore gonflé. Sa queue mesurait au bas mot 25 centimètres et était également très épaisse.
— Allez ma jeune salope, enfonce la bien dans ta bouche maintenant.
Sarah s’activait maintenant sur cette bite comme jamais elle ne l’avait fait sur la mienne. Elle enfonçait l’engin au maximum et le léchait de temps en temps de haut en bas. Son regard sentait la luxure à des kilomètres. Je ne la reconnaissais pas, on aurait dit une nymphomane.
— Oh oui... putain t’es douée. Sous tes airs de petite fille sage, tu m’as l’air d’être une sacrée bouffeuse de queues. Vas-y continue, oui, allez lèche moi bien les couilles, oui comme ça... Ouuuuuuhhhhh... putain...
Jean passa se pencha en avant et caressa la moule de la sublime créature qui lui prodiguait une fellation.
— Putain, mais t’es trempée ma belle, ça te plaît de sucer on dirait ?! Réponds salope !— Oui...— Oui quoi ?!— Oui ça me fait mouiller de lécher votre grosse bite Jean... dit-elle en reprenant son souffle.
Elle le suça encore pendant au moins 10 minutes, de la bave s’écoulait sur le sol.
— Maintenant, je vais bien te baiser.— Oui baisez-moi, je vous en supplie, je veux sentir votre grosse bite en moi.— Hey ben tu vois, tu te dévergondes ! Bon dieu ce que tu m’excites toi, je vais te défoncer !
Il était sur sa chaise et la fit s’asseoir sur lui. Il guida sa queue jusqu’à la fente dégoulinante de Sarah, puis s’enfonça en elle avec une facilité incroyable. Son engin étirait la chatte de ma chérie. Elle balança son visage en arrière et ferma les yeux, des gémissements sourds sortaient de sa bouche. Ma copine totalement nue et en talons se faisait baiser par un homme qu’elle ne connaissait pas il y a quelques heures. L’érotisme qui se dégageait de cette scène était total. C’est le moment que je choisis pour gicler. Je partis me nettoyer discrètement puis reprit ma place. Cette fois, c’est Sarah qui montait et descendait sur cette queue et non plus Jean qui la bourrinait. Il avait mis une de ses mains sur la bouche de ma compagne pour ne pas qu’elle hurle et lui dévorait les seins de temps en temps.
— T’es une sacrée petite chienne toi.— OUIIIIII baisez moi encore !!!!— Tu la sens bien ma queue hein ?!!— Oh oui putain, vous me défoncez !— Mieux que celle de ton copain ?
Le salaud, il m’humiliait encore.
— Oui...— Oui quoi ?!— Oui mieux que celle de Léo...
Jean plaça un de ses doigts devant la bouche de ma chérie qui le suça. Il présenta ensuite ce doigt devant le trou du cul de ma belle et lui titilla. Cela faisait maintenant 20 bonnes minutes qu’ils baisaient et Jean enfonça son majeur dans l’anus de Sarah. La réaction ne se fit pas attendre. Elle se raidit et jouit comme une folle, et se mit à trembler. Ses cris étaient étouffés par la main devant sa bouche.
— Ça t’a plu on dirait ?
Pas de réponse. Elle se remettait de ses émotions. Jean la souleva comme une brindille avec ses grands bras. Il la posa sur la table de la cuisine et se mit à genoux au niveau de la vulve de sa conquête du soir. Il plongea sa langue le long de la fente dégoulinante et les gémissements de ma belle ne mirent pas longtemps à revenir.
— Ta mouille est trop bonne, tu aimes ce que je te fais ?— Oui, mon Dieu, ouiiiii, ne vous arrêtez pas salaud !
Il descendit sa langue sur la raie de Sarah et lui lécha goulûment. Elle venait de comprendre ce qu’il voulait. Elle eut un mouvement de recul, mais il la maintenait sur la table.
— Non pas par là, votre bite est trop grosse, vous allez me faire mal.— Ne t’inquiète pas, tu n’es pas la première à y passer, une fois que je t’aurai baisé le cul, tu ne voudras plus te passer de mon engin !
Il se releva et présenta son énorme engin à l’entrée du trou du cul de Sarah.
— Allez-y doucement...
Jean poussa lentement et sa queue entra centimètre par centimètre dans l’orifice bien enduit de salive au préalable. Ca y est ma copine se faisait enculer. Il la ramona doucement au début puis imprima un rythme plus soutenu au bout de quelques minutes.Sarah se tordait de plaisir, je ne l’avais jamais vu comme ça.
— Alors, tu veux toujours que j’arrête petite pute ?— Non, défoncez-moi, j’adore votre queue putain !
Jean s’arrêta quelques instants et sortit sa queue du cul de ma compagne.
— Tu vas me dire que pour les quelques jours que tu vas passer ici, tu seras ma putain, ma chose, est-ce que c’est clair ? Sinon j’arrête.— Salaud... Putainnnn, c’est d’accord, mais remettez-la-moi...— C’est bien, tu as enfin compris qui commandait. Putain ce que t’es chienne toi. J’vais pas tarder à gicler !!
Jean la pilonnait sans retenue. Moi je me branlais encore et je ne réalisais pas la situation.
— Demain, je ne veux pas que tu mettes de culotte, c’est compris ?— OUIIIIIII, tout ce que vous voulez !!! AHHHHHH... OUHHHHH.
Jean redoublait d’efforts et Sarah partit dans un deuxième orgasme très violent, qui propulsa un jet de cyprine sur la queue déjà bien luisante de notre hôte. Jean retira les chaussures de ma belle et prit chacun de ses pieds en bouche, les léchant de bas en haut.
— J’vais m’amuser avec toi petite pute. Ton corps me rend fou.
_...Elle était totalement hagarde et récupérait difficilement de cette heure et demie de baise torride. Jean se masturba énergiquement à quelque centimètres du visage de ma dulcinée qui s’était agenouillé devant ce géant.
— Ouvre grand ta bouche ! Ohhh putain je viens... OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
Sarah reçut du sperme partout, une quantité phénoménale dans la bouche, les cheveux, sur le visage et sur ses magnifiques petits seins.
— Tu avales tout ne gâche pas !
Sarah s’exécuta sans rechigner. Elle qui détestait ça, se délectait maintenant de ce foutre en regardant Jean droit dans les yeux avec un regard de soumise.
Ils restèrent dans cette position quelques minutes, histoire de récupérer leurs esprits puis se rhabillèrent. Jean roula une pelle magistrale à Sarah et lui dit:
— A demain, et en forme ma belle, tu en auras besoin. Et n’oublie pas, pas de culotte.— Oui... dit-elle timidement.

Je quittai mon poste d’observation aussi discrètement que j’étais venu, me couchai dans le lit. Je feignais de dormir quand quelques minutes plus tard (le temps de nettoyer le foutre qu’elle avait reçu sur le corps et le visage) Sarah me rejoint. Elle m’embrassa rapidement sur l’épaule et s’endormit. Je ne réussis pas à m’endormir avant au moins 3heures du matin, trop de choses se bousculaient dans ma tête.

Jamais je n’aurais pensé ça de ma copine, jamais. Mais je dois bien avouer que je n’avais jamais été autant excité que ce soir lorsque ce grand gaillard baisait et enculait cette frêle petite jeune avec sa grosse queue. Le séjour allait certainement me réserver d’autres surprises qui je l’espère serait tout aussi agréables. Je me sentais tout de même humilié par la situation... Que faire pour la suite ? Empêcher que cela se reproduise ou l’encourager ? Peut-être profiterais-je de ce déblocage sexuel de Sarah dans ma vie sexuelle future ?
Voilà, j’espère que cela vous a plu. La suite si c’est le cas. Personnellement, je me suis bien branlé en l’écrivant cette histoire.
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